Aujourd'hui, peu de mots.
Ah, quelle horreur, mes chers cinq lecteurs, assistons-nous à une nouvelle guerre des gangs ?
(source : le Monde)
Ah, quelle horreur, mes chers cinq lecteurs, assistons-nous à une nouvelle guerre des gangs ?
(source : le Monde)
Agences de notation. Fitch abaisse la note de… Standard & Poor’s
Marchés financiers
vendredi 08 février 2013
L’arroseur arrosé ? On a plutôt l’habitude de
les voir abaisser les notes des Etats ou des banques. Mais les agences
de notation s’évaluent aussi entre elles !
L’agence
de notation américaine Fitch a abaissé jeudi d’un cran à BBB + contre
A- la note de McGraw-Hill, maison mère de sa concurrente Standard &
Poor’s (S & P), à cause des risques financiers liés aux poursuites
contre elle lancées par les autorités américaines.
La
note de McGraw-Hill a également été placée sous surveillance négative,
ce qui signifie que Fitch pourrait encore l’abaisser à relativement
courte échéance.
« Les récents événements ont accru les risques » juridiques qui pèsent sur S & P, justifie Fitch.
Notes volontairement trop optimistes
Le
département américain de la Justice a porté plainte lundi contre S
& P, cherchant à recouvrer 5 milliards de dollars de pertes
encourues par des investisseurs à cause de notations de produits dérivés
de crédits par l’agence avant la crise financière. Le ministère accuse S
& P d’avoir accordé des notes excessivement optimistes à ces
produits financiers risqués en toute connaissance de cause.
Fitch estime toutefois que McGraw-Hill bénéficie toujours d’une « souplesse financière importante pour absorber » des
dommages et intérêts substantiels susceptibles de découler de ce procès
et des plaintes qui pourraient être lancées séparément par des Etats
américains.
Moody’s dans le collimateur ?
L’autre
grande agence de notation, Moody’s, pourrait également faire l’objet de
poursuites similaires de la part du département américain de la Justice
et de plusieurs Etats. Elle pourrait de la même manière voire sa note
dégradée."
A bientôt.
René.
PS : Mali, n'importe quoi !
(source : Radio france international)
Mali -
Au Mali, des coups de feu ont éclaté ce vendredi matin autour
du camp de Djicoroni, à Bamako. C’est là que sont basés les bérets
rouges, la garde rapprochée de l’ancien président Amadou Toumani Touré,
que l’on oppose aux bérets verts, responsables du coup d’Etat du 21 mars
2012. Les deux corps d’armée sont en conflit depuis plusieurs mois. Un
conflit qui semblait s’être calmé ces derniers jours avec la libération
de 28 bérets rouges.
PS : Mali, n'importe quoi !
(source : Radio france international)
Mali -
Article publié le : vendredi 08 février 2013 -
Dernière modification le : vendredi 08 février 2013
Mali: le camp des bérets rouges de Djicoroni encerclé par les forces de l'ordre
Des coups de feu ont été entendus ce vendredi 8 février 2013 autour du camp de Djicoroni à Bamako.
AFP PHOTO / HABIBOU KOUYATE
Les forces de l’ordre sont arrivées ce vendredi matin au camp
des bérets rouges de Djicoroni-para aux alentours de 7h30 avec de
nombreux véhicules remplis d’hommes en arme. Il y a des éléments de
l’armée, des bérets verts, des gendarmes et des policiers, très énervés.
Selon eux, les femmes et les enfants des bérets rouges avaient organisé une manifestation et brûlé un véhicule. C’est la raison pour laquelle ils seraient intervenus. Les bérets rouges démentent cette version. Ils assurent qu'aucune voiture n’a été brûlée et les militaires seraient rentrés dans le camp spontanément.
Impossible d’entrer dans le camp, ni de s’en approcher à moins de 50 mètres. Les militaires demandent aux journalistes de « dégager », menaces à l’appui, ou pour des raisons de sécurité.
De nombreux coups de feu ont été tirés, avec des salves par moment très nourries. « Des tirs de sommation », expliquent les militaires. « Ils tirent sur nos femmes et nos enfants », affirment les bérets rouges joints au téléphone.
Des pneus ont été brûlés. Il s’en dégage une épaisse colonne de fumée noire. Difficile pour le moment d’être précis. Il y aurait plusieurs blessés : deux ou trois femmes, plusieurs enfants, à l’intérieur du camp. C’est du moins ce qu’affirment plusieurs témoins. Un garde aurait également été blessé. Impossible pour le moment d’avoir une confirmation car la situation est très tendue, très incertaine. Les forces de l’ordre continuent d’encercler le camp. Des renforts sont arrivés sur place.
Selon eux, les femmes et les enfants des bérets rouges avaient organisé une manifestation et brûlé un véhicule. C’est la raison pour laquelle ils seraient intervenus. Les bérets rouges démentent cette version. Ils assurent qu'aucune voiture n’a été brûlée et les militaires seraient rentrés dans le camp spontanément.
Impossible d’entrer dans le camp, ni de s’en approcher à moins de 50 mètres. Les militaires demandent aux journalistes de « dégager », menaces à l’appui, ou pour des raisons de sécurité.
De nombreux coups de feu ont été tirés, avec des salves par moment très nourries. « Des tirs de sommation », expliquent les militaires. « Ils tirent sur nos femmes et nos enfants », affirment les bérets rouges joints au téléphone.
Des pneus ont été brûlés. Il s’en dégage une épaisse colonne de fumée noire. Difficile pour le moment d’être précis. Il y aurait plusieurs blessés : deux ou trois femmes, plusieurs enfants, à l’intérieur du camp. C’est du moins ce qu’affirment plusieurs témoins. Un garde aurait également été blessé. Impossible pour le moment d’avoir une confirmation car la situation est très tendue, très incertaine. Les forces de l’ordre continuent d’encercler le camp. Des renforts sont arrivés sur place.
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