lundi 11 juillet 2011

Salut à mes potes de la coopérative européenne de Longo Maï. A bientôt, au mois d'août.

Ainsi, la santé des gens n'intéressent les laboratoires pharmaceutiques que si cela peut rapporter de l'argent et même la détruire, si, cela peut rapporter plus.
De son côté, l'agro-alimentaire par la voix de Mosanto tente même de nous interdire de de planter choux et carottes, si, les graines (évidemment stériles) ne proviennent pas de ses stocks.
Dans cette veine, l'industrie pharmaceutique veut nous interdire les plantes médicinales et interdire les médecines traditionnelles.
Elle se permet même d'ignorer des médicaments dont elle ne pourrait aucun profit.
A mon avis, nous devrions exiger de nos médecins que des génériques lorsque cela est possible !

(source : Les moutons enragés en ligne)

Découverte d’un traitement anticancer simple, mais qui n’intéresse pas les lobbies pharmaceutiques. Publié : le 10/07/2011 par voltigeur dans Découvertes/sciences

EDMONTON, CANADA, 14 mai 2011/Informations/ – Des scientifiques Canadiens ont testé le dicholoroacétate (DCA) sur des cellules humaines ; ce dernier a tué des cellules cancéreuses du poumon, du sein et du cerveau sans endommager les cellules saines.
Il fut testé sur des rats affectés de tumeurs sévères, ces dernières se résorbèrent dès qu’elles furent alimentées avec de l’eau additionnée de DCA.
Ce médicament est largement disponible et facile à utiliser, alors pourquoi les grandes entreprises pharmaceutiques ne sont-elles pas impliquées ?
Et pourquoi les médias ne s’intéressent-ils pas à cette découverte ?
Les entreprises pharmaceutiques ne sont pas intéressées par cette recherche contre le cancer car la méthode DCA ne peut pas être brevetée.
Les chercheurs de l’université d’Alberta à Edmonton au Canada ont soigné des cancers, cependant il n’y eut qu’un faible écho médiatique.
C’est une technique simple qui utilise un médicament très basique.
La méthode utilise du dichloroacétate, qui est utilisé jusqu’à présent pour traiter des désordres métaboliques. Il n’y a donc aucun risque d’effets secondaires sur le long terme.
Ce médicament n’a pas besoin d’être breveté, il peut donc être employé à grande échelle et à bas cout comparés aux médicaments très onéreux développés par les grandes compagnies pharmaceutiques.
Dans le corps humain, il y a une arme anticancer naturelle, la mitochondrie, la centrale énergétique naturelle des cellules, elle doit cependant être stimulée pour fonctionner.
Les scientifiques pensaient que lorsque les mitochondries des cellules étaient endommagées elles ne pouvaient plus avoir d’effet contre le cancer.
Ils se sont donc focalisés sur la glycolyse qui est une approche moins efficace pour traiter le cancer et plus onéreuse.
Les fabricants de médicaments ont focalisé sur cette méthode de glycolyse pour combattre le cancer.
Le DCA ne remplace cependant pas la glycolyse par la mitochondrie, elle stimule la mitochondrie qui a son tour combat les cellules cancéreuses.
Un effet de bord induit par cette technique pourrait également réactiver un processus appelé apoptose.
La mitochondrie possède en effet un important système d’autodestruction qui ne peut plus être activé par les cellules cancéreuses.
Sans ce dernier, les tumeurs grossissent puisque les cellules refusent de mourir. La mitochondrie est complètement réactivée grâce au DCA, la cellule peut à nouveau mourir.
La glycolyse étant stoppée, le corps produit moins d’acide lactique, en conséquence le tissu endommagé autour des cellules cancéreuses ne se décompose pas et ne propage pas de nouvelles tumeurs.
Les sociétés pharmaceutiques n’investissent pas dans cette recherche car la méthode DCA ne peut être brevetée, sans brevets elles ne peuvent pas gagner d’argent comme elles peuvent le faire avec ceux qui ont été déposés autour du SIDA.
Puisque les sociétés pharmaceutiques ne développent pas cette méthode, l’article dit que des laboratoires indépendants devraient commencer à produire ces médicaments et continuer les recherche pour confirmer les résultats ci-dessus.
Tout le travail de base peut être réalisé en collaboration avec les universités, qui seront heureuses d’aider à une telle recherche pour développer un traitement efficace contre le cancer.
Vous pouvez accéder à la source de cette recherche ici :
http://www.dca.med.ualberta.ca/Home/index.cfm
Les dernières mises à jour des tests cliniques peuvent être consultées ici -http://www.medicorcancer.com/dca-data.html
Les dernières informations sur les recherches DCA -http://www.dca.med.ualberta.ca/Home/Updates/2010-05-12_Update.cfm
Les résultats de l’université d’Alberta sont encourageants et justifient des tests cliniques avec le DCA plus larges. L’équipe de recherche espère obtenir de nouveaux financements pour continuer les test en cours avec le DCA à l’université d’Alberta.
Lien : http://nutritiondietnews.com/?p=3757
Source surface-libre partagé avec Jo de noxmail.us et webinfos

En attendant, les spéculateurs accélérent le pillages des pays endettés avant de s'attaquer à la Grèce, à l'Espagne, au Portugal.

(source : France 24)

10/01/2008
"Les fonds "Vautours"
Enquête sur ces fonds spéculatifs spécialisés dans le rachat des dettes du tiers-monde à bas prix. Leur dernière victime est le Congo-Brazzaville, mais ils comptent à leur actif une quarantaine de victimes. Ces prédateurs sont les fonds vautours. Ce sont des fonds d’investissement spéculatifs qui tiennent leur surnom de leurs pratiques qui consistent à racheter à très bas prix des parts de la dette de pays du Sud et d’intenter ensuite des procès contre ces pays afin d’obtenir le paiement intégral de la valeur faciale des créances, intérêts compris. Les fonds vautours se sont d’abord développés aux Etats-Unis. Ils sont toujours aujourd’hui majoritairement d’origine anglo-saxonne : Debt Advisory International, Donegal International Elliott Associates L.P., FG Hemisphere, Kensington International Ltd…
Les actions des fonds vautours sont comparables à des extorsions de fonds sur les économies des pays pauvres tout en restant tout à fait légales. Selon le FMI, ils auraient extorqués deux milliards de dollars. En effet, dans l’état actuel du droit international, il n’existe aucun obstacle à ce que les fonds vautours obtiennent gain de cause devant certains tribunaux (principalement anglo-saxons).
En 2005, le fond Kensington a porté plainte contre le Congo-Brazzaville devant une cour londonienne : il accusait la SNPC (entreprise nationale qui commercialise le pétrole congolais) d’avoir cherché à détourner des revenus du pétrole pour le bénéfice d’importantes personnalités publiques congolaises tout en empêchant les créanciers légitimes de saisir soit le pétrole soit les revenus du pétrole. D’après le conseiller spécial du président Sassou n’Guesso, le fond avait racheté une dette du Congo de 32 millions $ pour 1,5 millions et après procédures judiciaires demandait 300 millions de dollars !
Mais le cas du Congo est assez complexe. C’est le pays contre lequel existent le plus grand nombre de plaintes de créanciers commerciaux. Les procès intentés par les fonds vautours ont permis de mettre à jour le détournement de centaines de millions de pétrodollars par les dirigeants congolais du régime de Denis Sassou Nguesso.
Au Congo, le pétrole contribue à 67% du PNB et représente 90% des recettes provenant des exportations.Denis Gokana (autre conseiller spécial du président Sassou Nguesso) dirige à la fois la SNPC et plusieurs entreprises privées dont AOGC (Africa Oil and Gas Corporation), Sphinx Bermuda Ltd et Sphinx UK Ltd,.Ce montage de sociétés, toutes basées dans des paradis fiscaux tels que les Bermudes ou les Iles Vierges Britanniques, avait pour objectif d’empêcher les saisies de pétrole.
Aux Etats-Unis, un autre jugement a donné raison à Kensington au détriment de la SNPC et autorisé le fonds vautour à saisir les cargaisons et recettes pétrolières congolaises présentes sur le sol américain. En réaction, la SNPC a interrompu en mars 2007 ses exportations pétrolières vers les Etats-Unis.
Les différentes cours ont donné le droit à Elliott Associates (qui détient Kensington) de tripler le montant de ses réclamations, selon la législation RICO. Législation qui a connu des modifications sous l’administration Bush pour faciliter les procès des fonds vautour. Car le PDG d’Elliott, Paul E. Singer, a été le plus important donateur de la campagne Bush en 2001 et est, aujourd’hui, le conseiller de la campagne de Rudolph Giuliani (ex-maire de New-York) pour la Maison Blanche. Ce qui lui permet de faire du lobbying.
De son côté, le Président Sassou Nguesso justifie l’opacité de la gestion du pétrole par la menace et la pression exercée par les créanciers commerciaux, alors que les fonds vautours estiment au contraire qu’ils contribuent à révéler la corruption au Congo. Corruption qu’ils ont aidé à dénoncer en fournissant des informations à des ONG comme Global Witness, qui luttent contre la corruption dans le monde et qui ne prêtent pas toujours une grande attention à la source du renseignement. Certaines ONG peuvent ainsi être victime d’une campagne de désinformation.
Alors qu’en décembre 2004, le Congo avait bénéficié d’allègements, la dette était restée en 2005 à un niveau jugé insoutenable. Aujourd’hui, après avoir atteint en mars 2006 le point de décision de l’initiative PPTE, le Congo a contracté deux prêts de 552 millions de dollars et de 32 millions de dollars auprès de la Chine.
De leur côté, les ONG ont l’ambition de créer un tribunal international de la faillite afin de protéger les économies des pays en faillite et faire en sorte que ces pays n’aient pas à financer des fonds sans scrupule.
En attendant qui gagnera la bataille entre les fonds et les pays pauvres ? A qui le Congo devra-t-il payer… s’il doit payer ? Ce qui est sûr c’est que les peuples seront toujours les vrais perdants."
A bientôt.
René.

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