(blog à finir et à corriger)
Et, pourtant, les experts et élus européens continuent de privilégier les multinationales de l'agro-alimentaire qui nous empoisonnent au point de faire des clients ad eternam des multinationales pharmaceutiques.
(source : Inform Action)
Et, cette autre nouvelle :
Une révolte militaire contre le plan de l’administration Obama pour lancer une attaque potentiellement désastreuse contre la Syrie est en train de s’accélérer, avec deux hauts gradés et membres des services réguliers qui expriment leur opposition véhémente à ce que les États-Unis s’empêtrent dans le conflit. La réaction a commencé à se répandre sur les médias sociaux hier avec de nombreux militaires postant des photos d’eux-mêmes brandissant des pancartes indiquant qu’ils refuseraient de se battre du même côté que Al-Qaïda en Syrie. D’autres ont posté leurs photos sur Twitter avec le hashtag # IdidntJoin .
Comme l’administration Obama se prépare à présenter un projet de résolution aux législateurs qui est loin d’être «limitée» dans sa portée et serait en fait de graisser les patins pour une guerre à durée indéterminée, John Kerry et d’autres fonctionnaires du Département d’Etat ont signalé que Obama va simplement ignorer le Congrès, si celui-ci vote non, et lancer l’assaut de toute façon.
Cela ne contribuera guère à rassurer un nombre croissant de personnalités influentes dans l’armée américaine qui deviennent de plus en plus récalcitrantes à ce que les Etats-Unis se laissent entraîner dans une nouvelle guerre au Moyen-Orient.
Le Washington Post rapporte que « le plan de l’administration Obama pour lancer une attaque militaire contre la Syrie est reçu avec de sérieuses réserves par beaucoup dans l’armée américaine, qui est aux prises avec les séquelles des deux guerres longues et un budget qui se contracte rapidement, selon des officiers actuels et anciens » .
Le membre républicain du Congrès, Justin Amash a également affirmé par Twitter : « J’ai entendu beaucoup de membres de nos forces armées. Le message que j’ai toujours entendu dire est : S’il vous plaît votez non sur l’action militaire contre la Syrie ». La déclaration de Amash a été suivie par une série de tweets de vétérans militaires qui ont également exprimé leur opposition à l’attaque.
Paul Szoldra de Business Insider a également parlé de « sources qui sont soit des anciens combattants ou actuellement en service actif dans l’armée », et leur a demandé s’ils appuyaient l’escalade militaire en Syrie.
« La plupart ont répondu par un non catégorique », écrit Szoldra.
Il cite un sergent d’active de première classe qui déclare: « Nous sommes débordés, fatigués, et cassés », ajoutant que les Etats-Unis « (n’ont pas) besoin d’être la police du monde ».
«Notre implication en Syrie est si dangereuse à bien des niveaux, et le vétéran américain du 21ème siècle est plus soucieux de l’éviter plus que quiconque. Ca dépasse mon entendement que nous soyons ignorés », ajoute l’ancien caporal Jack Mandaville, un vétéran du Corps d’infanterie de Marine avec 3 déploiements en Irak.
Il n’y a pas que le personnel militaire qui expose publiquement ses préoccupations, Politico rapporte que des fuites du plan d’attaque qui « émanent de la bureaucratie du Pentagone moins enthousiaste à l’idée d’une attaque que, disons, le Département d’Etat, Conseil national de sécurité ou Obama lui-même », font partie des divulgations non autorisées qui ont "irrité" la Maison Blanche.
Voix de la Russie, Infowars
Traduction : Avic
Un peu vieux comme article, mais, plutôt un rappel nécessaire quant-à la limite de l'intervention américaine en Syrie.
En attendant, en France, le gouvernement laisse un délai à l'agro-alimentaire pour remplacer le Bisphénol A. Pas pressé le gouvernement entre-parenthèse.
(source : Sciences et Avenir)
Et, à part ça ?
Eh, bien cela discute aux Etats-Unis au sujet des..............OGM.
(source : Nature to share)
bbb
Et, pourtant, les experts et élus européens continuent de privilégier les multinationales de l'agro-alimentaire qui nous empoisonnent au point de faire des clients ad eternam des multinationales pharmaceutiques.
(source : Inform Action)
Allemagne : 30.000 manifestants à Berlin pour une agriculture plus verte
Soumis par Renaud Schira le dim, 2014-01-19 12:53
Date:
18/01/2014
Quelque 30.000 personnes ont manifesté à Berlin samedi pour
une agriculture plus respectueuse de l’environnement et contre l’accord
de libre-échange en négociation entre les Etats-Unis et l’Union
européenne, soupçonné de «nuire aux agriculteurs et aux consommateurs»
européens.
Sous le soleil et dans une ambiance bon enfant, les manifestants, flanqués de 70 tracteurs, se sont rendus à la chancellerie pour réclamer la fin d’une «politique clientéliste en faveur de l’industrie agro-alimentaire». Les organisateurs ont évoqué le chiffre de 30.000 manifestants.
Une centaine d’organisations et d’associations pro-environnementales et caritatives, mais aussi Attac et les labels d’agriculture biologique, avaient invité à manifester sous le slogan «ça nous gave!» en marge du Salon de l’agriculture de Berlin, l’un des plus grands du monde, qui se tient jusqu’au 26 janvier dans la capitale allemande et où se réunissaient samedi 72 ministres de l’Agriculture du monde entier.
Les manifestants ont fustigé pêle-mêle les conditions d’élevage des animaux, les OGM et la concentration des terres agricoles aux mains de gros investisseurs, et réclamé une nourriture de meilleure qualité, un soutien plus actif aux jeunes agriculteurs, à l’agriculture biologique ou encore l’éradication de la faim dans le monde.
«La plus grande majorité des gens ne veulent pas de poulet chloré, de viande aux hormones et d’organismes génétiquement modifiés», a poursuivi M. Fritz. Selon les organisateurs, c’est toutefois exactement ce que les Européens trouveront dans leurs assiettes si l’accord de libre-échange actuellement négocié entre Washington et Bruxelles voit le jour.
Sous le soleil et dans une ambiance bon enfant, les manifestants, flanqués de 70 tracteurs, se sont rendus à la chancellerie pour réclamer la fin d’une «politique clientéliste en faveur de l’industrie agro-alimentaire». Les organisateurs ont évoqué le chiffre de 30.000 manifestants.
Une centaine d’organisations et d’associations pro-environnementales et caritatives, mais aussi Attac et les labels d’agriculture biologique, avaient invité à manifester sous le slogan «ça nous gave!» en marge du Salon de l’agriculture de Berlin, l’un des plus grands du monde, qui se tient jusqu’au 26 janvier dans la capitale allemande et où se réunissaient samedi 72 ministres de l’Agriculture du monde entier.
«Ceux qui autorisent et subventionnent des élevages géants, qui misent sur l’export et le libre-échange et qui en plus songent à autoriser à la culture en Europe des plantes génétiquement modifiées laissent tomber leurs agriculteurs, et agissent contre les intérêts de consommateurs, animaux et environnement», a résumé dans un communiqué Jochen Fritz, l’un des organisateurs.
Les manifestants ont fustigé pêle-mêle les conditions d’élevage des animaux, les OGM et la concentration des terres agricoles aux mains de gros investisseurs, et réclamé une nourriture de meilleure qualité, un soutien plus actif aux jeunes agriculteurs, à l’agriculture biologique ou encore l’éradication de la faim dans le monde.
«La plus grande majorité des gens ne veulent pas de poulet chloré, de viande aux hormones et d’organismes génétiquement modifiés», a poursuivi M. Fritz. Selon les organisateurs, c’est toutefois exactement ce que les Européens trouveront dans leurs assiettes si l’accord de libre-échange actuellement négocié entre Washington et Bruxelles voit le jour.
Source:
Liberation.fr
Et, cette autre nouvelle :
Révolte militaire américaine contre la décision d’Obama de «soutenir Al-Qaïda en Syrie»
Une révolte militaire contre le plan de l’administration Obama pour lancer une attaque potentiellement désastreuse contre la Syrie est en train de s’accélérer, avec deux hauts gradés et membres des services réguliers qui expriment leur opposition véhémente à ce que les États-Unis s’empêtrent dans le conflit. La réaction a commencé à se répandre sur les médias sociaux hier avec de nombreux militaires postant des photos d’eux-mêmes brandissant des pancartes indiquant qu’ils refuseraient de se battre du même côté que Al-Qaïda en Syrie. D’autres ont posté leurs photos sur Twitter avec le hashtag # IdidntJoin .
Comme l’administration Obama se prépare à présenter un projet de résolution aux législateurs qui est loin d’être «limitée» dans sa portée et serait en fait de graisser les patins pour une guerre à durée indéterminée, John Kerry et d’autres fonctionnaires du Département d’Etat ont signalé que Obama va simplement ignorer le Congrès, si celui-ci vote non, et lancer l’assaut de toute façon.
Cela ne contribuera guère à rassurer un nombre croissant de personnalités influentes dans l’armée américaine qui deviennent de plus en plus récalcitrantes à ce que les Etats-Unis se laissent entraîner dans une nouvelle guerre au Moyen-Orient.
Le Washington Post rapporte que « le plan de l’administration Obama pour lancer une attaque militaire contre la Syrie est reçu avec de sérieuses réserves par beaucoup dans l’armée américaine, qui est aux prises avec les séquelles des deux guerres longues et un budget qui se contracte rapidement, selon des officiers actuels et anciens » .
Le membre républicain du Congrès, Justin Amash a également affirmé par Twitter : « J’ai entendu beaucoup de membres de nos forces armées. Le message que j’ai toujours entendu dire est : S’il vous plaît votez non sur l’action militaire contre la Syrie ». La déclaration de Amash a été suivie par une série de tweets de vétérans militaires qui ont également exprimé leur opposition à l’attaque.
Paul Szoldra de Business Insider a également parlé de « sources qui sont soit des anciens combattants ou actuellement en service actif dans l’armée », et leur a demandé s’ils appuyaient l’escalade militaire en Syrie.
« La plupart ont répondu par un non catégorique », écrit Szoldra.
Il cite un sergent d’active de première classe qui déclare: « Nous sommes débordés, fatigués, et cassés », ajoutant que les Etats-Unis « (n’ont pas) besoin d’être la police du monde ».
«Notre implication en Syrie est si dangereuse à bien des niveaux, et le vétéran américain du 21ème siècle est plus soucieux de l’éviter plus que quiconque. Ca dépasse mon entendement que nous soyons ignorés », ajoute l’ancien caporal Jack Mandaville, un vétéran du Corps d’infanterie de Marine avec 3 déploiements en Irak.
Il n’y a pas que le personnel militaire qui expose publiquement ses préoccupations, Politico rapporte que des fuites du plan d’attaque qui « émanent de la bureaucratie du Pentagone moins enthousiaste à l’idée d’une attaque que, disons, le Département d’Etat, Conseil national de sécurité ou Obama lui-même », font partie des divulgations non autorisées qui ont "irrité" la Maison Blanche.
Voix de la Russie, Infowars
Traduction : Avic
Un peu vieux comme article, mais, plutôt un rappel nécessaire quant-à la limite de l'intervention américaine en Syrie.
En attendant, en France, le gouvernement laisse un délai à l'agro-alimentaire pour remplacer le Bisphénol A. Pas pressé le gouvernement entre-parenthèse.
(source : Sciences et Avenir)
Bisphénol A : les substituts seraient toxiques
Par RédacteurVoir tous ses articles
Les industriels doivent trouver des substances de remplacement avant le 1er juillet 2015.
L'Agence européenne de sécurité des aliments a mis en consultation
publique vendredi 17 janvier son projet d'avis sur l'évaluation des
risques liés au bisphénol A (BPA) pour la population humaine et a
sollicité les agences nationales. L'Agence nationale de sécurité des
aliments et de l'alimentation (Anses) se prononcera le 13 mars.
LÉGISLATION. En Europe, le bisphénol A, composé chimique reconnu comme un perturbateur endocrinien, est interdit depuis 2011 dans les biberons. Depuis le 1er janvier 2013, l'interdiction a été étendue à l'ensemble des conditionnements alimentaires. Mais les industriels seront-ils prêts pour supprimer le BPA des emballages alimentaires le 1er juillet 2015, comme l'exige la loi ?
"Aucun revêtement n'est aussi souple et résistant que l'époxy", indique Michel Loubry, directeur général de PlasticsEurope, l'association européenne des producteurs de plastiques.
Principale difficulté : s'assurer que les nouvelles résines s'adaptent à des procédés industriels, où les boîtes sont embouties à une vitesse de 10.000 coups par heure. Les industriels mènent aussi des tests de vieillissement de ces résines.
LÉGISLATION. En Europe, le bisphénol A, composé chimique reconnu comme un perturbateur endocrinien, est interdit depuis 2011 dans les biberons. Depuis le 1er janvier 2013, l'interdiction a été étendue à l'ensemble des conditionnements alimentaires. Mais les industriels seront-ils prêts pour supprimer le BPA des emballages alimentaires le 1er juillet 2015, comme l'exige la loi ?
73 substituts aussi dangereux
Soixante-treize substituts ont été rencensés par l'Anses, dont certains, comme le bisphénol S, apparaissent désormais tout aussi dangereux. Mais le plus difficile sera de trouver un remplaçant à l'époxy qui recouvre l'intérieur des boîtes de conserve et dont le BPA est un composant de base."Aucun revêtement n'est aussi souple et résistant que l'époxy", indique Michel Loubry, directeur général de PlasticsEurope, l'association européenne des producteurs de plastiques.
Principale difficulté : s'assurer que les nouvelles résines s'adaptent à des procédés industriels, où les boîtes sont embouties à une vitesse de 10.000 coups par heure. Les industriels mènent aussi des tests de vieillissement de ces résines.
Les 3 substituts envisagés :
LE BISPHÉNOL S. La
plupart des biberons garantis "sans bisphénol A" sont composés de
polyéthersulfone (PES), un plastique qui contient du bisphénol S (BPS).
Ce dernier n'est pas forcément moins toxique, car il s'agit aussi d'un
perturbateur endocrinien, comme l'a encore démontré une équipe de
l'université du Texas (Environ Health Perspective 2013).
LES RÉSINES. Quatre
substances sont envisagées pour remplacer les résines époxydiques des
boîtes de conserve, contenant du bisphénol A. Il s'agit de résines à
base d'acrylique, de polyester de méthacrylate, ou de vinyle, des
substances déjà autorisées pour l'alimentation, donc non toxiques. Mais
aucune ne convenant pour tous les types d'aliments, il faut donc choisir
la bonne pour chaque recette, notamment selon l'acidité du plat.
LES POLYESTERS THERMOPLASTIQUES. Cette
vaste famille de polymères comprend notamment le polyéthylène
téréphtalate (PET) des bouteilles d'eau minérale, ou l'acide
polylactique, un plastique biodégradable utilisé en emballage
alimentaire. Ces polyesters pourraient remplacer les bonbonnes d'eau en
polycarbonate largement présentes dans les entreprises et qui
constituent "une source significative d'exposition au bisphénol A",
selon l'Anses. Cependant, ils sont moins résistants que le
polycarbonate.
D'après un article de Cécile Michaut, initialement publié dans le numéro 796 de Sciences et Avenir, en juin 2013.Et, à part ça ?
Eh, bien cela discute aux Etats-Unis au sujet des..............OGM.
(source : Nature to share)
bbb
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