dimanche 2 mars 2014

(blog à finir et à corriger)

Bon, commençons par les hors d'oeuvre, mes chers cinq lecteurs. Un Sherlock Holmes s'attaque aux disparition de banquiers et creuse l'enquête.

(source : Wikistrike)
JEUDI 27 FÉVRIER 2014

Gerald Celente: 20 banquiers sont morts mystérieusement ces dernières semaines


banquiers-morts

D’après cette toute nouvelle vidéo mise en ligne sur la chaine Youtube de Gerald Celente avec Alex Jones d’Infowars, pas moins de 20 banquiers sont mystérieusement morts ces dernières semaines!

Alors qu’il a été rapporté que 5 banquiers de haut niveau se sont suicidés, la recherche d’Alex un tout autre niveau de petit banquier qui se font aussi « éliminer ».


La vidéo partage beaucoup de preuve d’une campagne organisée « d’éliminer » ceux qui pourraient emprisonner « l’élite criminelle » pour leurs crimes financiers contre le reste de l’humanité. Un banquier mort ne peut pas parler !
(voir la vidéo en bas de page)

Bon, laissons l'enquête passer mes chers lecteurs, et comprenons que le syndrome snowden désormais pousse les pourris à l'élimination physique plutôt que voir leurs "crimes" étalées sur la voie publique.
Passons, plutôt au Moyen Orient où Israël continue à en rajouter dans le merdier existant.
Ils n'arrêteront pas, tellement, ils sont sûrs que les Etats-Unis les soutiendront, si, ils les impliquent dans une nouvelle guerre.

(source :

La Jordanie Vote L’expulsion De L’ambassadeur D’Israël Et Le Rappel De Son Ambassadeur.

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Le Parlement a voté l’expulsion de l’ambassadeur d’Israël et le rappel de son ambassadeur.
Le Parlement de Jordanie a voté mercredi une loi visant à expulser l’ambassadeur d’Israël à Amman et le rappel de son ambassadeur en Israël.
Cependant, le royaume hachémite étant une monarchie constitutionnelle, le vote du Parlement n’a pas l’autorité requise pour expulser des diplomates. Il reflète toutefois lacolère des députés jordaniens, qui ont appelé plus tôt à annuler le traité de paixsigné avec Israël en 1994.
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Cet appel à l’annulation du traité intervient après le débat organisé mardi au Parlement israélien, sur une éventuelle « application de la souveraineté israélienne » sur l’esplanade des Mosquées à Jérusalem, ont rapporté les médias jordaniens. En vertu du traité, la Jordanie est gardienne des lieux saints musulmans à Jérusalem.
47 des 150 membres de la chambre basse ont signé une motion mardi soir pour que le traité soit annulé, a rapporté le journal al-Rai, proche du gouvernement jordanien.
« Ce mouvement intervient en réponse aux actions d’Israël à Jérusalem et au débat à la Knesset sur une loi qui cherche à imposer la souveraineté d’Israël sur Al-Aqsa », a indiqué Al- Rai, citant des députés.
« Les actions d’Israël constituent une violation manifeste du traité de paix (…) c’est une agression contre la Jordanie« , ont-ils précisé à Al-Rai.
Mardi soir, le Parlement israélien a débattu d’une motion très polémique du député Moshé Feiglin, membre du Likoud (droite), le parti du Premier ministre Benyamin Netanyahou.
Son texte prévoit « l’application de la souveraineté israélienne » sur le Mont du Temple ou l’esplanade des Mosquées, 3e lieu saint de l’islam, mais 1er Lieu Saint du Judaïsme, qui abrite le Dôme du Rocher et la mosquée Al-Aqsa. Le débat n’a donné lieu à aucun vote et il doit se poursuivre ultérieurement.
« Nous avons abandonné la moindre parcelle de souveraineté sur le mont du Temple. N’importe quelleorganisation terroriste peut y hisser son drapeau mais on ne peut trouver aucune trace du drapeau israélien », a déploré M. Feiglin devant une chambre presque entièrement vide. « Seuls les juifs n’ont pas le droit de prier sur ce site« , a-t-il ajouté.
À gauche, Zehava Gal-On, la dirigeante du parti d’opposition Meretz, a accusé le parlementaire du Likoud et ses amis de « jeter une allumette dans un baril de poudre » et de vouloir torpiller le processus de paix avec les Palestiniens.
M. Netanyahou a fait savoir qu’il était totalement opposé à cette initiative qui n’a, selon les commentateurs, aucune chance d’aboutir faute de soutiens suffisants.
La police israélienne est intervenue mardi matin sur le Mont du Temple à Jérusalem pour disperser des manifestants palestiniens. Deux policiers israéliens ont été légèrement blessés par des jets de pierres et 3 Palestiniens ont été arrêtés, selon la police."
Décidément, le gouvernement israélien pose les jalons d'une future guerre au Moyen Orient. Sans doute estime-t-il que le Liban et la Syrie sont hors jeu, que l'Egypte et l'Irak ne sont plus en capacité d'intervenir, vu sa situation politique actuelle et que la Turquie ne bougera pas avec un front à sa frontière et  l'offensive de son premier ministre contre sa propre démocratie.
C'est à désespérer de l'humanité, tous ces bruits de bottes et ces préparations à la guerre. L'Ukraine est explosive et l'Europe ferait bien de se méfier d'une réaction russe intempestive.
Et, surtout, de ne pas se laisser entraîner par l'extrême droite ukrainienne plutôt proche des mouvements nazis que des démocraties.
Elle s'attaque déjà aux citoyens juifs, aux homosexuels et on verra pour les autres.
Sauf, qu'ils oublient que si la Russie bloque le gaz et le pétrole, ce n'est pas l'Europe qui va les aider. Le chaos va s'installer avec cette simple mesure, justifiée par un mouvement anti-russe primaire.

NO Lies Strikes Back a partagé une photo de Robin Bruyere.
Dites bonjour au nouveau premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk!  À sa droite, Vitali Klitschko, boxeur chef du parti national-libéral Oudar et à gauche, Oleg Tiagnybok, leader du parti fasciste Svoboda… a ben oui, forcément le nouveau premier c'est celui du milieu. La crème de la démocratie quoi

(source : 7 sur 7)

"Etat de guerre": l'Ukraine se mobilise face à Moscou


Par: rédaction
1/03/14 - 20h57  Source: Belga
© reuters.
MISE À JOUR Le parti nationaliste ukrainien Svoboda et le groupe d'extrême droite Pravy Sector, en première ligne de la contestation en Ukraine, ont appelé samedi à la "mobilisation générale" après l'approbation en Russie d'un "recours à la force" armée en Ukraine.

"C'est la guerre! La société ukrainienne doit se mobiliser au maximum", a indiqué Svoboda dans un communiqué en appelant le président par intérim Olexandre Tourtchinov à considérer le pays comme "en état de guerre" et à "lancer la mobilisation générale".

Pravy Sector (Secteur droit), groupe d'extrême droite en première ligne lors des affrontements meurtriers entre les manifestants et la police ces dernières semaines à Kiev, a, pour sa part, appelé ses partisans à "se mobiliser et à s'armer d'urgence" face à l'intervention de Moscou.

Les deux mouvements ont assuré la garde des barricades pendant les trois mois de la contestation dans le centre de Kiev, qui a fait près de 100 morts, et la destitution la semaine dernière du président Viktor Ianoukovitch.

Plusieurs membres du parti Svoboda, qui est représenté au Parlement, sont entrés dans le gouvernement de transition nommé cette semaine.

Etat d'alerte
L'armée ukrainienne a été "mise en état d'alerte", a annoncé samedi le président d'Ukraine par intérim, Olexandre Tourtchinov, à l'issue d'une réunion du conseil de sécurité nationale et de défense. Cette décision intervient peu après le vote par le Parlement russe autorisant un "recours aux forces armées" en Ukraine.

"J'ai donné l'ordre de mettre l'armée en état d'alerte, de renforcer la protection des centrales nucléaires, des aéroports et des sites stratégiques", a déclaré Olexandre Tourtchinov lors d'un bref point presse.

Intervention = guerre
"Nous sommes persuadés que la Russie ne lancera pas d'intervention car cela signifierait la guerre et la fin de toute relation entre les deux pays", a pour sa part déclaré le Premier ministre Arseni Iatseniouk.

Le chef du gouvernement a déclaré avoir eu un entretien avec son homologue russe Dmitri Medvedev au cours duquel il a demandé que la Russie "fasse revenir ses forces de Mer Noire dans leurs casernes pour faire baisser la tension".

"Une intervention militaire serait inacceptable car ce serait une violation de tous les accords internationaux", a-t-il dit.

Mais, passons à une bonne nouvelle, en Inde, par exemple.

(source : WE Demain)

26 millions de pompes à eau solaires pour irriguer l'Inde

Rédigé par Côme Bastin le Mercredi 26 Février 2014 à 12:09 | Lu 775 fois


Ce vaste plan gouvernemental vise à limiter l'emploi de diesel par les paysans et à protéger les nappes phréatiques du Sous-Continent.


Une pompe à eau solaire en Inde
UNE POMPE À EAU SOLAIRE EN INDE
Les longues périodes de sécheresse qui précèdent la saison des pluies rendent l’irrigation cruciale pour l’agriculture indienne. Problème : les paysans sont à la merci de coupures d’électricités souvent causées par le trop grand nombre de pompes a eau mobilisées pour arroser les cultures avec les réserves des nappes phréatiques. Lorsque ces coupures surviennent, les agriculteurs n’ont d’autre choix que de faire tourner leurs pompes à grand renfort de diesel très couteux.

Pour y remédier, le gouvernement compte investir 12 milliards d’euros pour couvrir l'Inde de pompes alimentées par l’énergie photovoltaïque, rapporte Bloomberg. Sur les cinq prochaines années, quelque 26 millions de ces extracteurs solaires devraient investir le sous-continent afin d'affranchir les paysans du réseau électrique déficient.

Micro-irrigation

Ce vaste plan vise également de sauver les nappes phréatiques. Les agriculteurs y puisent chaque année 212 milliards de tonnes d’eau – de quoi noyer Londres sous une mer de 100 mètres - pour arroser les 35 millions d’hectares cultivables en l’Inde. Pour bénéficier des subventions leur permettant d’acquérir une pompe, ceux-ci devront ainsi se convertir à lamicro-irrigation, qui consiste à arroser directement les racines des plantes au goutte-à-goutte pour limiter au maximum l’évaporation. Certains États, comme le Punjab, financent l’acquisition du matériel nécessaire.

La micro-irriguation devrait permettre d'économiser l'eau
LA MICRO-IRRIGUATION DEVRAIT PERMETTRE D'ÉCONOMISER L'EAU
Ce fort investissement de la part du gouvernement Indien devrait s’avérer rentable. A terme, ce dernier n'aurait en effet plus à débourser les milliards d’euros de subventions versées chaque année aux paysans pour l’emploi de diesel. D'autant  que « la baisse des prix du photovoltaïque permet déjà de rentabiliser une pompe solaire en deux à quatre ans », estime Ajay Coel, PDG de Tata Power Solar System. Tarun Kapoor, du ministère des Énergies renouvelables, estime tout simplement que « les pompes à eau pourraient bien être le débouché numéro un de l’énergie solaire en Inde ». À terme, le réseau d’antennes téléphoniques, victime lui aussi des coupures d’électricité, pourrait opérer la même mutation. L’Inde devrait être le cinquième marché mondial pour l’énergie photovoltaïque en 2015.

vv

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