Salut, aujourd'hui, dans ma campagne profonde, j'ai branché la lifebox. Donc, vous aurez droit à un texte. Dommage pour vous !
Alors, il parait que la tourbe russe brûle. Souvenez-vous, la tourbe de la jungle de Bornéo en Indonésie brûle depuis deux ou trois ans et personne n'a jamais réussi à l'éteindre. Et, vu le peu de moyens mis en place, elle risque encore de cramer encore des années.
Alors, la russe, je ne vous dis pas.
A mon avis, ils ont dû l'arroser à la vodka.
Ah, ces russes, toujours à faire des trucs pas possible pour se faire remarquer !
En tout cas, non seulement, ils vont se payer des maladies pulmonaires, mais, en plus, il vont nous refaire le coup du nuage de Tchernobyl qui va s'arrêter à la limite de la zone aérienne Française.
D'ailleurs, un article du journal Libération pose cette question drastiquement essentielle, "Sommes-nous ou ne sommes-nous pas au début d'un cycle ?"
Perso, je rajouterais, "Est-ce que la nature ne va pas corriger notre courbe démographique que nous refusons de considérer comme la source du mal ?"
"2010, le monde oppressé par le temps
Les six premiers mois de l’année ont été les plus chauds depuis plus d’un siècle, mais il est trop tôt pour relier les violentes moussons asiatiques et la canicule russe au réchauffement climatique.
Par SYLVESTRE HUET
Inondations au Pakistan, le 11 août. (REUTERS)
Le climat planétaire se réchauffe et produit des événements extrêmes comme la canicule russe et une mousson dévastatrice en Asie (Pakistan, Inde, Chine), démontrant une nouvelle fois, et de manière dramatique, la vulnérabilité des sociétés humaines devant les colères de dame Nature. A croire que le ciel participe au complot dénoncé par Claude Allègre.
Les signes de la poursuite du réchauffement engagé depuis un demi-siècle sont nombreux. La température moyenne de la planète montre, selon les relevés et analyses de l’équipe de James Hansen au Goddard Institute for Space Studies (Nasa), que les six premiers mois de l’année 2010 détiennent le record de chaleur depuis cent trente ans. La hausse du niveau marin global, mesuré par satellite depuis 1992 avec une précision diabolique, se poursuit inexorablement. En cause ? La dilatation des eaux de surface du fait de leur réchauffement et la fonte des glaciers continentaux (montagnes et calottes polaires). La banquise arctique va, pour la quatrième année consécutive, passer sous la barre des 4 millions de km2 d’ici quelques jours. Alors qu’elle n’était jamais descendue sous cette limite entre 1978 et 2006, la période où nous disposons d’observations quotidiennes par satellites. Or, insiste Bernard Legras, chercheur au Laboratoire de météorologie dynamique, «nous ne sommes qu’au tout début du changement climatique provoqué par nos émissions de gaz à effet de serre. Il va s’amplifier de manière considérable».
Catastrophes en série : La faute au réchauffement ?
Prudent et pédagogue, Bernard Legras souligne qu’il est encore très difficile «d’attribuer tel ou tel événement, surtout extrême, au changement en cours. D’ici quinze ou vingt ans, cela deviendra évident»."
En somme, il nous dit, "Intéressant, mais, pas significatif".
Sauf, que si on attend vingt ans pour être sûr du constat. Il sera trop tard.
A mon avis, nous sommes déjà sur la corde de l'acrobate. C'est un peu comme si, nous étions certains que la corde allait casser et que nous attendions comme des neus-neus qu'elle casse.
Bon, vous me direz que comme je suis membre fondateur des compagnons du coquelicot qui militent pour la disparition de l'espèce humaine pour sauver la biodiversité, vous devez vous demander, "Qu'est-ce que ça peut me faire ?"
Sauf que, sauf que, mes trois chers lecteurs, j'ai trop pitié de vous.
Sans compter que j'ai le temps, vu que mon parti ne deviendra majoritaire que dans trois millions d'années.
Et, que je deviendrais, le dictateur du néant ou du rien, au choix.
A part que il faille considérer que du néant peut naître quelque chose et que du rien, seul le vide perdure.
Ah, mon dieu, la France, qu'elle serait belle, si, il n'y avait autant de gros cons.
Bon, vous me direz que là, je vise directement le gouvernement. Eh, bien vous, vous fourrez le doigt dans l'oeil. Vous faîtes une erreur d'interprétation entre le néant, le rien et le vide.
Ah, là, là, la sémantique, je vous dis pas, c'est catastrophiquement d'une incommensurabilité nauséabonde.
En fait, tout bêtement, je pensais à ces gens bien pensants qui ne songent qu'à accumuler sans se préoccuper de la misère ambiante. Je parle de cette nouvelle aristocratie qui se développe plus vite que la mauvaise herbe à travers le monde.
Cette nouvelle classe prédatrice qui n'en a rien à foutre de nous et de l'environnement.
Ah, mes chers trois lecteurs, "Quand allons-nous dresser à nouveau les guillotines sur les places de France et d'ailleurs ?
Mais, attention, l'injonction écologique ne doit en aucun cas devenir une pensée, sinon unique, du moins totalitaire.
En tout cas, je salue l'initiative de quelques milliardaires américains qui ont décidé de faire bénéficier la moitié de leur fortune à des ONG caritatives.
C'est pas en France que l'on verrait ça, tellement nos petits franchouillards sont attachés viscéralement à leur patrimoine.
Eux, ils pensent plutôt à éviter de payer leur impôt avec l'aval de membre du gouvernement.
Mais, passons !
Car, aujourd'hui, je vais vous parler un peu de mon histoire que je considère à la croisée de l'histoire avec un grand H.
De part ma mère, je suis kanak, originaire de l'île de Lifou en Nouvelle Calédonie. Ma mère est de son nom kanak, wanyamala, princesse d'une des grandes chefferies de l'île de Lifou.
Mes ancêtres avaient une silhouette filiforme et dotés de deux paires de seins.
Ils accueillirent les hommes sur la terre de Lifou et se marièrent à trois femmes qui donnèrent naissance aux trois grandes chefferies de Lifou. Ma famille, les wanyamala est considérée coutumièrement comme la plus sacrée.
Ma mère dont le père travaillait pour un riche colon fut adopté par ceux-ci, les Calimbre, à la mort de leur fils unique, tué quinze jours avant l'armistice de 14-18.
Elle fut élève de l'école catholique de Nouméa, à l'époque ou les gendarmes chassaient les kanak de la grande terre à coup de fouet pour les donner aux colons.
Ca, c'est du côté de ma mère.
Du côté de mon père, les Guiart ou Wiart (dur comme la pierre en germain) descendaient de la tribu franque qui à refusé le partage du butin du pillage de Soissons à Clovis.
A l'époque chez les francs, il n'y avait pas de roi.
Pour une campagne militaire, le chef le plus capable était désigné pour la mener.
Le butin était partagé à part égal entre chaque tribu.
A Soissons, Clovis s'est arrogé la part principal provoquant la colère du chef de la tribu des wiarts qui dénonça les termes du partage.
Les membres de la tribu furent condamner à devenir paysans dans le Val de Marne.
Aujourd'hui, on les retrouve sous le nom de Guiart, Guiard. Les guillard avec deux LL ou avec un Y, par contre sont d'origine celte.
Alors, mes trois chers lecteurs, vous, vous rendez compte que vos livres d'histoire vous ont raconté des craques. Que l'histoire est de toute façon réécrite par ceux qui détiennent le pouvoir.
Vous, vous imaginez, cela fait tellement longtemps que l'on nous prend pour des imbéciles ?
Alors, ne pensez-vous pas qu'il est temps que cela s'arrête ?
Qu'il faille arrêter d'avaler les manipulations médiatiques que nous envoient en messages subliminaux nos grands capitaines d'industries qui ont rachetés tous les médias, sauf ceux qui s'inscrivent sur le net pour pouvoir exister ?
Dîtes-moi, mes trois chers lecteurs, êtes-vous sûr de contrôler votre libre arbitre ?
Faîtes-vous une opinion sur la rumeur publique ou celles que véhiculent les médias ?
Et, même, cherchez-vous seulement à vous faire une opinion ?
N'oubliez pas, la liberté est celle que vous vous forgez !
Et, sur cette pensée profonde, mais, d'un délire absolu, car, au moins, vous me l'accorderez, " Qui peut se vanter d'être libre en ce monde" Sur ce, je vous laisse à vos réflexions profondes.
Et, si, vous êtes milliardaires, n'oubliez pas les mères célibataires qui font manger des pattes le quinze du mois à leurs enfants, faute d'argent.
A bientôt.
René.
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