vendredi 5 septembre 2008

"Entre les quatre mers, tous les hommes sont frères". Proverbe vietnamien.

Salut à tous ces jours merveilleux, de toutes ces couleurs mordorées de l'automne.

Ainsi, comme l'a souligné un article du monde du 3 septembre, le monde agricole est pourri au point que des salopards ont tué les chèvres d'un étranger qui désire s'installer comme exploitant agricole en Auvergne.
Le futur exploitant s'appelle Jean-Hugues Bourgeois, le village où se dissimule un ou des salopards s'appelle Teilhet dans le Puy-de-Dôme.
Déjà que les agriculteurs nous empoisonnent avec les saloperies qu'ils déversent sur les semences et sur les pousses sans compter qu'ils nous vendent des produits sans aucun goût, maintenant, ils se la jouent à règlement de compte à OK corral.
Mais, nom de dieu, faîtes quelque chose, messieurs les gendarmes ! Dans un pays où tout se sait, certainement des gros cons ont dû émettre des menaces à l'arrivée du bourgeois.
Alors, faîtes votre boulot !
Et, messieurs les élus locaux, arrêtez de protéger les gros cons, à moins que vous n'en fassiez parti. Ce dont je doute tellement un élu doit être imprégné de la représentation de ce qui est le plus juste dans nos valeurs républicaines.
Bon, voilà pour le coup de gueule concernant les gros cons.
A part ça, je voulais vous dire que désormais, j'allais militer pour la disparition de l'espèce humaine vu la connerie ambiante. Il me semble que c'est le seul moyen intelligent de préserver les autres espèces vivantes de cette planète.
Alors, je fonde le parti des gros cons qui appellent à la disparition de l'espèce humaine.
Rejoignez-moi !
Mais, rejoignez-moi avec des tunes parce que moi, j'en ai pas et que comme je serais le président du mouvement, il va me falloir des sous pour mes frais de représentativité.
Car, mes chers amis, je compte bien aller jusqu'à Tahiti pour propagander cette merveilleuse idée.
Alors, mes chers amis, je vous laisse afin que cette réflexion hautement métempsychosique vous imprègne les neurones.
Et,sur ce, je vous salue bien et je vous souhaite le bonjour chez vous.
René.

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