vendredi 29 mars 2024

America, UK next on UN expert’s list to determine complicity in Israeli ...

The Bloom | Energy Collapse | Most Of The Power Plants Were Destroyed. M...

Shameless Zionists in Britain are targeting free speech and democracy itself

Shameless Zionists in Britain are targeting free speech and democracy itself: Western civilisation is in decline judging from the dystopian way in which we are entering a dark and dangerous world where it is becoming well-nigh impossible to distinguish between truth,...

France to provide at least €30 million to UNRWA in 2024

France to provide at least €30 million to UNRWA in 2024: France will provide at least €30 million ($32.3 million) to the UN agency for refugees in Palestine, or the UNRWA, in 2024, the French Foreign Ministry said, Anadolu reports. Early...

(Le problème avec la France, c'est qu'elle promet. note de rené)

Sécurité, armée, idéologie : vers un fiasco olympique ? - JT du vendredi... (France - La Pologne ou le fascisme avec l'aval des membres de la commission européenne. note de rené)

Fishermen attempt to fish for the residents of Gaza amid concerns about attacks by Israeli naval vessels

Fishermen attempt to fish for the residents of Gaza amid concerns about attacks by Israeli naval vessels: MEMO correspondent Mohammed Asad witnessed a number of fishermen in the besieged Gaza Strip attempting to fish and sell fish amidst fears of violations by Israeli naval vessels. This comes...

71 more Palestinians killed in Gaza, death toll climbs to 32,623

71 more Palestinians killed in Gaza, death toll climbs to 32,623: At least 71 more Palestinians were killed and 112 others injured over the last 24 hours, as Israel continues its onslaught on the besieged Gaza Strip, the territory's Health Ministry...

La Cour internationale de Justice ordonne à Israël de faciliter l’entrée de l’aide alimentaire à Gaza

La Cour internationale de Justice ordonne à Israël de faciliter l’entrée de l’aide alimentaire à Gaza: La décision prise à l’unanimité par la CIJ va à l’encontre de l’affirmation d’Israël selon laquelle il ne bloque pas les livraisons d’aide à Gaza

Guerre à Gaza : Al Jazeera révèle le récit du 7 octobre que les grands médias négligent de rapporter

Guerre à Gaza : Al Jazeera révèle le récit du 7 octobre que les grands médias négligent de rapporter: Un nouveau documentaire révèle la manière dont des allégations fausses et incendiaires concernant l’attaque menée par le Hamas en Israël se sont imposées dans la presse

Les Libanais consomment-ils du riz cancérigène et du blé moisi?

Journal de guerre: Jour 175

Le Général Henri Roure (2S) sera en 3e position sur la liste ASSELINEA... (France)

Top U.S. & World Headlines — March 29, 2024 (USA)

LARRY JOHNSON on WHO IS BEHIND THE ATTACK IN MOSCOW and HOW WAS ISIS CRE...

IN CASE OF WAR, "LEAVING THE COUNTRY (POLAND) WILL BE "DIFFICULT". RUSSI...

Oregon is telling farmers to stop growing food without there permission. (USA - Oregon, gouverneur démocrate)

 

Premier ministre japonais : des liens "fructueux" entre le Japon et la Corée du Nord profiteraient aux deux pays

- Ses déclarations interviennent quelques jours après que Pyongyang a exclu "tout contact ou toute négociation" avec le Japon à l'avenir

Ekip  |

28.03.2024 - Mıse À Jour : 28.03.2024




Ankara

AA / Ankara / Waleed Tariq  Agnce Anadolu

Le Premier ministre japonais Fumio Kishida a déclaré, jeudi, que son gouvernement poursuivrait ses efforts pour organiser un sommet avec la Corée du Nord.

"Une relation fructueuse entre le Japon et la Corée du Nord répond aux intérêts des deux parties", a déclaré Kishida lors d'une conférence de presse tenue à Tokyo.

Ces déclarations interviennent quelques jours après que la Corée du Nord a rejeté tout contact ou toute négociation avec le Japon.

Kishida a déclaré que le Japon poursuivrait ses efforts pour faire face aux problèmes en rapport avec la Corée du Nord, y compris le dossier des ressortissants japonais enlevés par Pyongyang dans les années 1970 et 1980, rapporte l'agence de presse Kyodo News.

La Corée du Nord a exclu, mardi, "tout contact ou négociation" avec le Japon à l'avenir, après que Tokyo a rejeté la demande de Pyongyang concernant le règlement du problème des personnes enlevées par Pyongyang.

Dans une déclaration publiée par l'agence de presse officielle Korean Central News Agency, Kim Yo Jong, la puissante sœur du dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, a accusé Kishida de se servir des relations bilatérales pour ses "calculs politiques".

La Corée du Nord avait reconnu, en 2002, avoir enlevé 13 Japonais dans les années 1970 et 1980, les obligeant à former ses espions à la langue et aux coutumes japonaises.

L'ancien premier ministre japonais Junichiro Koizumi avait effectué une visite historique à Pyongyang, en 2002 et avait rencontré le père de Kim, Kim Jong-il.

Cette visite a abouti au retour de cinq ressortissants japonais et à une visite de suivi par Koizumi, mais les efforts diplomatiques se sont rapidement interrompus, Tokyo ayant affirmé que Pyongyang ne faisait pas toute la lumière sur le sort des personnes enlevées.


*Traduit de l’Anglais par Mourad Belhaj

 Etats-Unis : des cas de grippe aviaire détectés pour la première fois chez des vaches laitières

Ekip  |

28.03.2024 - Mıse À Jour : 28.03.2024

Tunis

AA/Tunis/Nadia Chahed  Agence Anadolu

Les autorités agricoles texanes ont annoncé mercredi que des vaches de fermes laitières dans les Etats du Texas et du Kansas ont été testées positives à une souche contagieuse de la grippe aviaire, ont rapporté des médias français.

C'est la première fois que l'influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) est détectée chez ce type d'animal aux Etats-Unis, selon un communiqué de presse du département de l'agriculture du Texas (TDA), précise le quotidien « Les Echos ».

Ces échantillons positifs ont été prélevés sur du lait non pasteurisé collecté dans deux exploitations laitières du Kansas et une du Texas, indique le même média.

Selon les autorités texanes, les bovins présentaient des symptômes semblables à ceux de la grippe et produisaient du lait décoloré. Les vaches pourraient avoir été contaminées par des oiseaux migrateurs. « Des efforts supplémentaires pour poursuivre les enquêtes épidémiologiques sont en cours afin de garantir qu'une vision complète de la situation puisse être évaluée », indique la TDA.

Les tests n'ont révélé aucune altération du virus susceptible de le rendre plus transmissible à l'Homme et le risque pour le public « reste minime ». Par ailleurs, l'influenza aviaire hautement pathogène n'a été détectée chez aucun bovin de boucherie, précise la même source.

Jusqu'à présent, les vaches n'étaient pas considérées comme faisant partie des espèces particulièrement sensibles à la grippe aviaire. Cette découverte au Texas et dans le Kansas pourrait bien marquer un tournant dans cette épidémie. D'autant plus qu'elle a été précédée, le 20 mars, par la découverte d'une chèvre contaminée dans le Minnesota, dans une ferme où se trouvaient des volailles infectées. Il s'agissait du tout premier cas de bétail contaminé aux Etats-Unis, rappelle "Les Echos".


Gaza : Encore un enfant palestinien mort de faim dans l'enclave assiégée

- Le bilan des victimes de la famine engendrée par le siège imposé par Israël à la Bande de Gaza s'alourdit à 30 morts

Mohammad Sıo  |

28.03.2024 - Mıse À Jour : 28.03.2024


Istanbul

AA / Istanbul / Mohammad Sio  Agence Anadolu

Un enfant palestinien est mort de malnutrition dans la Bande de Gaza, jeudi, portant le bilan des victimes de la famine dans l'enclave assiégée à 30 morts, selon l'agence de presse officielle Wafa.

L'enfant a succombé à un état de malnutrition et de déshydratation extrêmes, à l'hôpital Kamal Adwan de la ville de Beit Lahia, dans le nord de la Bande de Gaza, a indiqué Wafa, citant des sources médicales.

L'agence n'a pas précisé l'âge de la victime.

Son décès porte à 30 le nombre de Palestiniens morts de faim dans l'enclave assiégée depuis octobre dernier, selon les données palestiniennes.

Israël mène une offensive militaire meurtrière contre l'enclave palestinienne, depuis l'attaque transfrontalière menée, le 7 octobre, par le mouvement de résistance palestinien, Hamas, au cours de laquelle quelque 1 200 Israéliens auraient été tués, selon les autorités de Tel-Aviv.

Depuis lors, 32 552 Palestiniens ont été tués et quelque 74 980 autres blessés, selon le dernier bilan communiqué par les autorités sanitaires palestiniennes.

L'armée israélienne a également imposé un blocus sur la Bande de Gaza, exposant à la famine la majeure partie de la population, en particulier les habitants du nord.

La guerre israélienne, qui en est à son 174e jour, a poussé 85 % de la population de Gaza à se déplacer à l'intérieur du territoire, dans un contexte de pénurie aiguë de nourriture, d'eau potable et de médicaments, tandis que 60 % des infrastructures de l'enclave ont été endommagées ou détruites, selon les Nations unies.

Israël est poursuivi devant la Cour Internationale de Justice (CIJ) pour crime de génocide. Une ordonnance rendue en janvier a enjoint Tel-Aviv de mettre fin aux actes à caractère génocidaire et de prendre des mesures pour garantir l'acheminement de l'aide humanitaire à la population civile de la Bande de Gaza.


*Traduit de l’Anglais par Mourad Belhaj

France Shocked By Viral Speech Of Senegal's New President! (Afrique)

 

Le “sursis” d’Assange n’est qu’un mensonge de plus, masquant l’objectif réel de l’enfermer à jamais.

Les États-Unis ont eu des années pour clarifier leur intention d'accorder à Assange un procès équitable, mais ils s’y refusent. La dernière décision de la Cour expose la nouvelle collusion dans ce simulacre de procès.

La décision d’aujourd’hui est loin d’être un “sursis”. Juste une étape de plus dans un long processus pseudo-juridique conçu pour justifier sans relâche le maintien d’Assange derrière les barreaux.

*

L’interminable et abominable saga de l’incarcération de Julian Assange pour crime de journalisme se poursuit. Et une fois de plus, les gros titres ne sont que mensonge, conçu à la fois pour acheter notre passivité et pour permettre aux autorités britanniques et américaines de gagner du temps afin que le fondateur de Wikileaks disparaisse définitivement de la circulation.

Le Guardian – dont la couverture de la procédure d’extradition d’Assange fait l’objet d’un énorme conflit d’intérêts non déclaré (voir ici et ici) – a titré la décision rendue aujourd’hui par la High Court britannique comme étant un “sursis temporaire” pour Assange. Or, c’est loin d’être le cas.

Cinq ans plus tard, M. Assange est toujours enfermé dans la prison de haute sécurité de Belmarsh, reconnu coupable de… strictement rien.

Cinq ans plus tard, il est toujours poursuivi par les États-Unis pour des accusations grotesques en vertu d’un texte législatif centenaire et draconien appelé Espionage Act. M. Assange n’est pas ressortissant américain et aucun des chefs d’accusation n’est lié à ce qu’il aurait pu faire aux États-Unis.

Cinq ans plus tard, la justice britannique continue de cautionner son procès pour l’exemple – un avertissement à d’autres de ne pas dénoncer de crimes d’État, comme Assange l’a fait en publiant des détails sur les crimes de guerre britanniques et américains en Afghanistan et en Irak.

Cinq ans plus tard, les juges londoniens continuent de fermer les yeux sur les tortures psychologiques subies par M. Assange, comme l’a documenté l’ancien expert juridique des Nations unies, Nils Melzer.

Le terme “sursis” est là – tout comme l’intitulé de la décision des juges selon lequel certains des motifs de son appel ont été “accordés” – pour dissimuler l’interminable mascarade juridique dont il est victime, à l’instar de son incarcération dans une cellule de Belmarsh.

En fait, la décision rendue aujourd’hui est la preuve supplémentaire que M. Assange est privé de toute procédure régulière et de ses droits juridiques les plus fondamentaux, comme c’est le cas depuis une dizaine d’années, voire plus.

Dans sa décision, la Cour le prive de tout motif d’appel substantiel, précisément pour éviter que le public n’en apprenne davantage sur les divers crimes britanniques et américains qu’il a révélés et pour lesquels il est maintenu en prison. Il est ainsi privé d’une défense d’intérêt public contre l’extradition. Ou, selon la terminologie de la Cour, sa “requête en vue de produire de nouvelles preuves est rejetée”.

Plus important encore, M. Assange est spécifiquement privé du droit d’interjeter appel sur les bases juridiques mêmes qui devraient lui garantir un appel, et qui auraient dû garantir qu’il ne soit jamais soumis à ce simulacre de procès dès le départ. Son extradition violerait clairement l’interdiction du traité d’extradition entre le Royaume-Uni et les États-Unis pour des motifs politiques.

Néanmoins, dans leur grande sagacité, les juges estiment que la vendetta de Washington contre M. Assange pour avoir révélé ses crimes n’est pas motivée par des considérations politiques. De même, les efforts déployés par la CIA pour kidnapper et assassiner M. Assange après que l’Équateur lui a accordé l’asile politique, précisément pour le protéger de la colère de l’administration américaine, n’auraient apparemment pas été motivés par des considérations d’ordre politique.

Ce que la Cour “accorde” en revanche, ce sont trois motifs techniques d’appel – même si, en petits caractères, ce “accorde” est en fait transformé en “ajourne”. Le “sursis” célébré par les médias – censé être une victoire pour la justice britannique– réduit en fait à néant les chances juridiques d’Assange.

Chacun de ces motifs d’appel peut être invalidé – c’est-à-dire rejeté – si Washington soumet des “garanties” à la Cour, même si elles s’avèrent sans valeur dans la pratique. Dans ce cas, Assange aura pris un vol pour les États-Unis et aura effectivement disparu dans l’un de leurs sites noirs nationaux.

Les trois motifs d’appel en suspens sur lesquels la Cour souhaite être rassurée sont les suivants : l’extradition ne

  • privera pas Assange de ses droits fondamentaux à la liberté d’expression
  • ne le discriminera pas sur la base de sa nationalité, en tant que citoyen non américain
  • ne le placera pas sous la menace de la peine capitale dans le système pénal américain.

La dernière dérobade du pouvoir judiciaire pour satisfaire les velléités de Washington de maintenir Assange verrouillé à jamais fait suite à des années de procédures judiciaires abusives au cours desquelles les États-Unis ont été autorisés à plusieurs reprises à modifier les accusations portées contre Assange dans des délais très brefs, afin de déjouer son équipe juridique. Cela fait également des années que les États-Unis ont eu l’occasion d’exprimer clairement leur intention d’offrir à M. Assange un procès équitable, ce qu’ils ont pourtant refusé de faire.

Les véritables intentions de Washington sont déjà plus que claires : les États-Unis ont espionné les moindres faits et gestes de M. Assange alors qu’il était sous la protection de l’ambassade d’Équateur, violant ainsi le secret de la relation avocat-client, et la CIA a comploté en vue de l’enlever et de l’assassiner.

Ces deux motifs auraient dû à eux seuls entraîner le rejet de l’affaire.

Mais rien dans la procédure engagée contre M. Assange n’est normal, ni légal. Le but de cette affaire a toujours été de gagner du temps. Faire disparaître Assange de la scène publique. Le diaboliser. Pour détruire la plateforme de publication révolutionnaire qu’il a fondée pour aider les lanceurs d’alerte à dénoncer les crimes de l’État. Pour envoyer aux autres journalistes le message clair que les États-Unis sont en mesure de les attaquer, où qu’ils se trouvent, s’ils tentent de demander à Washington de rendre compte de ses agissements criminels.

Et, pire que tout, apporter une solution définitive pour la nuisance qu’Assange était devenu pour la superpuissance mondiale en l’enfermant dans un processus infini d’incarcération et de procès qui, s’il est encore prolongé assez longtemps, le tuera très probablement.

La décision d’aujourd’hui est loin d’être un “sursis”. Ce n’est qu’une étape de plus dans un long processus pseudo-juridique conçu pour justifier sans relâche le maintien d’Assange derrière les barreaux, et pour repousser sans cesse le jour du jugement dernier, où Assange serait libéré et les systèmes judiciaires britannique et américain démasqués en tant que serviteurs d’un pouvoir cruel et impitoyable.

Jonathan Cook

 

Article original en anglais : Assange’s ‘reprieve’ is another lie, hiding the real goal of keeping him endlessly locked upJonathan-Cook.net, le 26 mars 2024.

Traduction : Spirit of Free Speech

 

Selon la presse sud-africaine, Canal + discute avec le milliardaire Patrick Motsepe pour le rachat de MultiChoice (France-Afrique du Sud)

Selon la presse sud-africaine, Canal + discute avec le milliardaire Patrick Motsepe pour le rachat de MultiChoice
  • Date de création: 28 mars 2024 13:32

(Agence Ecofin) - Le groupe français Canal +veut racheter MultiChoice mais se heurte, entre autres obstacles, à un texte limitant la capacité d’un acteur étranger à diriger une entreprise audiovisuelle basée en Afrique du Sud. L’un des moyens les plus simples pour lever cette barrière serait d’intégrer un acteur local dans le rachat.

En Afrique du Sud, plusieurs médias locaux ont annoncé que Canal + discute avec le milliardaire sud-africain Patrick Motsepe, pour l’intégrer dans l’opération de rachat de MultiChoice. A titre de rappel, conformément à l’avis du régulateur sud-africain des fusions et acquisitions, Canal + doit faire, au plus tard le 8 avril, une offre de rachat à MultiChoice après avoir atteint le seuil des 35% de parts à son capital.

La première offre de rachat du groupe sud-africain par Canal + avait été jugée insuffisante par MultiChoice, mais au début du mois de mars, les deux parties se sont accordées sur un prix. Il ne reste donc, théoriquement, qu’un obstacle juridique de taille pour la conclusion d’une fusion. Les textes de MultiChoice limitent à 20% les droits de votes que peut obtenir un actionnaire étranger au sein de son conseil d’administration, quel que soit sa part du capital.

Aussi, selon l’Electronic Communications Act, en vigueur depuis 2005 en Afrique du Sud, « un étranger ne peut pas, directement ou indirectement, exercer un contrôle sur un titulaire de licence de radiodiffusion commerciale ».

L’inclusion du milliardaire sud-africain Patrick Motsepe dans l’accord pourrait lever cette barrière, sachant qu’il n’est pas concerné par la limite de droits de votes fixée pour les étrangers. Malgré tout, les deux parties ont refusé de s’exprimer sur le sujet après les demandes de la presse sud-africaine.

En cas d’accord avec Patrice Motsepe, la fusion entre Canal+ et MultiChoice pourrait soulever un autre débat. Le milliardaire sud-africain est actuellement le patron de la Confédération Africaine de Football (CAF) dont les compétitions suscitent une forte concurrence entre les diffuseurs. S’il devient impliqué, d’une manière ou d’une autre dans les activités de Canal+ et MultiChoice, demandeurs des droits des compétitions de la CAF, les concurrents de ces diffuseurs pourraient accuser la CAF de conflit d’intérêt.

Servan Ahougnon