jeudi 31 octobre 2024

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Palestine accuses Israel of forcing Jerusalemites to leave occupied city

Palestine accuses Israel of forcing Jerusalemites to leave occupied city: Palestine accused Israel, on Thursday, of confiscating Palestinian lands in East Jerusalem to force residents to leave the occupied city, Anadolu Agency reports. In a statement, the Foreign Ministry strongly...

(Donc, si on suit ce que fait Israël, tout peuple du moment qu'il est plus fort a le droit d'en exterminer un autre. note de rené)

LIVE UPDATES: 1,200 Palestinians killed in north Gaza in 3 weeks

LIVE UPDATES: 1,200 Palestinians killed in north Gaza in 3 weeks: The northern Gaza Strip has been under tight Israeli siege for more than three weeks, and health officials say more than 1,200 people have been killed by Israeli attacks during...

(Un peuple criminel, ne doit-il pas être jugé par la communauté internationale ou ce que l'occident nous a raconté n'étaient que de grosses conneries ? note de rené)

Harvest Time🔥 Negotiations Behind The Scene🌏 Zolota Nyva Has Fallen🎖 Mil...

Journal de guerre: Jour 391. (Liban)

CONTACT #79 |La géopolitique n’est pas une affaire de morale–Caroline Ga... (France)

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LIVE | Trump's Shock Ultimatum To Israel On Gaza; Tells Netanyahu To Win... (C'est pas grave, il y auara une guerre contre les Etats-Unis parce que le grand Israël veut dire l'appropriation des champs pétrolifères régionaux, ce qui signifie que trump veut la guerre. Donc guerre, il y aura. Quand les américains en auront marre de massacrer des gens, ils nous préviendront, nous les peuples de la Terre. note de rené)

Lefties losing it: Rita Panahi in shock over Joe Biden’s baby bite. (USA)

Vaccins : les covidistes encaissent une incroyable défaite ! (France)

 

Covid-19 : Rapport du Congrès américain sur les origines de l’épidémie

par 

C’est un document assez accusateur qui a été remis en août par les élus républicains de la commission des Affaires étrangères de la Chambre des Représentants des États-Unis (Committee Minority Staff). Membres de la minorité au Congrès et menés par l’élu texan Michael McCaul, les parlementaires ont signé un addendum de 84 pages à leur précédent rapport de septembre 2020 sur le Covid-19, où ils soutiennent sans ambigüité l’hypothèse d’une fuite accidentelle du virus depuis un laboratoire de Wuhan. Synthèse.

Faisant valoir la volonté du président Joe Biden et leur propre « devoir devant le peuple américain », les auteurs ont enquêté sur les origines de la pandémie, grâce à la découverte de « nouvelles informations » ces derniers mois. De fait, le texte est assez largement documenté. Dès l’introduction est évoquée la « prépondérance des indices » allant dans le sens d’une fuite antérieure au 12 septembre 2019, bien avant que l’épidémie ait fait parler d’elle. Pour eux, « il faut croire que le Parti communiste chinois et son secrétaire général Xi [Jinping] font passer la préservation du parti avant la vie de leur propre peuple et de tous ceux qui, à travers le monde, souffrent des effets de la pandémie de Covid-19 ».

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Une fuite d’un laboratoire de Wuhan ? Des indices concordants

La ville chinoise de Wuhan, qui compte 11,1 millions d’habitants, héberge l’Institut de Virologie de Wuhan (IVW), administré par l’Académie chinoise des sciences et comptant dans ses rangs un important comité du Parti communiste chinois (PCC). Le docteur Shi Zheng-li, directrice de plusieurs départements de l’Institut, y mène depuis des années, avec son équipe, des recherches de gain de fonction sur les coronavirus[1], c’est-à-dire des recherches consistant à modifier l’information génétique de ces virus pour en altérer les fonctions biologiques en termes de pathogénicité et contagiosité. Dès juin 2019, George Gao, directeur du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies, alertait, « quasi prophétique », dans Biosafety and Health, sur le risque de mutations incontrôlées qui pourraient en résulter et sur le danger d’un accroissement de la capacité des coronavirus à infecter des cellules humaines. Il fut suivi en cela, au mois de septembre, par Yuan Zhiming, directeur du laboratoire de l’IVW où ces recherches étaient conduites.

Les auteurs de l’addendum relèvent de même que, dans les mois précédents, des travaux de maintenance ont été effectués dans l’un des laboratoires de l’IVW tandis que le système de traitement des déchets toxiques faisait l’objet de rénovations alors qu’il datait de moins de deux ans et que l’IVW se dotait d’un nouveau système de désinfection de l’air, autant de coïncidences qui suggèrent des dysfonctionnements inquiétants à quelques mois du début de la pandémie. La date du 12 septembre retient également l’attention des élus, qui signalent que ce jour-là, entre 2 et 3 heures du matin, la base de données des échantillons et séquences de virus, jusqu’alors accessible au public, fut mise hors ligne, ce pour quoi « aucune explication cohérente » n’aurait pour l’heure été donnée.

De plus, s’il est officiel que le Major Général Chen Wei, spécialiste des armes biologiques et chimiques de l’Armée Populaire de Libération (APL), a pris la tête du laboratoire en janvier 2020, lorsque l’épidémie s’est déclarée, cet avènement remonterait en réalité à la fin de l’année 2019, d’après un « ancien responsable américain ». Interrogée sur le sujet, le docteur Shi a parlé de « rumeurs » et d’« information inexacte » alors que les liens de l’IVW avec des chercheurs de l’APL étaient anciens et de notoriété publique, les noms de certains d’entre eux étant accessibles sur la version anglophone du site de l’IVW. Cette incohérence entre en résonnance avec des images satellitaires de Wuhan qui montrent que, sur 6 hôpitaux de la ville, 5 ont vu aux mois de septembre et octobre 2019 leurs parkings plus remplis qu’à quelque autre moment de l’année. Dans le même temps, le moteur de recherche chinois Baidu connaissait une forte hausse des recherches des mots « toussements » et « diarrhée », identifiés plus tard comme des symptômes du Covid-19.

Pour les parlementaires, il est donc « raisonnable de conclure » que, début septembre, un ou plusieurs chercheurs de l’IVW ont contracté le SARS-CoV-2 au laboratoire et l’ont diffusé dans la ville à travers les métros et bus qui desservent l’Institut, hypothèse d’autant plus logique que les manipulations génétiques à l’œuvre dans les laboratoires visaient, écrivent-ils, à en renforcer la contagiosité pour l’homme. Cette diffusion aurait eu lieu au pire moment. En effet, à partir du 18 octobre 2019, Wuhan n’accueillait pas moins de 9 308 athlètes de 109 pays à l’occasion des septièmes Jeux mondiaux militaires d’été. L’un d’entre eux, venu du Luxembourg, raconte être arrivé dans une « ville fantôme », « confinée », et que sa température a été prise lorsqu’il est arrivé à l’aéroport. Dans leur vol de retour, 60 athlètes canadiens ont fait l’objet d’une isolation à l’arrière de l’avion, pour des symptômes de « toussements et diarrhée ». De fait, quatre des pays ayant envoyé des délégations sportives à Wuhan, à savoir l’Italie, le Brésil, la Suède et la France, ont relevé des cas sur leur sol dès novembre ou décembre 2019, avant que l’épidémie ne soit connue. Localisés sur différents continents, sans doute ces cas ont-ils la même source : il pourrait bien s’agir de ces jeux.

Toutefois, si les élus qualifient cette piste de « complètement plausible », celle-ci reste, pour eux, une hypothèse : ils ne prétendent pas être à coup sûr arrivés à la vérité.

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Un virus qui a pu faire l’objet de modifications génétiques

« De nombreux indices » suggèrent, à lire l’addendum, que les chercheurs de l’IVW s’adonnaient à des recherches en gain de fonction, visant à rendre un pathogène plus susceptible de déclencher une maladie, sur des coronavirus. Il se serait agi de créer, à partir d’éléments d’autres virus, des « virus chimères » à même d’infecter le système immunitaire humain, autant de recherches qualifiées par les auteurs de « dangereuses » et effectuées dans des conditions de sécurité du même ordre que celles d’un « cabinet de dentiste ».

Le document revient sur les travaux effectués en commun par le docteur Shi et Peter Daszak, spécialiste américain des zoonoses, des transmissions de maladies entre animaux et humains. De 2005 à 2019, les deux scientifiques ont cosigné de nombreux articles et ont découvert plus de 500 types de coronavirus à l’occasion d’expéditions dans des grottes où se terrent des chauves-souris. En 2007, ils écrivaient que l’un des « virus chimères » élaborés à l’issue de ces expériences était en mesure d’infecter des cellules et tissus humains à travers le récepteur ACE2« une protéine se trouvant sur la surface des cellules et tissus du corps humain, notamment dans la bouche, le nez et les poumons ». Par modification artificielle, un coronavirus proche du futur SARS-CoV-2 avait finalement acquis la capacité d’infecter l’homme. Des expériences ultérieures de Shi Zhengli et de Peter Daszak prouvèrent que les coronavirus de chauves-souris pouvaient infecter l’homme directement, sans besoin d’un hôte intermédiaire. En 2016, les deux expliquaient travailler à la préparation à des épidémies non plus par la surveillance des maladies, mais par la création de virus chimères, ce que des scientifiques de l’IVW ont par la suite confirmé à l’OMS. Ainsi, pour le Committee Minority Staff, il « va de soi » qu’un travail de manipulation génétique de coronavirus et d’examen de leurs conséquences sur le système immunitaire humain était mené par les chercheurs de l’IVW, soutenus et financés par Peter Daszak, en 2018 et 2019.

Les auteurs expliquent par ailleurs que leurs entretiens avec des scientifiques et des responsables et anciens responsables politiques américains ont mis en évidence des caractéristiques particulières du SARS-CoV-2, à savoir son caractère particulièrement contagieux (autant que la rougeole), l’absence d’un porteur intermédiaire clair entre la chauve-souris et l’homme, et sa capacité à s’accommoder de l’ACE2 humain. En effet, à titre de comparaison, le MERS, apparu en 2012, n’a infecté que 4 000 personnes et le SRAS, qui s’est manifesté en 2002, 10 000. D’après une étude américaine parue en février 2020, le SARS-Cov-2 se lierait 10 fois mieux à l’ACE2 humain que le virus du SRAS, conclusion corroborée par des chercheurs australiens et britanniques le 24 juin 2021 dans Scientific Reports, qui relevaient une « affinité extrêmement et étonnamment haute » pour l’ACE2 humain, suggérant que l’origine de l’épidémie ne relèverait pas de la zoonose. Ces derniers évoquaient des données qui « indiquent que le SARS-CoV-2 est remarquablement adapté à l’infection de l’homme » et soulignaient que cela soulevait des interrogations : « son apparition est-elle le fruit d’une coïncidence naturelle rare ou a-t-il d’autres origines ? ».

L’addendum souligne également la présence d’un « Furin Cleavage Site » dans le SARS-CoV-2, un enzyme favorisant la contagiosité d’un virus chez l’humain et qui n’apparaît dans aucun des virus apparentés à celui-ci. Sans l’affirmer eux-mêmes, les représentants se font l’écho du signe de manipulation génétique qu’y voient « certains ».

À l’encontre des personnes qui pointent du doigt l’absence de preuve de manipulation génétique, ils mettent en avant des travaux de chercheurs de l’IVW ou ayant travaillé avec cet établissement, qui soulignaient non seulement que les virus ayant fait l’objet de clonage moléculaire ne pouvaient être distingués des autres, mais aussi que de tels virus faisaient bel et bien l’objet de telles modifications dans l’Institut dans les années qui ont précédé la pandémie. Cependant, si les auteurs concluent qu’une modification génétique est une « hypothèse valable », ils mentionnent par deux fois un virus qui serait « soit » d’origine naturelle « soit » modifié génétiquement : la possibilité d’un Covid-19 qui ne résulterait pas d’activités humaines n’est, pour eux, pas à exclure.

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Dissimuler la fuite

Dans leur premier rapport, les représentants avaient, rappellent-ils, mis en évidence les indices selon lesquels le PCC et l’OMS avaient cherché à dissimuler la fuite. Le PCC aurait, en effet, détenu des docteurs pour les empêcher de parler. Ils affirment, ici, avoir collecté des « indices supplémentaires » selon lesquels cette dissimulation aurait été entretenue par des scientifiques du WIV et le docteur américain Peter Daszak. Les autorités auraient menti sur la nature des recherches effectuées en ce lieu, ainsi que sur les insuffisances des protocoles de sécurité.

Le Committee Minority Staff rappelle que, en avril 2012, après que des mineurs de la région du Yunnan tombent malades, les chercheurs de l’IVW ont ouvert l’enquête à partir d’échantillons prélevés sur eux et, par la suite, dans la mine où ils sont retournés chaque année. Une coïncidence de date a éveillé l’attention des parlementaires : le 20 janvier 2020 a vu à la fois le docteur Shi et ses collègues remettre leur article intitulé « A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probably bat origin » à la revue Nature et la commission nationale de la santé du Parti communiste chinois confirmer publiquement que le virus pouvait se transmettre d’homme à homme. Ils qualifient de « très improbable » que l’article ait été écrit le jour même de son envoi à la revue, et soutiennent donc que les auteurs de celui-ci connaissaient en fait déjà depuis des jours, voire des semaines, la contagiosité du virus pour l’homme, et n’ont pas alerté le monde pour autant.

Autres signes d’une volonté de dissimuler selon les parlementaires, l’interdiction d’accès à la grotte du Yunnan où le virus RaTG13 a été prélevé la première fois, en 2013. Des journalistes de BBC News ont tenté d’y entrer en décembre 2020, mais en ont été empêchés par des policiers. Une vidéo de l’émission française Envoyé Spécial montre des villageois riverains de la mine expliquer que plusieurs d’entre eux avaient été arrêtés pour s’être par trop approchés de celle-ci, et qu’elle était fermée et pleine de caméras de surveillance. Le RaTG13 est en effet, selon un rapport rendu en mars 2020 par des chercheurs australiens, britanniques et américains, le parent le plus proche connu du SARS-CoV2, lui étant identique à 96% : la seule différence tient à son affinité avec l’ACE2 humain. Cet élément en particulier aurait pu faire l’objet de modifications génétiques, donnant lieu au SARS-CoV2. Mention est faite, capture d’écran à l’appui[2], d’e-mails de Kristian G. Andersen, scientifique, au docteur Anthony Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) des États-Unis le 31 janvier 2020, où le premier soutenait que le génome allait « à l’encontre des schémas de la théorie de l’évolution ». Andersen cessa par la suite de soutenir cette thèse : le rapport évoque une visioconférence avec Fauci et d’autres le lendemain, à la suite de laquelle Anderson [sic] aurait pris cette décision.

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Sont également pointés du doigt les « censeurs du PCC et chercheurs de l’IVW » pour leur attitude de suppression de tout élément des recherches sur les coronavirus qui pourrait être relié aux origines de la pandémie. Le docteur Shi a soutenu que l’idée selon laquelle l’armée chinoise aurait pris le contrôle du laboratoire de Wuhan relève de la « rumeur », et que les échantillons de recherche seraient accessibles en toute transparence. L’addendum contredit ces deux affirmations, soulignant que, au vu du nombre de travaux de recherche anciens tenus secrets et les activités militaires à l’IVW, il est « évident » que l’ensemble des travaux n’ont pas été révélés. Peter Daszak lui-même a contredit son ex-collègue dans une interview à Nature où il parlait de « données » qui « n’ont pas encore été publiées ».

C’est ensuite à l’appui d’un document interne à l’OMS et d’interviews dans la presse que les représentants mettent l’accent sur le travail de dissimulation du PCC. En effet, le peu d’efforts consentis par la République Populaire de Chine en vue de déterminer les origines de la pandémie pose question quand on sait les moyens accordés par le pays à la recherche sur les coronavirus les années précédentes. De plus, des pressions semblent avoir été exercées sur des docteurs interviewés qui se seraient rétractés juste avant la parution des entretiens. Pire : le régime est dénoncé pour sa « campagne de désinformation soutenue », à l’instar des tweets de Lijian Zhao, haut fonctionnaire du ministère chinois des Affaires étrangères qui a partagé en mars 2020 un article accusant l’armée américaine d’avoir porté le virus en Chine, article issu de Global Times, site pro-Poutine notoire.

Peter Daszak serait la partie visible de l’iceberg de cette campagne de désinformation, lui qui publia le 19 février 2020 dans le Lancet une condamnation des « théories du complot selon lesquelles le Covid-19 serait d’une origine non naturelle », texte pour lequel il se serait efforcé d’obtenir la cosignature de nombreux scientifiques. Une première version de ce texte, non publiée finalement, statuait : « pour l’heure, les experts jugent que les données connues sur le génome sont cohérentes avec la théorie de l’évolution, et il n’y a aujourd’hui pas d’indice qui suggérerait une modification visant à rendre le virus plus contagieux chez l’homme ». Pourquoi cette phrase a-t-elle été retirée par les présidents des United States National Academies of Sciences, Engineering, and Medicine ? La question est posée par les parlementaires. De fait, 15 mois plus tard, en juin 2021, lesdits présidents publient une nouvelle déclaration en ligne, « Let Scientific Evidence Determine Origins of SARS-CoV-2, Urge Presidents of the National Academies », où il est question de « scénarios » allant de « débordements zoonotiques (lorsqu’un virus passe de porteurs animaux en porteurs humains) à ceux en lien avec un travail de laboratoire ». Le mois suivant, Daszak parle de la nécessité de se référer « à la science, non à la spéculation pour déterminer comment le SARS-CoV-2 a atteint l’homme » dans une déclaration cosignée par 24 des 27 auteurs du précédent article, ce que les parlementaires qualifient de « reculade majeure » par rapport à la qualification de « théorie du complot » donnée précédemment à de telles interrogations.

Les élus républicains de la commission des Affaires étrangères de la Chambre des Représentants concluent leur addendum par l’expression de leur « avis » selon lequel le SARS-CoV-2, modifié par l’homme ou non, mais collecté dans une grotte de la province du Yunnan, a été « libéré » de l’Institut de Virologie de Wuhan avant le 12 septembre 2019, du fait du peu d’attention prêtée à bien des paramètres à prendre en compte lorsqu’on effectue des recherches de gain de fonction sur des virus. Le virus se serait diffusé dans la ville par ses réseaux de transports et, de là, dans le monde entier, du fait des jeux mondiaux militaires qui s’y tenaient. Les parlementaires appellent, outre à des « sanctions », à la convocation de Peter Daszak devant le Congrès et à « l’ouverture de négociations internationales » pour l’élaboration de standards de sécurité dans les laboratoires, similaire à l’AIEA pour l’énergie atomique, et se dit prêt à écouter tout témoignage qui viendrait le contredire. Toujours est-il que les États-Unis doivent, disent-ils, prendre les mesures nécessaires pour « empêcher que les méfaits du PCC donnent lieu à l’ascension d’une troisième pandémie au XXIesiècle ». Le ton est donné.

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[1] Pour rappel, « coronavirus » est un terme générique se rapportant à l’ensemble de la famille des coronavirus, dont le SARS-CoV-2 n’est que l’un des représentants.

[2] L’e-mail en question a été dévoilé par le site Buzzfeed News.

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 note existentielle

J'ai été dans le bois à côté tronçonner des rondins pour les fendre après avec le merlin pour cet hiver. Il faut dire que j'ai passé beaucoup de temps à procrastiner dans le canapé à chercher des séries asiatiques à regarder, donc, du bois j'en ai pas beaucoup.

Après avoir couper, j'ai tout rangé dans le hangar et j'ai contemplé mon oeuvre, je me suis dit, "Vraiment, y'en a pas beaucoup", ensuite, j'ai réfléchi et je me suis dit "ça commence à faire un peu" et j'ai tout de suite été rasséréné. 

rené


WOW..HOW TO ATTRACT A CROWD IN 5 SECONDS - I Will Survive - Gloria Gayno... (Irlande)

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jeudi 31 octobre 2024 la vie hospitalière

Décret suspension obligation vaccinale  (France)

 






(Si je comprends bien, si on construit une usine en Ukraine, on reçoit des subventions européennes, c'est ça ? note de rené)

Moscow Warns German Arms Factory In Ukraine Is 'A Legitimate Target'

Tyler Durden's Photo
by Tyler Durden.    zerohedge
Thursday, Oct 31, 2024 - 09:15 AM

The Dusseldorf-based German arms manufacturer Rheinmetall this week announced that it has completed delivery of twenty more 20 Marder 1A3 infantry fighting vehicles (IFVs) to Ukraine.

But its relationship with Kiev has gone much further, becoming among the very first major European arms companies to open a factory in Ukraine. This has provoked outrage among Kremlin officials, who are now warning that military action could be taken against the Rheinmetall plant.

Kremlin Spokesman Dmitry Peskov has told reporters in a briefing that "A plant of Rheinmetall, a German arms manufacturer, launched in Ukraine, is a legitimate military target for the Russian Armed Forces."

Rheinmetall ceo Armin Papperger. AFP/Getty Images

"Certainly it is," he emphasized in response to a question on whether the factory is now a target by being established inside Ukraine.

Not only is the German company going to produce armored vehicles, and maintain and repair them from inside the war-ravaged country, but it is even seeking to develop a local gunpowder and munitions plan.

TASS notes that Rheinmetall is NATO member Germany’s largest defense contractor. "It substantially profits from the Ukrainian conflict and anticipates further increased revenues. In 2023, its turnover went up by 12%, to 7.1 bln euros, with its net income growing by 9%, up to 0.6 bln euros," the report reviews.

Rheinmetall has indicated it eventually plans to open no less than four military production installations inside Ukraine, with the ammo side expected to begin within the next two years.

The company downplayed the Tuesday threat from Peskov, saying the "production of weapons in Ukraine is well protected and this is not the first time they have heard threats from the Kremlin." It plans to move forward despite the threats.

Among Russia's key rationales for the February 2022 invasion was to 'demilitarize' Ukraine amid accusations that NATO is building up its military infrastructure inside the country which shares a large border with Russia. But now it appears the Western military alliance is rushing to do just that.

CEO of Rheinmetall AG, Armin Papperger, issued the following statement earlier this week: "Things are progressing. The first plant is already ready. The second one is on the way. And now I insist on speeding up all of this work, because we don't have much time, we shouldn't waste it."

Papperger added, "We are fully committed to supporting Ukraine’s defense industry, ensuring that essential equipment can be produced and maintained within the country."

Pro-Russian pundits have underscored that this makes peaceful settlement more & more unlikely:

This past summer US intelligence officials made an astounding claim, later denied by Russia:

U.S. intelligence discovered that Russia planned to assassinate the chief executive of German arms manufacturer Rheinmetall which has been producing artillery shells and military vehicles for Ukraine, CNN and the New York Times reported on Thursday.

The plot to kill Rheinmetall CEO Armin Papperger was one of a series of Russian government plans to assassinate defense industry executives across Europe who were supporting Ukraine's war effort, CNN reported, citing five unidentified U.S. and Western officials as saying the plot was discovered earlier this year.

Ukrainian officials and media have hailed the strong support from the German arms giant, saying of factory development in the country, "One down, three to go." It remains uncertain what NATO would do in the event its factories are actually targeted, given this could induce Brussels to invoke Article 5.

 (Et ils recommencent cet hiver, en France, ils semblent avoir choisi le Mpox d'après les instructions données aux hôpitaux concernant la vaccination, cependant ils ont vacciné tous les canards avec le vaccin anti-grippe aviaire arn messager. Donc, j'arrête de manger du canard. Dans les autres pays européens, je ne sais pas quel virus les gouvernements ont choisi, le Mpox, c'est pas trop d'actualité quand même.


«Alerte à la catastrophe sanitaire : Un médecin révèle une contamination mortelle dans les vaccins COVID-19 – des millions de vies en danger !»

C’est dans un discours teinté de gravité que le Dr Angus Dalgleish, oncologue britannique renommé, a pris la parole devant le Conseil municipal de Port Hedland pour tirer la sonnette d’alarme sur les dangers potentiels liés à la contamination de l’ADN synthétique dans les vaccins contre la COVID-19. Son message, dramatique et dérangeant, met en lumière une crise sanitaire qui pourrait s’étendre bien au-delà de ce que l’Australie pourrait affronter si des mesures ne sont pas rapidement prises.

Dans son discours, le Dr Dalgleish a révélé qu’après des décennies de recherche, les risques d’intégration d’ADN étranger dans les cellules humaines sont aujourd’hui mieux connus, et les effets catastrophiques de cette intégration pourraient inclure des cancers agressifs, des troubles immunitaires et des maladies héréditaires. Selon lui, des preuves croissantes suggèrent que la contamination détectée dans les vaccins Pfizer et Moderna en Australie pourrait être à l’origine de cancers soudains, de régressions explosives et de perturbations immunitaires graves.

L’oncologue a expliqué que des particules de lipides encapsulent des fragments d’ADN synthétique dans ces vaccins, permettant à ce matériel génétique de pénétrer dans différents organes et potentiellement de s’intégrer au matériel génétique humain. Pour lui, «Ces vaccins ne sont pas de simples vaccins, mais de véritables thérapies géniques », un constat qui secoue l’audience. Il dénonce également un taux de contamination « jusqu’à 145 fois supérieur à la limite autorisée dans les produits médicaux». Ce chiffre, assène-t-il, est un véritable signal d’alarme.

Dans son rôle d’oncologue en Grande-Bretagne, le Dr Dalgleish a rapporté un phénomène qu’il qualifie d’«effrayant» : des patients longtemps stabilisés sont soudainement frappés par des cancers agressifs après des injections de rappel de vaccin. Il évoque des cas déchirants de patients ayant rechuté après des années de rémission, mentionnant que la seule chose qu’ils avaient en commun était la vaccination de rappel, reçue souvent sous pression. Les types de cancers constatés — comme les cancers colorectaux et les gliomes — se manifestent, selon lui, d’une manière dévastatrice et rapide, quelque chose qu’il n’a jamais observé en 40 ans de carrière.

Les inquiétudes de Dalgleish s’étendent aussi à l’immunité elle-même : il note un basculement dangereux des réponses immunitaires qui, au lieu de lutter contre les envahisseurs étrangers, se «toléreraient», laissant la porte ouverte à la prolifération incontrôlée de cellules cancéreuses et autres pathologies graves. «Nous assistons déjà en Grande-Bretagne et en Europe à une hausse inexpliquée des cas de cancers, surtout parmi les personnes vaccinées avec des doses multiples», avertit-il, citant des données récentes du Japon et de l’Italie.

Face à ces constats, il implore le Conseil de Port Hedland de plaider pour des actions immédiates auprès des autorités sanitaires australiennes. Il préconise de cesser la distribution de vaccins potentiellement contaminés, de mettre en place des protocoles de suivi rigoureux pour surveiller l’évolution des tendances en matière de cancers et d’autres maladies, et de préparer des plans de traitement pour les personnes exposées.

«Si nous n’agissons pas maintenant, l’Australie sera exposée à une vague de maladies évitables qui feraient passer toutes les crises sanitaires passées pour des incidents mineurs», déclare-t-il. Sa voix tremble alors qu’il évoque le risque d’une crise comparable au scandale de la Thalidomide, un précédent historique sombre. Il en appelle enfin à la conscience collective, rappelant la responsabilité envers les générations futures : «Nous devons ouvrir les yeux sur ce désastre potentiel, non seulement pour nous-mêmes, mais pour nos enfants et nos petits-enfants.»

Cet appel lancé à Port Hedland résonne au-delà de l’Australie et soulève des questions cruciales sur la sécurité des vaccins actuels, la régulation des produits médicaux et la transparence des autorités de santé. Tandis que l’opinion publique reste divisée, un seul fait émerge clairement : l’intervention du Dr Dalgleish marque un tournant.

source : X.com

 

  • /Réseau International.   
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    Pfizer connaissait l’extrême toxicité de ses injections anti-covid

    par Dominique Delawarde

    Un document est paru le 19 octobre 2024 sous le titre : «The Pfizzer Papers».

    Fruit de la collaboration de 3250 médecins et scientifiques, qui ont consacré deux années à analyser les 450 000 pages de données de l’essai Pfizer, il démontre que le laboratoire et les agences sanitaires avaient conscience dès novembre 2020 de l’extrême toxicité de l’injection anti-COVID, mais qu’elles ont contourné la législation pour l’imposer à des millions de citoyens.

    • https://lepointcritique.fr/2024/10/27/pfizer-papers-la-somme-de-toutes-les-fraudes

    Ce n’est pas la première fois que l’industrie pharmaceutique se fait prendre les doigts dans la confiture.

    En France où les autorités et les médias, trop souvent corrompus, ont toujours un temps de retard, on continue de promouvoir le vaccin Pfizer.

    C’est comme pour le déficit budgétaire : «Ayez confiance, dormez sur vos deux oreilles, tout va bien braves gens, le gouvernement s’occupe de vous, quoi qu’il en coûte !» Le réveil sera douloureux…

    Général Dominique Delawarde