Salut, aux honnêtes gens. Vous êtes aussi concernées par cette classe politique qui sent bon la fange de la corruption !
Ainsi, donc, au PS, les jeux ne sont pas encore fait.
Eh, bien, moi, je dis que "SI !"
Pourquoi, mes quatre chers lecteurs ?
Simplement, parce que si Valls s'est précipité chez Hollande, c'est que ce cher Hollande satisfera sa tendance droitière, pour ne pas dire libérale, tendance UMP, sans que cela soit de la droite populaire.
C'est dire.
Par conséquent, Arnaud Montebourg trahirait ses sympathisants, s'il se ralliait à lui. Sans doute, fait-il monter les enchères auprès d'Aubry comme les écolos vis-à-vis des socialistes, et, il a raison.
En ce qui concerne Ségolène Royale, elle n'a rien de commun avec Hollande.
Ceci est clair.
Si, elle arrive à avaler la couleuvre de l'élection au secrétariat du parti qui a donné lieu à une élection truquée en faveur d'Aubry, c'est avec Aubry qu'elle établira le meilleur partenariat.
Normalement, Hollande perd ce deuxième tour.
Voilà, qui est réglé en ce qui concerne le parti socialiste.
D'ailleurs, je ne reviendrais plus sur ce sujet avant lundi prochain.
Par contre, si, le fameux barrage brésilien qui doit détruire une partie de la forêt amazonienne, est l'occasion de protestation internationale. Celui, qui doit s'ériger en Ethiopie au profit de multinationales étrangères et moins pour le peuple éthiopien ne rencontre que peu d'écho.
Evidemment, nous connaissons tous la brutalité du gouvernement éthiopien qui vaut bien une dictature arabe. Eh, il a commencé une répression tout azimut contre les populations locales concernées.
Et, qui va payer ?
Pas l'Ethiopie, elle n'a pas de fric.
Bien, sûr, les finançeurs internationaux.
Pour quel résultat au final ?
Une future catastrophe écologique !
(source : Survival International)
"Le gouvernement éthiopien réprime les opposants au barrage 6 Octobre
Survival International a reçu des rapports selon lesquels une centaine de membres de tribus éthiopiennes ont été arrêtés et incarcérés pour s’être opposés au barrage Gibe III.
Tandis que le projet du barrage et de plantation des terres irriguées voisines commence à se concrétiser, une répression implacable s’abat sur tout mouvement d’opposition.
Des membres d’une communauté indigène ont rapporté avoir entendu d’un policier que le gouvernement était ‘comme un bulldozer, et quiconque s’opposerait à ses projets de développement serait écrasé par lui’.
L’Ethiopie a cédé de grandes étendues de terres tribales du sud de la vallée de l’Omo à des compagnies étrangères et nationales pour y cultiver la canne à sucre destinée à la production d’agrocarburants. Ces plantations seront alimentées par les eaux du barrage.
Les communautés indigènes installées sur les terres affectées au développement sont assiégées et intimidées par les forces de sécurité.
Le climat de terreur alimenté par la police secrète et l’armée s’accroît dans la région".
Et, une autre nouvelle issue de la même source, sur l'art et la manière qu'ont les salauds à respecter la loi. Et, d'ailleurs, il faut lutter en France pour qu'ils ne puissent pas continuer à le faire, et, que nous devenions pas tous des bretons. C'est-à-dire, des natifs qui voient leur environnement détruit par une minorité d'entre-eux, ayant l'oreille des autorités.
"Le gouvernement paraguayen pris en otage par des éleveurs 23 Août 2011
Des éleveurs brésiliens exercent un chantage sur le gouvernement paraguayen pour exploiter le territoire d’un groupe d’Indiens isolés.
"L’an dernier, les Indiens ayoreo avaient obtenu le titre officiel de propriété de leur territoire occupé par des éleveurs mais ceux-ci refusent de le leur restituer tant que les autorités ne les auront pas autorisés à défricher une vaste région adjacente qu’ils possèdent.
Les deux compagnies d’élevage impliquées, BBC SA et River Plate SA, ont été prises en flagrant délit de déforestation illégale à deux reprises depuis le début de l’année.
Les éleveurs ont été poursuivis en juin dernier après la diffusion par Survival International d’images satellite révélant la destruction de 4 000 hectares de forêt."
Eh, oui, mes quatre chers lecteurs, on pense, "Oui, mais, c'est loin de chez nous !"
Sauf que, sauf que, la même se passe chez nous !"
Et, pour finir, je vous livre ce témoignage d'une infirmière présenté dans le gratuit, Pause Santé, n°16.
"Je suis infirmière dans un service de médecine interne. Nous accueillons 21 patients qui viennent à 95% des urgences. Sur le plan médical, ils ont besoin d'une surveillance étroite et efficace de la part des infirmier et des aides soignants. Nous ne sommes que 6 infirmiers à assurer un roulement sur 4 semaines, week-end et jours fériés compris.
Samedi dernier, il n'y avait personne pour prendre la relève de la seule infirmière du soir. (...) Les personnes qui démissionnent ou s'en vont ne sont pas remplacées. Je dors très mal et, pour être honnête, je pense à mon boulot constamment.
J'ai peur que le stress ne me fasse oublier un soin, que la pression m'empêche de prendre le temps de m'occuper d'un patient déprimé, que la fatigue me conduise à administrer un produit au mauvais patient.
J'ai peur que ce métier que j'aime ne me transforme en assassin, involontairement, parce qu'on aura laissé la situation se dégrader."
Alors, je crie tout haut, là haut, "Merci, sarko !"
A bientôt.
René.
PS :
"Les Grecs songent de plus en plus à émigrer en Australie
le 10/10/2011 à 05:00
Vassilis Géorgantas, né à Melbourne voici 39 ans, et qui a passé presque toute sa vie en Grèce, pourrait bien repartir en Australie. Photo AFP/Angelos Tzortzinis
Vassilis Géorgantas, né à Melbourne voici 39 ans, et qui a passé presque toute sa vie en Grèce, pourrait bien repartir en Australie. Photo AFP/Angelos Tzortzinis
« La compétence dont l’Australie a besoin : choisissez emploi, mode de vie, et opportunités »… L’affiche géante du ministère de l’Immigration australien se dresse devant une salle de conférence de l’hôtel Hilton, en plein centre d’Athènes.
« J’ai cherché sur internet, j’ai rempli le formulaire et on m’a envoyé une invitation. Malheureusement je ne vois aucune perspective en Grèce », dit Panayotis, 30 ans, mécanicien automobile, carton d’invitation en main.
Comme plusieurs centaines de Grecs venus de tout le pays, ingénieurs, médecins ou plombiers, Panayotis est venu s’informer des possibilités d’émigrer en Australie pour recommencer une vie et échapper à la crise qui plombe son pays."
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire