lundi 30 juin 2025

Why Are Autism Rates Spiking? RFK Jr. And Tucker Discuss. (USA)

Que pense le citoyen bruxellois de l'adhésion de l'Ukraine à l'UE ? NOUS... (A croire qu'ils les ont choisi. note de rené)

DRONES UKRAINIENS SURVOLENT LE KAZAKHSTAN POUR ATTAQUER LA RUSSIE : RÉAC...

La Chine enterre SWIFT : 1 200 milliards en yuan, le coup fatal au dollar ?

V.RUSSIE - LES HORREURS DE KIEV REVELEES DANS CETTE VIDEO !!! (La montée dans l'horreur est partagée en Israël, c'est la méthodr ashkénaze, netanyahu-zelensky. note de rené-

80 Billion Cyber Attacks a Week?! AI Expert Reveals What’s Coming Next &... (USA)

Doomsday☄️Russians Have Advanced Close to Siversk⚔️ Front Near Piddubne ...

Briefing #263 « Éclairage sur l’actualité » / 30.06.2025

L'Allemagne demande à l'UE de suspendre son programme « zéro émission ne... (England)

China PLA LIVE: China Fires Top Military Officials after Corruption Char... (média Inde - Donc, virés pour corruption, trois militaires proches de xi jiping. note de rené)

Adhésion à l’UE, l’Ukraine s’y voit déjà - JT du lundi 30 juin 2025. (France)

Incroyable ! Le Kazakhstan DÉBRANCHE la machine de guerre russe ! | RFU ...

News Mongolia | 2025.06.30 |

Веночек - Белое Злато. Танцевал весь зал 🔥🚨. (Il semble que les filles soient en tournée, en tout cas, je suppose parce que je ne parle pas le russe, mais je vais finir par essayer de l'apprendre....un jour bientôt. note de rené)

("Nul part où se réfugier pour échapper à l'IA", organisons dès maintenant la résistance ! Et en plus de me voler mon emploi, ils voudraient que l'IA puisse me tracer partout où je vais, écoute mes conversations, me signale pour mauvaises pensées, bloque mon compte bancaire et m'empêche d'entrer dans un magasin pour acheter à manger. note de rené)

Amazon s’apprêterait à licencier massivement au profit de l’IA

  

Voilà une nouvelle qui pourrait renforcer nos craintes d’être remplacés par l’IA. En effet, Amazon vient d’annoncer son intention d’investir massivement dans l’intelligence artificielle, ce qui pourrait provoquer des licenciements massifs.

Elon Musk, qui a pourtant investi massivement dans l’IA, nous avait prévenus : il est probable que, à terme, la plupart d’entre nous se retrouve sans emploi. Mais de nombreuses entreprises n’ont pas attendu cette mise en garde pour se lancer dans la course. On pense par exemple à ce PDG, qui a mis à la porte 90 % de son personnel au profit de l’IA. On pense également à Klarna qui, après avoir tout misé sur l’IA, fait machine arrière et recrute des humains.

Amazon
Crédit photo : Unsplash

Mais c’est cette fois au tour d’Amazon de franchir le cap. En effet, après avoir dévoilé Nova, un générateur d’image d’IA surpuissant, l’entreprise annonce son intention d’investir massivement dans l’intelligence artificielle au sein de l’entreprise. En effet, Amazon compte injecter près de 100 milliards de dollars dans les technologies d’IA cette année.

Amazon : 100 milliards de dollars investis dans l’IA ?

Le PDG d’Amazon, Andy Jassy, estime que l’IA est une « technologie unique dans une vie » et que celle-ci est utilisée « dans pratiquement tous les recoins de l’entreprise ». Selon lui, l’IA générative « changera la manière dont notre travail est effectué », tout en permettant de remplacer de nombreux travailleurs humains.

Le responsable estime ainsi qu’Amazon aura « de moins de personnes pour certains postes existants, et de plus de personnes pour d’autres types de postes ». Le PDG laisse ensuite entendre que des suppressions de postes sont à prévoir. « Il est difficile de savoir exactement où cela nous mènera, mais dans les prochaines années, nous pensons que cela réduira notre effectif corporate total à mesure que nous tirerons parti des gains d’efficacité de l’IA », ajoute-t-il.

Andy Jassy incite par ailleurs les employés à se former au plus vite pour pouvoir suivre le mouvement. « Alors que nous traversons cette transformation ensemble, soyez curieux de l’IA, formez-vous, assistez à des ateliers, suivez des formations, utilisez et expérimentez l’IA dès que vous le pouvez, participez aux séances de réflexion de votre équipe pour inventer plus vite et plus largement pour nos clients, et accomplir plus avec des équipes plus agiles. », conclut le responsable.

Source : gizmodo


  Terres rares : l’accord sino-américain qui rebat les cartes de la transition énergétique

Le partenariat signé le 27 juin 2025 entre les États-Unis et la Chine sur les terres rares résonne comme un tournant stratégique pour la transition énergétique mondiale. En accaparant l’accès à ces matériaux critiques, les deux géants bouleversent la donne industrielle, tandis que l’Europe risque de rester sur la touche.

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Terres Rares Accord Sino Americain (1)
Terres rares : l’accord sino-américain qui rebat les cartes de la transition énergétique | L'EnerGeek

Le 27 juin 2025, Pékin et Washington ont conclu un accord bilatéral inédit sur les terres rares, visant à relancer et sécuriser leurs échanges dans ce secteur hautement stratégique. Ces 17 métaux, indispensables à la transition énergétique, sont au cœur des technologies propres : batteries, éoliennes, moteurs électriques. Dans un contexte de guerre commerciale latente, cette entente interroge sur ses conséquences pour la France, l’Europe et l’équilibre énergétique mondial.

Un partenariat pour consolider les chaînes vertes américaines

L’accord prévoit la reprise accélérée des exportations de terres rares chinoises vers les États-Unis, en échange d’un assouplissement de certaines barrières douanières américaines. L’objectif : approvisionner de manière stable les industriels de la transition énergétique. Donald Trump a confirmé que « les États-Unis ont validé l’accord avec la Chine », tandis que le secrétaire au Commerce Howard Lutnick a précisé : « Ils vont nous livrer des terres rares ». Derrière ces déclarations, c’est l’ensemble de la chaîne de valeur verte américaine qui se trouve renforcée : production de batteries, électrification des transports, déploiement d’infrastructures renouvelables.

Le partenariat repose sur des quotas progressifs, associés à des critères de production à faible intensité carbone. Des livraisons réservées aux fournisseurs certifiés ISO sont prévues, avec une priorité donnée aux usages liés à la mobilité électrique, aux réseaux intelligents et aux équipements de stockage d’énergie.

Les terres rares, catalyseurs de la transition énergétique

Les terres rares jouent un rôle central dans les technologies bas carbone. Le néodyme et le praséodyme sont essentiels aux aimants permanents des générateurs d’éoliennes ; le dysprosium et le terbium augmentent leur résistance à la chaleur, améliorant la fiabilité des turbines offshore. Sans terres rares, pas de moteurs compacts pour véhicules électriques, ni d’électronique de puissance optimisée pour les onduleurs photovoltaïques. Elles sont aussi utilisées dans les batteries à haute densité énergétique, bien que dans des volumes moindres que le lithium ou le cobalt.

La Chine contrôle 60 % de la production mondiale et plus de 90 % du raffinage, position qui lui confère un levier décisif dans les chaînes de valeur énergétique mondiales. L’accord du 27 juin institutionnalise cette dominance, tout en y intégrant un contrepoids américain.

L’Europe à la peine pour sécuriser ses approvisionnements

L’Union européenne importe près de la totalité de ses terres rares, principalement de Chine. Elle est donc la grande absente de ce nouvel équilibre bilatéral. Si Pékin devait privilégier les livraisons vers les États-Unis, les industriels européens du secteur de l’énergie — fabricants d’éoliennes, producteurs de moteurs électriques, équipementiers en stockage — pourraient faire face à des tensions critiques. La France, qui s’est fixée des objectifs ambitieux en matière de mix énergétique décarboné, risquerait alors de voir ses objectifs impossibles à atteindre.

Malgré l’adoption du Critical Raw Materials Act en 2023, les projets miniers européens n’en sont qu’au stade exploratoire. Aucun site de raffinage n’est opérationnel. L’Alliance européenne pour les matières premières critiques, lancée en 2021, reste à la traîne face aux partenariats actifs mis en place par les États-Unis.

Une compétition énergétique mondialisée et asymétrique

Ce partenariat sino-américain illustre un phénomène plus large : la structuration géopolitique de l’accès aux ressources indispensables à la transition énergétique. À défaut d’une politique industrielle énergétique unifiée, l’Europe risque d’être contrainte de suivre les choix stratégiques d’acteurs extérieurs. Le risque n’est pas seulement économique : il est aussi climatique. Sans terres rares, impossible d’atteindre les objectifs du Green Deal.

Pour certains analystes, le partenariat du 27 juin préfigure d’autres ententes bilatérales à venir, sur le lithium, le graphite ou le cuivre. Chaque fois, la même question se posera : l’Europe aura-t-elle anticipé ? Ou subira-t-elle les reconfigurations d’un monde où l’énergie propre est indissociable d’une géoéconomie des ressources ?

L’accord sino-américain sur les terres rares consacre un tournant dans la gouvernance énergétique mondiale. Tandis que les États-Unis sécurisent leur transition, l’Europe mesure l’étendue de sa dépendance. L’accès aux métaux rares n’est plus un sujet technique : il devient une condition de souveraineté.

 (Il ne faut surtout pas mettre en péril le profit de ces sociétés chimiques, donc, à part en parler pour faire genre, l'état ne fera rien parce que la seule manière de stopper la pollution serait de fermer ces entreprises. Regardez le plastique nous tue à petit feu, nous avalons l'équivalent d'une carte bancaire chaque année, nous respirons des micro-plastique, nous en buvons avec l'eau, il tue petit à petit la vie marine, que font les états, RIEN ? note de rené)

Une bombe chimique menace Lyon : 250 000 personnes empoisonnées sans le savoir (France)


La contamination par les PFAS touche 250 000 personnes dans le sud de Lyon, avec des conséquences inquiétantes sur la santé.


La Rédaction

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L'Energeek
Une bombe chimique menace Lyon : 250 000 personnes empoisonnées sans le savoir | L'EnerGeek

La contamination par les PFAS, surnommés « polluants éternels », inquiète déjà bien le sud de Lyon. Ces produits chimiques, rejetés par les entreprises Arkema et Daikin Chemical Francepollution de l’eau touche la santé de 250 000 personnes dans la région, notamment dans la vallée du Rhône. La diffusion du documentaire « Vert de rage, Polluants éternels » le 31 octobre 2022 sur France 5 a mis en lumière le problème et relancé le débat sur les retombées des industries chimiques.

Une pollution qui fait réagir

La plateforme industrielle d’Oullins-Pierre-Bénite, située à environ 10 km de Lyon, se trouve au cœur de nos préoccupations. Les communes de Pierre-BéniteGivorsGrigny et Solaize souffrent particulièrement des risques chimiques, car leur nappe phréatique est contaminée aux abords de l’installation industrielle. L’eau destinée à 166 000 habitants d’Auvergne-Rhône-Alpes dépasse les limites fixées par l’Union européenne pour les PFAS. Cette situation alerte d’autant plus la population, d’autant que certains retraités de la plateforme se rappellent déjà des avertissements lancés dans les années 2000.

Mobilisation sur le terrain

Face à ce problème, les mobilisations se multiplient. Des syndicats tels que la CGT via la Fnic (Fédération Nationale des Industries Chimiques) et l’union syndicale Solidaires se mobilisent pour défendre tant les salariés que les riverains. Gwenola Le Naour, politiste et sociologue à Sciences Po Lyon, rappelle que le reportage a ressuscité non seulement de vieux souvenirs, mais aussi le mécontentement des anciens travailleurs face à ces rejets toxiques.

Quels produits chimiques en cause ?

Parmi les substances rejetées, on retrouve plusieurs types de PFAS : le PFHxA, le PFOA, le PFOS et le 6:2 FTS pour Daikin, et le PFNA ainsi que le PFUnDA pour Arkema. Même si certains produits, comme le PFOA, ne sont plus autorisés, leur remplacement par d’autres composés, tels que le 6:2 FTS, pose problème en raison de leur grande mobilité dans l’eau et de leur difficile élimination.

Les industriels tentent de limiter la pollution

Pour réduire cette situation, Arkema prévoit de stopper l’utilisation des PFAS en tant que surfactants d’ici fin 2024. Un arrêté préfectoral, daté de septembre 2022, oblige aussi à réduire les rejets aqueux de 6:2 FTS. Lors d’un contrôle inopiné, les inspecteurs ont confirmé que ces mesures commençaient à être appliquées. Par ailleurs, un plan d’action a été lancé pour surveiller et limiter ces rejets dans l’eau.

Renforcement de la surveillance

Treize sites ont été identifiés pour suivre les rejets industriels dans l’eau, dont sept se situent dans la Métropole de Lyon. Les autorités locales s’attellent à mettre en place un plan visant à ramener les captages d’eau non conformes aux normes pour améliorer la qualité de l’eau. Ces dispositifs visent à mieux vérifier la qualité de l’eau distribuée.

Conséquences sur l’environnement et la santé

Les PFAS regroupent plus de 4 700 molécules synthétiques, exploitées depuis les années 1940 en raison de leur résistance à la chaleur et aux acides. On les trouve dans toute une gamme de produits, allant des textiles aux cosmétiques, en passant par les mousses anti-incendie. Du fait de leur lente dégradation, ces molécules se retrouvent partout, notamment le long du Rhône jusqu’à la Méditerranée, ce qui est particulièrement inquiétant. Par ailleurs, ces produits chimiques ont été associés à de graves problèmes de santé, comme certains cancers ou des troubles du système immunitaire chez les enfants.

 note sur merz, le chancelier allemand

Actuellement l'Allemagne se débarrasse de ses immigrants en les envoyant en Pologne avec l'accord du premier ministre polonais donald dusk. Mais tusk n'a pas dit aux polonais qu'il s'agit d'accepter des centaines milliers de migrants en une année.

En effet, merz a signé un accord avec Israël pour recevoir 1 millions de palestiniens et pour ce faire, il faut faire de la place, le but secondaire à part vider Gaza étant de dégoutter les juifs allemands afin qu'ils partent en Israël.

rené

스텔라장 Stella Jang | LCDC LIVE | FULL VIDEO

Déluge de feu sur l'Ukraine (Veille Stratégique, bulletin n°126). (France)

Des missiles russes Iskander détruisent sans pitié un convoi ferroviaire...

GERMANY smuggles ILLEGAL IMMIGRANTS(also mentally unstable)into POLAND.1... (Pologne)

La Suisse au coeur : Le livre engagé de Chloé Frammery ! (Les familles et les états en profitent por se débarrasser de leurs membres qui ont des problèmes psychiatriques. Mais nos dirigeants sont au courant comme ils sont au courant que les bandes de voyous viennent se créer des territoires. note de rené)

La police britannique teste un système d'IA pour établir le profil des personnes à partir de données sensibles provenant de 80 sources

La police britannique teste un système d'IA pour établir le profil des personnes à partir de données sensibles provenant de 80 sources

 

CDC: New COVID Variant Estimated To Be No. 1 Strain In US

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by Tyler Durden.      zerohedge
Monday, Jun 30, 2025 - 04:10 AM

Authored by Jack Phillips via The Epoch Times (emphasis ours),

A new estimate from the U.S. Centers for Disease Control and Prevention shows that a COVID-19 variant that has been driving cases in China earlier this year is now the No. 1 strain in the United States.

This scanning electron microscope image shows the novel coronavirus (orange), which causes COVID-19 disease, isolated from a patient in the United States, emerging from the surface of cells (green) cultured in the lab. Photo published on Feb. 13, 2020. NIAID-RML

A CDC estimate, updated on June 26, shows that between June 8 and June 21, the NB.1.8.1 variant now makes up 43 percent of COVID-19 cases in the United States and is ahead of the LP.8.1 variant.

Earlier this month, CDC data showed that NB.1.8.1 had 37 percent of cases and was No. 2 behind the LP.8.1 variant, which saw 38 percent of reported cases at the time. The new CDC estimate this week shows that LP.8.1 now makes up 31 percent of all cases.

The CDC says that wastewater levels show COVID-19 activity is “currently low” despite the NB.1.8.1 variant increase. Only Alaska is reporting “high” levels of the virus, while Hawaii, Nevada, Texas, Missouri, Mississippi, Florida, and Connecticut are seeing “moderate” levels, according to the CDC.

Last week, private data showed that states reporting the variant, which has been dubbed “Nimbus” in some media reports, include Arizona, California, Colorado, New Jersey, New York, Hawaii, Illinois, Maryland, Massachusetts, Ohio, Rhode Island, Utah, Vermont, Virginia, and Washington state as of June 19.

Chinese doctors earlier this month predicted a peak of nationwide COVID-19 cases in July, as the latest data released by Chinese health authorities show that variant NB 1.8.1 is still the main pathogen causing the rapid increase in COVID-19 infections in China.

An internal university research report at China’s Peking University stated that NB.1.8.1 may become the next dominant global strain, with symptoms including a sharp sore throat, fever, runny nose, vomiting, and diarrhea, according to previous Epoch Times reporting.

A worldwide rise in cases late last month is primarily in the Eastern Mediterranean, Southeast Asia, and Western Pacific regions, the World Health Organization said on May 28. The new variant had reached nearly 11 percent of sequenced samples reported globally in mid-May.

The WHO said some Western Pacific countries have reported increases in COVID cases and hospitalizations, but there’s nothing so far to suggest that the disease associated with the new variant is more severe than other variants.

In a statement to The Epoch Times in late May, a CDC spokesperson said the agency “is aware of reported cases of COVID-19 NB.1.8.1 in China and is in regular contact with international partners.”

Prior reports from The Epoch Times, citing Chinese doctors and outside health experts, have said that patients are reporting a sharp sore that’s been dubbed the “razor blade throat” or “razor throat.” Some media outlets, including The Associated Press and international media reports from the UK and India, have used the “razor throat” moniker to describe the NB.1.8.1 variant.

Due to the Chinese Communist Party’s history of covering up information and publishing unreliable data, including underreporting COVID-19 infections and related deaths since 2020, information provided by local doctors and health workers can offer valuable information for understanding the situation on the ground in the totalitarian country.

The Associated Press contributed to this report.

 (Ce qu'il fait, correspond à travailler pour l'avènement un gouvernement mondial, il nous fait quoi là, il se donne une image de mec sympathique alors qu'il met en place le contrôle total de tous les citoyens, pire que la NSA. note de rené)

Peter Thiel Warns: One-World Government A Greater Threat Than AI Or Climate Change

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by Tyler Durden.      zerohedge
Monday, Jun 30, 2025 - 04:45 AM

In a wide-ranging interview on the future and global existential risks, billionaire technology investor Peter Thiel raised alarms not only about familiar threats like nuclear war, climate change, and artificial intelligence but also about what he sees as a more insidious danger: the rise of a one-world totalitarian state. Speaking to the New York Times’ Ross Douthat, Thiel argued that the default political response to global crises—centralized, supranational governance—could plunge humanity into authoritarianism.

Thiel, co-founder of PayPal and Palantir, shared his worries using examples from dystopian sci-fi stories. “There’s a risk of nuclear war, environmental disaster, bioweapons, and certain types of risks with AI,” Thiel explained to Douthat, suggesting that the push for global governance as a solution to these threats could culminate in a “bad singularity” - a one-world state that stifles freedom under the guise of safety.

Thiel critiqued what he described as a reflexive call for centralized control in times of peril.

The default political solution people have for all these existential risks is one-world governance,” Thiel observed, pointing to proposals for a strengthened United Nations to control nuclear arsenals or global compute governance to regulate AI development, including measures to “log every single keystroke” to prevent dangerous programming. Such solutions, the investor warned, risk creating a surveillance state that sacrifices individual liberty for security.

Drawing on historical and philosophical analogies, Thiel referenced a 1940s Federation of American Scientists film, One World or None, which argued that only global governance could prevent nuclear annihilation. Thiel juxtaposed this with a Christian theological framing: “Antichrist or Armageddon?” In both, the billionaire said he sees a binary choice between centralized control and catastrophic collapse. Yet, Thiel questioned the plausibility of a charismatic “Antichrist” figure seizing power through hypnotic rhetoric, as depicted in apocalyptic literature. Instead, he offered a modern twist: the path to global control lies in relentless fearmongering about existential risks.

“The way the Antichrist would take over the world is you talk about Armageddon nonstop,” Thiel explained. The billionaire contrasted this with earlier visions of scientific progress, like those of 17th- and 18th-century Baconian science, where the threat was an evil genius wielding technology. Presently, Thiel argued, the greater political resonance lies in halting scientific advancement altogether. “In our world, it’s far more likely to be Greta Thunberg than Dr. Strangelove,” he quipped, invoking the radical Swedish climate activist as a symbol of anti-progress sentiment.

On AI specifically, Thiel struck a balanced tone, tempering both utopian and apocalyptic predictions.

“One question we can frame is: Just how big a thing do I think AI is?” he asked himself. “My stupid answer is: It’s more than a nothing burger, and it’s less than the total transformation of our society.”

Thiel compared AI’s potential impact to the internet in the late 1990s, suggesting it could create “some great companies” and add “a few percentage points” to GDP, perhaps boosting growth by 1% annually for a decade or more. However, the billionaire expressed skepticism that AI alone could end economic stagnation, viewing it as a significant but not revolutionary force.

While Thiel expressed nuanced views on artificial intelligence, his venture capital firm, Founders Fund, is aggressively backing the technology. Namely, it recently led a $600 million investment in Crusoe, a vertically integrated AI infrastructure provider.

The biggest risk with AI is that we don't go big enough. Crusoe is here to liberate us from the island of limited ambition,” Thiel said at the time.

 (Lé vision de trrump, c'est le Groenland une super-puissance minière avec les inuits pour creuser jusqu'à la mort afin de trouver le minerai. Ce type ment comme il respire, qui peut désormais le croire ? note de rené)

Why Greenland Isn't Chasing The Dream Of Becoming A Mining Superpower

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by Tyler Durden.   zerohedge
Monday, Jun 30, 2025 - 09:30 AM

Authored by Felicity Bradstock via OilPrice.com,

  • Greenland, despite possessing vast mineral reserves and past ambitions from the U.S. to acquire it for these resources, is not interested in becoming a major mining superpower.

  • The country's minister for business and mineral resources emphasized a desire for only 5 to 10 active mines at any given time, prioritizing high environmental, social, and governance standards.

  • Concerns about the environmental impact and the uncertain economic return from mining activities, particularly with an unstable market for rare earths, contribute to Greenland's cautious approach.

Early in Donald Trump’s presidency, he announced his ambitions to acquire Greenland. In March, Trump said, “We need Greenland for international safety and security. We need it. We have to have it.” As well as stating ambitions to counter Russia’s presence in the Arctic, taking control of Greenland would put vast quantities of rare earth minerals and rare earth elements in the possession of the United States. However, Denmark quickly shot down the idea of Trump’s acquisition, saying that Greenland was not for sale. Meanwhile, Trump’s announcement led several political figures in Greenland to suggest that Greenland should be independent, rather than under the ownership of Denmark or the U.S. 

International powers have long eyed Greenland for its vast mineral potential. As several countries around the world strive to undergo a green transition, the demand for critical minerals is expected to grow dramatically in the coming years. Demand for critical energy transition minerals like lithium, cobalt, and copper could increase almost fourfold by 2030, according to United Nations estimates. 

At present, China dominates the global mineral mining market. According to International Energy Agency (IEA) data, China contributes around 80 percent of the world’s natural graphite and 60 percent of mined magnet rare earths. In 2024, it produced more than 60 percent of the world’s lithium, 40 percent of refined copper, and 70 percent of refined cobalt. As the U.S. looks to reduce its reliance on China for energy, critical minerals, and other goods, President Trump sees Greenland as the potential solution. 

Greenland holds vast mineral reserves, including rare earth metals, coal, graphite, uranium, copper, lead, and zinc. A 2023 Geological Survey of Denmark and Greenland survey found that 25 of the 34 critical raw materials recognised by the European Commission are present in Greenland. In addition, as ice sheets melt due to climate change, Greenland’s previously hard-to-retrieve mineral reserves are expected to become more accessible. 

Caroline Kennedy-Pipe, a professor of war studies and Arctic security specialist at the U.K.’s Loughborough University, explained, “The fight for infrastructure in the Arctic is incredibly important. Plus, because Greenland’s ice sheet is melting, and melting fast, those rare earth minerals will become cheaper to access. So, these are seen as long-term investments for America.”

To date, mining activity in Greenland has been limited, as investors have avoided financing mining operations due to the harsh conditions and environmental pushback from community groups. Developing the country’s mining industry would require significant funding, as well as support from local groups. 

Around a decade ago, a team of geologists published a paper that warned of unrealistic expectations for Greenland’s mineral potential. It states, “Even if estimates of the quantity and quality of ore in a geological deposit are well documented… it is difficult to translate this into economic potential and even more difficult to predict a specific revenue for Greenlandic society.” 

Minik Thorleif Rosing, one of the authors of the report, said that the situation remains relatively unchanged since the date of publication. “There is a misconception that Greenland will be like a new Saudi Arabia, only at the size of a small British town,” Rosing said. He blamed the uncertainty on global market conditions for rare earth metals. There has been significant pushback against mining operations, as many Greenlanders believe the cost of mining will far outweigh the benefit. It is unclear just how much of a return on investment Greenland would see from mining activities, as there is no stable market for rare earths, according to Rosing. However, many are more concerned about the environmental impact of mining in the Arctic. 

In June, Naaja Nathanielsen, Greenland’s minister for business and mineral resources, said that while some mining operations are already underway in the country, there is little interest in Greenland becoming a major mining power. “For Greenland, we are not necessarily interested in becoming a really great mining country. We just really want 5 or 10 active mines at any given time,” said Nathanielsen. “We are a very small population, so for us, we don’t need the entire country to be covered in mines. We are happy with managing a few, and I think that is feasible,” she added. 

Nathanielsen emphasised the “very high” environmental, social and governance (ESG) standards held by Greenland. She said, “I think the people of Greenland really support the mining industry, which is quite kind of rare when you look at other jurisdictions. But they do so because they have faith in us having a high environmental standard and taking care of local communities.” Nathanielsen went on to say that if the government compromises its environmental standards, it could lead Greenlanders to no longer support the mining industry, which could be highly detrimental for future projects. 

 (Quand, ils auront fini de construire leur super combattant qui s'auto-répare à la minute, on sera fichu. note de rené)

Meet The Dystopian Startups Making 'Biological Computers' From Human Cells

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by Tyler Durden.    zerohedge
Monday, Jun 30, 2025 - 10:15 AM

Picture a dystopian future where computers don’t just mimic human thinking - they’re powered by actual human brain cells. That future is taking shape in a Cambridge, England, lab, where a groundbreaking device called CL1 is blending biology and technology in ways that could transform how we compute. Developed by Australian startup Cortical Labs and U.K.-based bit.bio, this shoebox-sized machine houses 200,000 lab-grown brain cells wired to silicon circuits, creating a “biological computer” that’s already turning heads.

Cortical Labs' CL1

Unlike traditional computers, which guzzle energy, CL1 operates with the efficiency of a human brain. “Our brains process information using a fraction of the power that modern electronics need,” Hon Weng Chong, CEO of Cortical Labs, told FT. “This could open doors to smarter robots, stronger cybersecurity, and immersive virtual worlds.”

Oh, joy.

Low-energy computing has fueled a race to develop biological systems, with Cortical Labs leading alongside competitors like FinalSpark in Switzerland and Biological Black Box in the U.S.CL1’s brain cells, grown from human skin-derived stem cells, are carefully arranged in layers: one type sparks electrical activity, while another keeps it in check. “It’s like balancing a gas pedal and brakes,” Chong explains. This precision, says bit.bio’s Tony Oosterveen, gives CL1 an edge over rival approaches using less uniform “mini-brains.” The result is a platform for testing how brain cells handle information, with early experiments already yielding insights for neuroscience and drug development.

Photo: Chris Radburn/FT

One of CL1’s quirkiest feats? Playing the classic video game Pong. Its predecessor, DishBrain, learned to move a virtual paddle by receiving electrical “rewards” for good moves and disruptive noise for mistakes. CL1 has taken this further, revealing how substances like alcohol impair performance or how epilepsy drugs, like carbamazepine, boost it. “We’re learning how to ‘program’ these cells,” Chong says, noting that his team is even teaching them to recognize numbers, like distinguishing a nine from a four.

Kagan and team testing the CL1 units, which are built to maintain the health of the cells living on the silicon hardware (New Atlas)

This is the first device that can consistently measure what neurons can do,” says Mark Kotter, a Cambridge professor and bit.bio founder. Karl Friston, a neuroscientist at University College London, sees it as a tool for groundbreaking experiments, while Johns Hopkins’ Thomas Hartung praises its use of games like Pong to benchmark biological computing.

In the lab, the early CL1 model is put through its paces as the team monitors its response to stimuli (prompts) New Atlas

Chong recognizes the ethical challenges that could emerge if biological computers and neuron cultures begin to show early signs of consciousness.

“[T]hese systems are sentient because they respond to stimuli and learn from them but they are not conscious. We will learn more about how the human brain works but we do not intend to create a brain in a vat.”

The cells form an entirely new kind of artificial intelligence New Atlas

The CL1 units are slated to retail for around $35,000 each and are expected to be broadly available by late 2025, according to a report.

 (L'Iran avait accepté que l'AIEA installe des caméras dans leur centre d'enrichissement d'uranium et de Vienne, la capitale autrichienne, les inspecteurs de l'AIEA pouvaient voir ce qu'ils se passaient dans ces centres. trump a menti. note de rené)

L’Iran interdit l’installation de caméras de surveillance et l’accès du directeur de l’AIEA à ses sites nucléaires

  1. Campagne de dons – Mai-Juin 2025

    Chers amis lecteurs, Nous faisons à nouveau appel à vous pour une nouvelle campagne de dons. Votre soutien nous est indispensable pour continuer à vous fournir le meilleur de l’information internationale alternative. C’est grâce à vos dons que nous pourrons maintenir le cap pour une information plurielle et réellement alternative. Nous comptons sur vous.
    17 301,00 € de l’objectif de 25 000,00 € atteint

par RT France

L’Iran a adopté une loi interdisant l’accès de Rafael Grossi, ainsi que l’installation de caméras de surveillance sur ses sites nucléaires, selon le vice-président du Parlement et le chef de la diplomatie iranienne. Le patron de l’AIEA est accusé d’avoir biaisé un rapport sur les sites nucléaires iraniens.

Le vice-président du Parlement iranien, Hamid Reza Haji Babaei, a fait savoir ce 28 juin que son pays avait adopté une loi suspendant la coopération avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) et interdisant l’installation de caméras de surveillance, ainsi que l’accès du directeur général de l’AIEA, Rafael Grossi, à ses sites nucléaires. Selon lui, cette décision découlerait de la découverte de données sensibles sur certaines installations iraniennes dans des documents obtenus par Israël.

«La récente guerre de 12 jours s’inscrit dans la continuité des hostilités menées depuis 47 ans par les États-Unis contre la nation iranienne. Le cœur de cette hostilité ne concerne ni les missiles ni le programme nucléaire, mais le peuple iranien», a déclaré Hamid Reza Haji Babaei lors d’une cérémonie organisée en hommage à l’ayatollah Beheshti et à certains responsables judiciaires. «Les États-Unis craignent une nation de 90 millions d’habitants, dotée d’une civilisation vieille de 7000 ans, qui ne permettra pas sa domination dans la région», a-t-il ajouté.

Rafael Grossi tenu pour responsable des conditions qui ont incité Israël et les États-Unis à frapper les sites nucléaires iraniens

Le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, a confirmé l’adoption de la nouvelle loi dans une publication sur X, portant sur «la suspension de la coopération avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), tant que la sûreté et la sécurité des activités nucléaires de l’Iran ne seront pas garanties».

Le chef de la diplomatie iranienne a tenu Rafael Grossi pour responsable des conditions qui ont incité Israël et les États-Unis à frapper les installations nucléaires iraniennes, pointant la «malveillance» du patron de l’AIEA qui a insisté pour visiter les sites bombardés.

«Cela est la conséquence directe du rôle regrettable joué par Rafael Grossi, qui a occulté le fait que l’Agence avait déjà clôturé tous les dossiers il y a dix ans», a affirmé Abbas Araghchi.

Par cette action que l’Iran estime «malveillante», il aurait directement facilité l’adoption d’une résolution politiquement motivée contre l’Iran par le Conseil des gouverneurs de l’AIEA, accuse le ministre iranien, ainsi que les bombardements illégaux israéliens et américains contre des sites nucléaires iraniens, «dans une trahison stupéfiante de ses fonctions». Rafael Grossi aurait en outre «omis de condamner explicitement ces violations flagrantes des garanties de l’AIEA et de son statut», a fustigé le chef de la diplomatie iranienne.

«L’Iran se réserve le droit de prendre toutes les mesures nécessaires à la défense de ses intérêts, de son peuple et de sa souveraineté», a conclu le ministre des Affaires étrangères.

Selon la presse iranienne, la décision de suspendre la coopération avec l’agence nucléaire onusienne s’inscrit dans la réaction suite à un rapport jugé biaisé par l’Iran de Rafael Grossi, qui aurait pavé la voie à une résolution qui aurait encouragé Israël et les États-Unis à frapper les installations nucléaires iraniennes dans les trois principaux sites nucléaires iraniens à Ispahan, Fordo et Natanz.

source : RT France