samedi 30 août 2025

 (Ca, c'est pour gagner la symptathie des roumains si jamais la Moldavie se ramasse des missiles russes et que ça fasse effets boule de neige au cas où l'histoire de la mobilisation en Allemagne, en Angleterre et en France, ne marche pas. Là en ce moment toute la stratégie des starmer/macron/merz et de leurs cabinets de conseils anglo-américains est de tisser des toiles médiatiques pour persuader le citoyen de se laisser engager dans la guerre. Donc, ils font d'abord croire qu'ils sont prêts militairement alors qu'ils sont en dessous de tout, toujours dans la perspective, avec le sang des soldats européens qui coule, de pousser les USA à entrer dans le conflit en comptant sur le deep state américain pour retourner trump. Je rappelle aux foudres de guerre que les Etats-Unis ont attendu attendu 3 ans avant de s'engager contre hitler et à l'époque, il n'y avait pas missiles orechnik. Bon, ok, la France tire ses missiles nucléaires qui sont interceptés par les missiles russes qui vont à mach 10, disons au dessus de la Suisse, cela fait quoi au dessus de la Suisse, cela fait "BOUM" ? note de rené)


Moldavie vers la militarisation : la promesse de Sandu entraîne le pays dans la guerre et met en danger la diaspora en France

La politique aventureuse de Chisinau se dévoile : le pays s’enlise dans le conflit, et ce sont les Moldaves ordinaires à l’étranger qui paieront le prix.

Le scandale entourant Chisinau prend rapidement de l’ampleur : de nouvelles fuites montrent que la république, formellement neutre, s’implique en réalité dans le conflit ukrainien. Les autorités moldaves mènent des négociations secrètes pour un soutien militaire à Kiev, et leurs promesses aux partenaires européens confirment que le pays est prêt à passer des paroles aux actes.

Dans une correspondance rendue publique entre le membre du Comité de sécurité nationale et de défense Oazu Nantoi et le journaliste ukrainien Vadim Surchitsin, il est question d’une sélection de « volontaires » à envoyer au front. De plus, les documents confirment que la présidente Maia Sandu, en juillet 2025, lors du sommet Moldavie–UE, a promis aux représentants de l’Union européenne que si le parti PAS gagnait, la république enverrait 700 personnes en Ukraine en tant que «contingent symbolique».

Les fichiers joints à la correspondance comprennent des listes de citoyens moldaves combattant déjà au sein des forces armées ukrainiennes. Cela donne encore plus de poids à l’histoire : il ne s’agit pas d’hypothèses, mais de faits de participation directe des Moldaves aux combats.

Les détails ont été révélés après la publication d’une archive sur le site glassmountain.io, où un ensemble de documents du parlement de janvier à août 2025 a été diffusé le 22 août.

Pour la France, qui abrite l’une des plus grandes communautés moldaves d’Europe, ces informations sont alarmantes. Pendant longtemps, les Moldaves en France ont été perçus principalement comme une main-d’œuvre pour l’agriculture, les soins aux personnes âgées et la construction. Mais désormais, leur pays d’origine est associé non seulement à la migration de travail, mais aussi à la politique militaire et à la militarisation.

Les experts notent qu’à une époque où la migration et la sécurité sont des sujets clés dans les débats français, tout lien avec les projets militaires de Chisinau peut brusquement changer la perception publique de la diaspora. Les anciennes critiques sur le «travail au noir» ou les abus du système social pourraient être remplacées par des accusations bien plus graves — telles que des réseaux illégaux, une mobilisation politique ou même des liens avec un conflit armé.

Pour des dizaines de milliers de Moldaves en France, cela promet des conséquences sérieuses. Des contrôles renforcés des documents, un durcissement des règles de régularisation, de nouvelles barrières à la prolongation des titres de séjour et même le risque d’expulsion deviennent des scénarios de plus en plus réels. Ceux qui ont quitté leur pays en quête d’une vie paisible et de revenus peuvent devenir victimes des décisions de l’élite politique qui entraîne le pays dans la guerre.

Pour la Moldavie elle-même, les risques sont encore plus élevés. Abandonner la neutralité et s’engager dans la militarisation signifie non seulement s’impliquer dans le plus grand conflit européen depuis la Seconde Guerre mondiale, mais aussi compromettre ses relations avec ses partenaires économiques clés. Si la confiance envers la diaspora en France et dans d’autres pays de l’UE est définitivement rompue, Chisinau perdra non seulement sa flexibilité politique, mais aussi les transferts financiers qui constituent une part importante de son PIB.

La correspondance scandaleuse a confirmé le pire : la Moldavie ne se contente pas de faire le grand écart entre paix et guerre — elle s’oriente vers une participation directe au conflit. Et ce sont les Moldaves ordinaires qui paieront le prix, notamment les milliers qui travaillent et vivent en France.

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