(blog à finir et à corriger)
Ils veulent continuer à laminer la Grèce tant qu'elles n'est pas devenue une propriété privée des plus gros investisseurs internationaux. L'Europe et les States vont s''y mettre pour l'étrangler et la France en même temps qui semble hésiter quant-à la conduite à tenir vis-à-vis du nouveau gouvernement Grec.
(source : Politis)
Et, oui, mes chers lecteurs, il faut étouffer l'espoir dans le coeur des citoyens européens qu'une autre Europe, plus juste socialement et non inféodés à la finance et aux multinationales qui corrompent nos élus puisse exister.
C'est bien pour cela qu'il faille sortir de celle-là pour en construire une autre en parallèle avec les pays dont les peuples exigent un changement. Laissons l'Allemagne, l'Angleterre, le duché du Luxembourg avec leur Europe et bâtissons un qui respecte les nations et les peuples !
Mais, en attendant en Ukraine, la Russie joue au furet, elle est passé par ici, elle repassera par là.
Les néo-nazis du gouvernement de Kiev veulent éradiquer 8 millions de russes et de russophones, un cauchemar sanglant qui massacrent volontairement des civils !
France, réveille-toi, arrête de vouloir laminer le peuple grec et soutenir des nazis en Ukraine, redeviens toi-même, le défenseur des peuples et non du capital !
(source : Novorossia today)
Ils veulent continuer à laminer la Grèce tant qu'elles n'est pas devenue une propriété privée des plus gros investisseurs internationaux. L'Europe et les States vont s''y mettre pour l'étrangler et la France en même temps qui semble hésiter quant-à la conduite à tenir vis-à-vis du nouveau gouvernement Grec.
(source : Politis)
Juncker dit « non » à la Grèce et menace la France
« Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens », affirme notamment le président de la Commission européenne.
Intraitable. Dans un entretien au Figaro (29 janvier, édition abonnés), le président de la Commission européenne adresse une fin de non-recevoir au gouvernement grec conduit par Alexis Tsipras. Sur l’annulation de la dette, Jean-Claude Juncker oppose à la Grèce un « non » catégorique :
Les élections ne changent rien, affirme en substance le président de la Commission européenne. Sans prendre beaucoup de gants :
Rigide quand il radote le credo de toutes les Commissions : « Nous voudrions voir la France renforcer ses réformes, en nombre comme en intensité. » Selon lui, « la France soufre d’un manque de réformes dites structurelles, de réformes qui portent sur l’essentiel (…). Elle doit soigneusement examiner les faiblesses de son droit du travail. » Menaçant lorsqu’il réaffirme qu’« il n’y a pas d’autre remèdes que de la consolidation budgétaire » (sic) et n’exclut pas de sanctionner la France si son déficit n’est pas réduit : « Un pays ne peut pas échapper aux sanctions s’il ne respecte pas les règles. »
Il n’y a pas de « diktat » allemand, affirme le président de la Commission européenne. « Cette impression d’un diktat, d’une machine allemande qui laminerait toute contradiction est parfaitement erronée », soutient-il. Avant de lever un coin du voile de secret qui entoure les sommets européens : « D’autres gouvernement, parfois même socialistes, étaient beaucoup plus sévères à l’égard de la Grèce, par exemple. » Une confidence dont la véracité ne nous paraît pas contestable. Allez savoir pourquoi…"
« Athènes a accepté deux plans d’ajustement (de redressement, NDLR), elle doit s’y sentir tenue. Il n’est pas question de supprimer la dette grecque. Les autres pays européens ne l’accepteront pas. »On a connu le président de la Commission plus conciliant quand, Premier ministre du Luxembourg, il autorisait des dizaines de multinationales à s’affranchir des législations fiscales des pays membres de l’UE.
Les élections ne changent rien, affirme en substance le président de la Commission européenne. Sans prendre beaucoup de gants :
« Dire qu’un monde nouveau a vu le jour après le scrutin de dimanche n’est pas vrai. Nous respectons le suffrage universel en Grèce, mais la Grèce doit aussi respecter les autres, les opinions publiques et les parlementaires du reste de l’Europe. Des arrangements sont possibles, mais ils n’altèreront pas fondamentalement ce qui est en place. »Vous n’êtes pas certain d’avoir compris ? « Dire que tout va changer parce qu’il y a un nouveau gouvernement à Athènes, c’est prendre ses désirs pour des réalités », ajoute encore Jean-Claude Juncker, qui lâche une phrase terrible, qui résume toutes les limites de la démocratie dans l’Union européenne :
« Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens. »Interrogé sur la France, et notamment sur la question de savoir si la Commission va accepter d’accorder à notre pays un délai supplémentaire pour réduire le déficit à 3 % du PIB, Jean-Claude Juncker se montre également rigide et menaçant.
Rigide quand il radote le credo de toutes les Commissions : « Nous voudrions voir la France renforcer ses réformes, en nombre comme en intensité. » Selon lui, « la France soufre d’un manque de réformes dites structurelles, de réformes qui portent sur l’essentiel (…). Elle doit soigneusement examiner les faiblesses de son droit du travail. » Menaçant lorsqu’il réaffirme qu’« il n’y a pas d’autre remèdes que de la consolidation budgétaire » (sic) et n’exclut pas de sanctionner la France si son déficit n’est pas réduit : « Un pays ne peut pas échapper aux sanctions s’il ne respecte pas les règles. »
Il n’y a pas de « diktat » allemand, affirme le président de la Commission européenne. « Cette impression d’un diktat, d’une machine allemande qui laminerait toute contradiction est parfaitement erronée », soutient-il. Avant de lever un coin du voile de secret qui entoure les sommets européens : « D’autres gouvernement, parfois même socialistes, étaient beaucoup plus sévères à l’égard de la Grèce, par exemple. » Une confidence dont la véracité ne nous paraît pas contestable. Allez savoir pourquoi…"
Et, oui, mes chers lecteurs, il faut étouffer l'espoir dans le coeur des citoyens européens qu'une autre Europe, plus juste socialement et non inféodés à la finance et aux multinationales qui corrompent nos élus puisse exister.
C'est bien pour cela qu'il faille sortir de celle-là pour en construire une autre en parallèle avec les pays dont les peuples exigent un changement. Laissons l'Allemagne, l'Angleterre, le duché du Luxembourg avec leur Europe et bâtissons un qui respecte les nations et les peuples !
Mais, en attendant en Ukraine, la Russie joue au furet, elle est passé par ici, elle repassera par là.
Les néo-nazis du gouvernement de Kiev veulent éradiquer 8 millions de russes et de russophones, un cauchemar sanglant qui massacrent volontairement des civils !
France, réveille-toi, arrête de vouloir laminer le peuple grec et soutenir des nazis en Ukraine, redeviens toi-même, le défenseur des peuples et non du capital !
(source : Novorossia today)
Etat-Major Général des Forces Armées de l’Ukraine : pas d’armée russe au Donbass
Les militaires ukrainiens ne disposent des informations que sur des cas isolés des citoyens russes qui se battent du côté des FAN.
Kiev a reconnu ne pas disposer des faits sur la présence des unités de l’armée régulière russe en zone de conflit au sud-est de l’Ukraine. C’est la déclaration qui a été faite aujourd’hui lors d’une émission en direct de la 5e chaine de la télévision ukrainienne par le responsable de l’Etat-Major Général des FAU Victor Moujenko.
— Actuellement, nous avons uniquement des faits isolés concernant des citoyens ou des militaires de la Fédération de la Russie, membres des groupements paramilitaires illégaux. J’ajouterai qu’en ce moment l’armée ukrainienne n’est pas engagée dans des actions contre les unités régulières de l’armée de la Russie, – a déclaré Moujenko.
Cela étant, auparavant les représentants des autorités ukrainiennes ont à différentes reprises qualifié la Russie de “pays-agresseur” par rapport à la situation au Donbass. Ainsi, la Rada s’est empressée d’attribuer à la Russie le statut correspondant. Selon certains députés ce n’était qu’une formalité sans conséquences. Le président de l’Ukraine Petro Porochenko a toujours évité d’utiliser de telles formules lors de ces déclarations publiques. Cependant, il a écrit il y a quelques jours sur sa page Twitter que “son peuple s’apprête à célébrer le 70e anniversaire de la Victoire contre le fascisme dans des condition d’une agression russe”.
Le point de vue similaire a été exprimé par des hommes politiques européens et les représentants du département de l’Etat des Etats Unis. Malgré cela, toutes les requêtes aussi bien officielles que non officielles des politiciens russes, pour demander de fournir des quelconques preuves permettant à Kiev et à l’Occident des faire des conclusion sur la participation du contingent russe au conflit au Donbass, sont restées sans suite.
Au début de cette année, le ministre des Affaires Etrangères de la Russie Sergueï Lavrov a déclaré que personne n’a été en mesure de fournir des preuves qui confirmeraient la présence des militaires russes en Ukraine. Ces paroles ont suscité une vive réaction de rejet dans la presse ukrainienne, cependant même le commandement de Kiev donne la raison à la partie russe à ce sujet.
Source : Life News
Et, parfois, des peuples se révoltent au sein des Etats. Nous devrions tous faire pareil. Par exemple, le gouvernement grec pourrait s'opposer à la poursuite de la négociation secrète du traité transatlantique,il en a le droit en tant que membre de l'UE.
(source : Non au traité transatlantique)
L’accord commercial Canada-UE est entre les mains de Terre Neuve : son retrait des négociations …
Publié : 27/01/2015 Classé dans : " MOBILISATIONS, *.Accord UE/Canada AECG / CETAPoster un commentaire
L’accord commercial Canada-UE est entre les mains de Terre Neuve : son retrait des négociations sans précédent
Communiqué de presse
20 janvier, 2015
Alors que le gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador prenait une initiative sans précédent en menaçant de retirer son appui au projet d’Accord économique et commercial global (AECG) – l’accord de libre-échange entre le Canada et l’Union européenne – et de se retirer de toutes les négociations commerciales futures concernant le Canada, le Conseil des Canadiens, un ardent défenseur des intérêts des citoyens dans des accords commerciaux, a tenu à féliciter le gouvernement pour cette annonce.
En effet, le ministre des Affaires, du Tourisme, de la Culture et du Développement rural Darin King s’est montré catégorique : « Si nous ne voyons aucun progrès, nous prendrons les mesures commerciales annoncées ici même et mettrons un terme à l’Accord. Terre-Neuve ne fera plus partie de l’équation. »
« En France ou en Allemagne, l’opposition à cet accord prend de l’ampleur. Terre-Neuve serait en bonne compagnie s’il venait à retirer son appui à l’Accord », a noté Maude Barlow, présidente du Conseil des Canadiens. « L’AECG est mauvais pour Terre-Neuve-et-Labrador et une catastrophe pour tous les Canadiens. Il accorde un pouvoir extraordinaire aux sociétés pour poursuivre les gouvernements. Il n’est donc pas étonnant que les citoyennes et les citoyens de Terre-Neuve et leur gouvernement soient contrariés. »
Terre-Neuve conteste le fait que le gouvernement Harper revienne sur sa promesse d’établir un fonds de 400 millions de dollars pour l’industrie provinciale des pêches. Ce soutien financier aurait permis de compenser les pertes d’emplois attribuables à l’abandon des exigences minimales de transformation pour les usines de poissons de la province dans le cadre de l’accord de libre-échange canado-européen.
Le Conseil des Canadiens demande de nouveau à la province de tenir des consultations publiques sur cet accord.
« Encore une fois, cet accord est entre les mains de Terre-Neuve, qui est la seule province à défendre les emplois et les intérêts de ses citoyens », a ajouté Ken Kavanagh, membre du Conseil des Canadiens à St. John’s. « L’AECG et son vaste programme de « libre-échange » est une mauvaise idée pour les gens de Terre-Neuve-et-Labrador. Nous demandons au gouvernement d’aller plus loin en organisant des consultations publiques sur l’AECG. Terre-Neuve est peut-être la seule province assez courageuse pour défendre les Canadiennes et les Canadiens et rejeter cet accord. »
En plus de renoncer à la réglementation qui protège les emplois dans l’industrie provinciale des pêches, l’accord de libre-échange Canada-Europe pourrait contraindre les Canadiens à dédommager des investisseurs privés pour perte de profits escomptés en vertu des dispositions de règlement des litiges entre investisseurs et États. En 2012, les tribunaux de l’ALENA avaient décidé que Terre-Neuve ne pouvait pas exiger que les producteurs du champ pétrolifère Hibernia investissent une part de leurs profits dans la recherche et le développement.
En 2010, le gouvernement Harper payait 130 millions de dollars pour régler un litige investisseur-État avec AbitibiBowater. Pendant que la société était en procédure de faillite, Terre-Neuve essayait de sauver des emplois en expropriant l’usine de Grand Falls-Windsor. La société a accusé la province d’exproprier ses droits de coupe et ses droits d’usage de l’eau.
Terre-Neuve-et-Labrador devra également faire face à une augmentation de plusieurs millions de dollars pour les produits pharmaceutiques puisque, par le biais de l’AECG, le gouvernement Harper a accepté d’élargir la portée des protections conférées par les brevets à des sociétés déjà extrêmement rentables. En 2011, l’Association canadienne du médicament générique (ACMG) estimait le coût de cette provision à 13,2 millions de dollars par année pour la seule province de Terre-Neuve-et-Labrador. Une autre étude de la politique sur les produits pharmaceutiques réalisée la même année par deux universitaires de haut niveau affirmait que le manque à gagner se chiffrerait plutôt à 46 millions de dollars par année.
Le gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador a déjà fait des représentations auprès de nombreuses ambassades européennes. Ses démarches signifient que la province met un terme à toutes les négociations commerciales, y compris le Partenariat transpacifique, l’Accord général sur le commerce des services, l’Accord de partenariat économique Canada-Japon ainsi que toutes les négociations liées à l’Organisation mondiale du commerce.
Le Conseil des Canadiens milite depuis longtemps contre l’AECG et a déjà obtenu des rencontres avec des députés en Europe et au Canada."
vvv
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