Bonjour la foule trop immense de mes lecteurs. Y'a pas à dire, nous vivons des moments exceptionnels.
D'abord, un grand salut au peuple guadeloupéen qui a su se mobiliser pour une vie meilleure.
En fait, quelle est la signification de cette mobilisation ?
Simple, c'est que des salariés soudés avec la population peuvent défendre leurs intérêts contre une classe de possédant qui n'en a rien à faire de la misère par elle subie.
Unis, nous pouvons donc faire reculer les intérêts égoïstes de ceux qui nous ponctionnent notre pouvoir d'achat.
Il n'y a donc pas d'inéductabilité à l'oppression que nous font subir les grandes maisons de distributions. Car, pour nous en France, le pouvoir d'achat continue à diminuer.
Un exemple bête et méchant. A monoprix, une boite de léssive en berlingot a prit 35 centimes d'euros en un mois. Expliquez-moi pourquoi ?
Pourtant, les enquêtes diverses colportées par les médias nous annoncent des baisses de prix dans les grandes surfaces.
Qu'en est-il rééllement ?
Finalement, les prix sont plus attractifs dans les marchés de quartier. D'évidence, les Carrefour, les Leclercs, les Auchans continuent à s'entendre pour ne pas se faire concurrence.
Il faut donc éviter de s'y rendre s'orienter vers les magasins discount. Tout en sachant que les produits frais n'ont rien d'écologique et sont saturés de produits phytosanitaires.
Mais, vu que nous ne pouvons pas faire autrement !!!
Et, d'ailleurs, il faut peut-être faire attention aux produits dits écolo. Car la dernière fois que je me suis rendu à un Franprix, il y a avait un espace bio face à l'étale fruit et légumes. Les mandarines dites bio étaient exactement les mêmes que celles non bio, même texture de peau, même manque de souplesse du fruit.
Là, je me suis dit, le gérant me prend pour une truffe et j'ai passé mon chemin.
Tout ça me fait penser que le gérant doit sortir du chiffre d'affaire qui répercuté au niveau national se transformera en dividende pour les actionnaires.
C'est pour cela que je persiste à dire que dans les bilans, il faut ajouter un ratio de rentabilité sociale chiffrable et mesurable qui donnerait accès aux entreprises aux aides gouvernementales. Si, la rentabilité sociale de l'entreprise n'est pas assurée et là il faut le définir, aucune aide ne devrait être accordée.
Mis à part, le gouvernement devrait suivre l'exemple du général De Gaulle qui à son époque avait bloqué le montant des loyers.
Enfin que diable, notre gouvernement n'est-il pas là pour nous protéger ?
Et, à part ça, je salue le volontarisme de madame Clinton concernant la Palestine. Mais, gageons que le nouveau gouvernement israéliens lui mettra des bâtons dans les roues.
Et, sur ces bonnes paroles et que je ne suis pas trop en forme, je vous salue benoîtement.
René.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire