dimanche 31 janvier 2016

Une nouvelle méthode de transmission d’énergie sans fil découverte

Une nouvelle méthode de transmission d’énergie sans fil découverte

Les scientifiques russes ont réussi à allumer une ampoule DEL à une distance de 20 à 30 cm sans utiliser de fils.

Les spécialistes du laboratoire des méta-matériaux de l’Université national des technologies de l’information, de l’optique et de la mécanique de Saint-Pétersbourg (ITMO) et de l’institut de recherche Girikond ont montré qu’il est possible de créer un système efficace de transmission d’énergie sans fil en utilisant des matériaux diélectriques en céramique.
Les résultats de la simulation ont été vérifiés par une expérience — les scientifiques ont réussi à allumer une ampoule DEL sans fils à une distance de 20 à 30 cm. Les résultats sont publiés dans la revue AppliedPhysicsLetters.
En 2007, Marin Soljačić, professeur à l’Institut de technologie du Massachusetts (MIT), avait publié un article dans la revue Science, dans lequel les scientifiques discutaient des essais réussis de transmission d’énergie sans fil. Ils ont pu allumer une ampoule de 60W à une distance de plus de 2,5 mètres avec un rendement de 40% en profitant de l’interaction de résonance de deux bobines de cuivre.
La technologie est fondée sur un système comprenant un transmetteur et un récepteur ayant des antennes à boucle magnétique syntonisées à la même fréquence. Elle a été baptisée WiTricity pour « wireless electricity » et est actuellement utilisée dans les chargeurs sans fil pour des téléphones portables.
Ces chargeurs ont une base stationnaire, pour recharger un téléphone portable, il faut le placer précisément sur le panneau d’un dispositif qui doit être raccordé au réseau électrique.
Les scientifiques promettent de trouver une solution pour supprimer la nécessité d’un contact physique avec la base, mais pour le moment cela est impossible pour deux raisons. Tout d’abord, la transmission sans fil de l’énergie par la méthode de résonance est très efficace seulement à courtes distances. De plus, pour que la transmission d’énergie soit efficace, il faut orienter correctement le transmetteur et le récepteur.
Les spécialistes russes ont utilisé la même technologie de résonance, mais ils ont apporté quelques modifications à la conception de l’appareil.
Premièrement, ils ont remplacé les bobines de cuivre par des résonateurs diélectriques. Ces résonateurs permettent de générer le champ magnétique d’une façon plus efficace avec une moindre perte d’énergie.
Deuxièmement, les scientifiques ont élevé la fréquence des résonateurs. Dans cette fréquence plus haute, le champ magnétique a une structure plus complexe et atténue sa baisse au cours de sa propagation dans l’espace.
Le rendement théorique de la nouvelle méthode atteint 80%. En outre, les scientifiques russes ont proposé un système de transmission d’énergie sans fil plus résistant aux changements de l’orientation mutuelle du récepteur et du transmetteur.
Lors de l’expérience, les scientifiques ont réussi à transmettre environ 1W d’énergie à une distance de 20 à 30 cm à des fréquences d’environ 2GHz et ils ont maintenant commencé une nouvelle expérience avec des résonateurs céramiques ayant un constant diélectrique plus grand ce qui permettra d’augmenter la puissance de la transmission, ainsi que d’utiliser les fréquences des dizaines de MHz, qui sont plus sûres pour les humains.

La justice suédoise donne raison à la Russie contre les actionnaires de Yukos

La justice suédoise donne raison à la Russie contre les actionnaires de Yukos
De manière inattendue et assez surprenante, la justice suédoise vient de rendre une décision remettant en cause l’arbitrage rendu dans l’affaire Yukos contre la Russie par l’Institut d’arbitrage de la Chambre d’arbitrage de Stockholm, rendant par là même infondées les prétentions des actionnaires espagnols de Yukos contre la Russie. Les conséquences peuvent être intéressantes.
Suite à la mise en banqueroute de l’entreprise de M. Khodorkovsky Yukos par la justice russe et à la liquidation des actifs, en 2007 sept investisseurs espagnols ont saisi l’arbitrage de Stockholm pour contester cette « expropriation » par l’état russe et demander une compensation à leur perte d' »investissement ».
L’arbitrage, en juillet 2012, leur a donné raison et a condamné la Russie à leur payer 2 millions $ de compensation, décision confirmée par le tribunal de première instance suédois.
La Russie a fait appel devant la Cour d’appel, qui vient d’annuler les décisions précédentes prises dans l’intérêt des actionnaires de Yukos. La Cour se fonde sur le fait que la convention conclue en 1990 entre l’Espagne et l’URSS (toujours en vigueur) ne peut être interprétée comme donnant compétence à l’arbitrage pour résoudre une question d’expropriation. Donc, l’Institut d’arbitrage de la Chambre d’arbitrage de Stockholm s’est à tort reconnu compétent pour trancher le conflit entre les investisseurs espagnols et la Russie, de même que le tribunal de première instance. Leurs décisions sont annulées et leurs avocats ont jusqu’au 15 février pour contester cette décision devant la Cour suprême suédoise, à défaut de quoi elle deviendra définitive, c’est-à-dire qu’elle ne pourra plus être contestée en justice.
Les conséquences plus généralement concernant l’affaire Yukos devant l’arbitrage sont intéressantes, car dans une autre branche de cette affaire, la Russie a été condamnée par l’arbitrage de La Haye à payer 50 milliards $ aux actionnaires de Yukos. Les avocats représentant la Russie estiment que cette dernière décision de la Cour d’appel renforce leur position pour contester l’autre décision d’arbitrage puisque celle-ci fut rendue, notamment, en s’appuyant sur la décision d’arbitrage de 2012 qui vient d’être annulée.
Les pays européens ne devraient peut être pas si vite confisquer les actifs publics russes en Europe, non seulement parce qu’une décision d’arbitrage international ne donne pas ce droit (voir nos publications à ce sujet ici et ici), ensuite parce qu’elle peut être remise en cause si la justice nationale, certainement imparfaite mais systémique, décide finalement de ne pas totalement se laisser discréditer par les mécanismes – assez troubles – de l’arbitrage international.
Une étrange atmosphère, assez toxique somme toute, entoure cette affaire Yukos et la personnalité de M. Khodorkovsky. On se souviendra de la Cour européenne des droits de l »homme qui tantôt condamne la Russie, puis déclare également que le procès Yukos en Russie n’a pas de fondement politique. On voit d’un côté une condamnation en arbitrage international de 50 milliards $, une autre annulée par la justice nationale. Il semble effectivement qu’il y ait politisation, dans le sens de l’utilisation politique d’une affaire et cela semble plutôt être le fait des actionnaires Yukos et de leurs différents comités de conseils et de communication, assez puissants et bien intégrés dans les réseaux politiques des pays européens. Pour exemple, Boris Durande, porte-parole de Khodorkovsky en France, qui s’occupait également de la communication de Fabius lorsqu’il était ministre de l’économie. Les contacts restent, l’objectivité beaucoup moins. Surtout lorsque celui-ci devient ministre des affaires étrangères, que les relations avec la Russie se détériorent, mais que Khodorkovsky est très bien accueilli en France. Une question reste: qui de la justice ou de la politique remportera la mise en définitive?


Des moustiques OGM « stériles » qui se reproduisent...

Les moustiques génétiquement modifiés (GM) – femelles - sont censés réduire la population sauvage en s’accouplant naturellement avec les mâles sauvages et en produisant des descendants stériles. Cette stratégie a été envisagée pour lutter contre plusieurs maladies tropicales, comme la malaria et la dengue, qui se transmettent par les piqûres de moustiques.
Mais selon un document confidentiel, rendu public par l’ONG anglaise GeneWatch – qu’elle a pu obtenir grâce aux lois britanniques sur la liberté d’information - les moustiques génétiquement modifiés de l’entreprise britannique Oxitec ne sont pas aussi stériles que prévu...
En effet, en présence d’un antibiotique très répandu, la tétracycline, leurs progénitures ont un taux de survie de 15% environ et leur descendance sont capables d’atteindre l’âge adulte.
La tétracycline est très largement utilisée et présente dans les eaux usées et dans la viande issue d’élevage industriel. Or, les moustiques qui transmettent la dengue se reproduisent dans des environnements largement pollués par les eaux usées... Toutes les conditions sont donc réunies pour qu’une partie de la descendance de ce moustique GM soit fertile.
Mais, l’étude citée par GeneWatch mentionne aussi que les moustiques GM peuvent survivre, même sans la présence de tétracycline, à hauteur de 3%, ce qui engendrerait une impossibilité totale de contrôle de ces lâchers de plusieurs milliers de moustiques GM.
Helen Wallace, directrice de GeneWatch, a précisé dans un communiqué de presse : « Il est impossible d’évaluer les risques sanitaires ou environnementaux si des informations importantes sont cachées au public. Ce document confidentiel révèle un défaut fondamental de la technologie d’Oxitec qui devrait donc arrêter ses expériences ».
Oxitec a déjà expérimenté ces lâchers massifs de moustiques GM en pleine nature, dans les îles Caïmans, en Malaisie et au Brésil (dans le Nordeste, une des régions les plus pauvres) et de nouveaux essais sont prévus, notamment en Floride (mais l’autorisation a été reportée).
Oxitec avait aussi proposé d’organiser des lâchers de moustiques GM au Panama, en Inde, à Singapour, en Thaïlande, au Viêt Nam, aux Philippines, au Costa Rica, et à Trinidad & Tobago.

Auteur : Christophe NOISETTE


Des millions de moustiques génétiquement modifiés pourraient être libérés dans les Keys de Floride si les chercheurs britanniques obtiennent l’autorisation d’utiliser les insectes contre deux maladies virales extrêmement douloureuses. Le district de lutte contre les moustiques des Keys de Floride attend la décision de l’Administration des Aliments et Médicaments des USA sur l’utilisation de moustiques avec un ADN modifié en tant que médicament pour soigner la dengue et le virus Chikungunya. Bien que les virus soient considérés comme des menaces dans le pays, beaucoup sont effrayés à l’idée d’être attaqué par un organisme génétiquement modifié et plus de 130 000 personnes ont signé une pétition contre l’expérience lancée par la plateforme Change.org. Même les promoteurs potentiels de l’initiative admettent qu’il faut faire davantage pour démontrer les avantages de l’utilisation des insectes modifiés qui, pouvant piquer les personnes, augmentent les risques. Avec le changement climatique et la mondialisation des maladies tropicales qui se répartissent de plus en plus loin de l’Équateur, il n’y a toujours pas de vaccins ou de traitements pour ces maladies.

Source

Le turc devient une des langues officielles des institutions européennes de Strasbourg

Le turc devient une des langues officielles des institutions européennes de Strasbourg: Le Conseil de l'Europe et la Cour européenne des droits de l'Homme incluent désormais le turc parmi leurs langues de travail.

Les Quatre Cavaliers (2012) [VOSTFR] - avec Noam Chomsky, Joseph Stiglit...

Les Babyloniens calculaient les mouvements de Jupiter 1.400 ans avant les Européens

Publié par wikistrike.com sur 29 Janvier 2016, 16:41pm
Les Babyloniens calculaient les mouvements de Jupiter 1.400 ans avant les Européens
Un historien de l'astronomie a déchiffré les inscriptions de quatre tablettes.
Entre l'an 350 et 50 avant JC, les scientifiques babyloniens utilisaient déjà des calculs géométriques pour déterminer la position de Jupiter, près de quatorze siècles avant les savants européens.
C'est un historien de l'astronomie, Mathieu Ossendrijver, qui a fait cette découverte en examinant plusieurs tablettes babyloniennes en argile, rapporte le Washington Post. Les résultats de son étude, publiée dans la revue Science, montrent que les scientifiques de Mésopotamie, l'actuel Irak, utilisaient des calculs géométriques pour décrire la position de la planète à soixante et cent vingt jours.
À l'écoute du dieu Marduk
Jusqu'ici, on pensait que des savants européens à Oxford et Paris avaient découvert cette technique au XIVe siècle, mais le travail d'Ossendrijver montre que les Babyloniens avaient été précurseurs.
Comme le rapporte le site de la radio NPR, ces savants babyloniens voulaient connaître les mouvements de Jupiter pour comprendre les volontés de leur dieu Marduk, afin de prévoir des événements comme les récoltes à venir. 
Cela faisait plusieurs années qu'Ossendrijver, qui est historien à l'université Humboldt à Berlin, essayait de comprendre les inscriptions sur quatre tablettes recouvertes d'écriture cunéiforme exposées au British Museum de Londres.
«Un espace complètement abstrait»
Il voyait qu'il s'agissait de géométrie –les inscriptions évoquaient des trapézoïdes– mais les stèles demeuraient incompréhensibles. Lorsqu'un archéologue à la retraite lui a donné des photos d'autres stèles, Ossendrijver en a remarqué une avec des abréviations de calcul qu'il a immédiatement reconnues, et cela lui a permis de faire le lien avec les autres, et de confirmer qu'il s'agissait des positions de Jupiter. 
«C'est de la géométrie, ce qui en soi est très ancien, mais c'est appliqué d'une façon complètement différente, pas à des champs, ou à quelque chose de réel dans l'espace, mais à quelque chose qui existe dans un espace complètement abstrait.»

En Afrique, le Coca-Cola est utilisé comme pesticide

Publié par wikistrike.com sur 30 Janvier 2016, 11:52am
En Afrique, le Coca-Cola est utulisé comme pesticide
Vous ne rêvez pas, des agriculteurs indiens, dans l’Etat de Chhattisgarh, utilisent le Coca-Cola comme pesticide ! Et vous savez pourquoi ? Car c’est moins cher et le résultat est le même. Alors un petit verre de Coca, ça vous dit ?
Dans l’Etat de Chhattisgarh, en Inde, les agriculteurs utilisent du Pepsi et du Coca-Cola pour protéger leur récolte des différents parasites qui peuvent nuire à leur production. À la suite de cette information qui ne date pas d’hier, Coca-Cola et Pepsi ont bien sûr démenti en mettant en avant que leurs boissons ne contenaient en aucun cas des produits parasitaires ! C’est une tendance que l’on voit dans d’autres régions de l’Inde, avec les agriculteurs qui utilisent également d’autres marques de colas indiennes.
La pratique de l’utilisation des sodas à la place des pesticides, qui coûtent jusqu’à 10 fois plus cher, gagne tellement en popularité que les ventes de sodas ont augmenté de façon spectaculaire dans de nombreux villages. Les agriculteurs disent que l’utilisation de pesticides peut leur coûter environ 70 roupies (0,83€). À titre de comparaison, s’ils mélangent une bouteille de Pepsi ou de Coca avec de l’eau et qu’ils la pulvérisent sur leurs cultures, ça leur coûte 55 à 60 roupies de moins par acre. Quand on multiplie ces économies, les agriculteurs constatent qu’il y a un changement significatif en ce qui concerne les bénéfices qu’ils réalisent et ils remarquent également qu’en l’absence d’utilisation de pesticides, ils conservent un sol riche.
Voilà une preuve de plus pour ne pas consommer ce soda ! Maintenant vous avez le choix !

Virus Zika : les moustiques génétiquement modifiés pourraient être à la base de l'épidémie

Publié par wikistrike.com sur 31 Janvier 2016, 10:52am
Virus Zika : les moustiques génétiquement modifiés pourraient être à la base de l'épidémie
Alors que l'Organisation Mondiale de la Santé a rassemblé un comité d'urgence pour discuter de la propagation « explosive » du virus en Amérique du Sud, les pays européens se préparent à l'épidémie, après avoir décelé plusieurs cas. 

Touchés les uns après les autres par le virus venu du Brésil, les pays européens ne veulent pas céder à la panique, et tentent donc de rassurer la population tout en lui recommandant d'éviter les déplacements dans les zones à risque et de se protéger contre les piqûres de moustiques, facteurs de propagation. 

Le Zika, qui a commencé à se répandre l'année dernière dans les pays d'Amérique du Sud y a atteint des niveaux épidémiques, touchant désormais 23 pays sur 55, et particulièrement le Brésil, selon les données de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS). L'infection se transmet par une piqûre du moustique Aedes aegypti, déjà connu pour propager d'autres maladies telles que la dengue et la fièvre jaune. 

La présence du Zika dans le monde : 



Une simple piqûre ... et c'est cuit 


© Inconnu
Le gouvernement brésilien a promis que près de 220 000 soldats seraient déployés pour démoustiquer le pays, selon les rapports des médias locaux. Mais les responsables craignent de perdre la bataille et des préoccupations ont été soulevées à propos de la tenue prochaine du carnaval à Rio de Janeiro qui attire chaque année des milliers de touristes venus des quatre coins du monde. 

Aucun remède n'existe à ce jour contre le virus. Pour les femmes enceintes, le principal est que le virus peut être transmis au fœtus et conduire à des 
malformations congénitales (microcéphalie) ou même la mort. 

Des moustiques génétiquement modifiés à la base de l'épidémie ? 

La prolifération du virus Zika pourrait être liée à la présence de moustiques génétiquement modifiés au Brésil. En effet, la compagnie britannique de biotechnologie Oxitec a, en 2012, développé de tels insectes afin de réduire les populations de moustiques qui rependaient d'autres virus comme la fièvre dengue, dans une méthode expérimentale. 

Or, les critiques de l'entreprise notent que la majorité des cas de Zika au Brésil sont rencontrés dans les zones où les moustiques génétiquement modifiés ont été lâchés. 

 Potentiellement plus dévastateur qu'Ebola 

Un comité d'urgence formé par l'OMS pour d'aborder la question de la prolifération «explosive» du virus en Amérique du Sud et dans d'autres régions, se rassemblera lundi 1 février. Il s'agira d'apporter des réponses internationales à une épidémie qui le devient tout autant. La directrice générale de l'organisation, Margaret Chan, a indiqué, dans une conférence à Genève, que «le niveau d'alarme est extrêmement élevé.» 

« À bien des égards l'épidémie Zika est pire que celle d'Ebola de 2014-15 », a déclaré Jeremy Farrar, directeur du Wellcome Trust. Ce qui inquiète notamment les scientifiques, est l'absence réelle de symptômes chez les patients touchés par cette maladie mais surtout de vaccin susceptible d'éradiquer le virus. Mike Turner, chef du département infection et immuno-biologie àWellcome Trust, a qualifié l'impossibilité actuelle de tester un vaccin sur les femmes enceintes de « cauchemar éthique ». Seules des mesures extrêmes sont susceptibles de contenir la menace Zika, a-t-il ajouté. 

L'utilisation du DDT, un insecticide capable de tuer le moustique porteur du virus ou encore une surveillance accrue des zones aéroportuaires où transitent des voyageurs en provenance des territoires touchés par l'épidémie sont entre-autres, les mesures misent en place ces derniers jours dans de nombreux pays.

Migrants : 40 % des Allemands favorables à une démission d’Angela Merkel

Migrants : 40 % des Allemands favorables à une démission d’Angela Merkel

La destruction programmée de la France: les Euro-régions (Version1)


1000 milliards de dollars en Ontario Quitté La Chine en 2015, SELON Bloomberg Intelligence

1000 milliards de dollars en Ontario Quitté La Chine en 2015, SELON Bloomberg Intelligence
 
 
(Agence Ecofin) - Ce Une véritable hémorragie Que la Banque Centrale de Chine tente de juguler sans succès DEPUIS PLUSIEURS mois. SELON Bloomberg Intelligence, 1000 milliards de dollars en Ontario Quitté la Chine en 2 015.
Les autorites Limité à 50 000 en Ontario $ Le Montant Que les particuliers PEUVENT sortir du Pays, Réduit les achats de Les Entreprises conçoit des PAR, limite Les Investissements à l'étranger, Mais rien N'y fait. Rien Qu'en décembre DERNIER 160 milliards de dollars en Ontario fui le Pays.
Les réserves de change, Bien considerables de Québec, diminuent RAPIDEMENT. Elles Ont fondu en décembre de 108 milliards, versez se situer à 3300 milliards $. Toutes les Mesures de restriction de sorties de capitaux semblent Produire L'effet inverse en insécurisant les Investisseurs. Et le yuan, Qui a perdu 4,5% l'an dernier, Poursuit fils érosion. Il a déjà concéder 1,3% CE Mois de janvier.
Gates Foundation Pushes GMOs Under a Mask of Feeding Starving Africans

© AP Photo/ Lauren Victoria Burke
07:12 28.01.2016(updated 09:08 28.01.2016) Get short URL
131997211
Scientific research into the safety of genetically modified food is often funded by agribusiness giants like Monsanto, but the Bill & Melinda Gates Foundation has emerged as one of the biggest backers of so-called "frankenfood", as part of its efforts to promote cheap fodder for the masses in Africa.


© SPUTNIK/ ALEKSANDR POGOTOV
Now the war for consumer pocketbooks and stomachs has gone to a new level, with a $5.6 million award to Cornell University by an advocacy group sponsored by Bill Gates to create a program to "restore the importance of scientific evidence in decision making," a fact-finding mission considered to be a clandestine public relations move by agribusiness representatives.

According to Stacy Malkan of the group US Right to Know, the Cornell Alliance for Science (CAS), funded by the Bill & Melinda Gates Foundation, promotes the manufacture, use and consumption of GMOs, which are believed by many to cause cancer.
Some scientists are believed to be collaborating with the agrochemical industry in the production of what many consider to be dishonest reporting about the effects of engineered food products on human health.
CAS, launched in 2014, touts itself as a non-profit organization advocating access to biotechnology to counter worldwide hunger and malnutrition in developing countries. The group has been accused of pushing the interests of agrochemical giants, including Monsanto, Dow and DuPont.
CAS PR campaigns selectively cover the subject of GMOs, avoiding the acknowledgement of thousands of scientific documents detailing the potentially negative side effects of bio-engineered crops.


CAS political director Mark Lynas vividly illustrated how the pro-GMO propaganda machine functions. Lynas, in a New York Times op-ed piece, blamed the illegality of GMO crop cultivation in over half of EU countries on popular opinion "turning against science," calling those member states a "coalition of the ignorant."

The PR tactics of the agribusiness industry, upon which CAS fully relies for its mission, promote a false idea of the safety and necessity of industrial-scale, genetically modified agriculture, according to research detailed in Spinning Food, a new report by the activist group Friends of the Earth.
In another twist, Boston Globe journalist Laura Krantz reported that a Monsantoexecutive told Harvard professor Calestous Juma to write a study detailing the necessity of GMOs in feeding Africa.
"Monsanto not only suggested the topic to Professor Calestous Juma. It went so far as to provide a summary of what the paper could say and a suggested headline. The company then connected the professor with a marketing company to pump it out over the Internet as part of Monsanto's strategy to win over the public and lawmakers," Krantz wrote.
Juma said his research was not funded by Monsanto, claiming that he received his money from the Gates Foundation, an organization that has long collaborated with Monsanto on advancing GMO projects. According to a 2014 analysis, almost $3 billion of Gates Foundation money, intended to mitigate hunger in Africa, has gone to wealthy countries, mostly to universities and research centers.
CAS claims that it's not a publicly-owned business, and is not aware of ties between agribusiness industry PR operatives and scientists who have "contributed to the scientific consensus about the safety of GMOs."
Tufts University professor Timothy Wise, in his article "The War on Genetically Modified Food Critics," points to the lack of a scientific basis in the GMO debate, also observing the role of mass media in falsely reporting that GMOs and their effects are a "settled science."
"What we're seeing is a concerted campaign to… paint GMO critics as anti-science while offering no serious discussion of the scientific controversy that still rages," Wise wrote.
One indicator of that campaign, he said, was a Gates Foundation monetary award to Cornell University to "depolarize the charged debate" about GMOs.
"The Gates Foundation is paying biotech scientists and advocates at Cornell to help them convince the ignorant and brainwashed public, who ‘may not be well informed,' that they are ignorant and brainwashed… It's kind of like depolarizing an armed conflict by giving one side more weapons," Wise claimed.
CAS Director Doctor Sarah Evanega, claimed that her group is not linked to, nor does it receive funds from, the agrochemical industry. "We do not write for industry, and we do not advocate for or promote industry-owned products," she asserted.



Battre sa femme est désormais légal au Kansas 

source : femme actuelle

 le 19 octobre 2011
Battre sa femme est désormais légal au Kansas
Crédit : John Rensten/Corbis
Héloïse de Montety
La loi punissant les violences domestiques vient d’être abrogée à Topeka, capitale du Kansas. La raison ? Un conflit de responsabilités entre le Comté (administration d’Etat) et la ville.
A l’origine, une coupe budgétaire de 10%  vient amoindrir le budget du Comté. Une situation récurrente et commune à de nombreux Etats du pays, conséquence d’une crise qui s’infiltre dans les enveloppes des gouvernements locaux.
Problème, comment compenser ces pertes de budget ? Le procureur a la réponse : la moitié des plaintes traitées par le tribunal sont des cas de violence conjugale.  Il suffit donc de les placer sous la responsabilité de la ville de Topeka. Et c’est là que ça coince. Dan Stanley, actuel maire de la ville de Topeka n’est pas en mesure de traiter ces cas « Nous n’avons pas assez de procureurs, de tribunaux, ni de personnels pour prendre soudainement en charge ces victimes », déclare-t-il dans le journal local.
La solution est ensuite purement politique : la ville décide de décriminaliser les violences domestiques pour obliger le Comté à en reprendre la responsabilité. A 7 voix contre 3, mardi dernier, la loi était purement et simplement supprimée. Aujourd'hui, la seule peine risquée en cas de violence conjugale est donc...l'impunité.
Depuis le début du conflit, trente personnes ont été arrêtées pour des cas de violences domestiques. Toutes ont été libérées, faute de pouvoir comparaître. Pour l’instant, aucun arrangement entre les deux parties n’a été trouvé.
En France, 156 femmes meurent sous les coups de leur conjoint chaque année. Le gouvernement a décidé de faire de la lutte contre la violence conjugale une priorité nationale. En juillet 2010, leharcèlement moral était reconnu comme un délit.
Vous sentez-vous touchée par la situation des femmes battues? Réagissez sur notre forum.