jeudi 26 novembre 2009

Salut aux mères de famille célibataires. Avec la prime à l'emploi qui stagne, le gouvernement ne vous a pas donné un coup de pouce.

En attendant, l'ambiance ne semble pas se réchauffer entre l'Algérie et l'Egypte d'après le témoignage d'un journaliste d'El Watan de ce jour. Tout à coup, il semble s'apercevoir que le Caire est une ville où la misère coexiste avec l'opulence, comme Alger en somme, mais, pas d'une façon aussi insolente.

"Je sais désormais à quoi m’en tenir sur les cinéastes égyptiens, les journalistes et le festival du Caire. Je suis tombé sur des gens effrayants, tendance soumission aveugle au pouvoir de Moubarak, qui ressemble de plus en plus à Mussolini envoyant ses « chemises noires » contre l’ambassade d’Algérie. Qu’ils aillent tous au diable ! Le Caire, c’était l’enfer. Soudain, j’ai vu l’autre visage de la ville, des ruines partout, des trottoirs défoncés, des rues noires de saleté, des mendiants et des mouches.

Et j’ai vu l’immense souffrance, la détresse de ces Cairotes non pas à cause de leur noire misère mais parce qu’ils ont perdu un match de football contre l’Algérie. Même les gens humbles, crasseux, qui semblent être la majorité des habitants, se sont mis à crier vengeance contre l’Algérie".

Ben, dis donc, c'est pas le fol amour. Mais, où est donc l'unité arabe ?
Et, toute cette hystérie pour un ballon rond.
Heureusement qu'en Europe, l'Irlande est plus fair play. Autrement, cela aurait pu dégénérer grave à la suite de la main de Thierry Henry.
On aurait pu finir par s'envoyer des scuds au nom du nationalisme.
Par contre le Medef, le patronat français, lui a l'intention d'investir 5 milliards d'euros en Algérie. Finalement, ils ne sont pas si fauchés que ça.
Et, notre président national a raison, les économies qu'ils réalisent avec le paquet fiscal va être réinvesti dans l'économie.

"5 Milliards de dollars d’investissements futurs
Le vice président directeur général du Medef (patronat français), M. Thierry Courtaigne, a annoncé lundi à Alger que "les entreprises françaises viennent en Algérie avec de nouveaux investissements de l’ordre de cinq (5) milliards de dollars dans les années à venir, dont la moitié pour des projets énergétiques".

Cette annonce a été faite au cours d’une rencontre entre des opérateurs algériens menés par le FCE et une délégation du MEDEF, qui s’est tenue à l’hotel Sofitel à Alger.

De son coté le président d’honneur de Medef , M. François Périgot, a déclaré que les entreprises françaises ’’s’inscrivent dans le long terme sur le marché algérien’’.

A l’ouverture de cette rencontre organisée par le Forum des chefs d’entreprises (FCE) autour du thème "renforcer le partenariat algéro-francais", M. Périgot a souligné "l’amitié et la confiance" qui lient les entreprises algériennes et françaises en souhaitant traduire "cette volonté de confiance des entrepreneurs français en le marché algérien’’.

"La délégation française (70 entreprises) est venue comprendre, coopérer et connaître ce marché où 420 filiales françaises sont présentes générant pas moins de 35.000 emplois directs et 100.000 indirects", a-t-il ajouté.

Considérant que ’’la France participe dans la production, la formation et le transfert de technologie", le président d’honneur du patronat français a estimé que "les entreprises françaises n’ont pas à rougir de ce qu’elles font en Algérie". ,

Par El Watan avec APS"

Eh, oui, le gouvernement français avait finalement raison, les économies d'impôts réalisés par les grosses pointures en France serve effectivement à l'investissement.

Et, je vais vous laisser, car je dois aller voir mon docteur. Je suis malade et c'est en attendant mon rendez-vous que j'ai pénétré dans un cyber café pour ne pas vous abandonner aujourd'hui.
C'est pour ça que la verve est inscrite aux abonnés absents.
A bîentôt.
René.

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