mardi 2 juin 2009

Salut aux oiseaux migrateurs, l'espace aérien vous est ouvert.

D'abord un bonjour à un pote lointain, André Furtado, actuellement professeur d'économie à l'université de Rio de Janeiro.
Ensuite, je n'ai pas vraiment le temps d'écrire, à part pour quelques mots.
Donc, commençons par Barak Obama.
Je salue sa volonté de mettre Israël face à sa responsabilité concernant la paix au Moyen Orient.
En effet, il exige l'arrêt de la colonisation en Cisjordanie. Ce que refuse d'envisager l'actuel gouvernement israélien. Mais, comme je l'avais souligné dans un précédent texte, un état palestinien indépendant ne peut se résumer à une succession de cités états sans territoire autour.
Autrement, cela signifie qu'Israël nourrit les ferments du conflit.
Il faut, non seulement que la colonisation s'arrête, mais, qu'en plus, les colonies actuelles doivent être évacuées pour rendre aux palestiniens un état gérable.
Qu'Obama ait déjà fait un premier geste, je dis bravo !
De toute façon, Israël le sait bien, la paix aura un prix. Alors, il faut mieux s'y prendre plus tôt que trop tard lorsque les opinions occidentales se seront retournées contre la politique israélienne.
Sauf que pour ce faire, le chemin est encore semé d'embûches.
Voilà donc pour Obama et en définitive, c'est tout ce que je vais écrire.
Cependant, je vous rappelle que la planète est en danger et que tous ces conflits auront piètre allure quand le changement climatique va nous rendre fou.
A bientôt.
René.

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