Salut à tous ceux qui s'accrochent à leur liberté. Défendez-là !
Et, quand les japonais vont chercher de la viande de boucher à l'étranger !
(source : Médiapart)
A Fukushima, TEPCO fait passer des petites annonces dans les journaux lus par la population brésilienne locale (source ici). Il s'agit de proposer des "super" contrats de travail. Jugez en :
-30.000 Yens/jour (pour 2h de travail par jour) dans la "zone des 20 kms", soit environ 150 €/h.
-10.000 à 12.000 Yens/jour dans une "zone sûre" avec "logement et 3 repas gratuits, libre le dimanche", soit environ 113 €/jour.
Si vous êtes Brésiliens et si vous habitez au Japon, un bon job, c'est sûr !
Les travailleurs sous traitants appelés dans le milieu "viande à Rem" doivent être renouvelés quand ils ont atteint un niveau de radiation mettant leur santé en danger , et à Fukushima ce seuil est vite atteint !
Et, quand, les écologistes reprennent les mauvaises manière de la république bananière de sarkozy.
(source : le Monde en ligne)
Sont également récompensés :
En attendant, une nouvelle conséquence collatéral de la guerre civile en Syrie, des réfugiés veulent retourner chez eux.
(source : la Russie d'Aujourd'hui en ligne)
Et, pour finir ce petit tour de la planète, deux pays différents, les Etats-Unis et le Brésil, deux constats au sujet des biocarburants qui s'avèrent au final une affaire catastrophique humainement, environnementalement et financièrement.
Un rapport inédit aborde la question du monopole de la production d’éthanol au Brésil
par Herivelto Quaresma
En ce qui concerne les Etats-Unis, un article du Monde du vendredi 3 août 2012, p12 Economie.
Aux Etats-Unis, l'utilisation de maïs pour l'éthanol fait polémique.
Les éleveurs protestent, car, 40% de la céréale, dont les prix flambent, vont aux agrocarburants.
(...) Selon, cette pétition déposée par l'Association national des producteurs de porcs (National Pork Producers Council) et dix huit association d'éleveurs de poulets, de boeufs de dindes et de producteurs de lait, "l'utilisation obligatoire de maïs pour les combustibles renouvelables réduit l'approvisionnement de maïs et accroît son prix, si bien que les producteurs de bétail et de volailles devront diminuer la taille de leurs troupeaux, provoquant l'arrêt de l'activité pour certains et le chômage ".
Les éleveurs ont gagné mercredi, un allié de poids avec le groupe de commerce de céréales, Cargill (...)"
Et, cela tout pour aujourd'hui, en se remémorant que les biocarburants, c'est une bonne idée des écologistes.
A bientôt.
René.
Et, quand les japonais vont chercher de la viande de boucher à l'étranger !
(source : Médiapart)
Article d'édition
A Fukushima, TEPCO recrute des "liquidateurs" brésiliens pour 300 €/jour
01 Juin 2012
Par Michel Philips
Edition :
Japon, un séisme mondial
A Fukushima, TEPCO fait passer des petites annonces dans les journaux lus par la population brésilienne locale (source ici). Il s'agit de proposer des "super" contrats de travail. Jugez en :
-30.000 Yens/jour (pour 2h de travail par jour) dans la "zone des 20 kms", soit environ 150 €/h.
-10.000 à 12.000 Yens/jour dans une "zone sûre" avec "logement et 3 repas gratuits, libre le dimanche", soit environ 113 €/jour.
Si vous êtes Brésiliens et si vous habitez au Japon, un bon job, c'est sûr !
Les travailleurs sous traitants appelés dans le milieu "viande à Rem" doivent être renouvelés quand ils ont atteint un niveau de radiation mettant leur santé en danger , et à Fukushima ce seuil est vite atteint !
Et, quand, les écologistes reprennent les mauvaises manière de la république bananière de sarkozy.
(source : le Monde en ligne)
Cécile Duflot a décerné la Légion d'honneur à plusieurs membres de son parti
LE MONDE | • Mis à jour le
Par Nabil Wakim
C'est un assistant parlementaire de droite, blogueur sous le pseudonyme d'Autheuil, qui l'avait noté dès le 14 juillet, mais l'observation était restée confidentielle, avant d'être relayée par le site Internet du Point, jeudi 2 août – sans mention d'ailleurs de l'auteur d'origine.
La ministre du logement et de l'égalité des territoires, Cécile Duflot, a largement récompensé ses camarades écologistes lors de la promotion du 14 juillet de la Légion d'honneur. Sont ainsi élevés au rang de chevaliers l'ancienne ministre de l'environnement et maire de Montreuil, Dominique Voynet, ou Catherine Calmet-Rebérioux, la secrétaire générale du groupe EELV au conseil régional d'Ile-de-France, groupe dans lequel siégeait Cécile Duflot depuis 2010.Sont également récompensés :
- Le maire EELV de Loos-en-Gohelle (Pas-de-Calais), Jean-François Caron, figure écologiste dans le bassin minier ;
- Jean Malet, conseiller régional Vert d'Ile-de-France, et maire de Mezy-sur-Seine ;
- Maryse Oudjaoudi, secrétaire régionale d'EELV en Rhône-Alpes et candidate dans l'Isère aux législatives ;
- Michèle Rivet, vice-présidente écologiste du conseil régional du Centre,
- Le maire et conseiller général EELV d'Arcueil (Val-de-Marne), Daniel Breuiller."
En attendant, une nouvelle conséquence collatéral de la guerre civile en Syrie, des réfugiés veulent retourner chez eux.
(source : la Russie d'Aujourd'hui en ligne)
Les Ossètes de Syrie veulent retrouver leur terre ancestrale
3 août, 2012
Iouri Matsarski, Izvestia
Iouri Matsarski, Izvestia
La communauté ossète installée en Syrie s'est
adressée au gouvernement de Russie et d'Ossétie du Nord : des
descendants de réfugiés qui avaient quitté la Russie il y a 50 ans
voudraient quitter le pays en guerre.
Et, pour finir ce petit tour de la planète, deux pays différents, les Etats-Unis et le Brésil, deux constats au sujet des biocarburants qui s'avèrent au final une affaire catastrophique humainement, environnementalement et financièrement.
Un rapport inédit aborde la question du monopole de la production d’éthanol au Brésil
par Herivelto Quaresma
Le rapport intitulé « Monopole de la
Production d’éthanol au Brésil : la fusion Cosan-Shell » a été publié le
13/10/2011 par le Réseau Social de la Justice et des Droits de l’Homme.
Par Herivelto Quaresma - Consciência.net - 13 octobre 2011
Traduction : Véronique Phelut et Roger Guilloux pour Autres Brésils
L’étude, qui se concentre sur la fusion
Cosan-Shell, fait le point sur les tendances les plus récentes dans le
secteur de la canne à sucre et analyse le rôle de la production
d’éthanol au Brésil. Ce document permet de vérifier l’existence d’un « processus croissant de formation de monopoles dans le secteur »
et notamment avec la participation d’entreprises pétrolifères. Outre la
société Shell, les groupes BP (British Petroleum) et Petrobrás ont
commencé à contrôler une part significative de la production
d’agro-combustibles dans le pays.
La plus grande
concentration de capitaux est accompagnée d’une augmentation de
l’expansion territoriale de la monoculture de canne à sucre,
principalement dans les zones ayant accès aux infrastructures, telle que
la région sud-est et les autres régions possédant des bassins
hydrographiques étendus, comme le Cerrado. « Ce
mouvement montre que la soi-disant ‘compétitivité’ de l’éthanol
brésilien sur le marché international est basée sur la nécessité de
s’approprier plus largement les ressources naturelles, la terre et l’eau
par exemple », estime le rapport.
La pression exercée par le Partido
Ruralista [1] au Congrès National pour modifier le code régissant
l’exploitation forestière fait partie de ce contexte, expliquent les
auteurs du rapport. « Ainsi, l’efficacité tant vantée de
ce secteur est-elle prise en défaut dans la mesure où l’on constate une
baisse du niveau de productivité et qu’au même moment augmentent les
pressions de l’agro-business visant à faire reculer les zones de
préservation de l’environnement ».
Le Mythe de ‘l’efficacité et la compétitivité’ de l’éthanol brésilien
Les formes d’acquisition des terres pour
l’expansion de la monoculture de la canne à sucre se font via
l’affermage, c’est-à-dire, « via la substitution de la production d’aliments, ou de l’avancée de la frontière agricole ». Ce processus, conclut le rapport, « est
lié à la crise économique internationale et à un mouvement de capitaux
financiers qui gèrent une bulle spéculative, ce qui provoque une forte
augmentation du prix de la terre et des aliments ».
Le discours sur la
‘modernisation’ de la production d’éthanol sert également à couvrir la
recrudescence de l’exploitation du travail, concluent les
auteurs du rapport. Tout au long de l’étude, ils ont démontré que le
‘retard’ du secteur n’était pas la cause des cas de non respect
droits du travail. « Au contraire, nous avons constaté
que la mécanisation prépondérante de la coupe de la canne aggrave
l’exploitation des travailleurs. Autrement dit, la logique de ce modèle
de production est basée sur la surexploitation du travail, ce qui nous
permet de démasquer le mythe de la supposée ‘efficacité et
compétitivité’ de l’éthanol brésilien ».
Les auteurs font ressortir le taux élevé d’endettement et l’insolvabilité de l’industrie de la canne à sucre
– un fait dont la preuve est la dépendance des emprunts à taux
subventionnés que la Banque Nationale de Développement Economique et
Social (BDNES) a octroyé au secteur de production d’alcool et de sucre.
Année après année, les entreprises du secteur de la canne à sucre
demandent la remise et l’étalement de leurs dettes auprès des banques
d’états, outre les diverses formes de subventions et d’aides fiscales.
« Ces données nous
amènent à la conclusion suivante : le véritable ‘produit’ de ce secteur
n’est pas la canne à sucre, le sucre ou l’éthanol, mais une énorme dette
financière, sociale et environnementale. Cette constatation nous aide à
expliquer le maintien des mécanismes de surexploitation du travail et
d’un modèle agricole basé sur la monoculture et les grandes propriétés
rurales (latifúndio), qui nécessite d’augmenter l’appropriation de biens
naturels. Par conséquent, seule une transformation de ce modèle serait
capable de surmonter les crises simultanées des secteurs économique,
social et environnemental », conclut l’étude.
Le rapport complet est disponible en pdf et en portugais : http://www.social.org.br/revistacosanshel.pdf
En ce qui concerne les Etats-Unis, un article du Monde du vendredi 3 août 2012, p12 Economie.
Aux Etats-Unis, l'utilisation de maïs pour l'éthanol fait polémique.
Les éleveurs protestent, car, 40% de la céréale, dont les prix flambent, vont aux agrocarburants.
(...) Selon, cette pétition déposée par l'Association national des producteurs de porcs (National Pork Producers Council) et dix huit association d'éleveurs de poulets, de boeufs de dindes et de producteurs de lait, "l'utilisation obligatoire de maïs pour les combustibles renouvelables réduit l'approvisionnement de maïs et accroît son prix, si bien que les producteurs de bétail et de volailles devront diminuer la taille de leurs troupeaux, provoquant l'arrêt de l'activité pour certains et le chômage ".
Les éleveurs ont gagné mercredi, un allié de poids avec le groupe de commerce de céréales, Cargill (...)"
Et, cela tout pour aujourd'hui, en se remémorant que les biocarburants, c'est une bonne idée des écologistes.
A bientôt.
René.
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