mardi 21 juillet 2015

(blog à finir et à corriger)

Sérieux, les militants socialistes, pas les grosses têtes, me donnent envie de vomir lorsqu'ils défendent les positions de leur gouvernement.
En tout cas, la position de leurs leaders est claire par rapport au traité de libre échange Europe-States, comme l'affirme un des leur, commissaire à la commission européenne.
Il est temps de redresser les guillotines sur les places de Paris, moi, je vous le dis. Et, avant les islamistes, ce sont eux, les premiers ennemis du peuple.
Aux armes, citoyens !
Mais, non, je plaisante, vous me connaissez mes chers cinq lecteurs, je suis d'humeur taquine.

(source : Marianne)

Moscovici : "Le Tafta est plus dans l'intérêt de l'Europe que des Etats-Unis"

Invité de BFM, le commissaire européen aux Affaires économiques a expliqué que la signature du traité de libre-échange entre les Etats-Unis et l'Europe est "plus dans l'intérêt européen parce le marché américain est plus fermé que le marché français ou globalement que le marché européen" ! Merci pour l'aveu et la logique : notre pays et l'UE sont ouverts aux quatre vents et c'est pour cela qu'il faut donc continuer dans cette voie en signant cet accord de libre-échange !


Pierre Moscovici - MELANIE WENGER/ISOPIX/SIPA

Invité ce matin sur BFM, alors que les éleveurs français se mobilisent depuis plusieurs semaines contre les pratiques de la grande distribution et de ses intermédiaires, Pierre Moscovici a choisi de faire le service après-vente de l'Europe. Parce que nous, bien sûr, le peuple, les gueux, on n'y comprend rien. 
Non, il ne faut pas « incriminer l'Europe »« ce n'est pas elle qui a précipité cette crise ». Certes, nous explique-t-il, chacun des Etats a « dénié une partie de [sa] souveraineté ». Mais« il y a des marges » de manœuvre et elles se trouvent « pour l’essentiel dans les négociations » en cours, « sous l'égide du gouvernement » français notamment, tente de rassurer le commissaire européen aux Affaires économiques, dès les premières minutes de l’interview. Un point de vue que ne partage pas du tout Philippe Collin, agriculteur et ancien porte-parole de la Confédération paysanne, interrogé ce mardi par Marianne...
Mais très optimiste, presque enjoué, Moscovici s’accroche. Puisqu’il vous le dit, tout est dans les négociations ! Et surtout dans notre capacité à les mener à bien. C’est comme pour le fameux traité de libre-échange avec les Etats-Unis, le Tafta : « L’enjeu, d’abord, c’est la négociation elle-même » et sûrement pas de « renoncer au traité ». Car c'est bien connu : une « négociation réussie » donnera un « bon traité. » Vous n’avez pas compris ? Tans pis, pour Pierre Moscovici « 1) On réussit » et « 2) On explique » !
Ce que peut néanmoins d’ores et déjà avancer le commissaire, c’est que le Tafta offre des« capacités d’exportations » nouvelles pour les éleveurs français. Mais de quoi se plaignent-ils finalement ? En plus, comme il est trop fort en « négociations » notre commissaire européen, il sait déjà que le Tafta est un « traité d’intérêts mutuels ». D'ailleurs, il a « même envie de dire que c’est plus dans l'intérêt européen parce le marché américain est un marché plus fermé que le marché français ou globalement que le marché européen » ! Voilà qui sonne comme un aveu, puisque que l'on a la confirmation, de la bouche de Moscovici lui-même, que les marchés français et européen sont ouverts aux quatre vents. Mais le pire, selon sa logique, c'est qu'il nous faudrait donc les ouvrir davantage !

De toutes façons, Moscovici est plus optimiste que jamais et nous garantit que « la Commission européenne est mobilisée pour réussir cette négociation (sur le Tafta), pour qu’elle soit équilibrée et pour qu’elle défende nos intérêts. Il est hors de question d’accepter que la Politique agricole commune soit considérée comme un objet de protectionnisme ou soit vulnérabilisée ou menacée par ce traité, hors de question. » On s’en souviendra…"

A part cela, au sujet de l'Intelligence artificielle, je pense que les chercheurs font une erreur. Mais, un chercheur a toujours raison.....de chercher, alors, cherchez à lui prouver qu'il a tort ne peut avoir faire qu'à la fiction et lui, ce sont les faits avérés qui l'intéresse.
Pourtant, auraient-ils pu affirmer jadis que l'industrialisation allait détruire la surface de la terre ?
Non, alors, le progrès a continué.
C'est bien pour cela et quoiqu'en dise, la recherche sur l'intelligence artificielle va continuer et comme l'industrialisation jusqu'à son apothéose.

(source : Développez.com)

Intelligence artificielle : un robot montre des signes de conscience de soi
à l'issu d'un test effectué par des chercheurs

Le , par Michael Guilloux, Chroniqueur Actualités
L’intelligence artificielle (IA) poursuit son progrès pour faire des robots une réalité dans le quotidien de l’Homme. Les robots sont beaucoup plus répandus dans les grands milieux industriels où ils sont programmés pour le montage de pièces ou encore pour exécuter certaines tâches répétitives ou risquées pour l’humain. Mais, ces dernières années, les chercheurs travaillent d’arrache-pied pour le développement de robots humanoïdes, et les avancées sont remarquables. En mai dernier, par exemple, des chercheurs de Berkeley ont développé des algorithmes qui permettent à des robots d’apprendre de leurs erreurs et de s’améliorer, un peu comme le font les humains. Pendant que Google cherche également à doter ses machines d’une personnalité, de nouveaux travaux viennent de montrer des signes de conscience de soi chez un robot.

Il s’agit en fait d’un test effectué par des chercheurs de Rensselaer Polytechnic Institute de New York sur 3 robots NAO programmables. Chacun des robots avait la capacité de parler, mais lors du test, deux des robots ont été reprogrammés de sorte à garder le silence, alors que le 3ème pouvait toujours parler. Les chercheurs ont également fait savoir aux robots que deux d’entre eux – sans préciser lesquels - avaient reçu une « pilule de mutisme » qui les empêchait de parler. Ainsi, aucun des robots ne savait lesquels d’entre eux ne pouvaient pas parler et quel était celui qui pouvait le faire.

Les chercheurs ont ensuite demandé aux robots de déterminer lesquels d’entre eux avaient reçu la pilule de mutisme. N’ayant aucune idée, les robots ont tous les trois essayé de répondre « je ne sais pas », mais les deux qui étaient reprogrammés pour rester muets sont restés dans le silence. Le troisième s’est alors levé avant de répondre qu’il ne sait pas.

Dès qu’il a entendu et reconnu sa voix, ce dernier s’est alors rendu compte qu’il n’était pas possible qu’il ait reçu la pilule étant donné qu’il venait de parler. Il s’est alors repris avant de dire qu’il savait maintenant. « Désolé, je sais maintenant », a dit le robot avant d’ajouter que « j’ai été en mesure de prouver qu’on ne m'a pas donné de pilule de mutisme ».
D’après Selmer Bringsjord, professeur de sciences informatiques et sciences cognitives, « la race humaine ne doit pas construire des robots sophistiqués sans une attention délicate aux détails dans les logiques formelles ». Pour arriver à ce résultat, Bringsjord et son équipe ont utilisé de la programmation cognitive appelée IA psychométrique. Pour le chercheur, celle-ci offre de nombreuses possibilités de croissance pour permettre aux Hommes d’apprendre sur eux-mêmes et sur la manière dont les robots pourraient être utiles à l'avenir.

Source The christian science monitor

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