dimanche 19 janvier 2014

(blog à finir et à corriger)

Eh, oui, mes chers cinq lecteurs, il existe encore des endroits dans le monde où la solidarité des habitants construit le mieux être à vivre comme dans cette commune de France.

(source : histoiresextraordinaires.fr)

Vie rurale

Une halte nécessaire : Trémargat, la commune solidaire

13/01/2014

Jamais histoire racontée ici n'aura été plus collective ! Elle rapporte l'aventure exemplaire d'une commune. Ce mot si banal, si commun, prend à Trémargat un sens communautaire. Isolés au cœur de la Bretagne, les quelque 180 habitants se sont toujours serré les coudes. Et ce n'est pas près de finir.


À moins d’y habiter ou d’y connaitre quelqu’un, on ne va pas à Trémargat. Ou alors par hasard, égaré entre Saint Nicodème et Lanrivain, tout près des gorges de Toul Goulig. Trémargat est comme une île sans l'océan, une île perdue dans les terres rocaileuses de la Bretagne centrale. 
L'île, à chaque élection, émerge dans l'actualité régionale. Depuis des lustres, les Trémargatois penchent en effet très nettement à gauche, versant écologie. À la dernière élection présidentielle, c'est la verte Eva Joly qui est arrivée en tête au premier tour devant Jean-Luc Mélenchon puis François Hollande. Mais ceci ne rend que partiellement compte du tempérament des citoyens de Trémargat. 
Vivent ici, parmi les landes, le bocage et les chaos rocheux, les héritiers des valeurs du parti communiste. Nous sommes dans les « campagnes rouges » de jadis. Aujourd'hui, la plupart des Trémargatois sont originaires d’ailleurs mais les valeurs de coopération demeurent sur ces terres que les paysans de l’époque refusèrent de remembrer. 

Aurélie travaille au Tremargad Kafe : "Il y a une envie commune de travailler tous ensemble."
Aurélie travaille au Tremargad Kafe : "Il y a une envie commune de travailler tous ensemble."

« Il faut faire ensemble »

Grâce à cela,Trémargat, après avoir été saignée par l'exode rural, a d'ailleurs commencé à revivre un mise un jour. Dans les années 70, des agriculteurs d'une nouvelle génération sont arrivées sur les terres abandonnées. L’idée d’une agriculture plus autonome s'est mise à germer. 
Une quinzaine d’exploitations existent aujourd’hui sur la commune. Il y a même davantage de demandes d'installation que de terres disponibles, c'est dire l’attrait, maintenant, de ce petit coin de campagne. Tombée à 152 habitants en 1990, Trémargat était remontée à 184 en 2011.
La recette, au fond, est assez simple. « Avec douze habitants au kilomètre carré, il faut se serrer les coudes », explique Éric Bréhin, enseignant de métier et maire depuis 2008.« Coopération et participation sont les deux maitre-mots », insiste-t-il. Toutes les personnes que vous croisez le disent à leur manière :  « Il faut faire ensemble ».

Une halte nécessaire : Trémargat, la commune solidaire

Un café associatif, « le Tremargad Kafe »

Très tôt le conseil municipal a accompagné ce que propose et entreprend la population. Il faut dire que depuis plusieurs décennies une bonne partie des habitants a été élue dans les différents conseils... C’est un atout de taille pour assurer la continuité d’un développement fondé sur la participation citoyenne. 
Il n’y a pas d’école à Trémargat et cependant il y a des enfants. C’est un  choix réfléchi de la municipalité qui a préféré organiser le déplacement des petits trémargatois scolarisés vers Lanrivain : « La commune d’à côté risquait une fermeture de classe, mettant en péril son école à cause d’un nombre d’élèves insuffisant, comme cela on a pu maintenir ce service public », poursuit le maire. Bel exemple de solidarité intercommunale dans une zone à l’écart des grands projets.
S’il n’y a pas d’école, il y a un café, « le Tremargad Kafe » que des difficultés d’organisation avaient il y a quelques années mis à mal. Il est maintenant géré par une association locale. Elle a su relancer cette initiative de ce qui est devenu à l’instar des cafés d’antan un centre vivant d’échanges en tout genre.

Le plafond du café : un espace de libre expression…
Le plafond du café : un espace de libre expression…

Des chantiers toujours participatifs

En face de la petite église, juste de l’autre côté de la route qui traverse rapidement le bourg, l’estaminet ne manque pas de charme. Il se prolonge depuis la fin de l’année 2012 par une épicerie qui fonctionne avec le concours des habitants volontaires qui viennent tenir à tour à tour ce commerce  plébiscité  par la population locale et celle des alentours. 
Il s’agit, comme pour l’épicerie morbihannaise « Les Champs communs » de Augan, de proposer des produits de qualité provenant le plus possible de producteurs locaux tout en redonnant au commerce rural son côté populaire, sa fonction d’échanges conviviaux. Tout à côté il y a le restaurant pour lequel la réputation de sa « cuisine  bio » n’est plus à faire.
Au centre du bourg, la place témoigne aussi de l'esprit de coopération des Trémargatois. Après avoir mûrement réfléchi et s’être entouré de conseils techniques avisés, le conseil municipal a lancé, comme il se doit à Trémargat, « un chantier  participatif » : l'aménagement a été ainsi voulu, conçu et réalisé par la population. Comme l'a été en partie la création des locaux de la base nautique sur la retenue d’eau en contrebas du bourg.

Une halte nécessaire : Trémargat, la commune solidaire

Une terre pauvre… mais une électricité 100 % renouvelable

À Trémargat, nous ne sommes pas pour autant chez les « ruraux-bohèmes » ! Ici, comme partout ailleurs, la vie est branchée sur le monde. Mais ce n'est pas grâce à EDF. Depuis janvier 2012, Trémargat est alimentée en électricité 100 % renouvelable  fournie par la coopérative Enercoop : elle a été la première commune de France ainsi autonome. Le côté « écolo » n'est pas cependant brandi au coin de chaque haie. Non, simplement, à Trémargat, on mouille sa chemise pour faire et obtenir ce que l’on veut. 

Peut-être que la chance de Trémargat est d’avoir été et d’être encore une commune pauvre. Pauvre au sens où, par exemple, les terres agricoles ne sont pas les meilleures de Bretagne, pauvre aussi parce que les gens qui y ont vécu n’y ont pas fait fortune et que chacun est resté  un peu  l’autre . Cette pauvreté qui n’a rien à voir avec la misère est sans doute un des moteurs de cette solidarité active pas si courante que cela et qui ne s’est jamais démentie.  
Lorsque l’on quitte Trémargat c’est la même impression que celle que l’on peut ressentir en quittant une île. Une île au milieu des bois, des champs et des landes comme un  monde perdu avec un petit  quelque chose de différent dans la vie des gens. 
Texte : Alain Lessir                      
Photos : Christophe Lemoine

Montage video: Violette Goarant

Eh, oui, il faut créer des espaces où la vie solidaires crée le respect de son environnement pour vivre mieux parce qu'ailleurs, ils continuent à tout détruire alors que maintenant, on sait qu'il est possible de créer des espaces énergétiques autonomes.
Mais, au lieu de travailler dans cette direction, ils préfèrent achever de détruire la planète.

(source : Inform'Action)

De gigantesques projets menacent un pan entier de l'Amazonie au Pérou




Date: 
12/01/2014
De gigantesques projets pétroliers ainsi que des barrages hydro-électriques menacent un pan entier de l'Amazonie où vivent de très nombreuses communautés autochtones. Ce désastre humain et écologique a lieu en ce moment même, et les cris de désespoirs des populations locales ne trouvent d’écho nul part ou presque dans les médias nationaux et internationaux.

C'est pourquoi nous avons besoin de votre aide concernant la diffusion de ces informations, si vous connaissez un journaliste, merci de nous mettre en contact, si vous avez une page Facebook, twitter ou autre, merci de partager la vidéo, n'hésitez pas à la partager par mail afin que cette catastrophe humanitaire ne reste pas méconnue. Car en plus de l'impact écologique évident c'est avant tout un risque de conflit sanglant, certaines compagnies pétrolières ayant engagés des milices armées privées !

Pour plus d'information, contacter nous via saukaap@gmail.com ou visitez notre site : saukaap.blogspot.fr/ ou notre page facebook. Des informations sont aussi disponible sur ce site : vigilanteamazonico.pe/. Merci pour votre attention et votre soutien, Association Saukaap.

Durée : 3 min

Source: 
Saukaap.blogspot.fr



Est-ce monde là qu'ils veulent pour nos enfants ?

(source : 20 minutes)


VIDEO. Pollution oblige, le soleil s’admire désormais sur écran géant à Pékin

TWITTER
Un écran géant diffuse une vidéo de lever de soleil à Pekin, le 16 janvier 2014.

ENVIRONNEMENT - Les immenses écrans plasma installés dans la capitale chinoise diffusaient ce jeudi la vidéo d’un lever de soleil...

Avis de recherche: le soleil a de nouveau disparu du ciel de Pékin. Et jeudi matin, il n’était visible que sur les écrans plasma géants disposés à travers la ville.
Une photo postée sur Twitter par un journaliste chinois et retweetée sur le correspondant du New York Times à Pékin, Edward Wong, montre en effet un film de lever de soleil diffusé sur l’un des écrans traditionnellement utilisés pour l’information touristique. Un erzatz de soleil qui illustre la gravité de la situation dans la capitale chinoise qui se trouve une nouvelle fois plongée depuis jeudi dans un épais brouillard de pollution.
北京人是這麼看日出的,真尼瑪高科技 pic.twitter.com/lOuTEkGvQM
— 小苦逼 (@joneshen1992) 16 Janvier 2014
La densité de particules de 2,5 microns de diamètre (PM 2,5), les plus nocives, a atteint dans la nuit de mercredi à jeudi à Pékin le seuil de 671 microgrammes par mètre cube, selon l'ambassade américaine. Soit un niveau 27 fois plus élevé que le plafond préconisé par l'Organisation mondiale de la santé pour une exposition de 24 heures.
Cette nouvelle «airpocalypse» survient alors que le pays est en proie à une vague de froid et que les centrales thermiques au charbon tournent à plein régime. Alors que les enfants et personnes âgées sont vivement encouragés à rester à la maison, les touristes et travailleurs qui s’aventurent dans la rue sont contraints de porter un masque pour respirer.
C.P. avec AFP

Alors, question, par quoi, devons-nous commencer, si, nous voulons un autre monde, un monde meilleur ?
Et, si, nous commencions par l'éducation, vous savez cette éducation qui dans les écoles doit apprendre à nos enfants à devenir des citoyens responsables et qui réfléchissent.
Parce qu'en ce moment, mes chers lecteurs, en tout cas en France, tout le monde veut modifier le contenu des programmes scolaires.
Par exemple, le contenu d'un livre d'histoire ne plaît pas à une association juive très sioniste, elle demande la suppression ou la réécriture du contenu.
Le président de l'Ump (droite) voudrait que l'on supprime les allusions à la lutte des classes dans les manuels d'histoire et voudrait que l'on supprime la fête du 4 août qui est le vote de la fin des privilèges lors de la révolution française.
Et, j'en passe et des meilleurs.
Donc, à mon avis, il faut revenir à certains fondamentaux.

(source : ENSEMBLE - presse coopérative et indépendante)

Entrevue – Claude Béland

L'éducation contre le néolibéralisme [vidéo]


«Le système doit absolument changer, autrement le monde s'en va vers un mur.» - Claude Béland
Photo: Nicolas Falcimaigne
MONTRÉAL — 
L'éducation du public «est entre les mains des propriétaires des grands médias», dénonce Claude Béland en entrevue au journal Ensemble. Pourtant, c'est par l'éducation qu'il entrevoit le salut de la démocratie et le remplacement du modèle néolibéral actuel par la social-démocratie. C'est dire à quel point le défi est grand. Pour l'ancien président du Mouvement Desjardins, l'éducation de proximité, dans les familles, mais également dans les coopératives, mutuelles et autres entreprises d'économie sociale, devient un devoir dont dépend l'avenir de notre civilisation.
Sans l'éducation, l'être humain est soumis à ses instincts de sécurité, de possession, d'exploitation et de pillage, affirme Claude Béland, qui associe le modèle d'entreprise traditionnelle à ces instincts: «Si le projet politique, c'est celui-là, il est normal d'avoir des entreprises comme on les connaît, les entreprises traditionnelles. Mais si le projet est un projet de vie commune, une social-démocratie, là on retrouve des entreprises coopératives, mutuelles, des organismes à but non lucratif qui intègrent des principes de liberté, d'égalité et de solidarité.»
 «On ne naît pas coopérateur ou on ne naît pas démocrate. C'est l'éducation qui nous amène à comprendre que la démocratie, c'est une façon de mieux vivre ensemble.» Ce n'est pas un instinct, ce n'est pas inné. La démocratie est le fruit de l'éducation, explique celui qui est aussi président du Mouvement démocratique pour une Constitution du Québec (MDCQ)*. La liberté des individus, «celle qui ne nuit pas à celle des autres», y est conjuguée à l'égalité, «non seulement des droits, mais aussi des chances, partant du principe que les gens ne naissent pas tous égaux», et à la solidarité, «parce que l'éthique du mieux vivre ensemble, c'est une éthique du bien commun».
Les médias maîtres de l'éducation
Les institutions d'enseignement ont délaissé le savoir-être pour le savoir-faire. «Le mot d'ordre, c'est qu'il faut être employable, illustre M. Béland. Ce n'est pas ce qui est en vous, ce n'est pas vos inspirations...  Mais si tu veux travailler, t'es mieux d'avoir un diplôme dans ce domaine-là. Il y a de l'avenir dans ça. De l'avenir économique, la possibilité de s'enrichir, mais quant au savoir être avec les autres, il n'y a pas beaucoup d'éducation qui se fait.» On enseigne plutôt «comment spéculer, comment devenir riche, comment on peut faire encore plus d'argent, parce que dans la vie, celui qui réussit, c'est celui qui sait accumuler des richesses».
«Malheureusement, aujourd'hui, ce qui guide les comportements des citoyens et des citoyennes, c'est les médias. La radio, la télévision... c'est très subtil... les humoristes, les émissions de variétés. L'éducation est entre les mains des propriétaires de grands médias.» Ainsi, les médias de masse entretiennent-ils le système néolibéral en en diffusant abondamment les principes, souligne M. Béland. «On l'a vu récemment quand des gens très riches décèdent: on les célèbre comme ayant réussi leur vie.»
Dépasser le corporatisme
«On va se retrouver très rapidement à dix milliards et à douze milliards, prévient M. Béland. C'est sûr qu'on a besoin d'un nouveau projet de société qui va faire en sorte que ce ne sera pas la lutte sans fin pour la vie, mais qu'on va revenir à l'union pour la vie.» Pour y arriver, il faut dépasser les divisions corporatistes qui marquent le mouvement de l'économie solidaire.
«C'est comme si on oubliait l'objectif ultime, qui est de bâtir une société nouvelle, pour dire "c'est plus important de bâtir ma corporation, parce que c'est ce qui a permis à des coopératives de survivre, les coopératives ont besoin de nous". C'est vrai, mais elles auraient autant besoin d'être inscrites dans un projet de société plus large qui ferait moins de place aux dommages que cause actuellement le système néolibéral. Le système doit absolument changer, autrement le monde s'en va vers un mur. Et ça, je pense que quand on y songe sérieusement, ce n'est pas ce qu'on souhaite.»
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* Le Mouvement Démocratie et Citoyenneté du Québec (MDCQ), fondé à la suite des États généraux sur la réforme des institutions démocratiques que M. Béland a présidés en 2003, a récemment adopté un nouveau nom: Mouvement démocratique pour une Constitution du Québec (MDCQ).
Claude Béland est également coprésident d'honneur de la Coopérative de journalisme indépendant.

En attendant, que fait le gouvernement français ?
Il fait pire que sarkozy, le précédent président ump de droite, il envoie l'armée contre la ZAD, contre les occupants du lieu où doit être construit un nouvel aéroport inutile à Nantes, en Bretagne.
Bien, l'armée du peuple contre le peuple.
Il veut voir quoi le président Hollande ?
Voir, si, les militaires sont plus efficaces qu'en Centre Afrique ou voir, si, on peut utiliser l'armée pour réprimer les manifestations ?
Seule réponse : TOUS A LA ZAD !

Les Indignés et Inform'Action ont partagé un lien.



De toute façon, en France, le ministre de l'intérieur (de la police) glisse des peaux de banane à son président, françois hollande, pour qu'il se déconsidère un maximum en espèrant être le candidat de son parti pour la prochaine élection présidentielle de 2017.
Ce monsieur est très, très ambitieux et très, très pressé.
Il se constitue un soutien d'influence, notamment avec les associations juives les plus réactionnaires et les plus pro-sionistes
Il espère, sans doute, que ces gens de l'ombre feront comprendre à françois hollande qu'il est temps pour lui d'aller filer le parfait amour sous d'autres cieux en participant à des conférences à 100.000 dollars de l'heure, par exemple.
Et, en laissant sarkozy et valls s'affronter sur les mêmes thèmes.
Et, sans doute, ira-t-il voir le pape pour s'attirer les voix catholiques après celle de la communauté juive.
Heureusement que dans cette communauté, il y a beaucoup de gens et peut--être la majorité, qui ont le coeur à gauche.
Sauf, qu'il joue sur les mêmes créneaux que sarko.
Que Dieu nous préserve d'une telle candidature I
Que Dieu nous préserve de l'une et de l'autre !

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