(blog à finir et à corriger)
Il paraît, mes chers cinq lecteurs, que les Etats-Unis ont froid.
Dommage pour eux, mais, il faut dire également que le gouvernement, pour protéger le pays du réchauffement climatique fait procéder depuis des dizaines d'années, à des épandages d'aluminium et autres saloperies dans l'atmosphère pour renvoyer les rayons du soleil vers l'espace.
Résultat, et je ne doute pas que vous allez vous pencher sur la question mes chers lecteurs, les rayons du soleil ne sont plus là pour adoucir l'hiver.
Et, du coup, il devient de plus en plus rigoureux.
Heureusement que pour certains, il y a des compensations, par exemple, ceux qui ont déposé des brevets pour la composition des chemtrails que le gouvernement américain compte bien faire pleuvoir sur la planète entière?
Les chemtrails qui avec leurs composants chimiques cancérigène auront le même effet sur l'atmonspère que l'extraction du gaz de schiste sur les nappes phréatique et l'empoisonnement de l'air et des sols.
Mais, passons, parce que tant que le citoyen américain se laissera faire en reconduisant les mêmes partis élection après élection, rien ne changera à par l'accélération de la destruction de notre environnement.
En attendant, en France, les socialistes y participe joyeusement en sortant un décret afin de permettre aux éleveurs bretons d'agrandir leur élevage intensif de cochons et même d'en ouvrir d'autres en réduisant la paperasse de contrôle sanitaire.
Déjà qu'au niveau de l'Europe, ils ont voté en faveur de la pêche en eau profonde alors qu'il n'y que quatre ou cinq chalutier français appartenant d'ailleurs à Intermarché, qui la pratiquent.
En fait, ces gens-là ne sont au pouvoir que pour réaliser les basses oeuvres des gros industriels et de la finance.
En tout cas, merci pour l'environnement et pour notre santé et bravo pour votre courage légendaire monsieur hollande !
(source : Journal de l'environnement)
Loin d’avoir été enrayé, le développement des algues vertes se
poursuit sur les côtes françaises. Une note de synthèse du Commissariat
général au développement durable (CGDD) affirme que le phénomène dépasse
largement la Bretagne, même si elle reste la plus touchée.
«Supprimer la prolifération des algues vertes d’ici 10 ans…» Ce fut l’une des promesses sur lesquelles s’est conclue la deuxième Conférence environnementale, le 21 septembre dernier. Aucune mesure précise n’a encore permis de savoir comment le gouvernement allait procéder. Et la récente extension du régime d’enregistrement, pour les élevages porcins, ne risque pas d’endiguer le mouvement.
En attendant, les algues prolifèrent sur toutes les côtes métropolitaines… Sans surprise, la région Bretagne reste la plus touchée avec 51 plages et 33 vasières d’estuaire touchées en 2012. Seules la surface de plages recouvertes reste stable, en raison des faibles pluies printanières, note le CGDD. En moyenne, celles-ci représentent entre 1.500 et plus de 4.000 hectares selon les zones et les années. Mais l’échouage d’ulves (laitues de mer) a augmenté dans les vasières, selon les chiffres établis par le Centre d’étude et de valorisation des algues (Ceva).
«Ces chiffres sont en deçà de la réalité», corrige Jean-François Piquot, porte-parole de l’association Eau et rivières de Bretagne. «Le rapport ne comptabilise que les plages touchées par les algues vertes alors que dans le Finistère, par exemple, de nombreuses zones rocheuses sont touchées sur le littoral. Au total, on dépasse sans aucun doute la centaine de zones touchées sur les côtes bretonnes», affirme-t-il.
De nouvelles plages touchées en 2012
La nouveauté réside surtout dans l’extension des algues vertes tout au long du littoral, de la Basse-Normandie à la Charente-Maritime. De nouvelles plages sont donc touchées, en particulier dans le Calvados, les havres du Cotentin, le littoral de Loire-Atlantique, quelques baies vendéennes (comme Noirmoutier), sans oublier les îles de Ré et d’Oléron.
«Contrairement à la Bretagne, la Normandie et le sud de la Loire connaissent un développement des algues vertes sur les platiers rocheux plutôt que dans les masses d’eau», précise Sylvain Ballu, responsable du suivi des algues vertes au Ceva.
Environ 18 secteurs, sur les 63 étudiés, révèlent un état des eaux médiocre ou mauvais, en particulier en Bretagne et sur la Côte fleurie (entre l’embouchure de la Seine et de l’Orne, dans le Calvados).
En 2012, la facture du ramassage et du traitement de ces algues –entre 50.000 et 100.000 mètres cubes- s’est élevée à 1,7 million d’euros. Soit un coût d’environ 20 €/m3, selon le Ceva. Un coût que les collectivités locales doivent désormais prendre en compte dans leur budget annuel.
Des micro-algues toxiques
Autre phénomène inquiétant, selon le CGDD, les micro-algues se développent également sur les côtes françaises, y compris en Méditerranée (contrairement aux algues vertes). Ce phytoplancton apprécie tout particulièrement le débouché des fleuves et les lagunes. On en dénombre jusqu’à plusieurs millions de cellules d’une même espèce par litre d’eau. Ces «blooms» sont d’ailleurs plus nombreux en 2012 qu’en 2011. Au total, 10 masses d’eau (sur 116 étudiées) affichent un état particulièrement inquiétant (état médiocre ou mauvais), en particulier en baie de Somme et dans les lagunes méditerranéennes.
Si certaines proliférations apparaissent sans danger pour la santé ou l’environnement, ne provoquant qu’une coloration des eaux, due aux pigments de plusieurs espèces de phytoplancton, certaines espèces s’avèrent dangereuses. C’est le cas de Phaeocystis (présente de la frontière belge à l’estuaire de la Seine) qui asphyxie les poissons. Le plus souvent, ces micro-algues modifient l’équilibre de la flore en faveur d’espèces non siliceuses. Et certaines d’entre elles libèrent des toxines, y compris à des concentrations peu élevées. Elles s’avèrent donc néfastes pour la faune comme pour l’homme, les coquillages se nourrissant en priorité de phytoplancton.
On distingue en général trois types de toxines, précise le CGDD. Les toxines diarrhéiques tout d’abord (du genre Dinophysis), qui touchent une part importante du littoral au sortir de la Seine et de la Loire, ainsi que les lagunes méditerranéennes. Les moules en sont souvent victimes. Ensuite, les toxines amnésiantes (du genre Pseudonitzschia) sont surtout produites en Bretagne Ouest et Sud, et en baie de Seine. Présentes dans plusieurs coquillages, elles provoquent nausées et maux de tête à faible dose et entraînent des effets neurologiques plus graves à dose plus importante. Enfin, les toxines paralysantes (du genre Alexandrium), moins souvent responsables d’épisodes toxiques, sont potentiellement mortelles à forte dose, et entraînent des fourmillements et des engourdissements à faible dose.
Pour coller au plus près de la réalité, il faut encore ajouter le développement des cyano-bactéries, «oubliées par la synthèse du CGDD, mais qui augmentent dans les rivières, les plans d’eau récréatifs et les barrages, et qui libèrent des toxines diarrhéiques», note Jean-François Piquot, en référence à ces «marées bleues» observées notamment en Bretagne.
Toujours de forts apports en azote
Les apports fluviaux d’azote liés aux nitrates ont représenté autour de 500.000 tonnes par an en 2012. Si ce chiffre a baissé certaines années, comme en 2003, c’est principalement en raison d’une réduction de la pluviométrie. Cet azote déversé en mer provient largement de l’activité agricole (54% en Seine-Normandie et 90% dans les bassins Loire-Bretagne), avec un apport en azote supérieur aux besoins des cultures. Ce surplus s’élève à 900.000 tonnes en 2010, selon le service de l’observation et des statistiques (Nopolu-Agri).
Il faut y ajouter les apports atmosphériques retombant dans les eaux, soit en moyenne 260.000 t/an. Ceux-ci proviennent surtout des transports, des activités industrielles (en particulier des centrales électriques) et de l’agriculture.
Les flux de phosphore, en baisse depuis 1999 grâce à l’amélioration des performances des stations d’épuration et d’une légère baisse des engrais phosphatés en agriculture, totalisent encore 21.000 t/an environ. Ils proviennent en moindre quantité d’une activité agricole (de 30 à 50% selon le CGDD; mais à 80% d’origine agricole en Bretagne selon l’association Eau et rivières de Bretagne).
Au final, «la France se dirige inéluctablement vers une condamnation de Bruxelles pour non-respect de la directive Nitrates, qui remonte à 1991», conclut Jean-François Piquot. «La France n’a pas suffisamment défini de zones vulnérables, contrairement aux Pays-Bas ou au Danemark, qui ont décrété que 100% de leur territoire était une zone vulnérable», affirme le porte-parole d’Eau et rivières de Bretagne. Autre point noir: le manque d’ambition de certains plans d’action, comme dans le Finistère Nord, où les résultats ne devraient pas être au rendez-vous. «Le problème avec les mesures volontaires, c’est qu’elles nécessitent 80% d’agriculteurs engagés pour être efficaces», rappelle Jean-François Piquot."
A part cela, mes chers lecteurs, voici quelque chose qui s'annonce particulièrement meurtrier.
(source : Sciences et Avenir)
Formation de drones Université d'Illinois
bbbb
Il paraît, mes chers cinq lecteurs, que les Etats-Unis ont froid.
Dommage pour eux, mais, il faut dire également que le gouvernement, pour protéger le pays du réchauffement climatique fait procéder depuis des dizaines d'années, à des épandages d'aluminium et autres saloperies dans l'atmosphère pour renvoyer les rayons du soleil vers l'espace.
Résultat, et je ne doute pas que vous allez vous pencher sur la question mes chers lecteurs, les rayons du soleil ne sont plus là pour adoucir l'hiver.
Et, du coup, il devient de plus en plus rigoureux.
Heureusement que pour certains, il y a des compensations, par exemple, ceux qui ont déposé des brevets pour la composition des chemtrails que le gouvernement américain compte bien faire pleuvoir sur la planète entière?
Les chemtrails qui avec leurs composants chimiques cancérigène auront le même effet sur l'atmonspère que l'extraction du gaz de schiste sur les nappes phréatique et l'empoisonnement de l'air et des sols.
Mais, passons, parce que tant que le citoyen américain se laissera faire en reconduisant les mêmes partis élection après élection, rien ne changera à par l'accélération de la destruction de notre environnement.
En attendant, en France, les socialistes y participe joyeusement en sortant un décret afin de permettre aux éleveurs bretons d'agrandir leur élevage intensif de cochons et même d'en ouvrir d'autres en réduisant la paperasse de contrôle sanitaire.
Déjà qu'au niveau de l'Europe, ils ont voté en faveur de la pêche en eau profonde alors qu'il n'y que quatre ou cinq chalutier français appartenant d'ailleurs à Intermarché, qui la pratiquent.
En fait, ces gens-là ne sont au pouvoir que pour réaliser les basses oeuvres des gros industriels et de la finance.
En tout cas, merci pour l'environnement et pour notre santé et bravo pour votre courage légendaire monsieur hollande !
(source : Journal de l'environnement)
Les algues vertes débarquent désormais sur toutes les côtes
Le 06 janvier 2014 par Stéphanie Senet
Sites & Sols, Politique & Société, Pollution des eaux, Faune et flore, Sites et sols naturels, Droits/Fiscalité Eau, Droits/Fiscalité Sites & Sols, ONG, Administrations, Entreprises, Politique
On retrouve des algues vertes de la Basse Normandie à l'île d'Oléron
«Supprimer la prolifération des algues vertes d’ici 10 ans…» Ce fut l’une des promesses sur lesquelles s’est conclue la deuxième Conférence environnementale, le 21 septembre dernier. Aucune mesure précise n’a encore permis de savoir comment le gouvernement allait procéder. Et la récente extension du régime d’enregistrement, pour les élevages porcins, ne risque pas d’endiguer le mouvement.
En attendant, les algues prolifèrent sur toutes les côtes métropolitaines… Sans surprise, la région Bretagne reste la plus touchée avec 51 plages et 33 vasières d’estuaire touchées en 2012. Seules la surface de plages recouvertes reste stable, en raison des faibles pluies printanières, note le CGDD. En moyenne, celles-ci représentent entre 1.500 et plus de 4.000 hectares selon les zones et les années. Mais l’échouage d’ulves (laitues de mer) a augmenté dans les vasières, selon les chiffres établis par le Centre d’étude et de valorisation des algues (Ceva).
«Ces chiffres sont en deçà de la réalité», corrige Jean-François Piquot, porte-parole de l’association Eau et rivières de Bretagne. «Le rapport ne comptabilise que les plages touchées par les algues vertes alors que dans le Finistère, par exemple, de nombreuses zones rocheuses sont touchées sur le littoral. Au total, on dépasse sans aucun doute la centaine de zones touchées sur les côtes bretonnes», affirme-t-il.
De nouvelles plages touchées en 2012
La nouveauté réside surtout dans l’extension des algues vertes tout au long du littoral, de la Basse-Normandie à la Charente-Maritime. De nouvelles plages sont donc touchées, en particulier dans le Calvados, les havres du Cotentin, le littoral de Loire-Atlantique, quelques baies vendéennes (comme Noirmoutier), sans oublier les îles de Ré et d’Oléron.
«Contrairement à la Bretagne, la Normandie et le sud de la Loire connaissent un développement des algues vertes sur les platiers rocheux plutôt que dans les masses d’eau», précise Sylvain Ballu, responsable du suivi des algues vertes au Ceva.
Environ 18 secteurs, sur les 63 étudiés, révèlent un état des eaux médiocre ou mauvais, en particulier en Bretagne et sur la Côte fleurie (entre l’embouchure de la Seine et de l’Orne, dans le Calvados).
En 2012, la facture du ramassage et du traitement de ces algues –entre 50.000 et 100.000 mètres cubes- s’est élevée à 1,7 million d’euros. Soit un coût d’environ 20 €/m3, selon le Ceva. Un coût que les collectivités locales doivent désormais prendre en compte dans leur budget annuel.
Des micro-algues toxiques
Autre phénomène inquiétant, selon le CGDD, les micro-algues se développent également sur les côtes françaises, y compris en Méditerranée (contrairement aux algues vertes). Ce phytoplancton apprécie tout particulièrement le débouché des fleuves et les lagunes. On en dénombre jusqu’à plusieurs millions de cellules d’une même espèce par litre d’eau. Ces «blooms» sont d’ailleurs plus nombreux en 2012 qu’en 2011. Au total, 10 masses d’eau (sur 116 étudiées) affichent un état particulièrement inquiétant (état médiocre ou mauvais), en particulier en baie de Somme et dans les lagunes méditerranéennes.
Si certaines proliférations apparaissent sans danger pour la santé ou l’environnement, ne provoquant qu’une coloration des eaux, due aux pigments de plusieurs espèces de phytoplancton, certaines espèces s’avèrent dangereuses. C’est le cas de Phaeocystis (présente de la frontière belge à l’estuaire de la Seine) qui asphyxie les poissons. Le plus souvent, ces micro-algues modifient l’équilibre de la flore en faveur d’espèces non siliceuses. Et certaines d’entre elles libèrent des toxines, y compris à des concentrations peu élevées. Elles s’avèrent donc néfastes pour la faune comme pour l’homme, les coquillages se nourrissant en priorité de phytoplancton.
On distingue en général trois types de toxines, précise le CGDD. Les toxines diarrhéiques tout d’abord (du genre Dinophysis), qui touchent une part importante du littoral au sortir de la Seine et de la Loire, ainsi que les lagunes méditerranéennes. Les moules en sont souvent victimes. Ensuite, les toxines amnésiantes (du genre Pseudonitzschia) sont surtout produites en Bretagne Ouest et Sud, et en baie de Seine. Présentes dans plusieurs coquillages, elles provoquent nausées et maux de tête à faible dose et entraînent des effets neurologiques plus graves à dose plus importante. Enfin, les toxines paralysantes (du genre Alexandrium), moins souvent responsables d’épisodes toxiques, sont potentiellement mortelles à forte dose, et entraînent des fourmillements et des engourdissements à faible dose.
Pour coller au plus près de la réalité, il faut encore ajouter le développement des cyano-bactéries, «oubliées par la synthèse du CGDD, mais qui augmentent dans les rivières, les plans d’eau récréatifs et les barrages, et qui libèrent des toxines diarrhéiques», note Jean-François Piquot, en référence à ces «marées bleues» observées notamment en Bretagne.
Toujours de forts apports en azote
Les apports fluviaux d’azote liés aux nitrates ont représenté autour de 500.000 tonnes par an en 2012. Si ce chiffre a baissé certaines années, comme en 2003, c’est principalement en raison d’une réduction de la pluviométrie. Cet azote déversé en mer provient largement de l’activité agricole (54% en Seine-Normandie et 90% dans les bassins Loire-Bretagne), avec un apport en azote supérieur aux besoins des cultures. Ce surplus s’élève à 900.000 tonnes en 2010, selon le service de l’observation et des statistiques (Nopolu-Agri).
Il faut y ajouter les apports atmosphériques retombant dans les eaux, soit en moyenne 260.000 t/an. Ceux-ci proviennent surtout des transports, des activités industrielles (en particulier des centrales électriques) et de l’agriculture.
Les flux de phosphore, en baisse depuis 1999 grâce à l’amélioration des performances des stations d’épuration et d’une légère baisse des engrais phosphatés en agriculture, totalisent encore 21.000 t/an environ. Ils proviennent en moindre quantité d’une activité agricole (de 30 à 50% selon le CGDD; mais à 80% d’origine agricole en Bretagne selon l’association Eau et rivières de Bretagne).
Au final, «la France se dirige inéluctablement vers une condamnation de Bruxelles pour non-respect de la directive Nitrates, qui remonte à 1991», conclut Jean-François Piquot. «La France n’a pas suffisamment défini de zones vulnérables, contrairement aux Pays-Bas ou au Danemark, qui ont décrété que 100% de leur territoire était une zone vulnérable», affirme le porte-parole d’Eau et rivières de Bretagne. Autre point noir: le manque d’ambition de certains plans d’action, comme dans le Finistère Nord, où les résultats ne devraient pas être au rendez-vous. «Le problème avec les mesures volontaires, c’est qu’elles nécessitent 80% d’agriculteurs engagés pour être efficaces», rappelle Jean-François Piquot."
A part cela, mes chers lecteurs, voici quelque chose qui s'annonce particulièrement meurtrier.
(source : Sciences et Avenir)
Un ballet aérien de drones autonomes
Des chercheurs américains ont développé un algorithme permettant à une dizaine de drones de voler en groupe de manière autonome.
TECHNIQUE. Équipé d’un gant bardé de capteurs
réfléchissants, un chercheur de l’université d’Illinois contrôle avec
ses gestes un escadron de petits drones quadricoptères. Rien de très
nouveau dans tout ça sauf que la technique utilisée, repose sur un
algorithme qui permet à chaque drone d’obéir aux commandes du pilote
tout en surveillant sa position par rapports aux autres, créant un
véritable essaim de drones.
APPLICATIONS SPATIALES. Capable de gérer une centaine de drones en même temps, le dispositif permettra d'effectuer des tâches de surveillance ou de maintenance. La NASA est elle aussi intéressée par l’algorithme, l’idée étant de créer des essaims de centaines voire de milliers de micro satellites capable de travailler en coopération.
Les avantages d’un tel procédé sont nombreux : le système est adaptatif et évolutif, la production de ces micros satellites est moins coûteuse, et la panne d’un modèle est moins dramatique que dans un système classique où la perte du satellite principal signifie la fin de la mission."
Une centaine de drones en même temps
Dans une deuxième séquence le groupe de robots aériens se comporte de manière autonome en volant en formation circulaire autour d’un point fixe, puis l’essaim se décale pour éviter une collision avec un intrus entré sans son espace aérien. L’escadron est ensuite capable de reprendre sa position initiale. L’algorithme permet à chaque drone de contourner les obstacles tout en évitant d’entrer en collision avec les autres robots composant la formation.APPLICATIONS SPATIALES. Capable de gérer une centaine de drones en même temps, le dispositif permettra d'effectuer des tâches de surveillance ou de maintenance. La NASA est elle aussi intéressée par l’algorithme, l’idée étant de créer des essaims de centaines voire de milliers de micro satellites capable de travailler en coopération.
Les avantages d’un tel procédé sont nombreux : le système est adaptatif et évolutif, la production de ces micros satellites est moins coûteuse, et la panne d’un modèle est moins dramatique que dans un système classique où la perte du satellite principal signifie la fin de la mission."
bbbb
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