Salut aux compagnons du coquelicot qui souhaitent la disparition de l'espèce humaine. Auraient-ils finalement raison ?
Mon dieu, les éleveurs français qui nous font avaler de la viande bourrée aux hormones et aux antibiotiques, sans compter le reste, bref, les empoisonneurs avec les autres agriculteurs connaissent des problèmes. Enfin, UN, l'augmentation du coût du soja.
Du coup, les prix de la viande va augmenter, blanche ou rouge, au niveau national et à l'exportation. Et, l'augmentation répercutée sur le consommateur va être "très", "très" importante.
Alors, que fera la France ?
Alors, que fera l'Europe ?
Sans compter qu'il risque d'y avoir des faillites.
Bon, je vous dirais, ces gens-là ne me font pas pleurer, vu que volontairement, ils continuent à nous empoisonner et à utiliser plus d'intrants chimiques et de vaccins bidons et autres saloperies sur le bétail et autres ovins et poulets.
Qu'est-ce que je me dis, simple, "Qu'ils crèvent tous avant qu'ils ne me fassent crever, moi et mes enfants.
Et, pendant ce temps, que fait le gouvernement ?
RIEN !
Mais, passons, parce que si les conditions météo continuent de se détériorer aux States, la situation va se prolonger, de façon à en laisser un paquet de ces éleveurs sur le carreau.
(source : Basta !)
Panique à bord chez les agriculteurs ayant recours au soja importé pour nourrir leurs animaux : le prix de la tonne a doublé ces derniers mois, et oscille aujourd’hui entre 450 et 500 euros ! Or, l’Europe importe près de 40 millions de tonnes de soja chaque année. Et la France caracole en tête du peloton, avec plus de 4 millions de tonnes de tourteaux de soja consommées, dont les deux tiers sont OGM ! C’est qu’il en faut des protéines pour gaver des poulets prêts à consommer en 45 jours, des vaches qui produisent 8 000 litres de lait ou des poules qui pondent plus de 200 œufs par an !
Arrivé en Europe au lendemain de la seconde guerre mondiale, dans les valises du plan Marshall, le soja américain représente 80% de l’apport protéique de l’alimentation animale européenne et française. Dénoncée depuis longtemps par les tenants d’une agriculture durable, cette dépendance au soja importé semble aujourd’hui inquiéter jusqu’aux champions de la spéculation sur les matières premières, comme Sofiprotéol. « Notre dépendance dans ce domaine sera un sujet majeur des décennies à venir », a ainsi affirmé Michel Boucly, directeur général adjoint de Sofiprotéol, cité par L’Expansion."
En tout cas, je ne leur souhaite pas bonne chance. Sauf, aux petits éleveurs qui respectent l'environnement off course. Sauf que cela va être dur de retrouver les cultures traditionnelles pour repartir d'un autre pied, vu que Mosanto et compagnie s'en occupent.
Des tortillas à base de maïs OGM, c’est ce que tentent d’obtenir les multinationales Monsanto et Pioneer au Mexique. Elles ont demandé au gouvernement l’autorisation de semer 2,4 millions d’hectares de maïs transgénique à l’Ouest et au Nord du Mexique. Soit une surface aussi grande que le Luxembourg ! Alors que la période de consultation publique s’achève, des scientifiques indépendants (de l’Union mexicaine des scientifiques engagés avec la société) [1] dénonce le manque de transparence du processus. Les résultats des plantations « pilotes » n’auraient pas été rendus publics. « C’est grave, le Mexique n’est pas seulement le berceau du maïs, mais aussi l’un des centres d’origine et de diversification à partir desquels le monde tire la diversité génétique nécessaire pour maintenir sa production face aux nouveaux fléaux et défis climatiques. »
Pourtant, des structures se créent localement un peu partout dans le monde.
(source : idem)
« Il faut nous organiser pour récupérer toutes les semences qui sont dans les banques de gènes et remettre ce trésor entre des mains sures, celles des paysans ». Au milieu d’une centaine de variétés de maïs, en plein cœur de la Dordogne, Bertrand Lassaigne raconte l’histoire de la première maison de semences paysannes en France. Installé depuis 20 ans près de Périgueux, Bertrand cultive principalement des céréales et des protéagineux – maïs, céréales à paille, soja, lentilles... Peu à peu, il développe son autonomie en semences et parvient en moins de dix ans à autoproduire la quasi-totalité de ses cultures, sauf en maïs où il continue chaque année d’acheter de la semence non reproductible qualifiée d’hybrides.
En 1999, une rumeur circule parmi les producteurs de maïs : des semences polluées par des OGM auraient été vendues. Bertrand Lassaigne, un des rares agriculteurs à produire du maïs bio, pressent la nécessité de trouver une alternative aux semences industrielles proposées par les semenciers. C’est le début d’un long chemin pour se réapproprier des savoirs-faire perdus. Pour éviter les OGM, il part chercher des semences au Guatemala. Et ramène onze variétés de maïs qu’il sème à son retour. Mais le résultat est décevant : les variétés collectées ne sont pas du tout adaptées au climat.
S’affranchir de l’industrie semencière
Le début du projet est laborieux. La difficulté de trouver de nouvelles variétés s’ajoute à un contexte réglementaire menaçant, qui ne permet ni la vente ni les échanges de semences [1]. Le travail de Bertrand se déroule dans une quasi-clandestinité ! Ce qui limite de facto la communication autour du projet. Mais le bouche-à-oreille fonctionne : plusieurs agriculteurs mettent à disposition « la variété de leurs aïeux ». Bertrand réalise lui-même les premiers croisements, donnant naissance à de nouvelles variétés. Au sein d’AgroBio Périgord, l’association de développement de l’agriculture biologique, Bertrand s’associe à d’autres agriculteurs et jardiniers pour créer la Maison des Semences Paysannes.
Onze ans plus tard, les résultats sont là. Leur maison de semences [2] compte plus d’une centaine de variétés de maïs adaptées aux conditions de l’agriculture biologique. Souvent plus riches en protéines, les variétés sélectionnées sont moins exigeantes en eau et plus résistantes aux maladies que les semences industrielles. Surtout, elles peuvent être replantées d’année en année, contrairement aux semences industrielles dont les droits de propriétés contraignent l’agriculteur à racheter ses semences l’année suivante."
Malheureusement, ces structures sont localisées et isolées. Donc repérable par Mosanto et l'armée de mercenaires, Black Water, qu'elle vient de s'offrir et les liquider un jour lointain ou proche.
Mais, non, je plaisante mes chers lecteurs et je vous dis à bientôt.
René.
Mon dieu, les éleveurs français qui nous font avaler de la viande bourrée aux hormones et aux antibiotiques, sans compter le reste, bref, les empoisonneurs avec les autres agriculteurs connaissent des problèmes. Enfin, UN, l'augmentation du coût du soja.
Du coup, les prix de la viande va augmenter, blanche ou rouge, au niveau national et à l'exportation. Et, l'augmentation répercutée sur le consommateur va être "très", "très" importante.
Alors, que fera la France ?
Alors, que fera l'Europe ?
Sans compter qu'il risque d'y avoir des faillites.
Bon, je vous dirais, ces gens-là ne me font pas pleurer, vu que volontairement, ils continuent à nous empoisonner et à utiliser plus d'intrants chimiques et de vaccins bidons et autres saloperies sur le bétail et autres ovins et poulets.
Qu'est-ce que je me dis, simple, "Qu'ils crèvent tous avant qu'ils ne me fassent crever, moi et mes enfants.
Et, pendant ce temps, que fait le gouvernement ?
RIEN !
Mais, passons, parce que si les conditions météo continuent de se détériorer aux States, la situation va se prolonger, de façon à en laisser un paquet de ces éleveurs sur le carreau.
(source : Basta !)
Agriculture
Le prix du soja flambe, les éleveurs s’affolent
Par (13 novembre 2012)
Panique à bord chez les agriculteurs ayant recours au soja importé pour nourrir leurs animaux : le prix de la tonne a doublé ces derniers mois, et oscille aujourd’hui entre 450 et 500 euros ! Or, l’Europe importe près de 40 millions de tonnes de soja chaque année. Et la France caracole en tête du peloton, avec plus de 4 millions de tonnes de tourteaux de soja consommées, dont les deux tiers sont OGM ! C’est qu’il en faut des protéines pour gaver des poulets prêts à consommer en 45 jours, des vaches qui produisent 8 000 litres de lait ou des poules qui pondent plus de 200 œufs par an !
Arrivé en Europe au lendemain de la seconde guerre mondiale, dans les valises du plan Marshall, le soja américain représente 80% de l’apport protéique de l’alimentation animale européenne et française. Dénoncée depuis longtemps par les tenants d’une agriculture durable, cette dépendance au soja importé semble aujourd’hui inquiéter jusqu’aux champions de la spéculation sur les matières premières, comme Sofiprotéol. « Notre dépendance dans ce domaine sera un sujet majeur des décennies à venir », a ainsi affirmé Michel Boucly, directeur général adjoint de Sofiprotéol, cité par L’Expansion."
En tout cas, je ne leur souhaite pas bonne chance. Sauf, aux petits éleveurs qui respectent l'environnement off course. Sauf que cela va être dur de retrouver les cultures traditionnelles pour repartir d'un autre pied, vu que Mosanto et compagnie s'en occupent.
(source : Basta !, Alimentation)
Mexique : le berceau du maïs bientôt recouvert d’OGM ?
Par (20 novembre 2012)
Des tortillas à base de maïs OGM, c’est ce que tentent d’obtenir les multinationales Monsanto et Pioneer au Mexique. Elles ont demandé au gouvernement l’autorisation de semer 2,4 millions d’hectares de maïs transgénique à l’Ouest et au Nord du Mexique. Soit une surface aussi grande que le Luxembourg ! Alors que la période de consultation publique s’achève, des scientifiques indépendants (de l’Union mexicaine des scientifiques engagés avec la société) [1] dénonce le manque de transparence du processus. Les résultats des plantations « pilotes » n’auraient pas été rendus publics. « C’est grave, le Mexique n’est pas seulement le berceau du maïs, mais aussi l’un des centres d’origine et de diversification à partir desquels le monde tire la diversité génétique nécessaire pour maintenir sa production face aux nouveaux fléaux et défis climatiques. »
Pourtant, des structures se créent localement un peu partout dans le monde.
(source : idem)
Souveraineté alimentaire
Des maisons de semences paysannes pour se libérer de l’agrobusiness
Par (7 novembre 2012)
C’est un mouvement
mondial : du Brésil à la Grèce, en passant par le Périgord, des maisons
et des banques coopératives de semences se multiplient. L’objectif :
libérer les agriculteurs des droits de propriété imposés par l’industrie
semencière, ne dépendre ni des OGM ni des pesticides, et cultiver la
biodiversité. Plus de 300 paysans de quinze pays sont venus témoigner en
France de leurs expériences collectives en faveur de la souveraineté
alimentaire.
« Il faut nous organiser pour récupérer toutes les semences qui sont dans les banques de gènes et remettre ce trésor entre des mains sures, celles des paysans ». Au milieu d’une centaine de variétés de maïs, en plein cœur de la Dordogne, Bertrand Lassaigne raconte l’histoire de la première maison de semences paysannes en France. Installé depuis 20 ans près de Périgueux, Bertrand cultive principalement des céréales et des protéagineux – maïs, céréales à paille, soja, lentilles... Peu à peu, il développe son autonomie en semences et parvient en moins de dix ans à autoproduire la quasi-totalité de ses cultures, sauf en maïs où il continue chaque année d’acheter de la semence non reproductible qualifiée d’hybrides.
En 1999, une rumeur circule parmi les producteurs de maïs : des semences polluées par des OGM auraient été vendues. Bertrand Lassaigne, un des rares agriculteurs à produire du maïs bio, pressent la nécessité de trouver une alternative aux semences industrielles proposées par les semenciers. C’est le début d’un long chemin pour se réapproprier des savoirs-faire perdus. Pour éviter les OGM, il part chercher des semences au Guatemala. Et ramène onze variétés de maïs qu’il sème à son retour. Mais le résultat est décevant : les variétés collectées ne sont pas du tout adaptées au climat.
S’affranchir de l’industrie semencière
Le début du projet est laborieux. La difficulté de trouver de nouvelles variétés s’ajoute à un contexte réglementaire menaçant, qui ne permet ni la vente ni les échanges de semences [1]. Le travail de Bertrand se déroule dans une quasi-clandestinité ! Ce qui limite de facto la communication autour du projet. Mais le bouche-à-oreille fonctionne : plusieurs agriculteurs mettent à disposition « la variété de leurs aïeux ». Bertrand réalise lui-même les premiers croisements, donnant naissance à de nouvelles variétés. Au sein d’AgroBio Périgord, l’association de développement de l’agriculture biologique, Bertrand s’associe à d’autres agriculteurs et jardiniers pour créer la Maison des Semences Paysannes.
Onze ans plus tard, les résultats sont là. Leur maison de semences [2] compte plus d’une centaine de variétés de maïs adaptées aux conditions de l’agriculture biologique. Souvent plus riches en protéines, les variétés sélectionnées sont moins exigeantes en eau et plus résistantes aux maladies que les semences industrielles. Surtout, elles peuvent être replantées d’année en année, contrairement aux semences industrielles dont les droits de propriétés contraignent l’agriculteur à racheter ses semences l’année suivante."
Malheureusement, ces structures sont localisées et isolées. Donc repérable par Mosanto et l'armée de mercenaires, Black Water, qu'elle vient de s'offrir et les liquider un jour lointain ou proche.
Mais, non, je plaisante mes chers lecteurs et je vous dis à bientôt.
René.
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