mardi 31 juillet 2012

Salut à ceux qui ont compris que l'Europe qu'ils ont construit et qu'ils construisent n'est pas pour nous !

Et, quand le lobbying est à la tête de l'Europe.
Après cela, on peut se demander qui la BCE cherche à sauver, les banques, l'euro ou l'Europe ? 

(source : le Monde, économie en ligne)


Mario Draghi soupçonné de conflit d'intérêts

Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le
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Le président de la Banque centrale européenne est supecté de conflit d'intérêt pour appartenir au G30, accusé de faire du lobbying pour les banques.

L'affaire semble épineuse. Le comité de surveillance interne de l'Union européenne aurait ouvert une enquête sur Mario Draghi, président de la Banque centrale européenne (BCE) à la suite d'une plainte pour conflit d'intérêts, annonce l'agence Reuters mardi 31 juillet.

Une information démentie par l'AFP, qui relaie les propos de Gundi Gadesmann, la porte-parole du médiateur de l'UE. Cette dernière a déploré une "dramatisation de cette affaire" deux jours avant une importante réunion du conseil des gouverneurs de la BCE. "Aucune enquête n'a été ouverte", a-t-elle assuré.
L'Observatoire de l'Europe industrielle (Corporate Europe Observatory, CEO), qui suit le lobbying ayant pour cible l'Union européenne, a accusé en juin Mario Draghi de ne pas être totalement indépendant en raison de son appartenance au G30, forum international qui regroupe des dirigeants du secteur financier public et privé.
"Nous avons reçu une plainte et avons envoyé une lettre à la BCE. Maintenant nous attendons une réponse", a reconnu Mme Gadesmann. La BCE a jusqu'à la fin octobre pour répondre, a-t-elle ajouté.
Le médiateur, Nikiforos Diamantoros, fera ensuite des "recommandations, qui ne sont pas contraignantes", a expliqué sa porte-parole. "Nous n'avons pas le pouvoir d'imposer des sanctions", a-t-elle souligné. "Nous essayons de trouver une solution amiable avec laquelle tout le monde peut vivre", a conclu Mme Gadesman."

Bon, mes chers cinq lecteurs, depuis le temps que je dis qu'il faille faire la chasse aux vendus aux grandes sociétés, aux banques, aux représentants des grands semenciers, à mosantos et compagnie qui nous soumettent, nous, les citoyens européens à leurs diktats qui au final nous empoisonnent et finissent par nous tuer.
Il est temps de nous débarasser  de ces gens-là. Et, si, cela n'est pas fait dans le cas de draghi, cela voudra dire simplement qu'ils sont tous complices et qu'un jour, il nous faille aussi, aller jusqu'à Bruxelles pour tous les pendre.
Mais, non, je plaisante mes chers cinq lecteurs, vous me connaissez. En attendant, ils jouent avec notre santé et celle de nos enfants.
Nous pensons que nous n'avons aucun moyen de changer les choses. Bizarre, mais, les tunisiens, les lybiens, les syriens nous ont prouvé que l'on pouvait faire différemment.
Cela veut dire quoi ?
Que nous en France, nous sommes des "LACHES !"
Quand l'Europe nous impose d'acheter des graines chez les grands semenciers en pratiquement nous interdisant de commercialiser les graines et les légumes issus de graines traditionnelles.
Quand, l'individu, cité ci-dessus, nous fait croire qu'utiliser l'argent des citoyens européens pour sauver les banques, en nous faisant croire qu'elles sont le noyau de l'économie, n'est-ce pas nous prendre pour des cons.
Tout cela sera compté. Même, en France, l'abstention du Front de Gauche concernant l'approbation du MES. Parce que, ce n'est pas Mélenchon qui va nous prendre pour des cons.
Et, cela sera tout pour aujourd'hui.
René.




bbbbb

lundi 30 juillet 2012

Salut à tous les banquiers qui nous pompent la vie. Ce n'est pas avec les socialistes qu'ils arrêteront de nous prendre pour des paillassons.

 Que les évènements de Syrie ne nous fassent pas oublier, mes chers cinq lecteurs, que la Turquie qui frappe à la porte de l'Europe a entamé une islamisation rampante de la société.
Cela n'empêche pas les anglais de continuer à soutenir sa candidature.

(L'alévisme (alevilik en turc, elewîtî1 en kurde, al ‘alawīyyah en arabe) regroupe des membres de l'islam dits hétérodoxes et revendique en son sein la tradition universelle et originelle de l'islam et plus largement de toutes les religions monothéistes. Il se classe dans les traditions soufies et ses croyances sont assimilables au panenthéisme. Il se distingue par son non-dogmatisme des dogmes religieux dits « orthodoxes » tels le sunnisme et le chiisme dit jafarisme. Bien qu'il soit de tradition très ancienne, certains voient[évasif] en l'alévisme l'exemple d'une tradition musulmane moderne.
L'alévisme constitue la seconde religion en Turquie après le sunnisme. Les avis divergent sur leur nombre : officiellement ils sont entre 10 et 15 % mais d’après les sources alévies il représenterait entre 20 à 25 % de la population nationale2.) (source : wikipedia)


(source : le Monde en ligne)

Turquie : les Alévis tirent la sonnette d'alarme.

Le Monde.fr |

Le désespoir envahit les Alevis face à la recrudescence de l'islamisation de la Turquie. Sous leur étiquette de pays "laïc", le gouvernement turc mène une politique de propagande, à l'encontre de la laïcité, avec comme seul objectif d'instaurer un nouveau modèle idéologique "une race, une religion, une langue".

La Fédération de l'union des Alévis de France (FUAF) fait partie de la dynamique croissante du mouvement Alévi en Europe représenté par notre Confédération Européenne qui regroupe plus d'un million d'adhérents dans 14 pays différents. Ainsi les 200 000 Alévis de tout l'hexagone, de Bordeaux à Strasbourg, se battent pour la liberté d'expression et de croyance de leurs proches. En effet, près de 25 millions d'Alévis vivent en Turquie. Ils ont même fait appel à la Cour Européenne des Droits de l'Homme pour demander la suppression des cours obligatoires religieux chez les enfants et la suppression de la mention religieuse sur la carte d'identité. La justice turque a délibérément ignoré la décision du 9 octobre 2007 de la Cour Européenne des Droits de l'Homme donnant raison à un plaignant alévi.
Malgré notre combat acharné et une résistance continue, la Turquie continue d'appliquer une politique d'ignorance, d'injustice et avance progressivement vers une guerre civile par le biais d'une politique d'assimilation et de neutralisation par l'oppression. L'Anatolie, terre des richesses et des cultures, se transforme sous nos yeux en un lieu de haine et d'obscurantisme."

Et, malheureusement, dans le monde, toutes les minorités sont visés.

(source : Afrik.com)


Cameroun : les Pygmées chassés de leurs terres








Les Pygmées, résidant dans le Sud du Cameroun, ont été contraints par les autorités de quitter leurs demeures traditionnelles. Le gouvernement a accordé à différentes sociétés des permis d’exploitation dans les forêts où ces peuples vivent depuis des lustres.
Les Pygmées ne sont plus les bienvenus sur leurs propres terres. Ils ont été sommés de quitter leurs maisons traditionnelles par les autorités camerounaises, selon une enquête réalisée par IPS. Le gouvernement a en effet accordé à diverses sociétés des permis d’exploitation dans les forêts où ils résident depuis toujours. L’objectif pour le Cameroun, devenir une puissance économique émergente d’ici 2035.
Les Pygmées, appelés aussi « Bakas », vivent dans le Sud du Cameroun. Ils seraient 35 000 dans le pays. Et sont très préoccupés pour leur avenir. « Le gouvernement du Cameroun et certains Blancs nous ont déplacés du cœur du bloc forestier de Ngoyla-Mintom et nous ont réinstallés dans ce village situé dans son enceinte. Maintenant, nous allons au fond de la forêt dans la journée et revenons le soir. Nous n’y sommes pas autorisés la nuit », a confié l’un d’entre eux à IPS.

A part ça, Ouganda, attention, DANGER !
Cela veut dire, surveillons les passagers venant de ce pays.


Ouganda : retour inquiétant du virus Ebola








Depuis le début du mois de juillet, 14 personnes atteintes du virus Ebola ont péri dans le district de Kibala, dans l’Ouest de l’Ouganda. Les autorités craignent que cette maladie, qui déclenche des fièvres hémorragiques, se propage. Il n’existe aucun traitement pour y faire face.
Le virus Ebola laisse peu de chance de survie à ceux qui y sont confrontés. Identifié pour la première fois en 1976, il tue entre 50 à 90% parmi les malades concernés. Le virus a déjà tué depuis le mois de juillet 14 personnes, dans l’Ouest de l’Ouganda, dans le district de Kibala. Il déclenche des fièvres, hémorragies internes, vomissements, et diarrhées. Il n’existe aucun traitement, ni vaccin, pour soigner les malades. Pis, le virus Ebola est très contagieux. On peut le contracter en étant au contact de cadavres, par des sécrétions corporelles, ou encore par contact avec le sang. Les 14 personnes décédées étaient d’ailleurs issues de la même famille, selon RFI. Les animaux, étant porteur du virus, peuvent aussi le transmettre à l’homme.


A bientôt.
René.

dimanche 29 juillet 2012

Aujourd'hui, juste cet article d'Irin News concernant les effets collatéraux de la guerre civile en Syrie.
Rappellez-vous, mes cinq chers lecteurs, la même s'est passé pour les réfugiés en Lybie et eux avaient la mauvaise couleur de peau, la noire.
Que sont-ils devenus ?
Intéressante question qui n'a préoccupé personne !


IRAK: Une « crise humanitaire » se profile pour les rapatriés de Syrie

Photo: Heba Aly/IRIN
Bon nombre de réfugiés irakiens ont des difficultés à trouver du travail à leur retour
BAGHDAD, 29 juillet 2012 (IRIN) - Les milliers d’Irakiens rapatriés de Syrie devront faire face à des défis majeurs pour se réintégrer dans un pays où le taux de chômage est élevé, les services de base sont défaillants et les conflits religieux font rage. « Je pense que nous allons faire face à une crise humanitaire dans ce domaine », a dit Yaseen Ahmed Abbas, président du Croissant-Rouge irakien (CRI). « Un tel afflux de personnes en si peu de temps va engendrer une pression dans tous les domaines en Irak. La situation n’est pas facile ». 

Plus de 15 000 Irakiens sont revenus en Irak au cours de ces neuf derniers jours après des combats sans précédent à Damas, la capitale syrienne, selon le ministre adjoint du Déplacement et de la Migration Salam Dawod Al Khafagy. Le gouvernement a évacué 4 000 personnes par avion, a-t-il dit ; le reste a franchi la frontière terrestre. Des dizaines de milliers de personnes supplémentaires sont revenues depuis le début du conflit syrien en mars 2011. 

Elham est l’une d’entre elles. Après avoir vécu sept ans en Syrie, elle et son fils sont revenus en Irak le 3 juillet. Elle n’a rien, a-t-elle dit avant d’ajouter : « Je suis comme une étrangère ici ». 

Après avoir passé quelques nuits dans un hôtel, elle n’avait plus d’argent et s’est installée chez des amis. La maison de sa famille a été abandonnée il y a quelques années avant d’être à nouveau occupée. Elle est désormais vide : « elle est inhabitable », dit-elle, ajoutant qu’elle n’a pas l’argent nécessaire pour la reconstruire. Ses parents sont morts et mettre la maison à son nom représente un autre obstacle, a-t-elle dit. 

Elle a déposé une demande pour bénéficier de la subvention de 4 millions de dinars (3 400 dollars) versée par le gouvernement irakien aux rapatriés, mais elle a appris qu’il lui faudrait attendre plus d’un mois pour l’obtenir. 

Les menaces qui ont provoqué sa fuite d’Irak il y a quelques années existent toujours ; elle a peur de quitter sa maison : « La situation sécuritaire est mauvaise ici ».  Elle a du mal à imaginer son avenir en Irak. « Je suis perdue. Je ne sais pas ce que je vais faire ». 

Capacité de réponse
Selon le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), elle n’est pas seule dans ce cas. 

« La plupart des gens ont tout perdu et sont revenus avec très peu de choses », a dit Aurvasi Patel, représentant adjoint du HCR en Irak. « Cela va être un lourd fardeau pour l’État ». 

Les membres du personnel du HCR présents des deux côtés de la frontière irako-syrienne ont rencontré des rapatriés sans papiers ; bon nombre d’entre eux ne disposent plus de la carte qui leur permet d’accéder au système de distribution mis en place par le gouvernement et de leur carte d’identité (« Jensiya »), ils n’ont plus d’abri, de nourriture et d’argent. 

Le gouvernement irakien a tout d’abord indiqué être capable de faire face à l’afflux, mais il fait de plus en plus appel à l’aide. 

« Le nombre d’arrivants augmente tous les jours. Nous avons besoin d’aide », a dit le ministre adjoint Al Khafagy à IRIN. Il préside le nouveau comité chargé de la coordination de la réponse entre les différents ministères et les organisations internationales. 

Fort de ses revenus pétroliers, le gouvernement s’est également engagé à verser 50 milliards de dinars (43 millions) au ministère pour qu’il réponde à la crise, mais les fonds n’ont pas encore été transférés par le ministère des Finances, a expliqué M. Al Khalfagy. 

Jusqu’à présent, le ministère du Déplacement et de la Migration utilise ses propres fonds pour financer les bourses versées aux Irakiens qui sont revenus soudainement la semaine dernière en raison des combats à Damas, a-t-il ajouté. 

Cependant, même avant l’arrivée des rapatriés, le gouvernement s’était montré incapable de dégager l’argent qui était alloué aux rapatriés rapidement, a dit M. Patel. 
Le HCR prévoit de verser des subventions d’urgence d’un montant de 400 dollars par famille afin de les aider. 

Au niveau local, les gouvernorats disposent également de larges budgets de fonctionnement, ainsi que d’un réseau de cellules d’urgence chargées de répondre à ce type d’urgences, a dit Daniel Augstburger, haut responsable des Affaires humanitaires pour la Mission d’assistance des Nations Unies en Irak. 

Mais les procédures du gouvernement sont lentes, bureaucratiques et inefficaces, disent les travailleurs humanitaires. 

« Nous allons devoir faire face à la lenteur de la réponse du gouvernement. Mais il a les capacités », a dit M. Augstburger à IRIN.

Moyens de subsistance 

Le HCR et le CRI entameront prochainement des études détaillées afin de mieux comprendre les besoins des rapatriés. 

Le CRI aide les personnes qui passent la frontière et procédera bientôt à l’enregistrement des rapatriés dans leur ville d’origine afin de mieux les aider. Mais M. Abbas a dit que la Société a été débordée par l’afflux de rapatriés alors que les colis alimentaires d’urgence pour le Ramadan sont distribués. 

« Le CRI répondra aux besoins urgents. Mais nous ne pouvons pas répondre aux besoins à long terme. Ils représenteront un fardeau pour l’économie iraquienne. Nous nous attendons à ce que [les rapatriés] soient affectés pendant un moment ». 

Ils ont vraiment besoin d’une source de revenus durable, a dit M. Abbas. 

Le taux de chômage se situe entre 8 et 11 pour cent en Irak, et le taux de chômage des jeunes est deux fois plus élevé, selon l’Unité d’information et d’analyse interorganisations des Nations Unies. La plupart des rapatriés irakiens ne disposent pas des fonds nécessaires pour créer leur propre entreprise, a dit M. Abbas. Avant les dernières arrivées, les rapatriés avaient des difficultés à s’intégrer, bon nombre d’entre eux dépendant de l’aide extérieure pour survivre. 

Le CRI a récemment mis en place un programme dont l’objectif est de permettre la création de petites entreprises, et prévoit de l’étendre aux rapatriés. Mais il faut davantage d’aide, a dit M. Abbas. 

Il y a cependant un facteur atténuant : bon nombre de réfugiés rapatriés étaient candidats à la réinstallation à l’étranger. L’une des priorités du HCR est de les enregistrer et de poursuivre le processus de réinstallation à partir de l’Irak, a dit M. Patel. 

Fardeau supplémentaire 

Mais outre les rapatriés, près d’un demi-million de personnes déplacées par le conflit de 2006-2007 vivent – clandestinement, sous la menace d’une expulsion, avec un accès inégal aux services de base et peu d’opportunités de subsistance – dans des zones urbaines en Irak. Le gouvernement a des difficultés à trouver des solutions à long terme pour ces personnes. 

Ces défis s’ajoutent à la présence de près de 2 350 réfugiés syriens qui ont également franchi la frontière irakienne la semaine dernière. Bon nombre d’entre eux occupent des immeubles publics situés le long de la frontière en attendant que des camps soient mis en place pour les accueillir. 

« Nous ne sommes pas préparés », a dit M. Abbas concernant la réponse aux réfugiés. « Le gouvernement a soudainement pris la décision d’autoriser les réfugiés syriens [les Syriens qui fuient le conflit qui affecte leur pays et se réfugient en Irak] sans s’être préparé ». 

Au poste frontalier d’al-Waleed, le camp établi pour accueillir les Syriens qui fuient leur pays (où des tensions ont vu le jour en 2004) existe toujours, et le HCR le rénove en cas de besoin. À al-Qa’im, le gouvernement et le CRI ont déjà commencé à installer des tentes. Le troisième poste frontalier, celui d’al-Rabi’a, est toujours fermé du côté syrien, a dit M. Patel.
 
Quelque 8 000 réfugiés supplémentaires originaires de Syrie ont été accueillis dans la région autonome du Kurdistan dans le nord du pays. 

ha/cb-mg/amz 
[Cet article ne reflète pas nécessairement les vues des Nations Unies]

Et, cela sera tout pour aujourd'hui. Après tout, nous sommes dimanche.
René.

samedi 28 juillet 2012

(blog à finir et à corriger)

Bon, mes chers cinq lecteurs, si, nous reparlions du Mali.
Eh, bien, pendant que les partis politiques et l'armée cherchent à conserver, à récupérer, à s'incruster au pouvoir, les islamistes intégristes vont venir les petits copains dans le nord.
Et, ils se renforcent, grâce notamment au finance de certains émirats arabes.
Ca coupe des mains, ça flagellent à tout va, ça impose le voile intégrale pour les femmes, ça détruit les tombeaux des saints musulmans et ça tue facilement.
Et, pendant que tous ces braves se disputent à Bamako, ils préparent l'offensive sur cette même Bamako. A mon avis, si, ils lançaient leur offensive dans les prochains temps, l'armée malienne exploseraient, livrant la capitale à ceux-là même qui veulent imposer la charia à toute l'Afrique musulmane avant de s'attaquer aux états chrétiens.
Pourtant, le future gouvernement malien a un allié dans le nord, le mouvement touareg du MLNA qui a déclaré être prêt à discuter avec un futur gouvernement du statut des territoires du nord qu'il verrait bien à l'image de la belle province du Québec.
Et, tous ces gens feraient bien de se dépêcher de s'entendre avant qu'Aqmi ne fassent venir des milliers de combattants étrangers.
Enfin, c'est mon avis. Qu'à Dieu ne plaise, je ne chercherais à imposer à personne.
Mais, passons.

vendredi 27 juillet 2012

(blog à finir et à corriger)

Mon dieu, mon dieu, il existe des gros nantis qui perdent de l'argent avec cette crise financière à multiples tiroirs.
Que dire ?
Que nous sommes désolés ?
Eh, bien, non, nous ne sommes pas désolés parce qu'ils n'auront pas moins de domestiques et n'en continueront pas moins de spéculer.

(source : le Quotidien du Peuple, Mise à jour 27.07.2012 08h16)
 
"Les 3000 familles chinoises les plus riches ont perdu 586,648 milliards de yuans
Le week-end dernier, « Licai Zhoubao » a publié le palmarès 2012 des 3000 familles chinoises les plus riches. On y apprend que ces familles fortunées ont perdu en une année un total 586,648 milliards de yuans, cela à cause de la bourse en chute libre. Ce chiffre est près de cinq fois supérieur au PIB de Macao en 2011."

Par contre, et c'est ce qui va marquer le secteur de l'assurance internationale qui risque de devenir sinistré, les risques climatiques pèsent de plus en plus lourd.

Mise à jour 27.07.2012 08h07
"Beijing/tempête : les compagnies d'assurance essuient des pertes de 500 millions de yuans

Les violents orages qui ont paralysé Beijing samedi dernier ont infligé des pertes de 500 millions de yuans aux compagnies d'assurance, a annoncé jeudi la Commission de régulation des assurances de la ville.

Les pertes calculées mardi incluaient 260 millions de yuans d'indemnisations des sinistres automobiles et 270 millions de yuans de remboursements des biens sinistrés, selon la commission.

Les orages, les plus forts depuis 60 ans, ont ravagé samedi la capitale chinoise, faisant au moins 77 morts et provoquant des pertes économiques directes estimées à 10 milliards de yuans, selon le gouvernement municipal. Plus de 1,9 million d'habitants ont été affectés par les pluies torrentielles et les inondations qui s'en sont suivies."

Evidemment, cela signifie au final, que des pans entiers couverts actuellement par les assurances ne le seront plus. Ou alors, à  des annuités tellement prohibitives que seuls quelques multinationales et très gros nantis pourront les "assurer".
Finalement, je crois que je vais pleurer sur le secteur des assurances.
Voilà, "Sniff", je pleure.
A part, cela, concernant le Mali, le prochain gouvernement devrait s'entendre avec le mouvement touareg pou éliminer les djihadhistes, en accordant à toutes les ethnies une province indépendante. A cette condition qu'accepteront les touargs, avec l'occident et de l'armée malienne, plus quelques commandos spécialisées, ils liquideront les intégristes. Qui, entre parenthèse se sont massés dans un seul secteur.
Et, comme, le nord Mali, n'est pas l'Afghanistan, il sera d'autant plus aisé de les éliminer.
Voilà, c'est tout pour aujourd'hui.
René.

jeudi 26 juillet 2012

Bon, peu de mots. D'abord, parce qu'avec la chaleur mon train prend du retard et je mets trois heures à rentrer chez moi. Eh, oui, en France, on vend des TGV, mais, lorsqu'il fait trop chaud, les rails se dilatent. Et, vu, le four que peut être mon vieux train, cela ne me fait pas rire.
Par contre, une réflexion et une seule concernant la Syrie, contrairement à ce que tout le monde pense chez les mecs au courant, le président syrien ne prend pas le chemin de l'exil ou de la décapitation au sabre.
Pour le moment, il n'a pas dépassé le record de son père, plus de 25.000 morts. Et, son armée n'est pas celle de Kadhafi. Personnellement, je souhaitais son départ, tout en disant que personne ne viendra en aide aux populations syriennes ou plutôt aux sunnites syriens, même la Turquie, malheureusement. Assad sait très bien qu'il peut reconquérir le terrain perdu. Car, à un moment, la population ne pourra plus continuer à protester devant la terreur qui va s'accentuer.
N'oublions pas ce qu'à fait son père et n'oublions pas ce que Saddam Hussein a fait endurer aux chiites qui s'étaient révoltés dans la zone des marais.
Eh, oui, mes cinq chers lecteurs, le président peut gagner et risque de l'emporter. Sans compter que la Chine et la Russie, estimant s'être gravement fait avoir dans l'histoire de la Syrie vont l'aider à durer jusqu'à la victoire finale.
A bientôt.
René.

mercredi 25 juillet 2012

Ma femme est partie en vacance, j'ai décidé de ne plus écrire.Surtout, que j'avais dit que seuls les désert
eurs allaient gagner.


jeudi 19 juillet 2012

(blog à finir et à corriger)

Bon, désolé, mes cinq chers lecteurs, mais, hier, je n'avais pas trop envie d'écrire tellement les députés qui réclament tant de sacrifices aux français pour sauver les banquiers ne sont pas prêts à sacrifier un tout petit peu de leur propre intérêt.

(source : le Monde en ligne)

Borloo : le refus par les députés du contrôle de leurs frais est une "énorme erreur"

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 Jean-Louis Borloo le 14 décembre 2010.
Le rejet, par la commission des finances de l'Assemblée nationale, de l'amendement Courson sur la fiscalisation des frais des parlementaires a fait réagir Jean-Louis Borloo. Le président du Parti radical a déclaré, jeudi 19 juillet, sur BFMTV que les députés avaient fait "une énorme erreur" en refusant de justifier leurs frais.
La démarche "d'exemplarité" voulue par Charles de Courson (Union des démocrates et indépendants, UDI, Marne) n'a pas été retenue lors de son examen en commission des finances, le 11 juillet. Il proposait de fiscaliser la part de l'indemnité représentative de frais de mandat (IRFM) – 6 412 euros par mois – non utilisée à des fins professionnelles. L'adoption de cet amendement aurait obligé les parlementaires à produire des justificatifs auprès de l'administration fiscale. Christian Eckert, rapporteur général (PS) de la commission, a émis un avis défavorable. Il a été appuyé par Gilles Carrez, président (UMP) de la commission des finances."

Vous, vous rendez compte, mes chers cinq lecteurs, ces beaux messieurs pondent des lois et des réglementations pour aider la finance, les rentiers, les riches, les multinationales pour les aider à faire du fric contre l'intérêt des citoyens, en demandant au citoyen de se sacrifier sur l'autel de salopards et ils refusent d'être ponctionné eux mêmes §
Et, après, ils nous disent que lorsque l'on dise avec justesse "TOUS POURRIS !", ils nous fassent la leçon de "Vous faites la propagande du Front National !"
Et, lorsque, je dis "TOUS POURRIS !", je parle des élus socialistes puisqu'ils ont voté massivement contre ce texte, somme toute, logique, sinon normal.
Il faut dire que Hollande nous fait le coup de moins de salaire pour les ministre ou même pour lui même, sauf qu'il se permet de multiplier les ministres, secrétaires d'états, présidents de commission.
Donc, que l'économie faite sur son ou les salaires des ministres n'est pas faites pour être drainée en faveur du peuple, mais, des petits copains.
Par contre, d'un autre côté, le Front de Gauche s'est abstenu au moment du vote du MES au lieu de voter contre, que Mélenchon va faire un grand cinoche au Venezuela  en compagnie de Hugo Chavez.
C'est.....euh.....euh, un peu surnaturel !

mardi 17 juillet 2012

(blog à finir et à corriger)

Mon dieu, la France, le monde est à l'envers. Les anciens colonisés ou soumis à des diktats militaro-industriels occidentaux viennent nous faire la même et bientôt, même au niveau du terroir, ils vont nous tenir la dragée haute.
Juste retour des choses, diront certains, ou effet de la mondialisation diront les ultra-libéraux.
En tout cas, je me marre !
Il est vrai qu'il m'en faut peu pour rigoler des travers qui vont couler la planète de l'ultra-libéralisme, même vanter à une époque par certains ministres socialistes. Et, c'est bien pour cela que la finance internationale n'a pas grand chose à craindre d'eux.

(source : le Quotidien du Peuple)

De plus en plus de Chinois s'intéressent aux fermes britanniques
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Au cours des deux dernières années, de plus en plus de Chinois de la partie continentale de Chine sont allés acheter des maisons en Grande-Bretagne. Depuis plus de 6 mois, de nombreux Chinois se tournent vers les fermes en Grande-Bretagne. Selon les agences intermédiaires des terres, il semble que les investisseurs chinois aient l'appétit aiguisé, en souhaitant acheter un grand nombre de fermes.

D'après le journal « Hua Shang Bao », pour James Prewett, directeur d'une agence intermédiaire des fermes au centre de l'Angleterre, ces dernières années, de nombreux Chinois sont venus en Grande-Bretagne, surtout autour de Londres pour regarder les fermes en vente. Parmi eux, certains ont déjà des biens immobiliers à Londres. « Selon mes expériences, sauf pour ceux qui aiment vraiment les fermes, la plupart des Chinois les ont achetés pour investir. » a indiqué le directeur.

Selon les données officielles de la Grande-Bretagne, pendant les 60 ans du règne de la reine d'Elizabeth II, le prix des fermes dans le pays a été multiplié par cent. Au deuxième trimestre de cette année, le prix des terres pour une ferme a augmenté de 3,7% par rapport à la même période sur l'année précédente. Pour le moment, le prix moyen des terres d'une ferme en Grande-Bretagne est de 6 295 livres sterlings l' hectare.

Les Chinois qui ont acheté des fermes au Royaume-Uni étaient peu nombreux pendant les 10 dernières années. Certains hongkongais ont acheté une fermes pour cultiver les légumes qui sont proposés aux supermarchés et restaurants chinois.

Ces 6 derniers mois, les terres qui intéressent les Chinois sont en général d'une grande superficie, dont les valeurs varient entre 1-2 millions de livres sterlings, selon une autre agence intermédiaire des fermes Knight Frank. A cause de la récession financière mondiale, le prix immobilier en Grande-Bretagne reste bas. Un grand nombre de Chinois préfèrent investir dans les terres, en raison d'une stabilité sociale en Grande-Bretagne, le prix des terres sont en hausse. Le risque dans l'investissement des terres est relativement faible.

Certaines agences intermédiaires britanniques sont convaincues que dans les deux ans à venir, un grand nombre de Chinois vont se ruer dans leur pays pour acheter des terres.
Source: le Quotidien du Peuple en ligne."

Mais, à part cela, cette autre nouvelle, toujours venant toujours du Quotidien du Peuple.

Australie: 5,2 millions de kangourous seront abattus cette année.

L'Australie a permis cette année de chasser 5,2 millions de kangourous à cause de la surpopulation de kangourous."

Alors, qu'en pensez-vous, mes cinq chers lecteurs, n'est-ce pas la beauté de la bio-diversité. Au nom d'une espèce, on en massacre d'autres. Et, là, je parle de la production agricole.

lundi 16 juillet 2012

Aujourd'hui, un seul article.
L'heure est très grave, mais, le gouvernement français s'en fout !
Un jour, il faudra prendre les armes !

(source : Kokopelli en ligne)

La Biodiversité sacrifiée
sur l'autel de la productivité

La Cour de Justice de l'Union Européenne désavoue
Kokopelli et son avocat général

La Cour de Justice, par sa décision rendue hier dans l'affaire Kokopelli c. Baumaux, vient de donner un satisfecit intégral à la législation européenne sur le commerce des semences.
Pourtant, le 19 janvier dernier, son Avocat Général nous donnait entièrement raison, en estimant que l'enregistrement obligatoire de toutes les semences au catalogue officiel était disproportionné et violait les principes de libre exercice de l'activité économique, de non-discrimination et de libre circulation des marchandises. (V. ses conclusions)
Ce changement de cap absolu ne manque pas de nous surprendre et de nous interroger.
La Cour, aux termes d'une analyse étonnement superficielle de l'affaire, et d'une décision qui ressemble plus à un communiqué de presse qu'à un jugement de droit, justifie l'interdiction du commerce des semences de variétés anciennes par l'objectif, jugé supérieur, d'une "productivité agricole accrue" !
L'expression, utilisée 15 fois dans la décision de la Cour, consacre la toute puissance du paradigme productiviste. Ce même paradigme, qui avait présidé à la rédaction de la législation dans les années soixante, a donc encore toute sa place en 2012. La biodiversité peut donc être valablement sacrifiée sur l'autel de la productivité.
Cela fait 50 ans que cela dure et le fait que ce raisonnement nous ait déjà amenés a perdre plus de 75% de la biodiversité agricole européenne n'y change donc rien. (V. les estimations de la FAO)
Si la Cour mentionne les dérogations supposément introduites par la Directive 2009/145 pour les "variétés de conservation", son analyse s'arrête à la lecture des grands titres. Comment les juges n'ont-ils pas voulu voir que les conditions d'inscription des variétés de conservation, dans la réalité, étaient restées pratiquement identiques à celles du catalogue officiel normal [1]? Le critère d'homogénéité, par exemple, particulièrement problématique pour les variétés anciennes, ne connaît aucune modération.
La Cour n'a-t-elle pas lu les témoignages de nos collègues européens, déjà confrontés à des inscriptions impossibles de leurs semences sur cette liste ?
Cette directive est un véritable leurre, que Kokopelli et tant d'autres organisations européennes ont déjà dénoncé, et ne vise pas à permettre la commercialisation des variétés anciennes ni même à conserver la biodiversité semencière.
De plus, cette biodiversité, qui a nourri les populations européennes pendant les siècles passés, est l'objet de la plus grande suspicion. La Cour va ainsi jusqu'a écrire, par deux fois, que la législation permet d'éviter "la mise en terre de semences potentiellement nuisibles" !
Cette remarque est totalement erronée puisque, comme l'avait justement relevé l'Avocat Général, l'inscription au Catalogue ne vise pas à protéger les consommateurs contre un quelconque risque sanitaire ou environnemental, auquel la législation ne fait même pas référence !
Cette remarque, surtout, est choquante, quand on pense que les semences du Catalogue, enrobées des pesticides Cruiser, Gaucho et autres Régent, ou accompagnées de leur kit de chimie mortelle, empoisonnent la biosphère et les populations depuis plus de cinquante ans !
Le lobby semencier (European Seed Association), qui a pris le soin, pendant le cours de la procédure, de faire connaitre à la Cour son désaccord avec l'avis de l'Avocat Général, se réjouit, dans tous les cas, de cette totale convergence de vues avec la Cour. (V. son communiqué et sa lettre adressée à la Cour.)
Nos adversaires directs dans cette procédure, c'est-à-dire la société Graines Baumaux, mais aussi la République Française, le Royaume d'Espagne, la Commission Européenne et le Conseil de l'UE, doivent également s'en frotter les mains.
Avec cette décision, les masques tombent : la Cour de l'Union Européenne est, elle aussi, au service de l'agriculture chimique mortifère et de son idéologie corruptrice.
Et Kokopelli, au contraire de tout ce qui a pu se lire ces derniers mois, n'a aucun intérêt convergent avec Monsanto et autres semenciers-chimistes. Ces craintes exprimées par certains n'étaient qu'élucubrations fantaisistes, voire malveillantes, à l'égard de l'association.
Mais tout cela se comprend par l'examen du contexte dans lequel prend place cette décision : en Europe, une réforme générale de la législation sur le commerce des semences est en cours. La procédure est placée sous le haut parrainage de l'industrie semencière. Les associations de sauvegarde de la biodiversité, petits producteurs, paysans et jardiniers passionnés, qui, à travers toute l'Europe, conservent clandestinement plus de variétés oubliées que tout ce que le catalogue des variétés appropriées n'en pourra jamais contenir, n'ont pas été invitées à la table des négociations...
Verra-t-on, dans ce cadre, le législateur européen redéfinir ses priorités ? Les semenciers veilleront à ce que cela ne soit pas le cas.
La France, dans ce cadre, joue un rôle particulier. Le Ministère de l'Agriculture a dépêché l'une des collaboratrices du GNIS [2], Mme Isabelle Clément-Nissou, auprès de la Commission Européenne (DG SANCO), afin de rédiger le projet de loi ! Mais les conflits d'intérêt, inadmissibles, ne semblent choquer personne au niveau des institutions européennes...
Ainsi, l'étau se resserre et les perspectives pour la biodiversité n'ont jamais été aussi sombres.
Et l'Association Kokopelli, qui depuis 20 ans veille avec passion à la préservation du patrimoine semencier européen, bien commun de tous, sans la moindre subvention publique, pourrait donc bien disparaître demain, car son activité, qui gêne l'une de nos sociétés commerciales les mieux installées, ne présente pas d'intérêt pour une "productivité agricole accrue". Cette décision nous sidère, autant qu'elle nous indigne.
Plus que jamais, Kokopelli a besoin du soutien moral de la population. Car il n'est pas admissible que les variétés anciennes, héritage de nos grands-parents, soient interdites de cité !
Nous en appelons également à notre gouvernement. La gauche, sous les précédents gouvernements de droite, nous a dit pouvoir compter sur son soutien à de nombreuses reprises. Il est temps maintenant qu'elle transforme ses promesses en actes (en commençant par retirer son mandat à Mme CLEMENT-NISSOU) !

Kokopelli, le 13 juillet 2012.


  • [1] La directive 2009/145 prévoit que les critères de distinction et de stabilité sont laissés à la discrétion des Etats membres et que, par contre, «pour l'évaluation de l'homogénéité, la directive 2003/91/CE s'applique» : art. 4 §2
  • [2] Le GNIS représente les semenciers professionnels en France et dit officiellement «défendre les intérêts de la filière semence» V. son site Internet

Ce que nous voulons, sur le plan législatif et réglementaire :

  • Le Catalogue officiel actuel est le pré-carré exclusif des variétés protégées par des droits de propriété intellectuelle, hybride F1 non reproductibles. Qu'il le reste.
  • Nous voulons que les semences anciennes et nouvelles appartenant au domaine public et librement reproductibles sortent du champ d'application de la législation sur le commerce des semences.
  • Il n'existe pas de catalogue officiel obligatoire pour les clous et les boulons. Il n'y a pas de raison de soumettre les semences à une procédure préalable de mise sur le marché, comme les pesticides ou les médicaments, pour les cataloguer dans un registre.
  • Des objectifs de qualité et de loyauté dans les échanges commerciaux peuvent être aisément atteints par un règlement de base fixant des critères minimums en termes de qualité sanitaire, faculté germinative, pureté variétale et pureté spécifique.

Que demande la société Graines Baumaux ?

Notre adversaire devant la Cour d'Appel de Nancy demande la condamnation de Kokopelli à lui payer 100.000 €uros de dommages-intérêts, ainsi que la cessation de toutes les activités de l'association. Pour information, au 30 juin 2011 la société Baumaux avait un chiffre d'affaire annuel de 14 millions d'€uros et un résultat net de 2 millions d'€uros.

Alors, qu'en pensez-vous, mes chers cinq lecteurs. Ont-ils le droit de faire cela. Je vous l'avais dit, les écuries d'Augias se trouvent à Bruxelles. Il faudra bien y aller un jour pour les nettoyer.
A bientôt.
René.

samedi 14 juillet 2012


Aujourd'hui, juste une opinion concernant un site d'information citoyen. Et, je suis assez d'accord sur cette opinion.
D'où le danger et l'attention qui doit être portée pour que ce type de site ne soit pas détourné en faveur d'opinion peu avouable.

(source : Voie Militante)


AgoraVox : un joujou Internet aux mains de l’extrême-droite et des identitaires !

Par      • 24 mai, 2011 • Catégorie(s): Médias  Médias    
Joël De Rosnay, fondateur d'AgoraVoxJ’ai beaucoup d’estime pour Carlo Revelli et Joël de Rosnay. Mais disons-le tout de suite : leur plate-forme d’expression citoyenne,AgoraVox, est en train de tournée en eau de boudin. Il est impossible qu’ils ignorent ce qui est en train de se passer.
Depuis quelques temps, les identitaires et les militants d’extrême-droite ont investi massivement la place, tant du point de vue de l’espace rédactionnel que des commentateurs. A longueur de billets et de commentaires, ils déversent leur bile. La théorie du complot, la dénonciation de l’oligarchie et de l’UMPS y occupent aujourd’hui l’essentiel de la ligne rédactionnelle d’AgoraVox. L’affaire DSK, dans ce contexte, est du pain béni.
Pour se rendre compte par vous-mêmes de l’activisme de ces militants d’extrême-droite, il suffit d’aller sur AgoraVox.tvaujourd’hui. Qu’y voit-on ? Marine Le Pen, Eric Zemmour, Alain Soral, André Bercoff, Jean-Marie Le Pen, des vidéos d’Olivier Todd, de Hervé Kempf ou d’Eva Joly utilisées pour donner corps au “tous pourris”. Pour faire court, ça chlingue.

D’où vient le problème ?

Le pourrissement d’AgoraVox, auquel nous assistons impuissants, est lié, de mon point de vue, au sentiment d’impunité réelle qui est celui des rédacteurs et des commentateurs. Sous leur véritable identité, jamais ces pleutres n’oseraient s’exprimer dans les termes qui sont les leurs aujourd’hui. Même si AgoraVox détient leurs adresses Ip, les réseaux Tor leur permettent aujourd’hui de surfer dans l’anonymat le plus complet.
Je trouve regrettable qu’au nom de la défense d’une liberté d’expression très hypothétique, du fait que ces rédacteurs et commentateurs sont en service commandé, on en vienne à la destruction d’un outil d’expression citoyenne merveilleux. C’est en tout cas ce qui en train de se produire avec AgoraVox quiest aujourd’hui instrumentalisé par quelques militants identitaires et d’extrême-droite.

Annexe : AgoraVox.tv, en ce 24 mai  2011


A bientôt, René.


vendredi 13 juillet 2012

(blog à finir et à corriger)

Bon, nous allons continuer un peu sur les histoires de pollution. Nous parlions de la Russie hier, mais, la Chine la vaut bien.
D'ailleurs, cela devrait nous interpeller en France ou les compagnies d'eau nous racontent que ceux qu'elles veulent bien nous faire entendre. Comme nous affirmer que leur eau est potable alors qu'elle peut être chargée en alumine et gravement calcaire. Evidemment, sans compter les divers polluants qui continuent à s'y inscrire.
Naturellement, leur analyse nous confirme "No Problémo", celle de laboratoires indépendant affirme souvent le contraire. Sauf que les pouvoirs publics font la sourde oreille.
En tout cas, en Chine, l'eau du robinet craint et les autorités font l'autruche.

(source : La Chine aujourd'hui en ligne)

À quand une eau du robinet potable en Chine ?

L’eau du robinet n’est potable dans aucune ville de Chine. Le gouvernement affiche sa volonté de régler ce problème rapidement. S’en donnera-t-il les moyens ? De notre partenaire Chine Plus.
Le 1er juillet 2012, 106 nouvelles normes sur la qualité de l’eau courante ont été rendues obligatoires sur l’ensemble du territoire chinois. À cette occasion, le Caixin Century, qui avait déjà publié un dossier spécial sur la qualité de l’eau du robinet au mois de mai, consacre un nouvel article à la question. Ces normes, équivalentes à celles qui ont cours dans l’Union européenne, ont pour objectif de rendre cette eau potable dans toutes les villes chinoises.
Quatre jours avant leur mise en place, le gouvernement a annoncé que « 83 % de l’eau traitée était conforme aux normes ». L’article s’étonne de « l’optimisme » de ces chiffres, soulignant que « jusqu’à aujourd’hui, aucune ville de grande taille ou de taille moyenne n’a fait savoir que son eau était propre à la consommation. » Même à Pékin, ville la plus avancée en la matière aux yeux des experts, la municipalité conseille encore à ses habitants de faire bouillir l’eau avant de la consommer – ce qui d’ailleurs ne permet pas d’élimer les traces de polluants comme les pesticides et les métaux lourds.
Un objectif « irréaliste »
D’après le Caixin Century, ces nouvelles normes constituent un objectif « irréaliste » étant donné la sévérité de la pollution des eaux et le coût élevé de leur traitement. Selon Caixin, les spécialistes s'accordent à reconnaitre que depuis la fin des années 90, les gouvernements locaux ont rarement investi de grosses sommes dans le domaine de l’eau de distribution. Des milliers de villes chinoises possèdent aujourd’hui des équipements dépassés. Selon un autre expert dont le nom n’est pas cité dans l’article, « la pollution, la vétusté des tuyauteries d’alimentation en eau et la question du recyclage des eaux usées » sont les trois grands facteurs qui nuisent à la qualité de l’eau. Il est peu probable, ajoute-t-il, que ces problèmes soient réglés dans un laps de temps court.(...)"

Voyons, maintenant la situation globale de la Chine.

(source : France Matin en ligne, Vendredi 13 Juillet 2012)

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Environnement

La Chine monte, la pollution aussi



De telles usine de ciment utilisent 45% d'énergie de plus que la moyenne mondiale. Les aciéries en utilisent elles-même 20% de plus.
De telles usine de ciment utilisent 45% d'énergie de plus que la moyenne mondiale. Les aciéries en utilisent elles-même 20% de plus.
Dans l’histoire, aucun pays n’a accédé au statut de puissance industrielle de premier rang sans éviter des dommages faits à son environnement qui prennent des dizaines d’années et un lourd tribut des richesses du pays pour leur remise en état.
Mais l’accession de la Chine à un tel statut se fait à une telle vitesse et à une telle échelle qu’il n’y a aucun précédent dans l’histoire, et donc, les problèmes de pollution engendrés ont explosé les précédents records.
La dégradation de l’environnement est désormais si grave et entraîne des répercussions tant nationales qu’internationales si totales que la pollution occasionne non seulement des charges à long terme sur la population mais également un défi politique aigu au Parti Communiste en place.
Et il n’est pas évident que la Chine puisse contrôler son propre poids économique.
La santé publique est à l’agonie. La pollution a fait du cancer la première cause de mortalité en Chine, selon le ministre chinois de la santé. La pollution de l’atmosphère à elle seule est la cause de miliers de morts chaque année. Presque 500 millions de personnes manquent d’eau potable.
Les villes chinoises semblent souvent drapées dans un voile d’un gris toxique. Seul 1% des 560 millions de citadins chinois respirent un air sain selon les standards de l’Union Européenne. Pékin recherche frénétiquement la formule magique, le "deus ex machina" climatologique qui nettoiera son ciel avant les jeux olympiques de 2008, allant jusqu’à interdire la circulation automobile un jour sur deux à la moitié des véhicules, sparadrap sur plaies profondes.
Les déboires environnementaux qui seraient considérés comme catastrophiques dans certains pays semblent monnaie courante dans les villes industrielles chinoises où les habitants voient rarement le soleil, les enfants sont tués ou rendus malades par l’empoisonnement au plomb ou d’autres types de pollution. La côte maritime est tellement envahie par les marées d’algues rouges que de larges parts de l’océan n’autorisent même plus la vie sous-marine.
La Chine est victime de son propre succès. L’économie est lancée dans une course historique, avec des coefficients de croissance à deux chiffres. Mais cette croissance dérive, maintenant plus que jamais auparavant, par suite d’une délirante expansion de l’industrie lourde et de l’urbanisation qui nécessite des consommations d’énergie colossales. Et cette énergie est tirée presque exclusivement du charbon, la source d’énergie la plus facile d’accès, mais aussi la plus polluante.
"La situation est très délicate pour le pays car nos plus grandes réussites sont en même temps nos plus gros problèmes", dit Wang Jinnan, l’un des meilleurs chercheurs chinois en environnement, ajoutant : "Il y a urgence à changer nos orientations, mais beaucoup refusent d’admettre que nous devons avoir une nouvelle approche si tôt".
Le problème de la Chine est devenu le problème du monde. Le dioxyde de souffre et les oxydes de nitrogènes crachés par les centrales électriques au charbon de la Chine retombent sous forme de pluies acides sur Seoul et Tokyo. Une partie de la pollution sur Los Angeles à ses origines en Chine, selon le ‘Journal de Recherche Géophysique’. (...)"






cc

jeudi 12 juillet 2012

Salut à ceux, comme moi, qui croient qu'il nous reste une chance...de survivre.

Je vous présente mes plus humbles excuses, mes chers cinq lecteurs pour ces deux jours d'absence. Mais, je pleurais des larmes de crocodile sur la situation de l'environnement de la Russie. Pays et peuple sacrifiés au nom d'un développement industriel "anarchique".
Ce qui est, vous le noterez, un peu paradoxal pour une ancienne puissance "communiste".

(source : Revue regard sur l'est en ligne

 Russie: l'environnement encore à la merci de l'économie
Dossier : "Ecologie à l'Est"

Par Philippe CONDE*
Le 15/01/2009


«Pour vivre plus longtemps, respirez moins.»[1]
Lors de l’effondrement de l’Union soviétique en 1991, la Russie a hérité d’une situation environnementale catastrophique. Des études scientifiques menées depuis les années 1990 ont montré qu’environ 100 millions de Russes, vivant dans 200 grandes villes (de plus de 100.000 habitants), respirent un air dont le niveau de pollution excède les normes de qualité nationales.






Plus de 90 villes présentent une concentration annuelle de dioxyde d’azote supérieure aux normes fixées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Les régions les plus polluées sont les villes de Moscou, Tcheliabinsk dans l’Oural, Norilsk, siège du premier producteur mondial de nickel en Sibérie septentrionale et la région de Kemerovo en Sibérie méridionale. En outre, les trois quarts des lacs et des fleuves ont une eau impropre à la consommation, car les systèmes de traitement des eaux usées sont défectueux ou inexistants. Mais le danger le plus médiatisé demeure la contamination radioactive causée par les sous-marins soviétiques à propulsion nucléaire, en attente de démantèlement, dans les flottes du Nord et du Pacifique[2]. Selon des ONG scandinaves, la flotte du Nord et les chantiers navals des régions d’Arkhangelsk et de Mourmansk continueraient de produire annuellement quelques 5.000 tonnes de déchets nucléaires lourds.
Selon les experts russes de l’environnement, la dégradation écologique occasionnerait une perte économique annuelle équivalente à 10% du PIB, contre 1% à 2% dans les pays développés.

Et, soyez sûr, mes cinq chers lecteurs que depuis 2009, la situation ne s'est pas améliorée, je dirais qu'elle s'aggrave inéluctablement.
Par contre, au Kazakhstan, le gouvernement s'est efforcé de réparer les dégâts causé pendant l'ère soviétique, notamment, concernant la mer d'Aral.


(source : arte)


Le retour de la Mer d’Aral : à quel prix ?
De Vincent Prado, Aurel Ziegler et Mathieu Lere
ARTE GEIE / Ligne de Mire Productions – France 2007
Voir la Galerie Photos
Lire le Carnet de route


De novembre à fin mars, les rives kazakhs de la petite mer d'Aral – autrefois le quatrième plus grand lac salé au monde - revêtent un décor encore impensable il y a peu : des camps de pêcheurs s'installent, et ce sont des villages entiers qui se réorganisent. Cette mer, que l'on pensait perdue, n'a pas fini d'écrire son histoire.
Condamnée par des années d'irrigation intensive des champs de coton et de riz imposée du temps des Soviétiques, asséchée jusqu'à n'être plus qu'un désert balayé par les tempêtes de sable et de sel, la mer d'Aral pourrait bien revivre au nord.
Les premiers signes sont là et même si la mer s'est retirée à plusieurs dizaines de kilomètres des côtes du Kazakhstan, les pêcheurs peuvent de nouveau la rejoindre, chargeant à la lueur blafarde de l'aube, leurs lourds équipements de pêche dans des camions, prenant congé de leur famille pour quelques mois, le temps d'accomplir une campagne de pêche encore impensable il y a dix ans. Cabanes en taules, yourtes en terre, remorques... On se déplaçait jadis à dos de chameau, on chevauche aujourd'hui son side-car.
L'eau est de retour dans les ports abandonnés depuis longtemps et les bateaux hâtivement exhumés de leurs cimetières sont remis à flot. Et ce, grâce à la mise en service l'été dernier d'un barrage qui a permis à la mer de regagner plusieurs millions de mètres cubes d'eau sur ses rivages nord. Ce retour de la pêche, véritable boum économique dans la région d'Aral, a été initié par le gouvernement Kazakh (et financé en partie par la Banque Mondiale). Car ce pays, cinq fois plus grand que la France pour seulement 15 millions d'habitants, était arrivé en 1991 à l'indépendance avec une collection unique de blessures environnementales : l'assèchement rapide de la mer d'Aral en était le symbole le plus frappant. Ce reportage montre que l'ensemble de la région avait été aussi pour les Soviétiques une zone d'expérimentation nucléaire et bactériologique…
Le retour de la pêche, symbole de la renaissance économique de la région d'Aral, cacherait-il un scandale ? Les poissons de cette mer sont-ils contaminés ? L'Etat, dirigé d'une main de fer par son Président, Noursoultan Nazarbaïev, a-t-il anticipé les risques ? Des tests toxicologiques sont-ils effectués ? Pourquoi les enfants d'Aral, victimes de malformations ou de pathologies rénales, sont-ils en surnombre ?
C'est à ces questions que ce reportage tente de répondre. Car en réalité, une catastrophe sanitaire pourrait déjà être en marche.

Eh, oui, mon dieu, heureusement qu'au final la chute de l'Union Soviétique a servi à quelque chose. Sauf, pour la Russie. Donc, en fait, le problème, c'est les russse.
En attendant, ils ne font pas grand chose pour préserver leur environnement.

(source : la Documentation Française en ligne)

(...) Cimetières de sous-marins nucléaires en Russie

L’Union soviétique avait construit au total 247 sous-marins nucléaires et cinq navires de guerre à propulsion nucléaire. Les deux tiers étaient affectés à la Flotte du Nord, devenue ainsi du temps de l’Union soviétique la plus grosse flotte nucléaire du monde, et un tiers à la Flotte du Pacifique.
192 sous-marins ont été désarmés (dont 116 pour la Flotte du Nord et 76 pour la Flotte du Pacifique), mais seulement 91 d’entre eux ont été démantelés (c’est à dire notamment délestés de leur moteur, et parfois de leur combustible nucléaire).
Les autres, soit 71 unités, attendent leur démantèlement, conservant à bord propulseurs et résidus de combustible nucléaires (chiffres 2004). Ils contiendraient 30 fois la quantité de combustible nucléaire du réacteur n°4 de la centrale de Tchernobyl lorsqu’il a explosé en 1986. (...)

On ne peut pas dire que le gouvernement russe soit très respectueux de l'environnement et les derniers incendies nous éclairent sur l'art et la manière dont il gère le secteur du nucléaire.

(source :

Incendies en Russie : les risques nucléaires minimisés ?

Les incendies de forêts, qui sévissent depuis fin juillet en Russie, ont diminué d'intensité. Les autorités excluent tout risque de contamination radioactive alors que les parties prenantes dénoncent une rétention de l'information.
La canicule semble désormais toucher à sa fin en Russie faisant place aux orages. Des pluies qui s'avèrent être les bienvenues pour lutter contre les flammes qui ont fait à ce jour une cinquantaine de morts, d'après les autorités. Près d'un million d'hectares de forêts et tourbières ont été brûlés dans le pays depuis le début des incendies fin juillet. Des incendies qui, selon l'AFP, faisaient encore rage lundi 16 août, sur plus de 45.000 hectares notamment près de plusieurs sites nucléaires faisant redouter un risque d'accident. Des fumées toxiques planaient à nouveau dimanche dans la capitale russe avec pour conséquence un pic des concentrations en monoxyde de carbone, avant d'être dispersées hier par les vents.

Si les conditions climatiques sont en cause en Russie, de plus en plus de voix s'élèvent pour dire que les incendies sont dues à une mauvaise gestion des forêts. Le ministère des Situations d'urgence a annoncé ce 17 août que la surface des incendies a diminué ces dernières vingt-quatre heures passant de 45.800 à 22.700 hectares. Dans la région de Moscou, les feux ne s'étendraient plus que sur 33 hectares.


(source : Actu environnement en ligne)

"Une réelle menace ?

Les autorités ont aussi annoncé qu'elles réussissaient à venir à bout de l'incendie menaçant le centre nucléaire de Sarov, à 500 km à l'est de Moscou. L'un des responsables du ministère des Situations d'urgence, Igor Panchine, a réitéré toute absence de menaces pour le périmètre entourant le centre nucléaire et que ''la situation s'est stabilisée''. Les autorités russes démentent tout risque sanitaire liée à une pollution atmosphérique due aux particules radioactives générées par la combustion du bois. Dispersées par les vents, ces particules pourraient être inhalées par les populations. Les autorités ont aussi réaffirmé que le niveau de radiation dans le pays était ''normal''. De même qu'il ''n'y a pas de menace radioactive sur le territoire de Sarov'', a assuré Sergueï Kirienko, le président du géant nucléaire russe Rosatom. Ce dernier a néanmoins reconnu que les matériaux sensibles avaient dû être évacués par deux fois du centre ces derniers jours.

Les autorités ont assuré que la situation était sous contrôle alors que les soupçons de censure enflent autour d'un risque nucléaire. D'autant que le site Internet de l'agence de surveillance des forêts, Roslesozachtchita, qui avait révélé que 4.000 hectares au total de territoires contaminés par des éléments radioactifs avaient brûlé en libérant des particules radioactives, est depuis vendredi inaccessible.

Si le danger semble notamment écarté, selon les autorités, autour du centre nucléaire de Sarov, dans la seule région de Byansk - particulièrement touchée par l'explosion de Tchernobyl en 1986 - pas moins de trois foyers d'incendie avaient été détectés, a observé l'organisation environnementale Greenpeace Russie. 270 hectares auraient brûlé dans la région de Briank, d'après l'agence de protection des forêts.
La situation resterait également préoccupante autour du centre de retraitement et de stockage de déchets nucléaires de Mayak. Le 13 août, l'organisation écologiste Réseau Sortir du nucléaire a alerté dans un communiqué ''d'un nouveau risque de contamination radioactive, lié à la sévère baisse des eaux dans la région contaminée de Mayak, touchée par la sécheresse et les incendies''. Pour Natalia Mironova, présidente de l'ONG russe Mouvement pour la Sûreté Nucléaire : ''Contre toute raison et au mépris des conséquences, les installations nucléaires de notre région continuent de déverser des déchets radioactifs dans des rivières et des lacs. Le centre d'assemblage de têtes nucléaires de Trekhgorny déverse ses déchets dans la rivière Yuryuzan. Le centre nucléaire de Snejinsk constitue une menace pour les lacs de Kasli. Quant au complexe de Mayak, il utilise quatre lacs comme site de stockage de déchets radioactifs à l'air libre : les lacs Karatchaï, Staroye Boloto, Kyzyltash et Tatysh ; il utilise également quatre des réservoirs de la cascade de Techenskom. Dans les chenaux qui bordent la cascade, comme dans les marais d'Asanovskie, les fuites sont potentiellement dangereuses, en particulier si le niveau de la nappe phréatique baisse''

Pas très jojo, tout cela, n'est-ce pas mes cinq chers lecteurs.
Je vous laisse y réfléchir.
René.

lundi 9 juillet 2012

Salut à ceux qui ne veulent pas de l'Europe qu'ils ont construit avec sarko. Descendez dans la rue et manifestez. Les révolutions arabes vous ont prouvé que vous n'avez pas besoin des partis politiques pour le faire. Les socialistes ne veulent pas de référendum, il faut les obliger à en passer par là !

En fait, si, vous prenez toutes les interventions chinoises tout autour de la planète, on peut penser qu'il y a plus qu'une stratégie derrière.
Bon, que la Chine assure ses approvisionnements en pétrole, minéraux, produits agricoles pour nourir sa population et assurer son développement industriel, mais, la question étant qu'il se pourrait qu'il y ait autre chose derrière. Un autre chose qui pourrait d'ailleurs être un obstacle pour la domination des places financières et des multinationales occidentales.
Un truc, qui en proposant une autre aide, intéréssée, néanmoins, mais, moins prédatrice pourrait donner à penser qu'il existe une autre voie que se soumettre au "modèle occidentale d'exploitation à outrance des richesses des pays".
En quelque sorte, la Chine devient le chevalier blanc qui vient à l'aide des pays pauvres en proie à la cupidité de l'occident qui lui vend la démocratie pour mieux les exploiter.
Et, là, à mon avis, la Chine est sûre de gagner.

(source : Jeune Afrique en ligne)
08/07/2012 à 12h:09 Par AFP
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Des immeubles construits avec l'aide de la Chine, près de Luanda en Angola, le 13 mai 2011. Des immeubles construits avec l'aide de la Chine, près de Luanda en Angola, le 13 mai 2011. © AFP
Le gouvernement angolais et la banque chinoise Eximbank ont signé 17 accords d'une valeur de 500 millions de dollars, somme qui servira au lancement de plusieurs projets socio-économiques dans les 8 provinces du pays, a-t-on appris samedi auprès du ministère angolais de finances.
Le gouvernement angolais et la banque chinoise Eximbank ont signé 17 accords d'une valeur de 500 millions de dollars, somme qui servira au lancement de plusieurs projets socio-économiques dans les 8 provinces du pays, a-t-on appris samedi auprès du ministère angolais de finances. La banque chinoise va financer ces projets à hauteur de 458 millions de dollars et le gouvernement angolais déboursera 54,7 millions, selon la même source.
Selon le ministre angolais de Finances, Carlos Alberto Lopes, joint samedi au téléphone par l'AFP, "ces accords avec la banque chinoise seront appliqués aux projets à la fois économiques et sociaux, notamment dans la construction de stations de captation d'eau potable, de systèmes d'irrigation d'eau résiduelle et pluviale, de petites centrales de fourniture d'énergie, de routes ainsi que d'hôpitaux dans les provinces de Bengo, Zaire, les deux Lunda, Kwanzas Norte, Malanje, Moxico et Kuando Kubango".
Pour le vice-président de la banque chinoise Eximbank, Liu Chien Chun, "la signature de ces accords avec le gouvernement angolais traduit bien l'intérêt de la Chine à accompagner l'Angola dans sa reconstruction et le développement économique grâce à la stabilité politique et économique que l'Angola connaît depuis la fin de la guerre civile', a-t-il affirmé à l'AFP.
L'Angola entretient de relations économiques étroites avec la Chine depuis le rétablissement de la paix en avril 2002. Il est le premier fournisseur en pétrole de la Chine. La Chine a accordé au gouvernement de M. Dos Santos une ligne de crédit de plusieurs milliards de dollars pour la reconstruction des infrastructures détruites pendant la longue période de guerre civile

Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Angola : la Chine va financer pour 500 millions de dollars de projets socio-économiques | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique

Eh, oui, mes chers cinq lecteurs, ne vaut-il pas se trouver un maître moins exigeant que ne le sont les pays occidentaux qui n'apportent au nom de la liberté que destruction et que misère.

Le fait de mettre en concurrence ces deux entités, la Chine et les maîtres occidentaux ne permettra-t-il pas aux pays pauvres de mieux négocier selon leur intérêts et distribuer au delà des prébendes que prennent leurs dirigeants un tout petit peu plus vers le peuple.

Si, la Russie s'y mettait, malgré qu'elle n'ait pas besoin de matières premières corrigerait encore plus la donne.
Qu'en pensez-vous, mes chers cinq lecteurs, en tout cas, réfléchissez-y.
A bientôt.
René.