(blog à finir et à corriger)
Eh, bien, nous y voilà, mes chers cinq lecteurs, la psychiatrie (qui devrait être interdite, à mon avis) vole au secours de l'industrie alimentaire, après s'être vendu corps et âme à l'industrie pharmaceutique. De toute façon, pour moi, un psychiatre est un oiseau de mauvais augure et désormais un être vénal !
(source : Esprit Sciences Métaphysiques)
Bon, à part cela, désolé, mes chers lecteurs, il va falloir réviser l'histoire des espèces de notre ex douce planète.
(source : Esprit Sciences Métaphysiques)
CRÂNE ALLONGÉ DE PARACAS RÉVÉLÉE Photo credit: Marcia Moore / Ciamar Studio
Eh, bien, nous y voilà, mes chers cinq lecteurs, la psychiatrie (qui devrait être interdite, à mon avis) vole au secours de l'industrie alimentaire, après s'être vendu corps et âme à l'industrie pharmaceutique. De toute façon, pour moi, un psychiatre est un oiseau de mauvais augure et désormais un être vénal !
(source : Esprit Sciences Métaphysiques)
Des responsables déclarent que « manger sain » est un trouble mental
Des responsables déclarent que « manger sain » est un trouble mental
Tentant d’enrayer la ruée vers le changement d’alimentation et sa réforme, la psychiatrie a donné le feu vert à une promotion de relations publiques destinée à diffuser la prise de conscience liée à leur nouveau mot à la mode « orthorexia nervosa« , définie comme « l’obsession pathologique d’une nutrition biologiquement pure et saine. » Autrement dit, les experts affirment que notre volonté d’avoir une alimentation nutritive et saine est un trouble mental qu’il faut soigner.
CNN, Fast Company, Popular Science, et autres grandes sources de diffusion ont tous commencé relativement récemment à claironner cet argumentaire :
« Orthorexia nervosa est une étiquette qui désigne ceux qui cherchent à manger sainement. Caractérisés par des troubles du comportement alimentaire causés par le désir d’aliments « propres » ou « sains », les patients diagnostiqués avec ce problème se préoccupent excessivement de la composition de ce qu’ils mangent. »
En bref, si vous vous détournez de la nourriture industrielle de mauvaise qualité, contenant des additifs connus pour causer le cancer et liée à une longue tradition de malhonnêteté fondée sur un mode de fonctionnement du type « les bénéfices passent avant les gens », il se peut que vous souffriez d’une maladie mentale. La cerise sur le gâteau, c’est que si on vous colle l’étiquette pseudo-scientifique d’orthorexia nervosa, on vous prescrira des produits pharmaceutiques, connus comme toxiques, fabriqués par certains des conglomérats de grosses entreprises que vous vouliez justement éviter au départ en mangeant sainement.
Des responsables déclarent que « manger sain » est un trouble mental :
L’orthorexie n’apparaît pas encore dans la dernière édition de la Bible de la psychiatrie, leDiagnostic and Statistical Manual of mental Disorders (DSM) (le manuel des diagnostics et des statistiques des troubles mentaux), mais le mot est néanmoins couramment associé aux autres troubles de l’alimentation. Si l’on prend du recul et regarde ceux qui veulent nous coller cette étiquette sur le dos, on y trouve des motivations pour le moins douteuses.
La psychiatrie en général est comme les deux doigts de la main avec l’industrie pharmaceutique, qui fabrique les médicaments servant à « traiter » chacun de ces « troubles ». Ce sont souvent ces entreprises qui usent en coulisse de leur influence pour inventer de nouvelles catégories liées à la santé mentale, avec leurs produits toxiques comme solution. Cette récente offensive médiatique destinée à rendre populaire l’orthorexie comme trouble mental, dans le but de marginaliser ou de faire dérailler la révolution alimentaire, paraît morte dans l’œuf.
Manger sain
La communauté psychiatrique a même décrété que la créativité est une maladie mentale.Puisque les gens continuent à s’éloigner des systèmes médical et agroalimentaire en difficulté, comme on évite n’importe quelle relation abusive, les producteurs alimentaires sont prêts à tout faire pour maintenir le contrôle qu’il leur reste. Au cours des 5 dernières années, le marché des aliments bio et non-OGM a explosé, au point que les grandes entreprises qui se refuseraient à suivre la tendance, risquent des problèmes financiers ou la faillite. Qui plus est, les laboratoires pharmaceutiques ressentent la pression, dans la mesure où moins de gens souhaitent leurs remèdes toxiques, aux effets secondaires handicapants.
Certaines personnes [vont] peut-être trop loin, au point de se faire du mal, mais le problème auquel nous sommes confrontés dans le cas d’un système alimentaire toxique, est un danger bien plus important. Pour terminer, soyons conscients de quelques-unes des imbécillités dont nous abreuve l’industrie de la psychiatrie, financée par les laboratoires pharmaceutiques. Quand une alimentation saine ou la créativité deviennent des problèmes mentaux, quelque chose cloche.]
Certaines personnes [vont] peut-être trop loin, au point de se faire du mal, mais le problème auquel nous sommes confrontés dans le cas d’un système alimentaire toxique, est un danger bien plus important. Pour terminer, soyons conscients de quelques-unes des imbécillités dont nous abreuve l’industrie de la psychiatrie, financée par les laboratoires pharmaceutiques. Quand une alimentation saine ou la créativité deviennent des problèmes mentaux, quelque chose cloche.]
Par JEFFEREY JAXEN
Sources Des responsables déclarent que « manger sain » est un trouble mental :
Prison Planet
Popular ScienceJon Rappoport
Image
Prison Planet
Popular ScienceJon Rappoport
Image
(source : Esprit Sciences Métaphysiques)
PREMIÈRE ANALYSE DE L’ADN DU CRÂNE ALLONGÉ DE PARACAS RÉVÉLÉE
Par 13 mai 2015
PREMIÈRE ANALYSE DE L’ADN DU CRÂNE ALLONGÉ DE PARACAS RÉVÉLÉE, AVEC DES RÉSULTATS INCROYABLES
Première analyse de l’ADN du crâne allongé de Paracas révélée, avec des résultats incroyables
Paracas est une péninsule désertique située dans la Province de Pisco dans la région de l’Inca, sur la côte sud du Pérou. C’est ici qu’un archéologue péruvien, Julio Tello, a fait une découverte étonnante en 1928 – un cimetière contenant des tombes remplies avec les restes de personnes avec des crânes allongés – une des découvertes les plus complexes et importantes trouvées n’importe où dans le monde. Les « crânes de Paracas’ Au total, Tello a trouvé plus de 300 de ces crânes allongés, qui sont censés remonter à environ 3 000 ans. Une analyse de l’ADN a maintenant été réalisée sur l’un des crânes et Brien Foerster expert a publié des informations préliminaires concernant ces crânes énigmatiques. Il est bien connu que la plupart des cas d’allongement du crâne est le résultat de la déformation crânienne, technique d’aplatissement de la tête, dont le crâne est délibérément déformé en appliquant une force contraignante sur une longue période de temps. Il est habituellement réalisé en liant la tête entre deux morceaux de bois. Cependant, alors que la déformation crânienne modifie la forme du crâne, il n’altère pas son volume, poids ou autres éléments qui sont caractéristiques d’un crâne humain normal.
CRÂNE ALLONGÉ DE PARACAS RÉVÉLÉE Photo credit: Marcia Moore / Ciamar Studio
Les crânes de Paracas, sont différents
Le volume crânien est jusqu’à 25 % plus grand et plus lourd que les crânes humains classiques, ce qui signifie qu’ils ne pourraient pas avoir été intentionnellement déformés par le biais de liaison/aplatissement de la tête de 60 %.
Ils contiennent également une seule plaque pariétale, plutôt que deux.
Le fait que les caractéristiques de ces crânes ne soient pas le résultat de la déformation crânienne signifie que la cause de l’allongement reste un mystère toujours pas élucidé.
M. Juan Navarro, propriétaire et directeur du musée local d’histoire de Paracas, qui abrite une collection de 35 des crânes de Paracas, a autorisé le prélèvement d’échantillons de 5 des crânes.
Les échantillons étaient constitués de cheveux, y compris les racines, une dent, des os de crâne et de la peau, et ce processus a été soigneusement documenté par des photos et des vidéos.
Des échantillons de trois crânes ont été envoyés à l’analyse, bien que le généticien n’a pas eu connaissance sur ce qu’il devait rechercher, pour ne pas créer des idées préconçues.
Les résultats de l’analyse de l’ADN de l’un des crânes sont maintenant de retour, et Brien Foerster, auteur de plus de dix livres et expert sur les crânes allongés d’Amérique du Sud, vient de dévoiler les résultats préliminaires de l’analyse.
La conclusion est sans appel
L’ADN mitochondrial présente des mutations inconnues sur n’importe quel homme, primate ou animaux connus à ce jour.
Mais quelques fragments, séquencés de cet échantillon indiquent que si ces mutations persistent, nous avons à faire à une nouvelle créature humanoïde, très éloignée de l’Homo sapiens, les Néandertaliens et les Denisovans.
Mais quelques fragments, séquencés de cet échantillon indiquent que si ces mutations persistent, nous avons à faire à une nouvelle créature humanoïde, très éloignée de l’Homo sapiens, les Néandertaliens et les Denisovans.
Les implications sont évidemment énormes. « Je ne suis pas sûr qu’il rentre même dans l’arbre évolutionnaire connu, » a écrit le généticien. Il a ajouté que si les individus de Paracas étaient si biologiquement différents, ils n’auraient pas pu se croiser avec les humains.
Le résultat de cette analyse est la première phase de nombreuses phases d’analyses qui doivent avoir lieu.
Source : source
Revisiter l'histoire des espèces d'autant plus nécessaire qu'il y a des précédents, notamment en Indonésie. Perso, je ne crois pas que nous venions tous d'Afrique. Mais, je pense que la fonte des glaces remettra tout en place. Sauf que ceux qui croient détenir la vérité s'y accrochent, un manque d'imagination à mon humble avis.
(source : Science et Avenir)
Indonésie: les "petits hommes" de Florès, devenus nains pour mieux survivre ?
1 m de haut pour 25 kg, ce sont les toutes petites mensurations de l'Homo floresiensis. Selon de nouvelles études, il s'agirait d'un descendant d'Homo erectus qui se serait adapté aux faibles ressources de son environnement.
Au centre, un crane d'Homo floresiensis, nettement plus petit que ceux de ces cousins Homo erectus (à gauche) et Homo sapiens (à droite) JIM WATSON / AFP
HOBBITS. C'est peut-être parce que leurs affaires n'étaient pas florissantes sur leur île indonésienne voici plus de 12.000 ans que les "petits hommes" de Florès sont devenus des nains, révisant leurs ambitions à la baisse pour mieux survivre dans un environnement aux ressources limitées, estime une étude publiée mercredi 17 avril.
D'une taille d'environ 1 m pour 25 kg, l'Homo floresiensis qui vivait sur l'île de Florès était de surcroît doté d'une tête anormalement petite par rapport à son corps, abritant un cerveau d'une taille similaire à celui d'un chimpanzé.
Parfois surnommés "Hobbits" comme les petits personnages du "Seigneur des anneaux" de Tolkien, leur origine et leur anatomie sont au coeur d'une vive controverse depuis la découverte des fossiles de certains d'entre eux en 2003.
Espèce à part ou descendant d'autres hominidés, et lesquels ?
Selon des chercheurs japonais, qui ont notamment passé au scanner 3D le crâne de l'un d'entre eux, l'homme de Florès serait un pur produit de l'évolution locale. Un descendant perdu d'Homo erectus ("homme debout") qui aurait progressivement rapetissé au fil des générations pour adapter ses besoins à des ressources peu abondantes.
NANISME. Ce phénomène de "nanisme insulaire" est déjà bien connu chez les animaux. Des hippopotames pygmées qui vivaient jadis à Madagascar présentaient ainsi un cerveau 30% plus petit qu'attendu par rapport à leur taille.
Et grâce à des restes trouvés dans une caverne, on sait que l'homme de Florès chassait et consommait des éléphants pygmées qui étaient certainement passés par le même phénomène d'évolution.
"Il est possible qu'un Homo erectus de Java ait migré sur une île isolée et évolué en Homo floresiensis en raison d'un nanisme insulaire marqué", estime Yousuke Kaifu, du National Museum of Nature and Science de Tokyo, qui publie ses travaux dans la revue britannique Proceedings of the Royal Society B.
La taille réduite du cerveau des "petits hommes", 426 cm3 selon la modélisation des chercheurs japonais, contre 860 cm3 pour Homo Erectuset environ 1.300 cm3 pour l'homme moderne, serait donc uniquement liée à une adaptation acquise au fil des millénaires.
Des scientifiques ont proposé d'autres explications à ce nanisme exacerbé et à leur petite tête (microcéphalie).
MICROCÉPHALIE. La première est que ces "Hobbits" descendent d'un hominidé plus primitif que l'Homo erectus : Homo habilis, qui possédait un cerveau réduit. Mais rien n'est jamais venu prouver que ce primate africain ait jamais posé le pied en Asie.
La microcéphalie de l'homme de Florès pourrait aussi être le résultat d'une maladie neurologique, le crétinisme, pouvant avoir été causée par une carence liée à un régime alimentaire trop pauvre en iode.
Nains peut-être, mais pas crétins au point de ne pas savoir chasser, faire du feu et utiliser des outils de pierre pour dépecer leurs proies, rétorquent toutefois les adversaires de cette théorie.
Erwan Lecomte avec AFP, 17/04/13
Et, de toute façon, si, l'homininé est apparu en Afrique, il a pu apparaître sur n'importe quel coin de la planète avant, en même temps ou après.
C'est comme si, vous vous posiez la question, "Est-ce que la vie existe ailleurs que sur terre dans tous l'univers ?"
Avec la réponse, "Sûrement, quelque part".
Et, bien pour ce cas-là, c'est la même chose, autrement, demandez aux chinois, si, à l'origine, ils sortiraient de l'Afrique, vous allez voir ce qu'ils vont vous répondre.
A mon avis, cette théorie est la plus grande imposture de ces deux derniers siècles.
L'espèce homo sapiens a survécu même en se mélangeant à Néandertal et comme d'habitude, sans doute, en exterminant les autres espèces d'homininés qui ont nourri nos contes et légendes.
A bon entendeur, salut !
Mais, passons.
En attendant, un autre nucléaire est possible et comme à l'époque de la liquidation des voitures et camions électriques aux States, en faveur de la voiture à explosion, cet autre nucléaire a été remisé dans des tiroirs par les gros "cons" d'industriels qui n'ont qu'un vision à court terme, celle du "Profit".
(source : Les Moutons Enragés)
Mais, de toute façon, nucléaire propre ou pas, nous allons crever quand même à cause des vaches !
Conclusion, faisons comme à l'époque de Louis XIV, mangeons de la viande que tous les deux jours et respectons le carême, pas pour la religion, mais, pour la santé de la planète;
(source : Science et Avenir)
Eh, oui, mes chers lecteurs, les vaches pètent et les banques américaines font faillites, quoi de plus banal !
Ce qui entre-nous, va accentuer aux States la concentration des flux financiers entre des mains de plus en plus réduites, ce qui autorisera ces quelques mains à déclencher une future crise planifiée encore plus spectaculaire !
(source : Le Libre penseur)
Sauf qu'aux Etats-Unis, les banques et les abeilles, c'est du pareil au même !
(source : Reporterre)
Et, tiens donc, l'université de Chicago se pose des questions sur la finance qui s'accroche comme un pou au corps social et économique et le vampirise jusqu'au dernier sang.
(source : Slate.fr)
vvv
C'est comme si, vous vous posiez la question, "Est-ce que la vie existe ailleurs que sur terre dans tous l'univers ?"
Avec la réponse, "Sûrement, quelque part".
Et, bien pour ce cas-là, c'est la même chose, autrement, demandez aux chinois, si, à l'origine, ils sortiraient de l'Afrique, vous allez voir ce qu'ils vont vous répondre.
A mon avis, cette théorie est la plus grande imposture de ces deux derniers siècles.
L'espèce homo sapiens a survécu même en se mélangeant à Néandertal et comme d'habitude, sans doute, en exterminant les autres espèces d'homininés qui ont nourri nos contes et légendes.
A bon entendeur, salut !
Mais, passons.
En attendant, un autre nucléaire est possible et comme à l'époque de la liquidation des voitures et camions électriques aux States, en faveur de la voiture à explosion, cet autre nucléaire a été remisé dans des tiroirs par les gros "cons" d'industriels qui n'ont qu'un vision à court terme, celle du "Profit".
(source : Les Moutons Enragés)
Un autre nucléaire, sans Uranium, est en marche… !
Mais, de toute façon, nucléaire propre ou pas, nous allons crever quand même à cause des vaches !
Conclusion, faisons comme à l'époque de Louis XIV, mangeons de la viande que tous les deux jours et respectons le carême, pas pour la religion, mais, pour la santé de la planète;
(source : Science et Avenir)
Les vaches françaises émettent autant de gaz en un an que 15 millions de voitures !
L’Inra a conçu un régime alimentaire à base de lin pour réduire de 20 % le méthane émis par les vaches. Une démarche soutenue par l’association d’éleveurs « Bleu-blanc-cœur » présents au salon de l’agriculture dès le 23 février.
SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA
Les pets des vaches ça rapporte ! À l’occasion duSalon de l’Agriculture, l’association « bleu-blanc-cœur » lance sa « monnaie CO2 ». Il s’agit ni plus ni moins que de valoriser financièrement la réduction du méthane émis par les rots et pets des vaches.
EFFET DE SERRE. Le méthane est en effet un gaz à effet de serre 25 fois plus puissant que le CO2. Il fait partie du « panier » des gaz que les États signataires du protocole onusien de lutte contre le réchauffement climatique se sont engagés à réduire. Ces tonnes non émises peuvent donc être échangées sur le marché européen du carbone.
Une méthode de calcul pour déterminer la réduction en émission de méthane par les vaches qui suivent le régime
Par leurs émanations, les bovins représentent 5 % des 500 millions de tonnes de CO2 émises par la France, soit 26 millions de tonnes d’équivalent CO2 (un peu plus d’un million de tonnes de méthane). On pourrait penser qu’on ne peut rien n’y faire...
LIN. Détrompez-vous ! Des travaux de l’Inra démontrent que le lin permet de réduire de 20 % les rejets de méthane des bovins comme des porcs ou des ovins : « le méthane est produit par la dégradation des glucides,explique Michel Doreau, chercheur à l’Inra Clermont-Ferrand. Le lin a cette particularité d’en comporter peu et de contenir en revanche beaucoup de glucides. C’est cette substitution qui provoque la baisse d’émissions ».
Ces travaux menés au cours des années 2000 sont financés en partie par Danone et par une PME de l’alimentation animale, Valorex. Cette petite entreprise propose depuis 1993 une filière de graines riches en protéines (lupin, pois, féveroles) et en Omega 3 (le lin).
Il s’agit de diminuer la part du maïs et surtout du soja dans la ration des animaux d’élevage, notamment pour des raisons de dépendance alimentaire vis-à-vis des grands pays producteurs souvent OGM comme le Brésil. Ces aliments sont par ailleurs bénéfiques pour la santé des animaux.
"VISIOLAIT". Les travaux de l’Inra débouchent en 2008 sur une méthode qui permet de calculer exactement les kilos de méthane non émis par la vache.
« Il y a en effet un lien direct entre la dégradation des glucides dans le rumen (un des organes de l’appareil digestif de la vache) et la production d’acides gras volatils et de méthane,poursuit Michel Doreau. Nous avons donc élaboré une méthode de calcul qui permet à partir de l’analyse des teneurs en acide gras du lait de déterminer la réduction des émissions de méthane ».
Crédit superstock/superstock/sipa
Danone n’étant pas intéressé, c’est Valorex qui profite de l’innovation pour déposer un brevet. 500 éleveurs (sur 72 000 répertoriés en France) se soumettent aujourd’hui à la méthode « visiolait ».
Ce n’est qu’un début car ce brevet a depuis été examiné et étudié dans un premier temps par le Ministère du Développement Durable, puis par la convention climatique de l’ONU. Laquelle a validé la méthode en août 2012. Celle-ci fait désormais partie du catalogue regroupant toutes les technologies reconnues pour leur efficacité en matière de réduction de gaz à effet de serre.
ESTIMATIONS. C’est la seule agréée au monde pour l’élevage. Valorex a pu ainsi ouvrir un compte officiel auprès de l’État Français : « en théorie, si toutes les vaches françaises mangeaient du lin et rotaient 10 % de méthane en moins, l’économie serait de 2,6 millions de tonnes d’équivalent CO2 par an, soit ce qu’émet 1,5 million de voitures en un an » assure Pierre Weill, président de Valorex.
Plus prosaïquement, Jean-Pierre Pasquet, éleveur en Bretagne, fait son calcul à l’échelle de son exploitation : « en introduisant du lin dans la ration de mes 35 vaches, j’évite des émissions équivalentes à 400 000 kilomètres de trajets en voiture ». Sans opposer d’objections, l’Inra précise cependant qu’il faudra régulièrement vérifier qu’il n’y a pas de dérive dans les méthodes de calcul.
Pour les agriculteurs qui jouent le jeu, une rémunération de 100 euros pour chaque tonne non émise
Malheureusement, la tonne de CO2 aujourd’hui s’échange à moins de 5 euros la tonne. Pas de quoi inciter les éleveurs à donner à manger du lin à leurs vaches. Aussi, Valorex a décidé de quitter le champ strictement économique.
Depuis 2000, l’entreprise chapeaute l’association « Bleu-blanc-cœur » qui fédère les éleveurs promouvant une alimentation plus saine pour leurs animaux. Cet effort est indiqué aux consommateurs par un logo – la petite fleur bleue de lin- apposé aux viandes, charcuteries, produits laitiers, œufs, pains inclus dans la démarche.
RÉMUNÉRATION. Les agriculteurs se voient donc aujourd’hui proposer une rémunération de 100 euros pour chaque tonne non émise. Cette somme est versée par des industriels vendant des fournitures agricoles sous forme de rabais sur leur produit.
Ainsi, une clôture électrique alimentée par des panneaux solaires d’une valeur de 1 000 euros, sera vendue 900 euros car le producteur va acheter une tonne de CO2. Des produits de grande consommation sont aussi concernés comme du jambon en tranches ou des poulets. Pour la marque, la contrepartie de l’achat des tonnes de CO2, c’est l’apposition d’un logo garantissant une alimentation saine.
Lors du salon de l’agriculture, l’association va organiser des visites sur les stands de quelques-uns des 400 de ses adhérents présents.
Loïc Chauveau
Sciences et Avenir
22/02/13
Sciences et Avenir
22/02/13
Eh, oui, mes chers lecteurs, les vaches pètent et les banques américaines font faillites, quoi de plus banal !
Ce qui entre-nous, va accentuer aux States la concentration des flux financiers entre des mains de plus en plus réduites, ce qui autorisera ces quelques mains à déclencher une future crise planifiée encore plus spectaculaire !
(source : Le Libre penseur)
Les faillites des banques US continuent !
Encore une belle faillite de bankster qui n’augure absolument rien de bon. Cette année ne semble pas être celle de la reprise tant attendue mais bien de la continuité méthodique de la casse économique orchestrée par l’élite mondialiste.
(Boursier.com) — D’après la FDIC (Federal Deposit Insurance Corp), une banque américaine a fait faillite outre-Atlantique la semaine dernière.
Il s’agit de Edgebrook Bank (Chicago, IL), qui gérait 90 M$ d’actifs et 90 M$ de dépôts. Republic Bank of Chicago va prendre en charge les dépôts. Depuis le début de l’année 2015, cinq banques US ont fermé leurs portes, contre un total de 18 en 2014, 24 en 2013, 51 en 2012, 92 en 2011, 157 en 2010, 140 en 2009, 25 en 2008 et 3 en 2007."
Sauf qu'aux Etats-Unis, les banques et les abeilles, c'est du pareil au même !
(source : Reporterre)
Aux Etats-Unis, les abeilles connaissent un déclin record
15 mai 2015
Selon un rapport publié par le ministère des Etats-Unis de l’Agriculture, les déclins d’abeilles ont connu durant l’année 2014-2015 un déclin record. La perte a atteint plus de 42 % des ruches, selon une enquête menée auprès de 6 100 apiculteurs élevant plus de 400 000 ruches.
Et, tiens donc, l'université de Chicago se pose des questions sur la finance qui s'accroche comme un pou au corps social et économique et le vampirise jusqu'au dernier sang.
(source : Slate.fr)
Il ne s’agit pas d’un énième pamphlet de nostalgique du marxisme sur les méfaits du capitalisme. Non, il s’agit des conclusions de travaux très sérieux menés par Luigi Zingalesun professeur d’économie très réputé de l’Université de Chicago, un établissement qui en plus est l’un des berceaux du libéralisme économique. Et ces conclusions sont sans appel. Rien en théorie et en pratique ne permet de dire «que la croissance du secteur financier au cours des 40 dernières années a apporté le moindre bénéfice à la société».
«Depuis la façon dont le taux Libor était trafiqué en passant par les manipulations sur les marchés de change, depuis le prix faussé de l’once d’or jusqu’à la fraude massive dans les prêts immobiliers subprimes, il ne se passe pas un jour sans un nouveau scandale financier», écrit Luigi Zingales. Il considère qu’une grande partie de l’industrie financière des pays développés (banques, assurances, marchés financiers, marchés dérivés, marchés des matières premières…) est inutile, corrompue et socialement destructrice. Et il met en garde ses confrères économistes qui mettent leur crédibilité en jeu s’ils ne reconnaissent pas cette vérité.
Timothy Taylor, du Journal of Economic Perspectives, défend la même thèse et cite dans son blog, Conversable Economist, Stephen Cecchetti de la très austère Banque des Réglements internationaux de Bâle qui soulignait il y a trois ans que l’explosion du crédit avant le krach de 2008 avait mis l’économie en péril et totalement faussé sa logique et même celle de la société.
«Les rémunérations considérables de la finance attire les meilleurs des meilleurs. Quand j’étais étudiant, mes camarades rêvaient de guérir le cancer, d’unifier la physique de l’infiniment grand et de l’infiniment petit ou d’envoyer un vaisseau spatial sur Mars. Aujourd’hui, leurs équivalent veulent devenir gestionnaire de hedge fund… Est-ce l’allocation de talents la meilleure pour de telles ressources aussi rares? J’en doute», écrit Stephen Cecchetti.
Pour Luigi Zingales, les enseignants et notamment les professeurs de finance sont aussi une partie du problème. Ils expliquent à leurs étudiants que les gains financiers sont le seul objectif légitime. «Nous apprenons à nos étudiants comment maximiser les avantages fiscaux de l’endettement et comment exploiter chaque opportunité d’arbitrage. Les consommateurs sont souvent considérés non pas comme des êtres humains à respecter mais comme des contreparties à lessiver…».
Et il met en garde une industrie financière «démesurée et méprisante» qui n’a pour seul raison d’être que sa propre existence parasitaire plutôt que de servir les secteurs productifs de l’économie. C’est une situation intenable qui va se traduire par un rejet de plus en plus grand de la finance qui atteindra les proportions de celui qui a suivi aux Etats-Unis la crise de 1929."
vvv
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