Salut à tous ceux qui pensent comme moi. Il faut s'auto-organiser pour se passer de l'industrie alimentaire qui travaille main dans la main avec l'industrie chimique et qui nous empoisonne à petit feu.
Eh, oui, mes chers lecteurs, le gouvernement français le fait à la discrétion. Pourtant, pour les personnes âgées et sans grandes ressources, c'est une mesure "Dégueulasse !"
De toute façon, qu'attendre des socialistes français, plutôt qu'à s'en prendre avec courage à la finance, ils s'en prennent aux petits vieux. C'est vrai, que cela demande moins de courage.
A l'image de leur président, françois hollande.
(source :ActuWiki)
Suite à une injonction de la Commission
européenne, les travaux de jardinage, certains cours à domicile,
l’assistance à domicile et les services de gardiennage, qui bénéficient
d’un taux réduit de TVA, vont devoir, à compter du 1er avril, appliquer
le taux normal.
Cinq services à la personne vont coûter plus cher à compter du 1er
avril 2013. A cette date, la TVA sur les petits travaux de jardinage,
les cours à domicile (hors soutiens scolaires), l’assistance
informatique et Internet à domicile, les services de gardiennage et de
maintenance pour les résidences principales et secondaires et les
activités de coordination des services à la personne, va passer de 7% à
19,6%.
Cette augmentation fait suite à une mise en demeure formulée par la Commission européenne à l’encontre de l’Etat français. Bruxelles autorise en effet les Etats membres de l’Union européenne à appliquer un taux réduit de TVA aux « services de soins à domicile, tels que l’aide à domicile et les soins destinés aux enfants, aux personnes âgées, aux personnes malades ou aux personnes handicapées ».
Or, les cinq services en question, qui figurent parmi les 21 services à la personne labellisés en France, ne relèvent pas de tels services de soin. D’où la mise en demeure de la Commission. « Afin de préserver l’essentiel du secteur d’activité des services à la personne et de prévenir un contentieux communautaire imminent que la France serait certaine de perdre sur le taux de TVA qui leur est applicable », Paris a décidé d’obtempérer, prévient Bercy dans une réponse ministérielle publiée le 26 février au Journal Officiel.
Distorsion de concurrence
Le ministère de l’Economie et des Finances répondait à une question posée par le député (UMP) de Savoie, Dominique Dord. Celui-ci s’inquiétait de l’impact du relèvement, à compter du 1er janvier, du taux réduit de TVA de 7% à 10% sur les TPE et PME exerçant dans les services à la personne, instauré par la 3ème loi de finances rectificative 2012 pour financer en partie le crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE).
Une grande partie du marché étant tenue par des associations, des caisses centrales d’activités sociales (CCAS) et des particuliers employeurs qui sont exenorés de TVA, le relèvement risque, selon le député (par ailleurs membre de la commission des Affaires sociales de l’Assemblée), de déboucher sur une distorsion de concurrence. « Les TPE et PME [...] devront répercuter la hausse de TVA sur leurs tarifs sur un marché où une partie des acteurs ne sont pas assujettis à cette taxe. Cette situation risque de conduire à une réduction d’activité de ces entreprises pourtant créatrices d’emplois depuis plusieurs années », s’alarme le maire de Chambéry.
20,5% en 2014 ?
La réponse de Bercy ne va donc guère rassurer le nouveau (depuis le 3 février) secrétaire général adjoint de l’UMP puisque, non seulement le gouvernement ne semble pas vouloir revenir sur le relèvement à 10% du taux réduit de TVA pour les TPE et PME des services à la personne, mais celles exerçant dans les cinq services dans la ligne de mire de Bruxelles vont devoir appliquer le taux normal de TVA, nous apprend la réponse ministérielle.
Pour ces TPE et PME, la pilule risque d’être dure à avaler. Car en vue de financer le CICE et de réduire le déficit public, le taux « normal » de TVA va passer de 19,6% à 20% au 1er janvier 2014, voire à 20,5% comme le souhaitent les députés socialistes.
Source : Tout Sur Les Impôts"
Et, pendant, ce temps, même, sur le poison que nous ingurgitons volontairement, ils nous empoisonnent.
(source : idem)
Les douanes de l’Yonne ont confirmé après
analyses et suite à des plaintes, la présence de plastique dans un lot
de paquets de cigarettes vendues par un buraliste, a-t-on appris auprès
du parquet. « Cela ne veut pas forcément dire que tous les paquets sont
incriminés », a précisé le Monsieur le Procureur de la République.
Il n’y a rien de moins que du bon plastique dans toutes les cigarettes, et cela depuis des décennies ! Ou alors cherche-t-on à faire oublier la psychose de la viande chevaline planquée dans des paquets de « good beef ».
L’habitant de la commune qui a porté plainte après être tombé sur un « petit bout de film plastique » près du filtre, selon L’Yonne républicaine, devrait dans la foulée attaquer sa marque favorite. Si la douane judiciaire chargée d’analyser les cigarettes, confirme bien avoir trouvé ce plastique, surtout, qu’ils n’oublient pas de vérifier pendant qu’ils y sont, toutes les marques chez tous les buralistes de France et de Navarre. Car de sources certaines ; lisez plus loin, le plastique incriminé serait présent dans toutes ces petites sucettes à cancer. Et pour cause !
« On essaiera de comprendre comment on peut avoir du plastique à l’intérieur », ont-ils ajouté. De grâce, quelqu’un peut-il réveiller cet énergumène qui fait semblant de dormir ? Mais peut-être sera-t-il ce vaillant guerrier que révèlera cette affaire, en s’attaquant aux vrais coupables, ceux qui collent du plastique dans les cigarettes de tous les consommateurs, sans même se fatiguer à faire de la contre-façon ! Autant en mettre directement ; pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ?
« Nous sommes extrêmement concernés par cette affaire et on souhaite faire des analyses au plus vite pour déterminer la nature exacte de ces éléments », a réagi auprès de l’AFP Céline Audibert, porte-parole du fabricant de cigarettes Seita, filiale française d’Imperial Tobacco.
Très bien, nous allons pouvoir l’aider un petit peu, en qualité de modestes citoyens contributeurs que nous sommes, si toutefois…
Plus récemment, il est utilisé pour la confection de cartes à jouer (notamment la marque Kem ). Source Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ac%C3%…
Des recherches de documents ont été menées dans la littérature scientifique, les journaux médicaux, les brevets US, les papiers présentés au cours de réunions ou encore les documents présentés au cours de procès.
Les auteurs de ces recherches mettent en évidence que très tôt, les compagnies de tabac avaient identifié le défaut des filtres et la libération des fibres d’acétate de cellulose au cours de l’aspiration de la fumée. Elles n’ont à priori pas mené de tests cliniques destinés à déterminer quelles sont les conséquences sur la santé de l’inhalation de produits provenant du filtre, qu’il s’agisse de fibres d’acétate de cellulose ou de particules de carbones, ou encore d’autres produits mal identifiés.
Source : Cigarettes with defective filters marketed for 40 years : what Philip Morris never told smokers J L Pauly, A B Mepani, J D Lesses, K M Cummings, R J Streck, Tob Control 2002 ;11:i51-i61 doi:10.1136/tc.11.suppl_1.i51
« Nous avons décidé avant même les résultats de l’enquête d’arrêter la distribution des paquets de cigarettes de ce lot à partir d’aujourd’hui par mesure de précaution », a ajouté Céline Audibert, porte-parole du fabricant de cigarettes Seita, filiale française d’Imperial Tobacco, en insistant sur le fait que « cette situation n’a pas été détectée ailleurs en France ».
Chers concitoyens, chères consitoyennes, nous vivons l’une des mesures de santé publique les plus spectaculaires jamais annoncées ! La fin de l’empoisonnement public par le retrait pur et simple des cigarettes incriminées contenant du plastique. Donc, toutes les cigarettes ! Si nous avons bien compris.
En attendant cet heureux évènement, à moins qu’on ne se recentre que sur ce pauvre buraliste, qui va « prendre cher », lui, c’est presque sur, nous pourrons toujours nous remonter le moral avec l’initiative de malins concitoyens, ayant trouver matière à s’enrichir grâce à ces horribles mégots « plastiqués ». Oui tous les mégots ; je dis bien…
Tom Szaky, jeune PDG heureux :, lance le premier programme au monde de recyclage de mégots de cigarettes. Son atout ; exporter son business dans plusieurs pays européens. Des bénévoles « adultes » récoltent les mégots, les envoient à l’antenne nationale de TerraCycle. Ils sont ensuite stérilisés, puis disséqués : papier et tabac finiront en compost. L’acétate de cellulose utilisée dans le filtre « matière plastique » ( ah oui c’est vrai… ), sera fondu et réutilisé pour faire toutes sortes de nouveaux produits qui seront à leur tour commercialisés (dommage).
Le programme, souligne Tom Szaky, est payé par l’industrie du tabac, toute heureuse de s’acheter une bonne conduite. Et les bénévoles reçoivent des points, qu’ils peuvent ensuite utiliser pour financer des projets d’école ou d’associations caritatives. On connaît la musique.
« Nous avons récupéré très vite plus d’un million de cigarettes. Des organisations formidables ont assuré les ramassages », souligne Tom Szaky. « L’industrie du tabac était tellement enthousiaste qu’elle a lancé le programme aux États-Unis et en Espagne. Et dans les quatre prochains mois, il sera lancé en France, en Allemagne, en Suisse, en Autriche, en Norvège, au Danemark, en Suède, en Finlande et peut-être au Mexique », poursuit ce jeune PDG.
Il faut ramasser plus de 200.000 mégots pour une chaise de jardin, 1.000 à 2.000 mégots faire un cendrier, 200.000 pour un fauteuil de jardin en plastique. Décidément, quand on ne le crapote plus, on s’assied dessus.
Pour les ramasseurs, TerraCycle s’est appuyé sur son modèle de « brigades », déjà testé pour sa soixantaine d’autres collectes. Celles-ci sont désormais menées dans 22 pays par 35 millions de personnes, majoritairement des femmes et des enfants, (des enfants adultes ?) qui s’inscrivent sur le site internet, choisissent leur produit, le collectent, et l’envoient à TerraCycle qui prend ensuite le relais.
« Je veux régler tous les problèmes de déchets qui existent » affirme-t-il. « Et avant tout, les produits dont on pense qu’ils ne sont pas recyclables ».
Via A
Alors, moi, à mon avis, si, des personnes veulent se lancer, ils peuvent le faire sur l'industrie alimentaire pure de tout poison. Par exemple, plus d'aluminium, plus de plastique, plus de viandes avariées, traçabilité de proximité avec numéro de téléphone des éleveurs ou agriculteurs bio, plus possibilité de visiter les exploitations. Même, si, cela signifie une date de préemption plus courte, les gens achèteront pour être sûr de manger le moins possible nocif. Donc, emballage carton ou verre. Mais, par pitié, faîtes en sorte que nos petits enfants (nous, c'est trop tard et nos enfants aussi) vivent mieux et plus longtemps sans maladie !
Vendez des produits traditionnels dont les recettes viennent des grand-mères et que certaines continuent à pratiquer, notamment en Bretagne, comme la rillette, faite uniquement de viande et sans graisse ou les fromages d'autrefois que l'Europe tente d'envoyer aux oubliettes.
Parce que l'industrie alimentaire nous empoisonne dans son duo avec l'industrie chimique. Il serait temps d'arrêter les dégâts.
(source :
A bientôt.
René.
PS : Il nous prend toujours pour des gros cons avec sa fondation de merde, créée, soi-disant pour aider les plus pauvres !
(source : Nature to share)
Le philanthrope américain compte sur les avancées de la génétique pour mettre au point des semences capables de résister au réchauffement climatique et à la sécheresse. En cinq ans, sa fondation a investi 90 millions de dollars dans un centre de recherche dernier-cri, spécialisé dans les céréales OGM.
Le futur de l’agrogénétique s’écrit à Texcoco
Doté de 26 serres et de 90 laboratoires de recherche, le Centre international d’amélioration du maïs et du blé (CIMMYT) est devenu une référence mondiale en matière d’expérimentation OGM.
Basé à Texcoco, dans le centre du pays, le complexe a pu compter sur la générosité de la fondation Bill et Melinda Gates, qui a investi 90 millions de dollars au cours des cinq dernières années pour contribuer à son développement.
« C’est certainement ici qu’auront lieu les travaux de recherche agronomique les plus importants au monde au cours des 10, 20 ou 30 prochaines années », estime le fondateur de Microsoft.
Un avis que semble partager Carlos Slim, le magnat des télécoms mexicain, qui a lui aussi décidé de financer le CIMMYT. Considéré par le magazine Forbes comme l’homme le plus riche du monde, l’entrepreneur a offert 25 millions de dollars destinés à améliorer les infrastructures du complexe scientifique.
Des OGM pour lutter contre la sécheresse ?
En augmentant la productivité des graines de maïs et de blé, les chercheurs de Texcoco espèrent venir en aide aux 500 millions de petits producteurs mondiaux, qui grâce à leur travail, pourraient nourrir près de 2 milliards de personnes.
Il s’agit aussi de les aider à subvenir à leurs propres besoins et à affronter les phénomènes climatiques extrêmes provoqués par le réchauffement, en particulier la diminution de la disponibilité en eau.
« Les travaux de pointe menés ici sont essentiels pour que les familles de paysans pauvres puissent cultiver et vendre plus d’aliments, afin de construire des communautés autosuffisantes et prospères », explique Bill Gates.
L’innocuité des OGM doit être démontrée
Le philanthrope américain insiste néanmoins sur l’importance des essais qui doivent accompagner le développement de graines modifiées génétiquement :
« Comme pour l’industrie pharmaceutique, les produits doivent faire l’objet d’études scientifiques avant leur approbation afin d’avoir la certitude qu’ils seront inoffensifs pour l’homme. »
Selon le directeur du CIMMYT, Thomas Lumpkin, les installations sont soumises à des protocoles de sécurité draconiens, qui rendent impossible toute contamination génétique accidentelle de l’environnement.
Grâce aux travaux des chercheurs de Texcoco, le Mexique espère également pouvoir réduire ses importations de matières premières agricoles. Le pays ne produit que 58 % des denrées alimentaires qu’il consomme, loin des 75 % recommandés par l’ONU.
Eh, oui, mes chers lecteurs, le gouvernement français le fait à la discrétion. Pourtant, pour les personnes âgées et sans grandes ressources, c'est une mesure "Dégueulasse !"
De toute façon, qu'attendre des socialistes français, plutôt qu'à s'en prendre avec courage à la finance, ils s'en prennent aux petits vieux. C'est vrai, que cela demande moins de courage.
A l'image de leur président, françois hollande.
(source :ActuWiki)
La TVA va passer de 7% à 19,6% pour cinq services à la personne
Cette augmentation fait suite à une mise en demeure formulée par la Commission européenne à l’encontre de l’Etat français. Bruxelles autorise en effet les Etats membres de l’Union européenne à appliquer un taux réduit de TVA aux « services de soins à domicile, tels que l’aide à domicile et les soins destinés aux enfants, aux personnes âgées, aux personnes malades ou aux personnes handicapées ».
Or, les cinq services en question, qui figurent parmi les 21 services à la personne labellisés en France, ne relèvent pas de tels services de soin. D’où la mise en demeure de la Commission. « Afin de préserver l’essentiel du secteur d’activité des services à la personne et de prévenir un contentieux communautaire imminent que la France serait certaine de perdre sur le taux de TVA qui leur est applicable », Paris a décidé d’obtempérer, prévient Bercy dans une réponse ministérielle publiée le 26 février au Journal Officiel.
Distorsion de concurrence
Le ministère de l’Economie et des Finances répondait à une question posée par le député (UMP) de Savoie, Dominique Dord. Celui-ci s’inquiétait de l’impact du relèvement, à compter du 1er janvier, du taux réduit de TVA de 7% à 10% sur les TPE et PME exerçant dans les services à la personne, instauré par la 3ème loi de finances rectificative 2012 pour financer en partie le crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE).
Une grande partie du marché étant tenue par des associations, des caisses centrales d’activités sociales (CCAS) et des particuliers employeurs qui sont exenorés de TVA, le relèvement risque, selon le député (par ailleurs membre de la commission des Affaires sociales de l’Assemblée), de déboucher sur une distorsion de concurrence. « Les TPE et PME [...] devront répercuter la hausse de TVA sur leurs tarifs sur un marché où une partie des acteurs ne sont pas assujettis à cette taxe. Cette situation risque de conduire à une réduction d’activité de ces entreprises pourtant créatrices d’emplois depuis plusieurs années », s’alarme le maire de Chambéry.
20,5% en 2014 ?
La réponse de Bercy ne va donc guère rassurer le nouveau (depuis le 3 février) secrétaire général adjoint de l’UMP puisque, non seulement le gouvernement ne semble pas vouloir revenir sur le relèvement à 10% du taux réduit de TVA pour les TPE et PME des services à la personne, mais celles exerçant dans les cinq services dans la ligne de mire de Bruxelles vont devoir appliquer le taux normal de TVA, nous apprend la réponse ministérielle.
Pour ces TPE et PME, la pilule risque d’être dure à avaler. Car en vue de financer le CICE et de réduire le déficit public, le taux « normal » de TVA va passer de 19,6% à 20% au 1er janvier 2014, voire à 20,5% comme le souhaitent les députés socialistes.
Source : Tout Sur Les Impôts"
Et, pendant, ce temps, même, sur le poison que nous ingurgitons volontairement, ils nous empoisonnent.
(source : idem)
90% des cigarettes contiennent du plastique, Cigarettes plastique : on nous enfume
3 mars 2013 | Posté par Benji sous Écologie, environnement et animaux, Médical et alimentation |
90% des cigarettes contiennent du plastique
Mais de qui se moque-t-on en scandalisant la découverte de morceaux de plastique dans des cigarettes ?Il n’y a rien de moins que du bon plastique dans toutes les cigarettes, et cela depuis des décennies ! Ou alors cherche-t-on à faire oublier la psychose de la viande chevaline planquée dans des paquets de « good beef ».
L’habitant de la commune qui a porté plainte après être tombé sur un « petit bout de film plastique » près du filtre, selon L’Yonne républicaine, devrait dans la foulée attaquer sa marque favorite. Si la douane judiciaire chargée d’analyser les cigarettes, confirme bien avoir trouvé ce plastique, surtout, qu’ils n’oublient pas de vérifier pendant qu’ils y sont, toutes les marques chez tous les buralistes de France et de Navarre. Car de sources certaines ; lisez plus loin, le plastique incriminé serait présent dans toutes ces petites sucettes à cancer. Et pour cause !
« On essaiera de comprendre comment on peut avoir du plastique à l’intérieur », ont-ils ajouté. De grâce, quelqu’un peut-il réveiller cet énergumène qui fait semblant de dormir ? Mais peut-être sera-t-il ce vaillant guerrier que révèlera cette affaire, en s’attaquant aux vrais coupables, ceux qui collent du plastique dans les cigarettes de tous les consommateurs, sans même se fatiguer à faire de la contre-façon ! Autant en mettre directement ; pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ?
« Nous sommes extrêmement concernés par cette affaire et on souhaite faire des analyses au plus vite pour déterminer la nature exacte de ces éléments », a réagi auprès de l’AFP Céline Audibert, porte-parole du fabricant de cigarettes Seita, filiale française d’Imperial Tobacco.
Très bien, nous allons pouvoir l’aider un petit peu, en qualité de modestes citoyens contributeurs que nous sommes, si toutefois…
L’acétate de cellulose est une matière plastique composant les filtres de cigarettes
L’acétate de cellulose, inventée en 1865, sous forme de fibres (fil textile, autrefois appelée acétol ), a été vendu sous le nom de rayonne, soie artificielle, viscose, etc. Ce produit a connu de nombreux usages, comme base de films en photographie, vernis (dont pour l’aéronautique 5 lors de la Première Guerre mondiale ), comme faux-émail ou encore comme composant de certains adhésifs ou explosifs ; on l’utilise encore comme matière plastique, par exemple dans les montures de lunettes ou les poignées de tournevis.Plus récemment, il est utilisé pour la confection de cartes à jouer (notamment la marque Kem ). Source Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ac%C3%…
Des recherches de documents ont été menées dans la littérature scientifique, les journaux médicaux, les brevets US, les papiers présentés au cours de réunions ou encore les documents présentés au cours de procès.
Voici ce que révèlent ces recherches :
Plus de 90% des cigarettes vendue dans le monde ont un filtre constitué de plus de 12 000 fibres d’acétate de cellulose. Ces fragments d’acétate de cellulose à l’extrémité du filtre qui sera mis dans la bouche, peuvent être séparés du filtre. Lorsque ces cigarettes sont fumées de manière normale, ces fragments se séparent facilement du filtre et sont inspirés. Dans d’autres cigarettes qui ont en plus une partie de filtre en charbon, des particules de carbone sont également aspirées. Ces cigarettes qui libèrent des fibres d’acétate de cellulose et du carbone sont défectueuses.Les auteurs de ces recherches mettent en évidence que très tôt, les compagnies de tabac avaient identifié le défaut des filtres et la libération des fibres d’acétate de cellulose au cours de l’aspiration de la fumée. Elles n’ont à priori pas mené de tests cliniques destinés à déterminer quelles sont les conséquences sur la santé de l’inhalation de produits provenant du filtre, qu’il s’agisse de fibres d’acétate de cellulose ou de particules de carbones, ou encore d’autres produits mal identifiés.
Source : Cigarettes with defective filters marketed for 40 years : what Philip Morris never told smokers J L Pauly, A B Mepani, J D Lesses, K M Cummings, R J Streck, Tob Control 2002 ;11:i51-i61 doi:10.1136/tc.11.suppl_1.i51
« Nous avons décidé avant même les résultats de l’enquête d’arrêter la distribution des paquets de cigarettes de ce lot à partir d’aujourd’hui par mesure de précaution », a ajouté Céline Audibert, porte-parole du fabricant de cigarettes Seita, filiale française d’Imperial Tobacco, en insistant sur le fait que « cette situation n’a pas été détectée ailleurs en France ».
Chers concitoyens, chères consitoyennes, nous vivons l’une des mesures de santé publique les plus spectaculaires jamais annoncées ! La fin de l’empoisonnement public par le retrait pur et simple des cigarettes incriminées contenant du plastique. Donc, toutes les cigarettes ! Si nous avons bien compris.
En attendant cet heureux évènement, à moins qu’on ne se recentre que sur ce pauvre buraliste, qui va « prendre cher », lui, c’est presque sur, nous pourrons toujours nous remonter le moral avec l’initiative de malins concitoyens, ayant trouver matière à s’enrichir grâce à ces horribles mégots « plastiqués ». Oui tous les mégots ; je dis bien…
Tom Szaky, jeune PDG heureux :, lance le premier programme au monde de recyclage de mégots de cigarettes. Son atout ; exporter son business dans plusieurs pays européens. Des bénévoles « adultes » récoltent les mégots, les envoient à l’antenne nationale de TerraCycle. Ils sont ensuite stérilisés, puis disséqués : papier et tabac finiront en compost. L’acétate de cellulose utilisée dans le filtre « matière plastique » ( ah oui c’est vrai… ), sera fondu et réutilisé pour faire toutes sortes de nouveaux produits qui seront à leur tour commercialisés (dommage).
Le programme, souligne Tom Szaky, est payé par l’industrie du tabac, toute heureuse de s’acheter une bonne conduite. Et les bénévoles reçoivent des points, qu’ils peuvent ensuite utiliser pour financer des projets d’école ou d’associations caritatives. On connaît la musique.
« Nous avons récupéré très vite plus d’un million de cigarettes. Des organisations formidables ont assuré les ramassages », souligne Tom Szaky. « L’industrie du tabac était tellement enthousiaste qu’elle a lancé le programme aux États-Unis et en Espagne. Et dans les quatre prochains mois, il sera lancé en France, en Allemagne, en Suisse, en Autriche, en Norvège, au Danemark, en Suède, en Finlande et peut-être au Mexique », poursuit ce jeune PDG.
Il faut ramasser plus de 200.000 mégots pour une chaise de jardin, 1.000 à 2.000 mégots faire un cendrier, 200.000 pour un fauteuil de jardin en plastique. Décidément, quand on ne le crapote plus, on s’assied dessus.
Pour les ramasseurs, TerraCycle s’est appuyé sur son modèle de « brigades », déjà testé pour sa soixantaine d’autres collectes. Celles-ci sont désormais menées dans 22 pays par 35 millions de personnes, majoritairement des femmes et des enfants, (des enfants adultes ?) qui s’inscrivent sur le site internet, choisissent leur produit, le collectent, et l’envoient à TerraCycle qui prend ensuite le relais.
« Je veux régler tous les problèmes de déchets qui existent » affirme-t-il. « Et avant tout, les produits dont on pense qu’ils ne sont pas recyclables ».
Via A
Alors, moi, à mon avis, si, des personnes veulent se lancer, ils peuvent le faire sur l'industrie alimentaire pure de tout poison. Par exemple, plus d'aluminium, plus de plastique, plus de viandes avariées, traçabilité de proximité avec numéro de téléphone des éleveurs ou agriculteurs bio, plus possibilité de visiter les exploitations. Même, si, cela signifie une date de préemption plus courte, les gens achèteront pour être sûr de manger le moins possible nocif. Donc, emballage carton ou verre. Mais, par pitié, faîtes en sorte que nos petits enfants (nous, c'est trop tard et nos enfants aussi) vivent mieux et plus longtemps sans maladie !
Vendez des produits traditionnels dont les recettes viennent des grand-mères et que certaines continuent à pratiquer, notamment en Bretagne, comme la rillette, faite uniquement de viande et sans graisse ou les fromages d'autrefois que l'Europe tente d'envoyer aux oubliettes.
Parce que l'industrie alimentaire nous empoisonne dans son duo avec l'industrie chimique. Il serait temps d'arrêter les dégâts.
(source :
Selon une étude publiée le 27 février dans Nature Journal of Exposure Science and Environmental Epidemiology, on avale des quantités inquiétantes de produits chimiques toxiquesmême si on mange bio et qu’on évite les contenants en matière plastique. Les enfants sont particulièrement exposés.
Le bisphénol A (BPA) et les phtalates sont des produits chimiques qui entrent notamment dans la fabrication des plastiques. Le BPA est présent dans les résines qui tapissent les boîtes de conserve. Les phtalates dans les déodorants et les produits cosmétiques. Il y en a donc partout. BPA et phtalates sont des perturbateurs endocriniens. Des études chez l’animal ont associé ces composés à des anomalies du système génital mâle.
Epidémiologiquement, un lien est soupçonné avec l’obésité et le diabète. Le BPA est aussi accusé de favoriser l’hyperactivité, l’anxiété et la dépression chez les filles.
L’étude conduite par l’université de Washington (Seattle) a consisté à comparer l’exposition au bisphénol A et aux phtalates de 10 familles américaines.
La moitié a suivi des consignes strictes visant à éviter ces deux composés, par exemple ne pas utiliser de récipients en plastique.
L’autre moitié s’est vue remettre un panier pour 5 jours d’aliments bio, frais, d’origine locale, préparés sans le moindre contact avec des contenants en plastique.
Les chercheurs ont ensuite relevé chez les participants les concentrations urinaires des produits de dégradation des phtalates et du BPA. Ils s’attendaient à voir les taux baisser dans les familles ayant reçu les aliments frais et bio. Et là, surprise : c’est le contraire qui est arrivé. Les concentrations de ces substances chimiques sont apparues 100 fois plus élevées que dans la population générale. Les enfants présentaient des taux plus élevés que les adultes. Pour comprendre ce qui se passait, les chercheurs ont analysé les produits alimentaires qui leur avaient été donnés à consommer. Les laitages (beurre, crème, lait et fromage) avaient des concentrations supérieures à 440 nanogrammes/gramme. Les épices moulus (cannelle, poivre) affichaient des taux supérieurs à 700 ng/g, le record étant pour le coriandre avec 21400 ng/g.
Sur la base de ces résultats, les chercheurs estiment qu’un enfant américain de 3 à 6 ans est exposé chaque jour à 183 mg/kg de ces produits chimiques, alors que l’agence de protection de l’environnement (US EPA) a fixé la limite à 20 mg/kg/jour.
L’avis de LaNutrition.fr : La conclusion de cette étude est déprimante car même en évitant les conserves, en mangeant bio, on reçoit des doses élevées de BPA et de phtalates tout simplement parce que l’ensemble de la chaîne alimentaire est contaminée (par exemple, du BPA a été utilisé massivement pour tapisser les conduites d’eau). Sachant que ces produits ont une affinité pour les graisses, on peut conseiller de choisir des laitages maigres ou demi-écrémés plutôt qu’entiers. Il faudrait privilégier les fruits et légumes frais ou secs plutôt que les produits en conserve (leur préférer les aliments en bocaux). Eviter bien sûr les emballages plastiques, surtout au micro-ondes, éviter les films souples d’emballage au contact direct des aliments. Malgré tout, cela ne suffira pas et des mesures réglementaires sont nécessaires.
Le bisphénol A (BPA) et les phtalates sont des produits chimiques qui entrent notamment dans la fabrication des plastiques. Le BPA est présent dans les résines qui tapissent les boîtes de conserve. Les phtalates dans les déodorants et les produits cosmétiques. Il y en a donc partout. BPA et phtalates sont des perturbateurs endocriniens. Des études chez l’animal ont associé ces composés à des anomalies du système génital mâle.
Epidémiologiquement, un lien est soupçonné avec l’obésité et le diabète. Le BPA est aussi accusé de favoriser l’hyperactivité, l’anxiété et la dépression chez les filles.
L’étude conduite par l’université de Washington (Seattle) a consisté à comparer l’exposition au bisphénol A et aux phtalates de 10 familles américaines.
La moitié a suivi des consignes strictes visant à éviter ces deux composés, par exemple ne pas utiliser de récipients en plastique.
L’autre moitié s’est vue remettre un panier pour 5 jours d’aliments bio, frais, d’origine locale, préparés sans le moindre contact avec des contenants en plastique.
Les chercheurs ont ensuite relevé chez les participants les concentrations urinaires des produits de dégradation des phtalates et du BPA. Ils s’attendaient à voir les taux baisser dans les familles ayant reçu les aliments frais et bio. Et là, surprise : c’est le contraire qui est arrivé. Les concentrations de ces substances chimiques sont apparues 100 fois plus élevées que dans la population générale. Les enfants présentaient des taux plus élevés que les adultes. Pour comprendre ce qui se passait, les chercheurs ont analysé les produits alimentaires qui leur avaient été donnés à consommer. Les laitages (beurre, crème, lait et fromage) avaient des concentrations supérieures à 440 nanogrammes/gramme. Les épices moulus (cannelle, poivre) affichaient des taux supérieurs à 700 ng/g, le record étant pour le coriandre avec 21400 ng/g.
Sur la base de ces résultats, les chercheurs estiment qu’un enfant américain de 3 à 6 ans est exposé chaque jour à 183 mg/kg de ces produits chimiques, alors que l’agence de protection de l’environnement (US EPA) a fixé la limite à 20 mg/kg/jour.
L’avis de LaNutrition.fr : La conclusion de cette étude est déprimante car même en évitant les conserves, en mangeant bio, on reçoit des doses élevées de BPA et de phtalates tout simplement parce que l’ensemble de la chaîne alimentaire est contaminée (par exemple, du BPA a été utilisé massivement pour tapisser les conduites d’eau). Sachant que ces produits ont une affinité pour les graisses, on peut conseiller de choisir des laitages maigres ou demi-écrémés plutôt qu’entiers. Il faudrait privilégier les fruits et légumes frais ou secs plutôt que les produits en conserve (leur préférer les aliments en bocaux). Eviter bien sûr les emballages plastiques, surtout au micro-ondes, éviter les films souples d’emballage au contact direct des aliments. Malgré tout, cela ne suffira pas et des mesures réglementaires sont nécessaires.
A bientôt.
René.
PS : Il nous prend toujours pour des gros cons avec sa fondation de merde, créée, soi-disant pour aider les plus pauvres !
(source : Nature to share)
Le philanthrope américain compte sur les avancées de la génétique pour mettre au point des semences capables de résister au réchauffement climatique et à la sécheresse. En cinq ans, sa fondation a investi 90 millions de dollars dans un centre de recherche dernier-cri, spécialisé dans les céréales OGM.
Le futur de l’agrogénétique s’écrit à Texcoco
Doté de 26 serres et de 90 laboratoires de recherche, le Centre international d’amélioration du maïs et du blé (CIMMYT) est devenu une référence mondiale en matière d’expérimentation OGM.
Basé à Texcoco, dans le centre du pays, le complexe a pu compter sur la générosité de la fondation Bill et Melinda Gates, qui a investi 90 millions de dollars au cours des cinq dernières années pour contribuer à son développement.
« C’est certainement ici qu’auront lieu les travaux de recherche agronomique les plus importants au monde au cours des 10, 20 ou 30 prochaines années », estime le fondateur de Microsoft.
Un avis que semble partager Carlos Slim, le magnat des télécoms mexicain, qui a lui aussi décidé de financer le CIMMYT. Considéré par le magazine Forbes comme l’homme le plus riche du monde, l’entrepreneur a offert 25 millions de dollars destinés à améliorer les infrastructures du complexe scientifique.
Des OGM pour lutter contre la sécheresse ?
En augmentant la productivité des graines de maïs et de blé, les chercheurs de Texcoco espèrent venir en aide aux 500 millions de petits producteurs mondiaux, qui grâce à leur travail, pourraient nourrir près de 2 milliards de personnes.
Il s’agit aussi de les aider à subvenir à leurs propres besoins et à affronter les phénomènes climatiques extrêmes provoqués par le réchauffement, en particulier la diminution de la disponibilité en eau.
« Les travaux de pointe menés ici sont essentiels pour que les familles de paysans pauvres puissent cultiver et vendre plus d’aliments, afin de construire des communautés autosuffisantes et prospères », explique Bill Gates.
L’innocuité des OGM doit être démontrée
Le philanthrope américain insiste néanmoins sur l’importance des essais qui doivent accompagner le développement de graines modifiées génétiquement :
« Comme pour l’industrie pharmaceutique, les produits doivent faire l’objet d’études scientifiques avant leur approbation afin d’avoir la certitude qu’ils seront inoffensifs pour l’homme. »
Selon le directeur du CIMMYT, Thomas Lumpkin, les installations sont soumises à des protocoles de sécurité draconiens, qui rendent impossible toute contamination génétique accidentelle de l’environnement.
Grâce aux travaux des chercheurs de Texcoco, le Mexique espère également pouvoir réduire ses importations de matières premières agricoles. Le pays ne produit que 58 % des denrées alimentaires qu’il consomme, loin des 75 % recommandés par l’ONU.
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