(blog à finir et à corriger)
Hélas, mes chers cinq lecteurs, le monde continue à aller mal. Les States ou plutôt, les conglomérats financiers et industriels américains veulent absolument dominer le monde tout en continuant à asservir la population américaine.
(source : The vineyard of the saker)
Analyse intéressante, n'est-il pas, mes chers lecteurs ?
Préparons-nous à de nouveaux coups d'état militaire ou non en Amérique Latine.
Al Quaïda a déclaré le djihad à l'Inde, le rouble a durement chuté, les grandes entreprises américaines et sans doute européennes vont quitter la Chine pour d'autres paradis où les salariés sont encore plus exploités et pourtant les peuples occidentaux ne disent rien, alors qu'ils ont encore décideurs, ils ssot les consommateurs.
Bientôt, ils n'auront même plus ce pouvoir là, ne pas acheter les produits des entreprises prédatrices de l'environnement humain et écologique. Comme Wall Street, ils joueront dans le virtuel.
Réveillons-nous avant qu'il ne soit trop tard !
Mais, passons à une nouvelle de Fukushima ou en tout cas du Japon.
(source : Fukushima diary)
Source abeilles mortes : Organic Health
Hélas, mes chers cinq lecteurs, le monde continue à aller mal. Les States ou plutôt, les conglomérats financiers et industriels américains veulent absolument dominer le monde tout en continuant à asservir la population américaine.
(source : The vineyard of the saker)
[L’ŒIL ITINÉRANT] LA GUERRE TOTALE CONTRE LES BRICS EST AMORCÉE
Attachez votre ceinture : la guerre de l’information déjà lancée contre la Russie devrait s’étendre au Brésil, à l’Inde et à la Chine.
Il est maintenant de notoriété publique que le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine sont les quatre puissances émergentes à l’origine du groupe des BRICS, qui comprend aussi l’Afrique du Sud et qui accueillera dans un proche avenir d’autres pays du Grand Sud. Les BRICS sont cordialement détestés par Washington et sonroyaume du baratin peuplé de groupes de réflexion, car ils incarnent les efforts menés de concert dans le Grand Sud pour parvenir à un monde multipolaire.
On pourrait miser quelques bouteilles de champagne de Crimée que les USA répondront à ces efforts par une sorte de guerre de l’information totale, dont la nature ne sera pas très différente du système de veille totale mis en place par la NSA, cet État occulte, et qui constitue un élément crucial de la doctrine de domination tous azimuts du Pentagone [1]. Les BRICS sont perçus comme une menace sérieuse. Pour la contrer, une domination des réseaux de l’information s’impose.
Vladimir Davydov, le directeur de l’Institut de l’Amérique latine à l’Académie des sciences de Russie, a visé juste quand il a fait remarquer que « la situation actuelle indique qu’il y a des tentatives de museler non seulement la Russie, mais aussi les BRICS, étant donné le rôle accru de cette association dans le monde ».
La diabolisation de la Russie s’est rapidement intensifiée aux USA avec l’imposition de sanctions liées à l’Ukraine, quand Poutine est devenu le nouvel Hitler et qu’on a ressorti des boules à mites [2] de la Guerre froide cette bonne vieille crainte que les Russes arrivent.
Dans le cas du Brésil, la guerre de l’information a déjà commencé bien avant la réélection de la présidente Dilma Rousseff. Wall Street et les élites locales dépensières ont tout fait pour faire couler ce qu’ils appellent une économie étatiste, en diabolisant personnellement Delma au passage.
Il n’est pas exagéré d’affirmer que des sanctions pourraient être imposées à la Chine dans un proche avenir en raison de sa position agressive dans la mer de Chine méridionale, à Hong Kong ou au Tibet ; à l’Inde par rapport au Cachemire ; et au Brésil pour cause de violations des droits de la personne ou de déforestation excessive. Officieusement, des diplomates indiens craignent que le premier pays des BRICS à céder aux pressions sera l’Inde.
Comme les BRICS sont de facto les briques servant à la construction d’un système mondial plus démocratique et inclusif au chapitre des relations internationales et sur le plan financier (il n’y en a pas d’autres), les pays membres semblent maintenir leur vigilance. Sans quoi ils seront mis KO l’un après l’autre.
Georgy Toloraya, le directeur exécutif du Comité national pour l’Étude des BRICS en Russie, fait remarquer que « de plus en plus de communications ont cours aujourd’hui par l’entremise des canaux des BRICS ».
Les Brésiliens, par exemple, s’intéressent vivement à la coopération en matière d’investissement. La Banque de développement des BRICS deviendra réalité en 2015. Une équipe russe prépare aussi un rapport détaillé sur les perspectives d’avenir de la coopération des BRICS, qui sera examiné en profondeur à Beijing la semaine prochaine, en marge du sommet de l’APEC (Coopération économique Asie-Pacifique).
Après la guerre de l’énergie, la guerre des devises
Le nouveau choc pétrolier saoudien [3], qui a reçu le feu vert de l’administration Obama, a tout d’une offensive digne du système de veille totale portée contre les BRICS, dont les principaux membres visés sont la Russie et le Brésil.
Plus de 50 % des revenus prévus au budget de la Russie proviennent du pétrole et du gaz naturel. Chaque baisse de 10 $ du prix du baril de pétrole équivaut pour la Russie à un manque à gagner pouvant atteindre 14,6 milliards de dollars par an. Cette perte pourrait être compensée quelque peu par la faiblesse du rouble, qui a perdu 25 % de sa valeur par rapport au dollar US depuis le début de 2014. La Russie dispose encore d’une réserve d’environ 450 milliards de dollars. L’on s’attend toutefois à une faible croissance de l’économie russe en 2015, de l’ordre de 0,5 % à 2 %.
Chaque fois que les prix du pétrole brut reculent d’un dollar, Petrobras, la plus grande société du Brésil, perd plus de 900 millions de dollars. Si les prix se maintiennent aux niveaux actuels, Petrobras perdra quelque 14 milliards de dollars par année. La chute des prix entrave donc l’expansion à long terme de Petrobas et sa capacité à financer de nouveaux projets d’infrastructure et d’exploration liés à ses précieux gisements de pétrole pré‑salifère. Petrobras était une cible de choix pendant la campagne de diabolisation de Roussef.
L’Iran ne fait pas partie des BRICS, mais tout comme ses membres, il favorise l’émergence d’un monde multipolaire. Pour que l’Iran atteigne l’équilibre budgétaire, le prix du baril de pétrole doit s’établir à 136 $. La conclusion d’un accord sur le nucléaire avec les pays du P5+1 dans trois semaines (le 24 novembre) pourrait entraîner un allègement des sanctions (du moins en Europe) et permettre à l’Iran de stimuler ses exportations de pétrole. Téhéran ne se fait toutefois pas d’illusions sur la façon dont la manipulation des prix du pétrole a été manigancée pour déstabiliser davantage l’économie de l’Iran et affaiblir sa position dans le cadre des négociations sur le nucléaire.
Sur le front économique, le système de veille totale se manifeste par la mise au rancart, par la Réserve fédérale des États-Unis, de son programme d’assouplissement quantitatif. Résultat : la montée du dollar US se poursuivra et cette devise sera moins présente sur les marchés émergents. L’article de Xinhua indiqué en note[4] a bien cerné la question.
Le dollar US et le yuan sont en fait liés. Lorsque le dollar est à la hausse, le yuan l’est aussi. Sauf que l’économie chinoise en souffre. Ce qui inquiète Beijing, c’est que l’industrie chinoise de la fabrication pourrait devenir trop coûteuse dans bien des secteurs commerciaux où les marges de profits sont déjà très minces.
Ce qui va sûrement se produire, c’est que la Banque centrale de Chine va arranger une chute contrôlée du yuan, tout en mettant en place des mécanismes pour lutter contre la sortie de capitaux fébriles, notamment vers Hong Kong.
La Chine pourrait être relativement épargnée des effets de la levée du programme d’assouplissement quantitatif. Sauf que personne en Asie n’a oublié la crise financière de 1997, qui a débordé jusqu’en Russie en 1998. Seuls les intérêts des grandes sociétés américaines et l’hégémonie de Washington en sont sortis gagnants.
Ça ne tiendra pas
La diabolisation des BRICS va continuer sans relâche à divers degrés, en étant principalement axée sur la Russie qui, soit dit en passant, va déclencher la Troisième Guerre mondiale. Pourquoi ? Parce que les Américains l’ont dit.
La plus récente pièce à conviction concerne le service du renseignement du ministère de la Défense danois (DDIS), qui a révélé la semaine dernière que la Russie a simulé une attaque avec des avions de chasse et des missiles sur l’île de Bornholm en juin.
Le DDIS n’a divulgué aucun détail concret au sujet de l’attaque simulée. Il a toutefois souligné qu’il s’agissait de l’exercice militaire russe le plus imposant sur la mer Baltique depuis 1991. Le DDIS a publié son évaluation du risque pour 2014 [5], qui prévoit que « dans les prochaines années, il est fort probable que la situation dans l’est de l’Ukraine se transformera en nouveau conflit larvé en Europe ».
Les Danois sont toutefois très clairs : « Rien n’indique que la Russie constitue davantage une menace militaire directe contre le territoire danois ». Ce qui n’a pas mis fin au baratin des responsables militaires des USA voulant que la Russie s’apprête à lancer la Troisième Guerre mondiale.
Absolument rien n’indique que Washington est disposé à même discuter de la possibilité de modifier le système mondial actuel en faveur d’une gestion plus démocratisée, comme le propose la théorie d’Immanuel Wallerstein [6]. Le prochain sommet du G20 en Australie en sera une nouvelle fois l’illustration très claire.
La réalité, c’est que le système, qui est de plus en plus fragmenté, penche inexorablement vers un point de rupture catastrophique. Le système de veille totale, avec ses acolytes et ses circonvolutions, n’est qu’une stratégiedésespérée visant à retarder l’inéluctable décadence. En définitive, Wallerstein a bien raison. Le monde de l’après-guerre froide va demeurer extrêmement volatile.
Pepe Escobar
Traduit par Daniel pour Vineyardsaker.fr
Traduit par Daniel pour Vineyardsaker.fr
Source : It’s now total war against the BRICS, Russia Today, 04-11-2014
Notes
[1] Joint Vision 2020 Emphasizes Full-spectrum Dominance, U.S. Department of Defense, 02-06-2000
[2] Sortir des boules à mites, Wiktionnaire
[3] La guerre du pétrole des Saoudiens contre la Russie, l’Iran et les USA, Le Saker francophone, 17-10-2014
[4] U.S. QE exit to put further pressure on China’s slowing economy, Xinhua, 30-10-2014
[5] The DDIS Intelligence Risk Assessment 2014, Danish Defence Intelligence Service, 20-10-2014
[6] Immanuel Wallerstein est un philosophe et sociologue américain, référence du mouvement altermondialiste (Wikipedia, français). Lire aussi Le capitalisme est proche de sa fin. La suite ? Porto Alegre ou Davos, interview parue sur humanite.fr, 31-07-2013
Pepe Escobar est l’auteur de Globalistan: How the Globalized World is Dissolving into Liquid War (Nimble Books, 2007), Red Zone Blues: a snapshot of Baghdad during the surge (Nimble Books, 2007), Obama does Globalistan (Nimble Books, 2009) et Empire of Chaos (Nimble Books, sortie prévue le 11-11-2014).
Analyse intéressante, n'est-il pas, mes chers lecteurs ?
Préparons-nous à de nouveaux coups d'état militaire ou non en Amérique Latine.
Al Quaïda a déclaré le djihad à l'Inde, le rouble a durement chuté, les grandes entreprises américaines et sans doute européennes vont quitter la Chine pour d'autres paradis où les salariés sont encore plus exploités et pourtant les peuples occidentaux ne disent rien, alors qu'ils ont encore décideurs, ils ssot les consommateurs.
Bientôt, ils n'auront même plus ce pouvoir là, ne pas acheter les produits des entreprises prédatrices de l'environnement humain et écologique. Comme Wall Street, ils joueront dans le virtuel.
Réveillons-nous avant qu'il ne soit trop tard !
Mais, passons à une nouvelle de Fukushima ou en tout cas du Japon.
(source : Fukushima diary)
Env. 100 t de sardines échoués dans le Pacifique zone côtière de Hokkaido à nouveau - Photos
Lié à cet article .. De nombreux sardines échouées dans le Pacifique zone côtière de Hokkaido - Photos [ URL]
De nombreux sardines sont entrés en Urakawa-ko port de Hokkaido à partir de l'après-midi du 05/11/2014 et les cadavres sont apparus dans le port par une heures de 06/11/2014.
Les sardines sont 20 cm de long. Gouvernement local Urakawa-machi estime qu'il était de 100 t au total.
Le même phénomène a été observé dans Mukawa-cho il ya 3 jours, où est à 80 km de cette ville. Selon le journal local, de nombreuses sardines ont été rejetés sur le rivage dans plusieurs autres endroits le long de la zone côtière du Pacifique de Hokkaido depuis 03.11.2014 trop.
Institut national de recherche en sciences halieutiques, commentaires Fisheries Research Agency eau de mer froide a été agité par la tempête de 11/3 ~ 05/11/2014 sorte que les sardines déplacés vers la zone peu profonde de mourir en raison de la carence d'oxygène dans l'eau.
Cependant pêcheur local déclare qu'il a vécu pendant 60 ans, mais il n'a jamais vu une telle chose.
Un grand nombre de décès d'organismes marins peut être vu avant un tremblement de terre majeur parfois."
Et, dans le même blog, notons que des citoyens américains attaque Tepco en justice. Pour une fois, ce n'est pas une multinationale qui attaque un état, mais, des citoyens qui se défendent. Ceci, devrait servir d'exemple à l'ensemble des citoyens américains qui au nom du profit se font voler leur santé.Les marins américains ont remporté décision de justice touche à aller de l'avant avec un recours collectif contre Tepco, GE, Toshiba et Hitachi etc.
Le juge fédéral, Janis L. Sammartino a publié la décision de laisser les marins de l'US Navy aller de l'avant avec la United States District Court à San Diego contre Tepco. Tepco a insisté la Cour devrait être au Japon parce que la plupart des «témoins sont au Japon", et "le gouvernement japonais peut refuser de divulguer des informations cruciales ou faire les témoins disponibles dans un tribunal américain". Toutefois, le juge fédéral a conclu qu'il devrait être dans un tribunal américain pour "blessures de rayonnement connexes» des demandeurs qui, selon eux, de les empêcher de se rendre au Japon à tous. Le tribunal a également considéré «Les États-Unis a également une forte intérêt à ce que les membres des Forces armées sont rémunérés pour leur service. D'autant plus qu'il est le système VA et les contribuables américains qui finira par payer pour les blessures aux plaignants ».
Fukushima Diary est directement informé par Paul C. Garner, ESQ., L'avocat des plaignants.
En ayant le tribunal aux États-Unis, les marins peuvent aller de l'avant avec la classe d'action. Jusqu'à 70 000 citoyens américains ont été potentiellement affectées par le rayonnement et seront en mesure de se joindre à l'action en recours collectif. Cette "Class Action" est pas accordée en cour japonaise. Il peut être la raison principale pour laquelle Tepco a essayé de transférer le cas à partir de États-Unis au Japon afin qu'ils puissent minimiser la valeur de compensation.
En outre, la Cour a accueilli la requête de TEPCO à rejeter la conception défaut la demande de la centrale nucléaire de demandeurs, mais le tribunal a admis que les demandeurs d'ajouter plusieurs défendeurs se composer de General Electric, EBASCO, Toshiba, Hitachi et les constructeurs de réacteurs nucléaires de Fukushima.
Dans sa décision, le tribunal a accepté avec plaignants que leur plainte ne soit pas interdit par la règle du pompier. Comme présumé, l'accident nucléaire était indépendant du tremblement de terre qui a convoqué l'US Navy. Bien que la crise de Fukushima a eu lieu en partie en raison du séisme et du tsunami, demandeurs allèguent l'échec final de centrale de Fukushima est le résultat d'une mauvaise préparation de TEPCO pour une catastrophe naturelle prévisible et négligence dans la conception et la maintenance de la centrale de Fukushima.
L'acte de procédure modifié doit être déposée par 18/11/2014."
Mais, il n'y a pas qu'au Japon qu'il y a des hécatombes.
(source : Esprit Science Métaphysique)
37 millions d’abeilles retrouvées mortes au Canada, après la plantation d’un grand champ de maïs OGM
Des millions d’abeilles sont tombées raides mortes, quelques semaines après la plantation d’un champ de maïs OGM en Ontario, Canada. L’apiculteur local, David Schuit qui produit du miel à Elmwood a perdu environ 37 millions d’abeilles qui représentent au total à peu près 600 ruches.
« Une fois qu’ils ont commencé à planter le maïs, elles sont mortes par millions », a déclaré Schuit. Bien que de nombreux apiculteurs accusent les néonicotinoïdes d’être la cause de l’effondrement des colonies d’abeilles et que de nombreux pays de l’UE ont interdit les néonicotinoïdes qui sont une classe d’insecticides qui agissent sur le système nerveux des insectes, le ministère américain de l’agriculture ne parvient pas à interdire les insecticides néonicotinoïdes, fabriqués par Bayer CropScience Inc.
Deux des insecticides de Bayer les plus vendus, l’Imidaclopride et la Clothianidine, sont connus pour entrer dans le pollen et le nectar, et peuvent endommager les insectes utiles comme les abeilles. La commercialisation de ces pesticides a également coïncidé avec l’effondrement des colonies à grande échelle dans de nombreux pays européens et aux États-Unis.
Nathan Carey, un autre paysan, dit que le printemps dernier il a remarqué qu’il n’y avait pas assez d’abeilles sur son exploitation agricole et il croit qu’il y a une forte corrélation entre la disparition des insectes et l’utilisation d’insecticides.
Dans le passé, de nombreux scientifiques ont eu du mal à déterminer la cause de ces effondrements massifs, un phénomène qu’ils appellent « syndrome d’effondrement ». Aux États-Unis, les abeilles sont en déclin terminal depuis 7 années consécutives.
Des scientifiques américains ont trouvé 121 pesticides différents dans des échantillons de ces insectes, de cire et de pollen, rendant crédible l’idée que les pesticides sont un problème majeur. «Nous croyons que certaines interactions subtiles entre la nutrition, l’exposition aux pesticides et autres facteurs de stress convergent pour tuer des colonies », a déclaré Jeffery Pettis, de l’ARS le laboratoire de recherche sur les abeilles.
L’effondrement de la population mondiale est une menace majeure pour les cultures. On estime qu’un tiers de tout ce que nous mangeons dépend de pollinisation des ces travailleuses, ce qui signifie que les abeilles contribuent à plus de 30 milliards à l’économie mondiale.
Une nouvelle étude publiée dans le Journal Proceedings of the National Academy of Sciences a révélé que les pesticides néonicotinoïdes tuent les abeilles en endommageant leur système immunitaire ce qui les rend incapables de lutter contre les maladies et les bactéries.
Après la signalisation des pertes importantes ces insectes à cause de l’exposition à l’imidaclopride, on a interdit son utilisation pour le maïs et le tournesol, malgré les protestations de Bayer. La France a également rejeté la demande de Bayer pour la clothianidine, et d’autres pays, comme l’Italie, ont également interdit certains néonicotinoïdes.
Après un nombre record de décès de ces insectes au Royaume-Unis, l’Union Européenne a interdit plusieurs pesticides, dont les pesticides néonicotinoïdes.
À propos de l’Auteur et la traductrice : Claire C.
J’ai rejoint http://www.espritsciencemetaphysiques.com/ en 2014. Plus le temps passe et plus ce qui se passe sur notre planète m’interpelle, j’ai donc voulu apporter ma contribution pour essayer de faire changer les choses. Depuis que je travaille pour Esprit Science Métaphysiques , j’ai eu de grands changements dans ma vie et j’espère pouvoir faire évoluer la conscience des autres.
Source abeilles mortes : Organic Health
Question, mes chers lecteurs, "Est-ce que nous ne serions en train d'exterminer la nature ?"
Bon, un autre point, vous vous êtes rendu compte à la pompe que le prix du litre d'essence avait baissé.
Non !
Ah, oui, c'est vrai, c'est le prix du baril qui a baissé, provoquant un manque à gagner important pour la Russie, l'Iran et le Venezuela.
Mais, qui bizarrement ne bloque l'exploitation de gaz de schiste aux Etats-Unis. Pourtant, celui-ci, à part d'être extrêmement polluant, est d'un coût d'exploitation élevé devrait tout simplement s'arrêter. Eh, bien, non, mes chers lecteurs, aux States, cela continue à ouvrir des puits à tout va.
Bizarre, non ?
(source : le blog finance)
Bon, un autre point, vous vous êtes rendu compte à la pompe que le prix du litre d'essence avait baissé.
Non !
Ah, oui, c'est vrai, c'est le prix du baril qui a baissé, provoquant un manque à gagner important pour la Russie, l'Iran et le Venezuela.
Mais, qui bizarrement ne bloque l'exploitation de gaz de schiste aux Etats-Unis. Pourtant, celui-ci, à part d'être extrêmement polluant, est d'un coût d'exploitation élevé devrait tout simplement s'arrêter. Eh, bien, non, mes chers lecteurs, aux States, cela continue à ouvrir des puits à tout va.
Bizarre, non ?
(source : le blog finance)
Aussi étrange que cela puisse paraître, la chute du prix du baril pourrait ne pas engendrer que des inconvénients pour les Etats-Unis … bien au contraire.
Si l’on regarde finement, la situation pourrait permettre à l’oncle Sam d’éliminer un farouche adversaire politique et concurrent sur l’échiquier énergétique mondial.
Vous en doutez ? Jugez plutôt …
Dans un article daté de lundi dernier, le quotidien russe Novye Izvestia déplore ainsi le fait que la situation économique du Venezuela s’aggrave au fur et à mesure que le cours pétrolier diminue.
« En dépit de l’optimisme du gouvernement, le marché ne croit pas non plus en un avenir prospère du pays », ajoute le journal. Lequel précise que les taux d’intérêt pour les obligations de 10 ans ont atteint 18% en fin de semaine dernière, un niveau record inégalé depuis cinq ans et supérieur à celui des pays les plus endettés, dont l’Ukraine et l’Argentine.
Au final, le quotidien estime que les obligations du pays sont devenues les plus risquées du monde. Pire encore, selon lui, le marché se prépare ni plus ni moins au crash financier du Venezuela.
Si tous les pays producteurs de pétrole sont certes durement impactés par la chute du prix du baril, le Venezuela semble faire partie des plus vulnérables. En effet, le secteur pétrolier contribue à hauteur de 96% aux recettes des exportations de ce pays, tandis que son coût de sa production est largement plus élevé qu’au Moyen-Orient.
De ce fait, la chute du cours pétrolier, tombé jusqu’à 77,65 dollars le baril vendredi dernier – ce qui constitue le tarif le plus bas depuis fin 2010 – est très pour l’avenir économique du Venezuela et des importants pays producteurs.
Ainsi, en un peu plus d’un mois, le tarif du pétrole vénézuélien a baissé de presque 15 dollars.
La chute du pétrole a provoqué une forte baisse des réserves de change du pays. Selon la Banque centrale du Venezuela, ces dernières sont tombées en-dessous de 20 milliards de dollars au mois d’octobre.
Une situation d’autant plus alarmante que la production pétrolière locale ne cesse de diminuer. Durant l »époque Chavez, le Venezuela produisait 3,5 millions de barils par jour, il n’en produit que 2,6 millions aujourd’hui. Autre élément inquiétant : seulement 1,2 million de barils vendu quotidiennement rapportent des devises au pays.
Car le Venezuela pratique une politique de troc et de tarifs bas avec ses voisins de Cuba et d’autres pays des Caraïbes, le pays de Fidel Castro profitant de l’excellent niveau de ses médecins pour s’approvisionner à bas coûts.
Parallèlement, Caracas envoie des milliers de barils en Chine en vue de rembourser les intérêts des prêts de plusieurs milliards de dollars. 800 000 barils sont quant à eux destinés au marché intérieur. Très bon marché, ils ne rapportent rien au Trésor.
Certes le gouvernement pourrait être tenté d’augmenter le prix de l’essence, mais une telle politique ne ferait qu’accroître une inflation d’ores et déjà record, puisqu’elle dépasse à l’heure actuelle 60% et conduire à l’explosion sociale.
La dévaluation du bolivar, la monnaie du pays, pourrait quant à elle à freiner l’économie du pays, en augmentant le coût des approvisionnements.
Si les marchés vénézuéliens s’avèrent quelque peu pessimistes, le président Maduro déclare à qui veut l’entendre que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, et que la dégringolade du cours pétrolier devrait permettre à ce dernier de rebondir après avoir touché le fond.
Mais la situation est loin d’être aussi idyllique …. En effet, le journal vénézuélien El Universal vient d’indiquer que le Venezuela importait du pétrole pour la première fois dans son histoire. Un porte-conteneurs en provenance d’Algérie devrait ainsi arriver le 26 octobre sur les côtes vénézuéliennes avec quelque 2 millions de barils d’un pétrole algérien ultraléger, dénommé Saharan Blend.
Si la compagnie pétrolière de l’Etat du Venezuela (PDVSA) n’a pas confirmé la nouvelle, diffusée le 16 octobre par l’agence Reuters, le quotidien espagnol El País, considère quant à lui qu’il s’agit d’une « atteinte à la souveraineté d’un pays qui compte les plus grandes réserves pétrolières au monde ». Ajoutant au final que « la chute des prix du pétrole aggrave la crise économique du Venezuela ».
L’importation de ce pétrole algérien léger est destiné à réduire le coût de la transformation du pétrole lourd issu des gisements de la ceinture de l’Orénoque, dans le nord-est du pays.
Le coût élevé du naphta, solvant utilisé par l’industrie pétrolière vénézuélienne en vue de le mélanger au brut avant exportation, grève en effet es comptes de la PDVSA, et ce d’autant plus dans le contexte actuel de baisse des prix du baril. Le gouvernement de Nicolás Maduro a donc choisi de s’approvisionner en pétrole léger d’Algérie pour remplacer le naphta.
Selon un économiste cité par El País, le Venezuela aurait besoin d’un prix du brut à 120 dollars le baril pour espérer maintenir ses dépenses publiques actuelles. « Un prix impensable dans le contexte actuel du marché », estime le journal espagnol, le cours actuel avoisinant 80 dollars.
Cinquième exportateur mondial du brut et fournisseur majeur des Etats-Unis le Venezuela est un pays dont l’économie est essentiellement basée sur le pétrole. Ce dernier est non seulement le pilier de l’économie vénézuelienne mais aussi celui de la politique diplomatique menée successivement par Hugo Chavez et Maduro. Ressource stratégique, le pétrole vénézuélien constitue en effet un instrument de politique nationale, tout en permettant aux dirigeants du pays d’étendre leur influence dans la région aux moyens d’accords et d’alliances. Leur offrant au final les moyens de mener une véritable « guerre froide » contre les Etats-Unis.
Sources : Presse russe et espagnole, Courrier International
Elisabeth Studer – www.leblogfinance.com – 23 octobre 2014
Ah, ces américains, que ne font-ils pas pour assurer la domination à leurs financiers et à leurs multinationales.
Le peuple américain dans tout ça ?
Ah, peut-être n'existe-t-il pas, après tout !
(source : idem)
vvv
Le peuple américain dans tout ça ?
Ah, peut-être n'existe-t-il pas, après tout !
(source : idem)
Burkina Faso : au final, il pourrait s’agir d’un coup d’Etat fomenté par les Etats-Unis, vous en doutiez ? Pas vraiment en ce qui me concerne et loin s’en faut …
Alors que nous soulevions ici-même récemment le fait que l’armée prenne le pouvoir dans un pays stratégique pour le transit de l’uranium du Niger et, qui plus est partenaire de l’Iran, certains medias n’y vont pas par quatre chemins, affirmant tout haut ce que nous laissions juste entendre à demi-mots.
Rappelons les faits : après 27 ans de pouvoir, le président du Burkina Faso, Blaise Compaoré a été aussi soudainement que rapidement renversé le 30 octobre dernier. Depuis 2011, une politique de répression lui avait permis de se maintenir à la tête du pays.
Ce qui a officiellement enflammée les foules : le président Compaoré venait d’annoncer son intention de modifier l’article 37 de la Loi fondamentale, en vue de pouvoir se représenter en 2015 et poursuivre son mandat.
Désormais, après avoir rapidement démissionné, il a fui le pays direction la Côte d’Ivoire, pays dont il détient la nationalité par son mariage. Si l’on en croit certains medias, l’Etat français pourrait l’avoir aidé à mener à bien cette opération.
Précisons que Blaise Compaoré est arrivé au pouvoir, le 15 octobre 1987, en renversant et en éliminant son prédécesseur, l’anti-impérialiste Thomas Sankara. Il n’est pas totalement irraisonné de penser que son accession via un coup d’Etat a été préparé par la France, alors gouvernée en cohabitation par François Mitterrand et Jacques Chirac.
Et ce, d’autant plus que durant ses 27 années de pouvoir, Blaise Compaoré a soutenu les opérations néo-coloniales françaises en Angola, au Libéria, en Sierra Leone, au Mali, en Guinée et en Côte d’Ivoire.
Quant au général Honoré Traoré, après la démission du président Compaoré, le chef d’état-major des armées, il annonce, le 31 octobre, qu’il assumera la transition durant les douze mois à venir. Mais, dès le lendemain, 1er novembre, il cède sa place au lieutenant-colonel Isaac Yacouba Zida, cédant ainsi à la pression des États-Unis.
Or, des Etats-Unis, le lieutenant-colonel Isaac Yacouba Zida en est proche, voire très proche … puisqu’en 2012, il a suivi une formation contre-terroriste à la base aérienne de MacDill (Floride) et une formation de renseignement militaire dispensée par le Pentagone au Bostwana. Rien que cela …
Ajoutons qu’alors que la législation américaine impose à l’exécutif de sanctionner tout gouvernement issu d’un coup d’État militaire, le département d’État US a salué l’arrivée au pouvoir du lieutenant-colonel Isaac Yacouba Zida et lui a demandé d’installer au plus tôt un gouvernement civil.
Le motif d’une telle opération US aboutissant au final à ce coup d’Etat : freiner voire stopper la progression des grands groupes européens sur le territoire africain.
Rappelons ainsi que le 7 novembre 2013, le Président nigérien, Mahamadou Issoufou, et son homologue béninois, Boni Yayi, ont signé un Mémorandum d’Entente pour la réhabilitation, la construction et l’exploitation des chemins de fer reliant Cotonou à Niamey. Tronçon intégré dans la boucle ferroviaire qui doit relier Cotonou (Bénin) à Abidjan (Côte d’Ivoire) , via Niamey (Niger) et Ouagadougou (Burkina Faso ). La boucle ferroviaire devra permettra à terme de relier le Niger au Burkina Faso et à la Côte d’Ivoire, devenant ainsi l’une des plus longues lignes de chemin de fer de la région.A cette occasion le patron du groupe Timis qui finance l’étude de faisabilité de la voie ferrée Dori-Niamey avait indiqué que la réalisation de ce projet aura « un impact économique certain pour le Niger et les pays de la région, en facilitant l’exportation de la production agricole, du bétail et des ressources minières, ainsi que l’importation d’autres produits. »
Sources : AFP, Associated Press,Voltaire.net
Sources : AFP, Associated Press,Voltaire.net
Elisabeth Studer – 07 novembre 2014 – www.leblogfinance.com
vvv
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire