BREAKING NEWS: Explosions nucléaires souterraines à Fukushima !
De
source russe, plusieurs explosions nucléaires se sont
produites sous la centrale de Fukushima Daiichi le 31 décembre 2013,
cette information gravissime a été publiée par le Bureau du Président
de la Fédération de Russie, qui a tout de suite classée
la centrale au niveau le plus élevé qu’il soit, selon leurs propres
mots « Importance particulière, ce, immédiatement, et en toute
urgence ». Une série d’explosions nucléaires souterraine s’est produite
le 31 décembre, a confirmé le Ministère de la Défense russe (MoD) Depuis
le 12 mars 2011, des quantités importantes de matières
radioactives s’échappent de la centrale de Fukushima, plus grande
catastrophe depuis Tchernobyl, et c’est la seconde fois avec cette
dernière que l’évènement a été classé au plus haut niveau, le
7. Selon
ce rapport, le ministère de la Défense a détecté deux
explosions atomiques souterraines de " bas niveau " dans la zone de
la catastrophe de Fukushima, le 31 Décembre, la première explosion
mesurée à 5.1 d’intensité, suivie d'une plus petite évaluée
à 3,6 sur l'échelle de Richter. Le
ministère de la Défense indique par ailleurs que
l'événement de magnitude 5,1 correspond à l'équivalent de 0,0005
mégatonnes de TNT, l'événement de magnitude 3,6, lui, serait égal à
0,0000005. A
titre de comparaison, le ministère de la Défense affirme que
la bombe atomique larguée sur Hiroshima en 1945 par les États-Unis
représente 16 kilotonnes, soit 0.016 mégatonnes de TNT, ou un séisme de
magnitude 6 sur l’échelle ouverte de
Richter. Il
est important de signaler, ainsi qu’il l’est noté dans le
rapport russe, que l'architecte du réacteur 3 de Fukushima Daiichi,
Uehara Haruo, avait averti le 17 Novembre 2011 qu'une explosion hydrovolcanique était " inévitable " en
raison de combustible atomique fondu qui s’échappe de la cuve de stockage. Le
ministère de la Défense signale que ces deux explosions
nucléaires se sont produites après l’apparition mystérieuses d'un
panache de fumée le 19 décembre 2013, mais aussi le 24 , le 25, et le 27
Décembre , confirmée par un rapport de Tokyo Electric Power Company (
TEPCO ) sur son site Internet . Les
Etats-Unis semblent avoir eu échos de la tragédie
imminente, en témoigne l’achat plus tôt dans le mois (6 Décembre )
de 14 millions de doses d'iodure de potassium , un composé qui protège
le corps contre l'empoisonnement radioactif à la
suite d'accidents nucléaires graves, ces doses seront livrées
février 2014. Pour conclure, ce rapport alarmant met en garde à la fois
l’humanité mais aussi la biodiversité. Il affirme que les conséquences vont être planétaires. Et
concrètement, une vague radioactive surpuissante est
attendue dans tout le Pacifique Nord, jusqu'aux côtes des USA. On
comprend mieux pourquoi les japonnais envoient leurs SDF dans la
bataille... La situation à Fukushima a dégénéré. Achetez immédiatement des
doses. Ou volez-en.
Underground Nuclear Explosion At Crippled Japan Atomic Plant Shocks World
By: Sorcha Faal, and as reported to her Western Subscribers
An ominous edict issued from the Office of the President of Russia today to all Ministries of the Russian
Government ordering that all “past, present and future” information relating to Japan’s Fukushima Daiichi nuclear disaster now be rated at the highest classification level
“Of Special Importance” states that this condition is “immediately and
urgently needed” due to a series of underground nuclear explosions occurring at this crippled atomic plant on 31 December as confirmed by the Ministry
of Defense (MoD).
“Of Special Importance” is Russia’s highest classification level and refers to information which, if released, would cause damage to the entire Russian
Federation.
The plant began releasing substantial amounts of radioactive
materials beginning on 12 March 2011 becoming the largest nuclear incident since the 1986 Chernobyl disaster and the second (with Chernobyl) to measure at the highest Level 7 on the International Nuclear Event Scale (INES).
The MoD further reports that the 5.1 magnitude event corresponds to
the energy equivalent in megatons of TNT of 0.0005, while the 3.6
magnitude event equals 0.0000005.
As a comparison, the MoD states that the atomic bomb dropped on
Hiroshima in 1945 by the United States released the equivalent of 16
Kilotons = 0.016 megatons of TNT, about the energy equivalent
of a magnitude 6 earthquake, and the largest hydrogen bomb ever
detonated was the Tsar bomb, a device exploded by the Soviet Union on 30
October 1961, with an energy equivalent of about 50
megatons of TNT.
Important to note, this report continues, was that the architect of Fukushima Daiichi Reactor 3, Uehara Haruo, warned on 17 November 2011 warned that a “China Syndrome” (aka: Hydrovolcanic Explosion)
was “inevitable” due to the melted atomic fuel that had escaped the container vessel and was now burning through the earth.
The MoD further reports that evidence that these underground nuclear explosions were about to occur began after mysterious steam plumes were
first spotted on 19 December for a short period of time, then again on
24, 25, 27 December, and confirmed by a report Tokyo
Electric Power Company (TEPCO) published on its website.
Most curious to note, this report continues, is that the United
States appears to have had a more advanced notice of these underground
nuclear explosions as evidenced by their purchase earlier
this month (6 December) of 14 million doses of potassium
iodide, the compound that protects the body from radioactive
poisoning in the aftermath of severe nuclear accidents, to be delivered
before the beginning of February 2014.
And with Russian experts now warning that
as Fukushima pollution spreads all over Earth (as large amounts of
fish, seaweeds, and everything in ocean has been
already been polluted, and these products are the main danger for
mankind as they can end up being eaten by people on a massive scale)
this report warns that Putin’s order to classify all
information relating to this nuclear mass death event “Of Special Importance” is vital to protect the economic and social stability interests of the Russian Federation as this
global catastrophe continues to worsen by the day.
[Ed. Note: Western governments and
their intelligence services actively campaign against the information
found in these reports so as not to alarm their citizens
about the many catastrophic Earth changes and events to come, a
stance that the Sisters of Sorcha Faal strongly
disagrees with in believing that it is every human beings right to know
the truth. Due to
our missions conflicts with that of those governments, the responses
of their ‘agents’ against us has been a longstanding
misinformation/misdirection campaign designed to discredit and which is
addressed in the report “Who Is Sorcha Faal?”.]
Hélas, trois mille fois hélas, à elle seule, la centrale nucléaire aura réussi à rendre radioactive la presque totalité de l'océan Pacifique et sûrement au delà.
Et, vu, ce qu'il s'y passe, nous allons tous bénéficier de ses retombées.
Hourra ! Hourra ! Et, vive le super réacteur, EPR français dont la qualité des matériaux de construction est lourdement sujette à question.
Au moins en France, nous allons pouvoir avoir notre petit Fukushima, sans compter, les centrales existantes dont la vétusté n'est plus à démontrer.
Mais, passons, parce qu'en
Charente : "hors de question d'arrêter" son combat contre Monsanto
Paul François a gagné son premier procès contre Monsanto, mais la
bataille judiciaire continue. Malgré la fatigue et les pressions, le
céréalier charentais poursuit un combat qui va bien au-delà de son
propre cas
En avril 2004, alors qu'il nettoyait
une cuve d'épandage, Paul François, céréalier à Bernac, dans le nord de
la Charente, était victime d'une intoxication due aux vapeurs du produit
qu'il utilisait, le Lasso. Dans un premier temps, le Charentais,
toujours atteint de troubles neurologiques, a fait reconnaître par les
tribunaux son intoxication comme maladie professionnelle avant de lancer
une procédure en responsabilité civile contre Monsanto.
Le 13 février 2012, le géant américain de l'agrochimie était jugé «
responsable du préjudice de Paul François suite à l'inhalation du
produit Lasso ». Ce jugement rendu par le tribunal de grande instance de
Lyon ouvrait ainsi la voie à des dommages-intérêts, une première en
France. Monsanto a fait appel, estimant qu'il n'y avait pas « d'éléments
scientifiques suffisants ». « Sud Ouest Dimanche ». Que s'est-il passé depuis le procès ?
Paul François. Deux experts, un toxicochimiste et un médecin, ont été
désignés. Nous les avons rencontrés deux fois, à Paris. Les nouveaux
avocats de Monsanto [NDLR : la firme a changé de défense en faisant
appel] ont très vite cherché à nous déstabiliser et à déstabiliser les
experts. Ils ont fait différentes requêtes, comme réclamer le report des
expertises après l'appel ou demander aux experts de bien vérifier que
mes problèmes de santé étaient liés à l'intoxication. Ce dernier point
leur a été accordé. Monsanto a ensuite demandé que l'expertise finale
soit invalidée car un expert psychiatre aurait dû être nommé. Le
tribunal les a déboutés mais ils ont fait appel, ce qui prolonge
d'autant les délais et les frais… Mes avocats sont à Lyon tous les
quinze jours en ce moment. Quel est le coût de ces expertises ?
Avant même qu'il n'ouvre le dossier, un expert coûte 1 000 euros. Pour
l'instant, j'ai déboursé 5 000 euros pour les trois experts, dont 1 000
euros pour le néphrologue que je n'ai jamais rencontré. Les expertises
sont à ma charge, si Monsanto perd, il les remboursera, mais en
attendant, c'est à moi de faire l'avance. Si eux ont des moyens
illimités, ce n'est pas mon cas. Pour l'heure, le prix de la procédure
en appel devrait approcher 13 000 euros, dont 10 000 de ma poche. Sans
compter les frais d'avocats. Cela veut dire que si la justice fonctionne
plutôt bien - car il faut être courageux pour condamner des grands
groupes industriels -, cela coûte cher. Est-ce que n'importe qui peut se
défendre avec des coûts comme ceux que j'ai à affronter ? Comment se sont déroulées ces expertises ?
Après le jugement, je pensais que le plus dur était derrière moi. Mais
je n'ai pas vu venir cette seconde lame. La technique de la partie
adverse est d'user le plaignant, c'est extrêmement violent. La mise à
nu, la reprise de tout le dossier, la pression des avocats qui vous
ignorent… Ces moments ont été difficiles à supporter, j'en revenais
marqué. Je ne suis pas sûr que si je devais faire de nouvelles
expertises je les accepterais. Pour Monsanto, l'accident n'a pas existé
car ni les pompiers ni le Samu n'étaient intervenus le jour où cela
s'est déroulé. Tout a pu être orchestré par un affabulateur. D'ailleurs,
pour eux, je n'existe pas, tout cela n'est qu'une machination contre
Monsanto. C'est très dur à recevoir en pleine figure. Cela vaut-il la peine de continuer le combat ?
Je me suis posé la question. Parce que moralement et financièrement ça
devient lourd à porter. Je me demandais si je n'allais pas occasionner
des dommages collatéraux à ma famille, à mes proches. Mais ma femme et
mes filles m'ont dit de continuer et mon avocat m'a conseillé de prendre
du recul. Je m'investis autant, mais différemment. Par exemple, je ne
vais pas systématiquement à Lyon. Je pense à autre chose. J'ai
l'exploitation à faire tourner, l'association à gérer, je suis élu à la
Communauté de communes, j'ai plein de choses qui m'occupent l'esprit.
Quand j'ai décidé de tout arrêter, je ne pensais qu'à ce combat. La
nuit, je faisais des cauchemars où j'étais au tribunal et tout se
mélangeait. Finalement, si j'ai douté, ça veut dire que leur stratégie
de déstabilisation morale et physique fonctionne. Monsanto ne tape plus
sur le fond mais sur la forme. Qui sont vos soutiens ?
Ce sont des médecins, des chercheurs qui depuis le début ont pris sur
leur temps et cela bénévolement. Certains ont pris des risques en
s'engageant auprès de moi. Je ne pouvais faire taire ces lanceurs
d'alerte. Si je continue, c'est aussi pour ne pas décevoir tous les
anonymes qui m'ont apporté leur soutien et tous ceux qui, à travers
l'association, attendent beaucoup et qui seraient retombés dans la
solitude. Que seraient devenues les 32 autres procédures en cours ? Mon
combat est connu, même au-delà des frontières. Nous avons eu des
contacts des quatre coins du monde. Pour tous ces gens, il m'est apparu
évident de poursuivre. Je ne serais pas bien dans ma peau si je n'avais
pas continué. Ce n'est plus le moment d'abandonner. Et puis, si
j'arrêtais là, Monsanto communiquerait énormément dessus… Quel est le calendrier désormais ?
On ne le connaît pas. J'aimerais vraiment qu'en 2014, dix ans après
l'accident, on puisse en finir avec cette procédure. Est-ce que ce sera
possible ? Je ne sais pas. Est-ce qu'on envisage l'éventuel pourvoi en
cassation de Monsanto ? À chaque jour suffit sa peine, mais si Monsanto
perd, je ne vois pas pourquoi ils n'iraient pas. Comment réagit votre profession vis-à-vis de votre combat ?
Au début, c'étaient des pressions sympathiques, des taquineries.
Aujourd'hui, certains agriculteurs répètent que mon procès et
l'association nuisent à la profession. Heureusement, ce n'est pas une
grande majorité. Car, au fur et à mesure, ils comprennent qu'ils ont
aussi intérêt à ce que ce sujet soit pris en main. Quels sont les risques si le monde agricole ne s'en saisit pas ?
C'est à nous de faire pression sur les firmes pour avoir de la chimie
propre. Sinon il y aura deux types d'agriculteurs : les malades et ceux
sur le banc des accusés. Avec Certiphyto (1), la responsabilité des
firmes et des revendeurs n'existera plus. Les agriculteurs seront
responsables de l'utilisation de leurs produits. Mais s'ils n'en
connaissent pas la composition exacte et par conséquent dangerosité, ils
peuvent se mettre en danger mais aussi mettre en danger les riverains.
Et avec les actions de groupe, demain, des riverains pourront se
regrouper et des agriculteurs se retrouver sur le banc des accusés. Il
ne se passe pas un mois sans qu'un rapport sorte. Comme les politiques,
nous ne pourrons pas dire qu'on ne savait pas. Mon combat est sensé.
Qu'importe le résultat de mon procès, le problème sera toujours là, il y
aura toujours des malades à la campagne et des agriculteurs touchés qui
se suicident avec des pesticides.
(1) À partir de 2015, le certificat d'aptitude obligatoire Certiphyto
devra être obligatoirement présenté pour l'achat de pesticides à usage
professionnel."
Et, un petit conseil de santé de derrière les fagots.
Digestion
difficile, ballonnements, nausées… Engorgé, votre foie ne parvient plus
à éliminer les déchets et votre organisme dit "stop" ! Découvrez nos
astuces simples et sans risque qui permettent de nettoyer le foie et de
redevenir léger.
3 citrons !
Il vaut mieux nettoyer son foie régulièrement pour éviter qu’un excès de toxines ne crée des problèmes de digestion. Le citron peut stimuler la sécrétion de bile pour drainer le foie de tous des déchets accumulés pendant l’hiver. En pratique :
Mettre 3 citrons dans une casserole d’eau froide, sans les couper, et
porter à ébullition durant 3 minutes. Laisser refroidir, sortir les
citrons et presser les jus. Ajouter le jus à l’eau de cuisson et boire à
jeun le matin et entre les repas."
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