(blog à finir et à corriger)
Eh, oui, mes chers cinq lecteurs, il existe encore des endroits dans le monde où la solidarité des habitants construit le mieux être à vivre comme dans cette commune de France.
(source : histoiresextraordinaires.fr)
Eh, oui, il faut créer des espaces où la vie solidaires crée le respect de son environnement pour vivre mieux parce qu'ailleurs, ils continuent à tout détruire alors que maintenant, on sait qu'il est possible de créer des espaces énergétiques autonomes.
Mais, au lieu de travailler dans cette direction, ils préfèrent achever de détruire la planète.
(source : Inform'Action)
Est-ce monde là qu'ils veulent pour nos enfants ?
(source : 20 minutes)
Vendredi 17 janvier 2014, 14:59
Eh, oui, mes chers cinq lecteurs, il existe encore des endroits dans le monde où la solidarité des habitants construit le mieux être à vivre comme dans cette commune de France.
(source : histoiresextraordinaires.fr)
Vie rurale
Une halte nécessaire : Trémargat, la commune solidaire
13/01/2014
Jamais histoire racontée ici n'aura été plus collective ! Elle rapporte l'aventure exemplaire d'une commune. Ce mot si banal, si commun, prend à Trémargat un sens communautaire. Isolés au cœur de la Bretagne, les quelque 180 habitants se sont toujours serré les coudes. Et ce n'est pas près de finir.
À moins d’y habiter ou d’y connaitre quelqu’un, on ne va pas à Trémargat. Ou alors par hasard, égaré entre Saint Nicodème et Lanrivain, tout près des gorges de Toul Goulig. Trémargat est comme une île sans l'océan, une île perdue dans les terres rocaileuses de la Bretagne centrale.
L'île, à chaque élection, émerge dans l'actualité régionale. Depuis des lustres, les Trémargatois penchent en effet très nettement à gauche, versant écologie. À la dernière élection présidentielle, c'est la verte Eva Joly qui est arrivée en tête au premier tour devant Jean-Luc Mélenchon puis François Hollande. Mais ceci ne rend que partiellement compte du tempérament des citoyens de Trémargat.
Vivent ici, parmi les landes, le bocage et les chaos rocheux, les héritiers des valeurs du parti communiste. Nous sommes dans les « campagnes rouges » de jadis. Aujourd'hui, la plupart des Trémargatois sont originaires d’ailleurs mais les valeurs de coopération demeurent sur ces terres que les paysans de l’époque refusèrent de remembrer.
« Il faut faire ensemble »
Grâce à cela,Trémargat, après avoir été saignée par l'exode rural, a d'ailleurs commencé à revivre un mise un jour. Dans les années 70, des agriculteurs d'une nouvelle génération sont arrivées sur les terres abandonnées. L’idée d’une agriculture plus autonome s'est mise à germer.
Une quinzaine d’exploitations existent aujourd’hui sur la commune. Il y a même davantage de demandes d'installation que de terres disponibles, c'est dire l’attrait, maintenant, de ce petit coin de campagne. Tombée à 152 habitants en 1990, Trémargat était remontée à 184 en 2011.
La recette, au fond, est assez simple. « Avec douze habitants au kilomètre carré, il faut se serrer les coudes », explique Éric Bréhin, enseignant de métier et maire depuis 2008.« Coopération et participation sont les deux maitre-mots », insiste-t-il. Toutes les personnes que vous croisez le disent à leur manière : « Il faut faire ensemble ».
Un café associatif, « le Tremargad Kafe »
Très tôt le conseil municipal a accompagné ce que propose et entreprend la population. Il faut dire que depuis plusieurs décennies une bonne partie des habitants a été élue dans les différents conseils... C’est un atout de taille pour assurer la continuité d’un développement fondé sur la participation citoyenne.
Il n’y a pas d’école à Trémargat et cependant il y a des enfants. C’est un choix réfléchi de la municipalité qui a préféré organiser le déplacement des petits trémargatois scolarisés vers Lanrivain : « La commune d’à côté risquait une fermeture de classe, mettant en péril son école à cause d’un nombre d’élèves insuffisant, comme cela on a pu maintenir ce service public », poursuit le maire. Bel exemple de solidarité intercommunale dans une zone à l’écart des grands projets.
S’il n’y a pas d’école, il y a un café, « le Tremargad Kafe » que des difficultés d’organisation avaient il y a quelques années mis à mal. Il est maintenant géré par une association locale. Elle a su relancer cette initiative de ce qui est devenu à l’instar des cafés d’antan un centre vivant d’échanges en tout genre.
Des chantiers toujours participatifs
En face de la petite église, juste de l’autre côté de la route qui traverse rapidement le bourg, l’estaminet ne manque pas de charme. Il se prolonge depuis la fin de l’année 2012 par une épicerie qui fonctionne avec le concours des habitants volontaires qui viennent tenir à tour à tour ce commerce plébiscité par la population locale et celle des alentours.
Il s’agit, comme pour l’épicerie morbihannaise « Les Champs communs » de Augan, de proposer des produits de qualité provenant le plus possible de producteurs locaux tout en redonnant au commerce rural son côté populaire, sa fonction d’échanges conviviaux. Tout à côté il y a le restaurant pour lequel la réputation de sa « cuisine bio » n’est plus à faire.
Au centre du bourg, la place témoigne aussi de l'esprit de coopération des Trémargatois. Après avoir mûrement réfléchi et s’être entouré de conseils techniques avisés, le conseil municipal a lancé, comme il se doit à Trémargat, « un chantier participatif » : l'aménagement a été ainsi voulu, conçu et réalisé par la population. Comme l'a été en partie la création des locaux de la base nautique sur la retenue d’eau en contrebas du bourg.
Une terre pauvre… mais une électricité 100 % renouvelable
À Trémargat, nous ne sommes pas pour autant chez les « ruraux-bohèmes » ! Ici, comme partout ailleurs, la vie est branchée sur le monde. Mais ce n'est pas grâce à EDF. Depuis janvier 2012, Trémargat est alimentée en électricité 100 % renouvelable fournie par la coopérative Enercoop : elle a été la première commune de France ainsi autonome. Le côté « écolo » n'est pas cependant brandi au coin de chaque haie. Non, simplement, à Trémargat, on mouille sa chemise pour faire et obtenir ce que l’on veut.
Peut-être que la chance de Trémargat est d’avoir été et d’être encore une commune pauvre. Pauvre au sens où, par exemple, les terres agricoles ne sont pas les meilleures de Bretagne, pauvre aussi parce que les gens qui y ont vécu n’y ont pas fait fortune et que chacun est resté un peu l’autre . Cette pauvreté qui n’a rien à voir avec la misère est sans doute un des moteurs de cette solidarité active pas si courante que cela et qui ne s’est jamais démentie.
Peut-être que la chance de Trémargat est d’avoir été et d’être encore une commune pauvre. Pauvre au sens où, par exemple, les terres agricoles ne sont pas les meilleures de Bretagne, pauvre aussi parce que les gens qui y ont vécu n’y ont pas fait fortune et que chacun est resté un peu l’autre . Cette pauvreté qui n’a rien à voir avec la misère est sans doute un des moteurs de cette solidarité active pas si courante que cela et qui ne s’est jamais démentie.
Lorsque l’on quitte Trémargat c’est la même impression que celle que l’on peut ressentir en quittant une île. Une île au milieu des bois, des champs et des landes comme un monde perdu avec un petit quelque chose de différent dans la vie des gens.
Texte : Alain Lessir
Photos : Christophe Lemoine
Montage video: Violette Goarant
Photos : Christophe Lemoine
Montage video: Violette Goarant
Eh, oui, il faut créer des espaces où la vie solidaires crée le respect de son environnement pour vivre mieux parce qu'ailleurs, ils continuent à tout détruire alors que maintenant, on sait qu'il est possible de créer des espaces énergétiques autonomes.
Mais, au lieu de travailler dans cette direction, ils préfèrent achever de détruire la planète.
(source : Inform'Action)
De gigantesques projets menacent un pan entier de l'Amazonie au Pérou
Date:
12/01/2014
De gigantesques projets pétroliers ainsi que des barrages hydro-électriques menacent un pan entier de l'Amazonie où vivent de très nombreuses communautés autochtones. Ce désastre humain et écologique a lieu en ce moment même, et les cris de désespoirs des populations locales ne trouvent d’écho nul part ou presque dans les médias nationaux et internationaux.
C'est pourquoi nous avons besoin de votre aide concernant la diffusion de ces informations, si vous connaissez un journaliste, merci de nous mettre en contact, si vous avez une page Facebook, twitter ou autre, merci de partager la vidéo, n'hésitez pas à la partager par mail afin que cette catastrophe humanitaire ne reste pas méconnue. Car en plus de l'impact écologique évident c'est avant tout un risque de conflit sanglant, certaines compagnies pétrolières ayant engagés des milices armées privées !
Pour plus d'information, contacter nous via saukaap@gmail.com ou visitez notre site : saukaap.blogspot.fr/ ou notre page facebook. Des informations sont aussi disponible sur ce site : vigilanteamazonico.pe/. Merci pour votre attention et votre soutien, Association Saukaap.
Durée : 3 min
Source:
Saukaap.blogspot.fr
Est-ce monde là qu'ils veulent pour nos enfants ?
(source : 20 minutes)
VIDEO. Pollution oblige, le soleil s’admire désormais sur écran géant à Pékin
ENVIRONNEMENT - Les immenses écrans plasma installés dans la capitale chinoise diffusaient ce jeudi la vidéo d’un lever de soleil...
Avis de recherche: le soleil a de nouveau disparu du ciel de Pékin. Et jeudi matin, il n’était visible que sur les écrans plasma géants disposés à travers la ville.
Une photo postée sur Twitter par un journaliste chinois et retweetée sur le correspondant du New York Times à Pékin, Edward Wong, montre en effet un film de lever de soleil diffusé sur l’un des écrans traditionnellement utilisés pour l’information touristique. Un erzatz de soleil qui illustre la gravité de la situation dans la capitale chinoise qui se trouve une nouvelle fois plongée depuis jeudi dans un épais brouillard de pollution.
北京人是這麼看日出的,真尼瑪高科技 pic.twitter.com/lOuTEkGvQM
— 小苦逼 (@joneshen1992) 16 Janvier 2014
La densité de particules de 2,5 microns de diamètre (PM 2,5), les plus nocives, a atteint dans la nuit de mercredi à jeudi à Pékin le seuil de 671 microgrammes par mètre cube, selon l'ambassade américaine. Soit un niveau 27 fois plus élevé que le plafond préconisé par l'Organisation mondiale de la santé pour une exposition de 24 heures.
Cette nouvelle «airpocalypse» survient alors que le pays est en proie à une vague de froid et que les centrales thermiques au charbon tournent à plein régime. Alors que les enfants et personnes âgées sont vivement encouragés à rester à la maison, les touristes et travailleurs qui s’aventurent dans la rue sont contraints de porter un masque pour respirer.
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