lundi 19 janvier 2015

(blog à finir et à corriger)

Bon, mes chers lecteurs, il faudrait peut-être que les intérêts financiers, industriels américains qui veulent contrôler toute la planète en utilisant le gouvernement, les services gouvernementaux (CIA, NSA) et les faucons du pentagone feraient bien d'arrêter de foutre le feu à la planète.
Qu'ils causent la mort de millions de personnes et en jettent des dizaines d'autres dans la misère, ils en ont l'habitude parce que le déclenchement de guerres fait parti de leur stratégie.
Aujourd'hui, ils ont la puissance des Etats-Unis derrière eux et je dirais que cette puissance leur est uniquement dédié, à eux, et plus aux intérêts du peuple américain. Car, lorsque leurs intérêts s'opposent à ceux du peuple américain, ce sont les leurs qui priment et le gouvernement sert la soupe habituel, "L'intérêt du pays prime !"
Sauf, que le peuple américain n'a plus rien à dire, à part à la marge, pour que la fable de la "démocratie" américaine puisse perdurer en empêchant le citoyen de trop se pencher sur cette réalité, la démocratie a été kidnappée par les corporations.
Une évidence, lorsqu'une collectivité bloque une multinationales, celle-ci porte plainte et la justice l'oblige à capituler ou à la dédommager, ce qui de toute façon la ruinera et l'obligera à se soumettre. Donc, la sécurité du citoyen passe après celle des corporations avec l'aval d'un état qui a été créé pour le protéger.
Elle est où la justice américaine ?
Eh, bien, je suis désolé, elle n'est plus là, elle s'est mise en congé en attendant que les citoyens américains se réveillent et remettent au jour les lois qui existent toujours, mais, ont été neutralisées depuis l'époque reagan et avant lui avec la création de la FED.
Mais, passons.

(source : Agence Info Libre)

Général V. Desportes : « les Etats-Unis ont crée Daech » !

Vincent-Desportes-UNIQUE
Le 17 décembre 2014, la Commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées tenait un débat en séance publique à propos de la prolongation de l’opération Chammal en Irak. Présidée par Jean-Pierre Raffarin la Commission a interrogé lors des débats le Général Henri Bentégeat (2S), ancien chef d’état-major des armées, le Général de corps d’armée Didier Castres, sous-chef d’état-major Opérations, Monsieur Hubert Védrine, ancien ministre des Affaires étrangères, le Général de division (r) Vincent Desportes, professeur associé à Sciences Po Paris et Monsieur Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense.
Revenons en détail sur l’intervention du Général Vincent Desportes. Commençant son intervention sur un mot de présentation de Daech, soulignant notamment le danger réel du groupe sur nos intérêts vitaux, ce dernier déclara sans ambages :
Quel est le docteur Frankenstein qui a créé ce monstre ? Affirmons-le clairement, parce que cela a des conséquences : ce sont les États-Unis. Par intérêt politique à court terme, d’autres acteurs – dont certains s’affichent en amis de l’Occident – d’autres acteurs donc, par complaisance ou par volonté délibérée, ont contribué à cette construction et à son renforcement. Mais les premiers responsables sont les États-Unis. Ce mouvement, à la très forte capacité d’attraction et de diffusion de violence, est en expansion. Il est puissant, même s’il est marqué de profondes vulnérabilités. Il est puissant mais il sera détruit. C’est sûr. Il n’a pas d’autre vocation que de disparaître.
Voilà qui a le mérite d’être clair !
Alertant les membres de la Commission sur les incidences d’une guerre menée dans un contexte de réduction de nos forces, le Général Desportes déclara :
Au bilan, quelle que soit l’armée considérée, nous sommes engagés au-dessus des situations opérationnelles de référence, c’est-à-dire que chaque armée est en train d’user son capital sans avoir le temps de le régénérer. Nous avons des forces insuffisantes en volume. Pour compenser, tant au niveau tactique qu’au niveau stratégique, nous les faisons tourner sur un tempo très élevé qui les use. C’est-à-dire que si ce suremploi continue, l’armée française sera dans la situation de l’armée britannique sur-employée en Irak et en Afghanistan et obligée pendant quelques années d’arrêter les interventions et de régénérer son capital « at home ». L’effort considérable produit aujourd’hui au profit des interventions a des répercussions fortes et mesurables sur les forces en métropole, en terme de préparation opérationnelle en particulier. Le sens des responsabilités exige de tordre définitivement le cou au mythe de la guerre courte.
Après quelques mots sur les bases de la stratégie militaire, le Général Desportes énonça une série de principes, au nombre de cinq, devant guider toute décision d’intervention.
Selon ce premier principe, il ne faut s’engager que si l’on peut influencer au niveau stratégique. Le risque d’user ses forces armées si ce précepte n’est pas respecté, avec le discrédit et le déficit d’image qui s’en suit, est mis en avant.
C’est le cas de la France en Afghanistan : elle y a conduit une « guerre américaine » sans influence stratégique globale, sans influence sur le cours des opérations, sans influence sur la direction de la coalition.
Deuxième principe : il ne faut intervenir que là où cela a du « sens stratégique ».
La France est grande dans le monde, en particulier par sa place au Conseil de sécurité des Nations unies. Mais cette place lui est contestée tous les jours, et il faut qu’elle la défende, qu’elle la légitime tous les jours. Et elle ne peut le faire que par sa capacité de gestion utile des troubles du monde. Ce qui, au passage, impose absolument la nécessité de conforter notre capacité à agir comme « nation-cadre » et à « entrer en premier ». N’en doutons pas : notre place parmi les cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies et notre influence dans les affaires du monde sont d’abord fondées sur notre capacité à agir de manière concrète dans les crises (capacité et crédibilité).
Troisième principe : il faut définir des objectifs atteignables. Prenant l’exemple de l’Afghanistan, le Général déclare que « les objectifs ont très vite dérivé et dépassé les moyens dont la coalition disposait (en termes de temps et de capacité de contrôle de l’espace terrestre en particulier). »
Quatrième principe : il ne faut intervenir que quand l’action envisagée est compatible avec les moyens disponibles, immédiatement et à terme. Faisant partie des premiers à avoir critiqué publiquement le Livre blanc de la Défense 2013,  le Général Desportes déclara :
Le Livre blanc 2013 parle de « volume de forces suffisants ». Dans les faits, l’opération Serval était un pari extrêmement risqué, chacun le sait, en raison du très faible volume de forces déployées, conjugué à la grande vétusté de la majorité des équipements utilisés. L’opération Sangaris est un pari qui a échoué : le pari fait de la « sidération initiale » a échoué. Ensuite, le déni de réalité conjugué à notre manque de moyens a empêché l’adaptation de la force à la réalité du terrain et au déploiement immédiat des 5 000 hommes qui étaient indispensables.
Cinquième principe : il ne faut pas faire le premier pas sans envisager le dernier.
Cela veut dire qu’il faut évaluer sans idéologie, sans aveuglement, les conséquences d’une intervention, surtout si l’on n’a pas l’intention d’aller jusqu’au bout.
A la fin de son intervention, le Général Desportes a continué à alerter les membres de la Commission sur le délitement de nos forces armées.
Le sous-dimensionnement patent du budget OPEX a des effets pervers considérables dont doivent être conscients ceux qui en décident. D’abord, laisser dire par les media, sans démenti formel, que les armées dépensent indûment le maigre budget français relève de la faute morale, au moment où nos soldats se battent sur tous les fronts, pour la France et à ses ordres, avec des ressources beaucoup trop comptées. Ensuite, parce que nous sommes toujours en dessous de la « taille critique », ce sous-dimensionnement du budget a des conséquences directes tant sur le succès des opérations que sur la sécurité de nos soldats : ils s’en retrouvent mis en danger.
A propos de l’opération Chammal, le Général déclare :
J’en arrive à Chammal. Après quelques détours, j’en conviens, mais l’on ne perd jamais son temps à prendre un temps de recul stratégique, à une époque où, justement, la tendance est de raisonner dans le temps court, en termes de dépenses de comptoir, des problèmes qui relèvent du temps long et d’investissements lourds. Je ne m’attarde pas sur l’ahurissante contradiction actuelle entre, d’une part, l’embrasement du monde à nos portes, à notre est, à notre sud-est, à notre sud, la multiplication de nos interventions et, d’autre part, la détérioration profonde et rapide de nos capacités budgétaires avec, en aval, celle de nos capacités militaires. Tout le monde le sait, à droite et à gauche. Certains, trop peu nombreux, le disent. (…) Alors ? Tenons-nous au principe bien connu de la guerre : le principe de concentration … ou à sa version populaire : « qui trop embrasse mal étreint ». Arrêtons de nous éparpiller ! Regardons les choses en face.
État islamique. « Daech delenda est » : certes ! Nous sommes profondément solidaires, mais nous ne sommes aucunement responsables. Nos intérêts existent, mais ils sont indirects. Nos capacités sont limitées et dérisoires, là-bas, par rapport à celles des États-Unis et notre influence stratégique est extrêmement limitée.



Et, que se passe-t-il sur le front mosanto.

(source : le Blog Finance)

OGM : le parlement européen ouvre une voie royale à Monsanto et Pionner

Nouvelle  information voyant le jour alors que le monde occidental est  secoué par l’attentat perpétré dans les locaux de Charlie Hebdo : le Parlement européen a ouvert mardi le marché de l’Union européenne à la culture des OGM. 
Le Parlement européen a ainsi adopté – par 480 voix contre 159 un accord obtenu avec les gouvernements en décembre 2014 en vue de débloquer un dossier sans réel avancé depuis quatre ans.
Une superbe victoire pour Monsanto  même si les députés ont toutefois accordé aux États membres le droit de l’interdire sur leur territoire. Les nouvelles règles fixant les modalités d’autorisation de culture des organismes génétiquement modifiés permettent en effet aux États membres de l’interdire, même en cas de feu vert de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa). Un garde-fou tenant compte de raisons socio-économiques, environnementales ou liées à l’utilisation des terres agricoles.
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Les États membres autorisant les cultures devront aussi prendre des mesures pour prévenir la dissémination des cultures non-OGM, en particulier dans les pays voisins. Une allusion à peine voilée à la pratique de contamination qui – selon le site infogm.org – semble être une des stratégies employées par Monsanto pour obtenir les autorisations commerciales et la diffusion des variétés transgéniques.  Stratégie qui aura déjà « fait ses preuves » au Brésil avec les variétés de soja Roundup Ready venues d’Argentine, ou en Inde avec le coton Bt.
Ces nouvelles règles sont loin de faire l’unanimité. Les Verts ont ainsi voté contre cette nouvelle législation, elle-même soutenue par la droite, les socialistes et les libéraux. Selon les écologistes, il s’agit d’une « mauvaise mesure ».   »L’Europe va devenir un patchwork en matière d’OGM, alors que nous avons besoin d’une approche commune », a dénoncé la co-présidente des Verts, Rebecca Harms.
« La puissance publique européenne abdique. Aux multinationales d’ouvrir le bal. La porte est ouverte à Monsanto, Pionner and co », a quant à lui protesté l’eurodéputé Vert français José Bové.
Néanmoins cette voie pourtant quais royale n’a pas l’heur de plaire au secteur industriel, pointant du doigt les restrictions offertes aux pays membres. D’autant plus que ces dernières pourront se fonder « sur des bases non-scientifiques ». « C’est un signal d’arrêt à l’innovation européenne », a affirmé Jeff Rowe, un représentant d’EuropaBio.
Rappelons que ces nouvelles règles étaient attendues par l’industrie semencière, quatre maïs OGM, dont le MON810 de Monsanto et le TC1507 du groupe Pioneer ayant déjà reçu un avis favorable de l’Efsa.
Notons que seuls quelques pays devraient être concernés dans les premiers temps, et vraisemblablement pas avant 2016, compte-tenu des délais nécessaires pour la mise en oeuvre de la nouvelle législation.
A l’heure actuelle, le MON810 est cultivé dans trois pays membres : occupant 110.000 hectares en Espagne, 9.000 au Portugal et 3.000 en République tchèque. Parallèlement, 19 États se sont opposés à la demande de culture du TC1507.
Sources : AWP, infogm.org
Elisabeth Studer – www.leblogfinance.com  – 15 janvier 2015

Merci l'Europe, toujours aussi corrompue l'administration européenne. Mais, il est vrai que l'Europe navigue à vue pendant que les spéculateurs américains comme soros ou goldman sachs parie sur sa disparition. En notant que ce sont les mêmes qui exigent la zone de libre échange avec les States.

(source : idem)

BCE : rachat massif d’actifs dès jeudi ? politique désespérée ou stratégie bien ordonnée  ?

Alors que la France et le monde occidental se remettent à peine de l’attentat perpétré dans les locaux de Charlie Hebdo, la plupart des spécialistes estiment que la Banque centrale européenne (BCE) devrait annoncer jeudi un rachat massif de dette publique. Objectif affiché : tenter d’obtenir une relance des prix et de l’économie mondiale.
Selon eux, l’abandon jeudi passé par la Banque nationale suisse (BNS) de son taux plancher de 1,20 franc pour un euro est un signe qui ne trompe pas.
Ils estiment en effet que toutes les conditions semblent réunies pour que la BCE – implantée en Allemagne, à Francfort – choisisse une stratégie qualifiée par certains de « dernière cartouche » pour tenter d’enrayer la déflation actuelle. Précisons à cet égard qu’en décembre 2014, l’inflation dans la zone euro est passée en territoire négatif (-0,2%), chose qui ne s’était plus vue depuis 2009.
Si la chute du prix du baril est l’un des principaux facteurs de cette baisse des prix, l’inflation calculée hors alimentation et énergie, d’une valeur de 0,7% en décembre dernier se révèle être d’une faiblesse inquiétante face aux objectifs de la BCE d’une hausse des prix légèrement inférieure à 2%.
« Il ne fait pas de doutes que la BCE ouvrira jeudi prochain un nouveau chapitre, risqué », assurent ainsi les économistes de Commerzbank. Leurs confrères d’ING leur emboîtant le pas en indiquant quant à eux : « il sera très difficile, voire impossible, pour la BCE de ne pas annoncer un QE » lors de sa prochaine réunion de politique monétaire.
Rappelons à cet égard que l’acronyme anglo-saxon « QE » – pour assouplissement quantitatif – désigne un programme de rachats d’actifs de grande ampleur, portant notamment sur de la dette publique. Précisons encore que la Banque du Japon, et la Fed américaine ont d’ores déjà pratiqué l’exercice récemment.
L’institution s’est parallèlement engagée à prêter massivement et à conditions très avantageuses aux banques. Buts affichés : tenter de doper grâce aux fonds ainsi injectés. Il n’en demeure pas moins que cette stratégie passe par le rachat de certains actifs financiers. Sans qu’on ne sache au final à qui profite le « crime » ….
Hasard de calendrier ? La justice européenne a ouvert la voie cette semaine à un nouvel assouplissement monétaire via un avis favorable rendu à Luxembourg sur le programme de rachat de dette OMT, procédure jamais encore utilisée à l’heure actuelle. Une décision qui a d’ores et déjà fait réagir les responsables des Banques centrales, le chef de la Bundesbank allemande Jens Weidmann s’y montrant peu favorable.
Mario Draghi – président de la BCE et néanmoins ancien de la sulfureuse banque US Goldman Sachs – a lui-même réagi en affirmant dans un entretien paru jeudi : « ce n’est pas comme si nos possibilités étaient infinies ».
Selon le journal allemand « Der Speigel », le patron de la BCE aurait  présenté mercredi ses plans à la chancelière allemande Angela Merkel.
Autre hasard de calendrier   ?
N’oublions pas que parmi les victimes de l’attentat perpétré dans les locaux de Charlie Hebdo  figure Bernard Maris … un décès quelque peu oublié des medias grands publics et qui a pourtant son importance au delà du deuil des familles, bien entendu.
Ses récentes propositions ?
Nous indiquions ici-même récemment que le site italien de Claudio Messora, Byoblu, n’y allait pas par quatre chemins, clamant que « Bernard Maris, l’économiste de la Banque de France qui voulait annuler la dette »était mort assassiné. Une phrase qui pourrait en surprendre certains mais qui ne fait que refléter la réalité.
Si certes, certains medias français nous rappellent que Bernard Maris, mort sous les balles d’humains déshumanisés était éditorialiste et actionnaire de Charlie Hebdo, brillant économiste et qui plus est, membre du conseil général de la Banque de France, peu nombreux sont ceux qui rappellent les récentes propositions qu’il avait faites, relatives à une sortie éventuelle de la France de la zone euro, omettant la plupart du temps d’ajouter la référence à son plaidoyer pour annuler la dette des pays membres de l’Union européenne.
Rappelons que les récents propos du journaliste-économiste sur l’euro et l’annulation de la dette ne lui ont pas attiré que des amis au sein de la finance mondiale.
En pleine crise financière, Bernard Maris avait ainsi plaidé pour un effacement d’une partie de la dette des États membres de l’UE afin de leur permettre sur des bases assainies. « Tous les pays européens devront, tôt ou tard, se résigner à effacer une partie de leur dette. Il faut la renégocier au-delà du seuil de 60 % du PIB pour de nouveau respecter les critères de Maastricht. Les créanciers, et donc les banques, devront évidemment consentir un effort important. Même les grands pays comme l’Allemagne et la France n’y échapperont pas. C’est le seul moyen de permettre aux États de la zone euro de relancer leur économie », expliquait-il ainsi fin 2011 dans une interview au Journal du dimanche.
Ajoutant : « sans croissance, ils n’arriveront pas à faire face à leur endettement. Comme l’ont fait les pays africains pendant plusieurs décennies, ils rembourseront indéfiniment une dette qui étouffera l’Europe ». Pour lui, c’était « le seul moyen d’éviter quinze ans de stagnation de l’économie comme au Japon ou au Portugal sous Salazar. Le seul moyen aussi de prévenir une chute très forte du pouvoir d’achat des ménages et des conflits sociaux majeurs ».
Affirmant par ailleurs « le choix de l’Allemagne ruinera aussi son économie à long terme. Ce n’est pas un cercle vertueux mais vicieux. Elle préfère abaisser le niveau de vie des Allemands pour être compétitive. Cette politique, comme celle de la Côte d’Ivoire dans les années 1960, s’appelle la ‘croissance appauvrissante’. »
Elisabeth Studer – 18 janvier 2015 – www.leblogfinance.com
Sources :  JDD, AFP, L’Express, le site de Claudio Messora, Byoblu
http://www.leblogfinance.com/2015/01/bce-rachat-massif-dactifs-des-jeudi-politique-desesperee-ou-strategie-bien-ordonnee.html

Et, sur le front des agences de notation américaines.

(source : La Tribune de Genève)

Standard & Poor's paie un milliard pour éviter un procès

«Subprime»Les États-Unis et Standard & Poor's sont parvenus à un accord d'un milliard de dollars permettant à l'agence de notation d'éviter un procès pour avoir sous-évalué les risques de certains crédits immobiliers à risque.


Standard & Poors et les Etats-Unis sont parvenus à un accord d'un milliard de dollars dans l'affaire dite des «subprimes». Cela permettra à l'agence d'éviter un procès.
L'accord, qui est en phase de finalisation, devrait être annoncé d'ici la fin du premier trimestre, a ajouté cette source ayant requis l'anonymat.
(afp/Newsnet)
(Créé: 16.01.2015, 18h56)

bb

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