Messieurs, chapeau bas, la spéculation a repris et en fait ne s'est jamais arrêté !
Alors, il paraît qu'au Etats Unis, les banques aidés par l'Etat ne peuvent plus spéculer sur le marché financier et doivent se contenter de gérer en bons pères de familles les comptes courants. D'où leur plainte qui s'élèvent au ciel, elles sont en train de perdre un paquet de biffetons que les autres aigres fins se mettent dans les poches.
Oh, quel malheur mes aïeux !
Je pleure pour eux, méchant Obama !
Tout ça, c'est de sa faute et même la crise financière sans compter la crise économique en passant par la crise alimentaire.
C'est vrai quoi, est-ce que tous ces braves financiers qui auraient dû être virés ne doivent qu'à cet homme de ne plus pouvoir faire du fric sur le dos des autres.
A mon avis, il n'y a qu'aux pingouins qu'ils n'ont pas accordé d'emprunt à taux variable.
Mais, est-ce une raison pour le traiter de communiste et de stigmatiser le new deal à venir de programme socialiste.
Ils sont bien contents de pomper le fric de l'état en attendant.
Sauf qu'il n'y a pas qu'au Etats-Unis qu'il y a des requins, il y en a même en Nouvelle Calédonie.
Article des Nouvelles Calédoniennes de ce jour.
"Drame de Bourail : c'était un grand requin blanc
L’hypothèse des spécialistes qui ont examiné le corps du surfeur victime d’une attaque mortelle de requin, vendredi dernier à Bourail, a été remise en cause par de nouveaux éléments. Pour Philippe Tirard, de l’IRD, il s’agit d’un grand requin blanc, mesurant au minimum quatre mètres.
Les Nouvelles calédoniennes : Comment avez-vous finalement acquis la certitude qu’il s’agissait d’un grand blanc ?
Philippe Tirard : Trois espèces pouvaient correspondre à l’attaque : le tigre, le grand blanc et le bouledogue. L’examen des morsures a exclu l’hypothèse du tigre. Restaient les deux autres espèces. Il faut bien admettre que nous avons passé notre temps à occulter le grand blanc parce que celui-ci fraye habituellement en eaux froides (17 °C) et, qu’en Calédonie, il semble plutôt observé en hiver. On a donc penché pour un bouledogue, même si des doutes subsistaient. Ces derniers ont été complètement levés avec l’examen du short de la victime. On a pu déduire qu’il s’agissait d’un individu d’au moins quatre mètres, ce qui correspond à un poids d’environ une tonne, même si tout cela reste à affiner. Enfin, ce qui reste invariable, c’est qu’il s’agissait bel et bien d’une attaque de type alimentaire, comme le prouve la multiplicité des morsures.
Comment expliquer sa présence si près des côtes ?
Cela reste bien sûr une hypothèse, mais les récentes fortes pluies qui ont gonflé la Néra (la rivière qui se jette au niveau du spot de l’attaque) ont pu charrier des cadavres d’animaux. On peut dès lors aisément imaginer que le grand blanc, qui est un prédateur mais aussi un charognard, ait pu être attiré dans le secteur. Par ailleurs, ce qui est troublant lors de l’attaque, c’est que le requin a sauté hors de l’eau pour attraper directement la victime. Or, lorsque le requin confond le surfeur avec une tortue, il s’attaque généralement à la planche. Ce qui n’était pas le cas, puisque la planche est intacte. Il n’est donc pas impossible d’imaginer qu’il ait déjà vécu une telle situation avant l’attaque de vendredi dernier. Mais là encore, ce n’est qu’une hypothèse.
Cette attaque constitue-t-elle une nouveauté dans l’observation des cas recensés en Nouvelle-Calédonie ?
C’est vrai que la majorité des attaques constatées sont le fait de requins tigres : cette espèce a été formellement identifiée dans dix cas (trois de ces attaques se sont avérées mortelles) sur 39 cas recensés. En même temps, le grand blanc est de plus en plus observé, et cela toute l’année. On ne peut donc pas établir de comportement type. Reste qu’il conviendrait de ne pas retourner sur le site de l’attaque pendant un moment, en tout cas à bord d’une simple plate. Il faut aussi préciser que c’est une espèce protégée par la convention de Washington. Dernier conseil aux surfeurs ou aux usagers du lagon en général : il n’est pas inutile d’emporter à bord des bateaux des garrots. Car les premiers soins sont toujours les plus précieux.
Pierrick Chatel"
Et, voilà, les dents de la mer ressurgissent. Elles nous croquent. Les dents de la finance, elles nous ont déjà croqués et elles nous laissent que la peau sur les os.
Et, voilà, c'est tout pour aujourd'hui. A part que je remarque que le congrès américain reconnaît que le Tibet appartient à la Chine. Ça, c'est une grande nouvelle car nous n'étions pas au courant.
A bientôt.
René.
PS : Si Sarko est gaulliste, moi, je suis le pape !
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