jeudi 6 novembre 2014

(blog à finir et à corriger)

Parlons encore, mes chers cinq lecteurs........des vaccins.

(source : Nexus)

SANTÉ

Vaccins antigripaux : la grande imposture

S’ils n’ont jamais prouvé leur efficacité, leur toxicité, elle, est bien établie.
Vaccins_Magazine NEXUS 2014
Des tests effectués sur des vaccins au Natural News Forensic Food Lab ont montré qu’un vaccin antigrippal fabriqué par GlaxoSmithKline (lot #9H2GX) contenait du mercure à un taux beaucoup trop élevé.
Les tests, très précis, ont été réalisés par ICP-MS (spectrométrie par torche à plasma) à l’aide d’une courbe d’étalonnage quadrupôle. Ils montrent que le taux de mercure dans le vaccin Flulaval s’élève à 51 parties par million, soit plus de 25 000 fois le maximum qu’autorise l’Environmental Protection Agency pour la contamination de l’eau potable par le mercure inorganique.
Or, on ne dispos pas d’éléments prouvant que la vaccination par le Flulaval a permis de diminuer l’incidence de la grippe, ni que le vaccin est inoffensif et efficace chez les femmes enceintes, les mères allaitantes et les enfants. Et aucune étude n’a analysé son potentiel carcinogène et mutagène ou son impact sur la fertilité.
L’injection de Flulaval s’accompagne d’effets indésirables : vomissements, douleurs thoracique, oedème allergique de la bouche, choc anaphylactique, laryngite, arthrite, vertiges, syndrome de Guillain-Barré, paralysie faciale ou des nerfs crâniens, convulsions, paralysies des membres, encéphalopathie, insomnie, etc.
Chaque dose de Fluval peut contenir en plus des µg de mercure, jusqu’à 25 µg de désoxycholate de sodium (un détergent biologique). Le mercure n’est jamais inoffensif ; toutes ses formes, hautement toxiques en injection, perturbent le fonctionnement cérébral.
Il n’existe pas de preuves scientifiques suffisantes quant à l’innocuité et à l’efficacité des vaccins contre la grippe. Nous ne sommes pas certains qu’ils agissent. Pas plus que les fabricants. Ni les médecins et le personnel médical qui les administrent.
Article paru dans NEXUS n°94 (septembre-octobre 2014).

(source : Jacques Sapir)

Exit l’Ukraine ?

3 novembre 2014
Par 

Les élections ont donc eu lieu dans la partie de l’Ukraine qui est contrôlée par les insurgés, et la participation semble avoir été très élevée (plus de 75%) ce qui contraste avec le résultats des élections législatives qui se sont tenues dans la partie contrôlée par le gouvernement de Kiev. La carte de la participation (via Electoral Geography 2.0) révèle la fragmentation politique de ce territoire.
CARTE
 A - Elections Ukr
La participation a été très forte, ce que l’on pouvait prévoir dans un pays traversant une grave crise politique, à l’Ouest de l’Ukraine, à Lviv et dans sa région. Le taux approche dans certains cantons (raïon) les 80%, ce qui correspond aux taux enregistrés dans la zone insurgée le dimanche 2 novembre.
Par contre, on constate une très faible participation, inférieure à 30% dans l’Ouest de l’Oblast de Donetsk, et généralement inférieure à 40% dans la partie Est mais aussi Sud de du territoire sous le contrôle du gouvernement de Kiev. Ceci était aussi prévisible, et correspond au sentiment d’une large majorité de la population de ne pouvoir exprimer librement son choix, les partis ayant sa sympathie ayant été soit interdits soit de fait bannis de ces élections.
Ce qui est nouveau, c’est l’apparition de zones de très forte abstention au Sud-Ouest de l’Ukraine, dans les régions frontalières avec la Hongrie et la Slovaquie. Cela correspond à la crainte des populations de ces régions vis-à-vis du gouvernement de Kiev. Ces populations ne sont pas « ukrainiennes » d’origine ; le comportement des groupes extrémistes (Svoboda et Pravy Sehtory) et la relative impunité dont ils jouissent, les inquiètent. Sur le reste du territoire sous le contrôle du gouvernement de Kiev, on retrouve une participation de 55% à 60% que l’on avait constatée lors des précédents scrutins.
Ces chiffres reflètent une réalité que les observateurs de terrain connaissent mais qui a beaucoup de mal à pénétrer dans les cerveaux obtus de certains de nos diplomates : l’Ukraine, telle qu’elle a existé de 1991 au début de 2014 est en train de se défaire. Elle se défait, bien sûr, du fait de l’insurrection de la partie Est. Mais, réduire ce processus à la seule insurrection serait une grave erreur. En réalité, les événements de janvier et février 2014 ont fait exploser le fragile équilibre qui s’était constitué depuis 1991. La volonté de certains d’imposer une Ukraine « mono-ethnique » allait à l’encontre de la réalité, composite, de ce pays. Les forces d’éclatement sont donc à l’œuvre, tout autant à l’Ouest qu’à l’Est. On peut penser que, d’ici quelques mois, la fraction la plus occidentale de la population demandera son rattachement à la Pologne ou cherchera à se constituer en entité indépendante, dans l’espoir de pouvoir intégrer au plus vite l’Union Européenne. Les régions frontalières avec la Hongrie et la Slovaquie demanderont alors, elles aussi, leur rattachement à ces pays. Le mouvement de la place Maïdan pourrait bien se solder, d’ici quelques mois ou quelques années, dans une désintégration de ce pays que l’on appelait l’Ukraine.
Cela n’est nullement souhaitable. Mais la question qui se pose est de savoir si l’on peut encore l’éviter.
S’ils n’ont jamais prouvé leur efficacité, leur toxicité, elle, est bien établie.
Vaccins_Magazine NEXUS 2014
Des tests effectués sur des vaccins au Natural News Forensic Food Lab ont montré qu’un vaccin antigrippal fabriqué par GlaxoSmithKline (lot #9H2GX) contenait du mercure à un taux beaucoup trop élevé.
Les tests, très précis, ont été réalisés par ICP-MS (spectrométrie par torche à plasma) à l’aide d’une courbe d’étalonnage quadrupôle. Ils montrent que le taux de mercure dans le vaccin Flulaval s’élève à 51 parties par million, soit plus de 25 000 fois le maximum qu’autorise l’Environmental Protection Agency pour la contamination de l’eau potable par le mercure inorganique.
Or, on ne dispos pas d’éléments prouvant que la vaccination par le Flulaval a permis de diminuer l’incidence de la grippe, ni que le vaccin est inoffensif et efficace chez les femmes enceintes, les mères allaitantes et les enfants. Et aucune étude n’a analysé son potentiel carcinogène et mutagène ou son impact sur la fertilité.
L’injection de Flulaval s’accompagne d’effets indésirables : vomissements, douleurs thoracique, oedème allergique de la bouche, choc anaphylactique, laryngite, arthrite, vertiges, syndrome de Guillain-Barré, paralysie faciale ou des nerfs crâniens, convulsions, paralysies des membres, encéphalopathie, insomnie, etc.
Chaque dose de Fluval peut contenir en plus des µg de mercure, jusqu’à 25 µg de désoxycholate de sodium (un détergent biologique). Le mercure n’est jamais inoffensif ; toutes ses formes, hautement toxiques en injection, perturbent le fonctionnement cérébral.
Il n’existe pas de preuves scientifiques suffisantes quant à l’innocuité et à l’efficacité des vaccins contre la grippe. Nous ne sommes pas certains qu’ils agissent. Pas plus que les fabricants. Ni les médecins et le personnel médical qui les administrent.
Article paru dans NEXUS n°94 (septembre-octobre 2014).

bb

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