(blog à finir et à corriger)
Ah, mon dieu, des savants fous introduiraient-ils des bactéries tueuses dans leur propre pays, les Etats-Unis, par haine de ces salauds de pauvres ?
Mais, non, je plaisante......encore que !
(source : les Moutons Enragés)
Mais, qui nous dit que effectivement des savants fous ne fabriquent pas de nouvelles bactéries et les mettent en situation.......peut-être d'ailleurs en prévision d'une intervention de l'industrie pharmaceutique américaine.
D'ailleurs, est déjà fait par Mosanto qui nous dissimule les véritables implications des OGM qui nécessiteront aussi l'intervention de l'industrie pharmaceutique, dont les actionnaires sont d'ailleurs les siens, dont le père bill gates qui se fait passer pour un ami de l'humanité.
(source : ActuWiki)
Quelques mois seulement après qu’une étude aujourd’hui célèbre ait découvert que le maïs NK603 génétiquement modifié de Monsanto entraîne de sérieux dommages et des tumeurs sur les mammifères, un article publié par l’Autorité Européenne de Sécurité Alimentaire (AESA) a mis au jour que la plupart des OGM d’usage commercial actuels contiennent un gène viral dissimulé qui semble dangereux à consommer par les humains.
Cet important article met en lumière le fait que 54 caractères OGM
sur 86 actuellement approuvés pour utilisation, ou en gros 63 %,
contiennent un étrange gène viral nommé »gène VI », qui, selon les
recherches, altère la fonction normale des céréales.
Cette altération est présente dans une majorité d’OGM largement cultivés et commercialisés aujourd’hui, dont les maïs NK603 et MON810, ainsi que les graines de soja Roundup-Ready, tous produits par Monsanto. Et les chercheurs ont découvert que ce gène mutant peut induire des changements accidentels dans le phénotype, qui peut entraîner des mutations physiques et biochimiques graves dans les organismes.
»Au cours de l’analyse d’identification d’allergènes potentiels dans les céréales OGM, l’AESA a découvert tardivement que la séquence de régulation génétique habituelle des OGM commerciaux encode aussi un fragment important du gène viral », explique Independant Science News (ISN) à propos de la découverte.
Basée sur une recherche antérieure impliquant un lien entre gènes viraux, plantes et santé humaine, la nouvelle découverte soulève de sérieuses inquiétudes sur la sécurité de nombreux OGM à production commerciale actuels. Comme le but inhérent des gènes viraux est de désactiver un hôte ce qui autorise une invasion pathogène, leur présence dans des aliments contenant des OGM représente une grave menace aussi bien pour les plantes que pour la santé humaine.
Le Gène VI, preuve tangible que les OGM sont impropres à la consommation humaine
Jusqu’à présent, l’industrie de la biotechnologie a maintenu que les OGM sont virtuellement identiques aux organismes naturels, et qu’il n’y a aucune différence structurelle ou fonctionnelle entre les OGM et les céréales cultivées naturellement pour leur devenir dans le corps humain. Mais la présence du gène VI dans une grande majorité d’OGM déboulonne complètement ce mythe.
Comme les céréales naturelles ne possèdent pas le gène VI, elles ne risquent pas d’engendrer les mêmes infections virales que les OGM en contenant. Selon l’analyse sur la fonction du gène VI, le défaut génétique facilite non seulement l’assemblage de virus potentiellement tueurs dans le tissu de la plante, mais il supprime aussi les défenses naturelles contre les maladies, rendant les céréales et peut-être les humains qui les mangent, plus sensibles aux maladies.
La présence du gène VI laisse les céréales transgéniques fondamentalement sans défenses contre les maladies et les envahissement de virus et on pense qu’il cause une expression de gène aberrante dans les céréales qui le possèdent. Cela veut dire que la séquence génétique toute entière d’une plante peut muter à cause du gène VI, résultant en une production de protéines incohérentes dans les cellules de la plante, une expression à tort et à travers du gène dans l’organisme et même des malformations de croissance.
Les scientifiques connaissaient depuis des années la présence de gènes viraux semblables dans les OGM, mais ils n’ont jamais précisé exactement la manière dont ces gènes et les changements génétiques énormes qu’ils induisent affectent la santé humaine. Et aucun gouvernement ayant approuvé des OGM commerciaux contenant des gènes viraux n’a jamais exigé que des tests de sécurité corrects soit faits pour identifier toute menace potentielle sur la santé, ce qui veut dire que l’humanité sert de cobaye collectif à cette expérience scientifique de biotechnologie à grande échelle.
»Une information pertinente sur l’existence du gène VI était librement disponible dans la littérature scientifique bien avant la première approbation biotech, » ajoute l’ISN sur ce scandale.
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Ah, mon dieu, des savants fous introduiraient-ils des bactéries tueuses dans leur propre pays, les Etats-Unis, par haine de ces salauds de pauvres ?
Mais, non, je plaisante......encore que !
(source : les Moutons Enragés)
USA : Une bactérie cauchemardesque est en train d’envahir les hopitaux
6 mars 2013 | Posté par Benji sous Médical et alimentation |
Une bactérie résistante aux plus puissants antibiotiques et tuant la moitié de ceux qu’elle infecte est apparue dans les hôpitaux américains et près de 200 dispensaires, ont rapporté mardi dernier les autorités sanitaires fédérales. Le CDC (US Center for Disease Control and Prevention) a déclaré que 4 pour cent des hôpitaux américains et 18 pour cent des dispensaires ont traité au moins un patient atteint de la bactérie, appelée entérobactérie carbapénème résistante (CRE), au cours des six premiers mois de 2012.
« La CRE est une bactérie de cauchemar, nos principaux antibiotiques ne fonctionnent pas et les patients se retrouvent avec des infections potentiellement impossibles à traiter « , affirme la directrice du CDC, le Dr Thomas Frieden dans un communiqué. «Les médecins, les dirigeants d’hôpitaux et les autorités de santé publique doivent maintenant travailler ensemble pour mettre en œuvre la stratégie « detect and protect » du CDC et mettre fin à la propagation de ces infections.
La bonne nouvelle « , selon Luc Frieden » est que nous avons maintenant la possibilité de prévenir sa propagation. « Mais, at-il poursuivi,« Nous avons seulement une fenêtre d’opportunité limitée pour empêcher cette infection de se propager dans la population et d’infecter d’autres organismes « . La CRE appartient à une famille de plus de 70 bactéries appelées entérobactéries, comprenant Klebsiella pneumoniae et E. coli, et qui vivent normalement dans le système digestif.
Ces dernières années, certaines de ces bactéries sont devenues résistantes aux antibiotiques de dernier recours appelés carbapénèmes. Bien que les bactéries CRE n’ont pas étés retrouvées à l’échelle du pays, leur nombre de cas a quadruplé aux États-Unis durant la dernière décennie, la plupart d’entre eux étant signalés dans le Nord-Est. Les autorités sanitaires ont déclaré qu’elles sont préoccupées par la propagation rapide des bactéries, ce qui peut mettre en danger la vie des patients et des personnes en bonne santé. Par exemple, au cours des 10 dernières années, le CDC a suivi la trace d’une souche partant d’un établissement de soins à des installations similaires dans 42 autres états.
Un type de la CRE, une forme résistante de Klebsiella pneumoniae, a été multiplié par sept au cours des dix dernières années, selon un rapport du CDC. « Observer ces bactéries devenir aussi résistantes est inquiétant, car ce groupe de bactéries est très commun», a déclaré le Dr Marc Siegel, professeur agrégé de clinique de médecine au NYU Langone Medical Center de New York.
Toujours selon ce rapport, à ce jour la plupart des infections à la CRE sont survenues chez des patients qui avaient effectué des séjours prolongés dans des hôpitaux, des établissements de soins de longue durée et des dispensaires. Les bactéries tuent jusqu’à la moitié des patients dont le sang est infecté et se transmettent facilement par le biais des mains des travailleurs de santé.
En outre, les bactéries CRE peuvent transférer leur résistance aux antibiotiques à d’autres bactéries du même type. Ce problème est le résultat de la sur-utilisation des antibiotiques, a déclaré M. Siegel. « Plus vous utilisez un antibiotique, plus la résistance va naître», a t-il dit ajouté. « la sur-utilisation de cette classe d’antibiotique doit être dénoncée » De nouveaux antibiotiques sont nécessaires » affirme Siegel, ajoutant que les compagnies pharmaceutiques n’ont pas la motivation financière pour les développer en ce moment.
« En fin de compte, quand il y aura assez de résistance pour que les entreprises pharmaceutiques soient financièrement incitées, des vies auront étés perdues » a t-il déclaré.
Source: healthyliving.msn.com
Traduction: leschroniquesderorschach.blogspot.com
Mais, qui nous dit que effectivement des savants fous ne fabriquent pas de nouvelles bactéries et les mettent en situation.......peut-être d'ailleurs en prévision d'une intervention de l'industrie pharmaceutique américaine.
D'ailleurs, est déjà fait par Mosanto qui nous dissimule les véritables implications des OGM qui nécessiteront aussi l'intervention de l'industrie pharmaceutique, dont les actionnaires sont d'ailleurs les siens, dont le père bill gates qui se fait passer pour un ami de l'humanité.
(source : ActuWiki)
Découverte d’un gène viral mortel dissimulé dans des céréales OGM commercialisées
Quelques mois seulement après qu’une étude aujourd’hui célèbre ait découvert que le maïs NK603 génétiquement modifié de Monsanto entraîne de sérieux dommages et des tumeurs sur les mammifères, un article publié par l’Autorité Européenne de Sécurité Alimentaire (AESA) a mis au jour que la plupart des OGM d’usage commercial actuels contiennent un gène viral dissimulé qui semble dangereux à consommer par les humains.
Cette altération est présente dans une majorité d’OGM largement cultivés et commercialisés aujourd’hui, dont les maïs NK603 et MON810, ainsi que les graines de soja Roundup-Ready, tous produits par Monsanto. Et les chercheurs ont découvert que ce gène mutant peut induire des changements accidentels dans le phénotype, qui peut entraîner des mutations physiques et biochimiques graves dans les organismes.
»Au cours de l’analyse d’identification d’allergènes potentiels dans les céréales OGM, l’AESA a découvert tardivement que la séquence de régulation génétique habituelle des OGM commerciaux encode aussi un fragment important du gène viral », explique Independant Science News (ISN) à propos de la découverte.
Basée sur une recherche antérieure impliquant un lien entre gènes viraux, plantes et santé humaine, la nouvelle découverte soulève de sérieuses inquiétudes sur la sécurité de nombreux OGM à production commerciale actuels. Comme le but inhérent des gènes viraux est de désactiver un hôte ce qui autorise une invasion pathogène, leur présence dans des aliments contenant des OGM représente une grave menace aussi bien pour les plantes que pour la santé humaine.
Le Gène VI, preuve tangible que les OGM sont impropres à la consommation humaine
Jusqu’à présent, l’industrie de la biotechnologie a maintenu que les OGM sont virtuellement identiques aux organismes naturels, et qu’il n’y a aucune différence structurelle ou fonctionnelle entre les OGM et les céréales cultivées naturellement pour leur devenir dans le corps humain. Mais la présence du gène VI dans une grande majorité d’OGM déboulonne complètement ce mythe.
Comme les céréales naturelles ne possèdent pas le gène VI, elles ne risquent pas d’engendrer les mêmes infections virales que les OGM en contenant. Selon l’analyse sur la fonction du gène VI, le défaut génétique facilite non seulement l’assemblage de virus potentiellement tueurs dans le tissu de la plante, mais il supprime aussi les défenses naturelles contre les maladies, rendant les céréales et peut-être les humains qui les mangent, plus sensibles aux maladies.
La présence du gène VI laisse les céréales transgéniques fondamentalement sans défenses contre les maladies et les envahissement de virus et on pense qu’il cause une expression de gène aberrante dans les céréales qui le possèdent. Cela veut dire que la séquence génétique toute entière d’une plante peut muter à cause du gène VI, résultant en une production de protéines incohérentes dans les cellules de la plante, une expression à tort et à travers du gène dans l’organisme et même des malformations de croissance.
Les scientifiques connaissaient depuis des années la présence de gènes viraux semblables dans les OGM, mais ils n’ont jamais précisé exactement la manière dont ces gènes et les changements génétiques énormes qu’ils induisent affectent la santé humaine. Et aucun gouvernement ayant approuvé des OGM commerciaux contenant des gènes viraux n’a jamais exigé que des tests de sécurité corrects soit faits pour identifier toute menace potentielle sur la santé, ce qui veut dire que l’humanité sert de cobaye collectif à cette expérience scientifique de biotechnologie à grande échelle.
»Une information pertinente sur l’existence du gène VI était librement disponible dans la littérature scientifique bien avant la première approbation biotech, » ajoute l’ISN sur ce scandale.
Source: Natural News
Traduit par Hélios pour le BBB
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