Salut, mes compères, vous êtes d'accord ? Il faut prendre aux riches pour redistribuer aux pauvres. Puisque le meilleur d'entre eux est à la tête de l'état, il ne nous reste qu'à compter sur nous mêmes.
Triste, bonjour monsieur Triste. Aujourd'hui, vous êtes le seul poète fréquentable de cette ère de déglaciation. Sauf, qu'il faut vous trouver et malheureusement, vous ne fréquentez pas le bar des amis, le routier de Marx Dormoy.
Car, il faut le dire, si, on ne vous trouve pas, la planète est foutue.
Alors, remuez vous les méninges peuples de la terre et dites-vous, "Il faut trouver monsieur Triste".
Au moins, lui, c'est sûr, même si vous n'êtes pas connu, même si vous n'êtes pas argenté, lui, il vous paiera un coup à boire.
Dites le vous, dites le vous, si vous êtes des milliers, cela fera des milliers de coups à boire gratos. Bien sûr, n'allez pas vous imaginer qu'il vous gratifiera de plus qu'un coup à boire. Après tout, c'est vous le demandeur.
Donc, vous l'avez trouvé et après, qu'est-ce que vous lui dites. Vous ne savez pas ?
Tiens, ça par exemple, c'est de la balle, "Bonjour monsieur Triste".
Alors, là, attention à la réponse complètement transcendantale et épisodiquement complètement baroque, "Très bien et vous ?"
Là, là, je vous l'ai dis, c'est de la balle. Même Léon Zitrone n'aurait pas fait mieux.
Tout de suite, vous vous dites, c'est lui et face à cette vérité lumineuse, vous laissez votre petit coeur fondre.
Et, à cet instant précis, celui où vous vous retrouvez comme une réglisse dans la bouche d'un cloporte, sir Triste ajoute, "Vous me cherchiez ?"
Là, là, là, encore ! Je vous l'avais dit, ce type, c'est de la balle.
Là, là, là, là, c'est trop fort, j'en pisse de bonheur dans mon froc et en plus je m'en jouis...........
Stop !
Reprenons le fil normal de notre pensée. J'espère que vous avez compris. Que le doute n'a pas effleuré votre esprit au sujet du texte ci-dessus. Ce texte est un message codé évidemment. Et, vous avez tous compris que c'est un texte codé ainsi que sa signification.
Donc, sur le fond, on est tous d'accord, il s'agit d'un pamphlet déguisé de notre président, monsieur Sarko. Déguisé, parce que vu son narcissisme exacerbé, il ne tardera pas à traduire en justice le moindre de ses critiques, les guignols de l'info en tête sur Canal Plus.
Ensuite, sur la forme, il n'y a rien à redire, c'est un parfait texte codé. Le seul qui puisse lui arriver à la cheville, ce sont les messages en Apache que se transmettait l'armée américaine pendant la seconde guerre mondiale pour damer le pion au service d'espionnage allemand.
Là, je dois reconnaître, c'était du grand art.
Mais, je me place direct en droite ligne de ces maîtres espions. Naturlïch, après, les apaches sont rentrés gros jean par devant et petit pierre par derrière. En fait, ils se sont fait niquer après service rendu à la patrie et sont revenus sans un rond dans leurs réserves.
Bien fait, pour leurs gueules, ils auraient dû se rappeler ce qu'ils doivent à la patrie. Ce que leur chère patrie leur a donné, c'est des larmes, du sang et un génocide en prime.
Heureusement que les Etats-Unis, c'est pas la France et sa repentance, autrement le président des States passerait son temps à demander pardon à la moitié de la planète.
Par contre, c'est toujours mieux que passer son temps à déclarer la guerre à la moitié du monde.
Mais, revenons en à nos moutons.
Je parle de texte codé parce qu'il doit y en avoir un tas qui circule sur Internet. Si l'on prend Al Quaïda, comme ce n'est pas un mouvement structuré, ils n'ont donc pas de codes élaborés servant à l'ensemble des réseaux. En fait, chaque réseau qui se fait ou qui se défait doit s'imaginer un moyen de communication propre. D'où la difficulté pour décoder une myriade de codes aussi différent les uns des autres.
Alors, j'invite les cerveaux de l'informatique à s'y essayer en se référençant au Coran. Parce qu'à mon avis, ils doivent l'utiliser comme texte de base étant donné que chaque islamiste où qu'il soit dans le monde en connaît toutes les sourates.
Bon, à part ça, pas grand chose à dire, mis à part que cela fait une semaine que je me fais de l'élagage tous les jours. Et, que, c'est assez fatiguant surtout qu'on en a plus l'habitude de fournir des efforts physiques. Fatiguant, mais, une saine fatigue comme dirait ma grand-mère.
Et, sur ce, je vous laisse à vos phobies habituelles. Du genre qui vous ronge la vie après une dure journée de traval. Du genre, "Est-ce que ma femme me trompe ?"
Là, je suis salaud parce que c'est vraiment la question qui tue le couple. Sûrement plus que les rôts et les pets.
A bientôt.
René.
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