(Evidemment qu'il savait et que les américains savaient puisqu'ils avaient déjà préparé les stocks de bombes pour raser Gaza de la carte. C'est pour ça que netanyahu a fait le sourd aux avertissement du maréchal sissi, président d'Egypte ou de la Turquie et de bien d'autres. note de rené)
Le 7octobre 2023 - Netanyahu savait que l’attaque allait arriver - il a laissé faire à dessein (Moon of Alabama)
Le 7octobre 7 2023 - Netanyahu savait que l’attaque allait arriver - il a laissé faire exprès
Article originel : Oct 7 2023 - Netanyahoo Knew The Attack Was Coming - He Let It Happen On Purpose
Moon of Alabama, 13.11.24
Le premier ministre de l’entité sioniste, Benjamin Netanyahu, est sous le feu des projecteurs. De nouvelles accusations criminelles ont été portées contre lui.
Des personnes du bureau de Netanyahu avaient fait couler des rapports secrets obtenus par les services de renseignements militaires israéliens auprès d’un dirigeant du Hamas de bas niveau. Avant de faire fuiter les documents, qui comprenaient des propositions d’actions futures, ceux qui ont organisé les fuites les manipulaient.
Les documents manipulés sont apparus comme des 'nouvelles' sur des sites étrangers qui ont permis aux médias israéliens censurés de publier leur contenu. Comme les documents divulgués, il a été affirmé que le leader du Hamas Yahya Sinwar, accompagné d’Israéliens pris en otage, avait l’intention de s’échapper en Egypte d’où il se rendrait en Iran.
Il était évident que les déclarations étaient fausses, mais Netanyahu s’en est servi pour empêcher de nouvelles négociations sur la libération des otages.
Plusieurs personnes impliquées dans la fuite des documents top-secrets ont été arrêtées depuis.
Un autre scandale se prépare actuellement sur des événements qui ont eu lieu immédiatement avant l’incursion du Hamas en Israël le 7 octobre.
Le 6 octobre, un nombre important de combattants du Hamas à Gaza ont activé des cartes SIM israéliennes qui leur permettraient d’utiliser leurs téléphones portables en Israël. Divers systèmes de sécurité et de survie ont remarqué cela et ont tiré la sonnette d’alarme. Plusieurs conseils de sécurité ont tenu des réunions, dont celle du premier ministre, mais aucune autre alarme n’a été émise (traduction automatique) :
Plus d’un an après l’inauguration en octobre, la direction politique a répété à plusieurs reprises qu’elle n’avait reçu aucun avertissement avant l’attaque - mais un document révélé ce soir (dimanche) indique le contraire. Selon le document, la nuit de l’attaque, à 2 h 58 du matin, le Shin Bet a émis un avertissement important à un certain nombre d’organismes politiques et de sécurité, y compris le NSC directement subordonné au premier ministre.
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L’alerte, qui a été diffusée par un système informatisé, comprenait des informations sur une activité inhabituelle dans le réseau SIM de plusieurs brigades du Hamas. Le Shin Bet a déclaré que l’activité était inhabituelle et pourrait indiquer la possibilité d’une sorte d’activité offensive du Hamas.
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Malgré la gravité de l’avertissement, il semble qu’aucune mesure importante n’ait été prise à la suite de celui-ci. Le CNA, par exemple, n’a pris aucune mesure après avoir reçu l’information. La police israélienne n’a pas non plus changé ses activités, comme le montre le fait que la fête nuba dans le sud d’Israël s’est déroulée comme prévu.
Cela suggère, comme plusieurs autres avertissements ignorés l'évoquent, que Netanyahu et d’autres personnes impliquées dans les décisions savaient de l’attaque imminente mais avaient décidé de la laisser se produire pour ensuite utiliser les conséquences à leurs propres fins politiques.
Alors que les détails commençaient à sortir, Netanyahu a été pris sous le feu des projecteurs. Il avait allégué que les services de sécurité avaient été négligents en ne délivrant pas d’avertissements. Mais en réalité, il semble avoir été celui qui a été informé de l’attaque à venir, mais a refusé de donner l’alarme.
Toutes les discussions du Conseil de sécurité nationale au sujet des décisions prises dans la nuit du 6 au 7 octobre sont consignées dans ses protocoles. Alors que les murs se dressaient sur le premier ministre, ses aides immédiats ont cherché à modifier les protocoles des réunions pertinentes.
Mais les protocoles étaient sous le contrôle d’un certain haut gradé de l’armée. Pour obtenir des changements rétroactifs, qui exonéreraient le premier ministre, les aides de Netanyahu ont tenté de faire chanter l’officier au sujet d’une prétendue relation avec une femme subalterne :
Les principaux collaborateurs de Benjamin Netanyahu sont soupçonnés d’avoir tenté de faire chanter un officier de l’armée israélienne au secrétariat militaire du cabinet du premier ministre afin de modifier le compte rendu des discussions sur la sécurité au plus haut niveau dans les heures précédant l’attaque du Hamas qui a déclenché la guerre à Gaza, Les médias hébreux ont rapporté vendredi.
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Les médias hébreux ont indiqué que l'enquête était liée à un rapport de juillet sur Ynet, selon lequel l’ancien secrétaire militaire de Netanyahu, le major général Benjamin Netanyahu, avait été interrogé par des journalistes. Avi Gil, avait averti quelques mois auparavant le procureur général des efforts pour changer les protocoles de discussions sur la sécurité.
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Selon la chaîne 12, dans le cadre de la tentative présumée de changement des protocoles, les aides de Netanyahu auraient utilisé des « images sensibles » d’un officier du secrétariat militaire afin de le persuader de changer les protocoles lors des discussions qui ont eu lieu dans la nuit du 6 octobre.7, 2023 — Des heures avant que des milliers de terroristes dirigés par le Hamas n’envahissent le sud d’Israël pour tuer quelque 1 200 personnes et prendre 251 otages, déclenchant la guerre à Gaza.
Netanyahu a blâmé les forces de sécurité israéliennes pour ne pas avoir prévu l’attaque, et a résisté aux appels à une commission d’enquête publique sur les événements qui ont mené à cette attaque.
Channel 13 a déclaré que les aides de Netanyahu auraient volé des informations compromettantes sur un officier du secrétariat militaire à partir du téléphone d’une femme qui travaille au PMO. Les aides de Netanyahu auraient pris son téléphone sous prétexte qu’elle était soupçonnée d’avoir divulgué des informations confidentielles, mais seraient allés chercher sa correspondance personnelle avec le policier, a indiqué le rapport.
Le radiodiffuseur public de Kan avait rapporté jeudi que le Lt. Gén. Herzi Halevi, le chef d’état-major de l’armée israélienne, avait reçu il y a quelques mois une plainte selon laquelle le PMO détenait et utilisait de manière inappropriée des images sensibles d’un officier de l’armée israélienne. Channel 13 a rapporté qu’un fonctionnaire du cercle de Netanyahu avait dit à Halevi que l’officier était en relation inappropriée avec une travailleuse au PMO, bien qu’une enquête de l’armée ait déterminé que la relation n’était pas un abus de pouvoir.
C’est une histoire brute, et un conte juteux, et plusieurs médias israéliens ont creusé le filon. Mais je n’ai pas encore trouvé de médias en dehors d’Israël, sauf Seymour Hersh, qui ont abordé ce dernier sujet.
Il y avait des soupçons dès le début que les autorités israéliennes avaient connaissance de l’attaque du Hamas du 7 octobre 2023 avant qu’elle ne se produise, mais n’avaient pas réussi à tirer la sonnette d’alarme. On a prétendu, malheureusement sans preuve, que cela n’avait pas été fait par négligence, mais à dessein.
Nous pouvons enfin dire que c’était effectivement le cas. Les autorités israéliennes, jusqu’au premier ministre, savaient que l’attaque était imminente, mais ont refusé de porter l’alarme à un niveau approprié. Ils ont laissé l’attaque se produire à dessein (LIHOP).
Tout ce qui a suivi depuis faisait partie, dès le début, de leurs plans à long terme.
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