vendredi 30 novembre 2007

La vie est belle quand on la regarde à la télé. Quand, on la regarde par la fenêtre, ça fait une sacré différence. Alors, écoutez la radio !

Salut à la France profonde, il faut changer de symbole, l'autruche aujourd'hui est plus adaptée que le coq.

Bon, parlons en s'il faut en parler. Le "discours" de Sarko. Bof !
Rien de bien significatif en somme. Il assène toujours des vérités qui ne font plus rire personne.
Il avoue que l'état n'a plus de fric. Ça, on n'a pas besoin de lui pour le savoir, mais, on doit se rappeler que c'est lui qui a vidé les caisses de l'état.
Les banlieues, bof ! C'est voyous et compagnie.
Les universités ? On vend les bijoux de famille pour créer un courant d'air dont on ne prévoit pas la pérennité des financements.
Le pouvoir d'achat ? L'appel d'air, c'est monnayer vos RTT et basta. Ah, oui, les fonctionnaires auront leurs heures supplémentaires payées pareil que dans le privé. Là, ils parlent sûrement des pompiers et des policiers et gendarmes qui n'arrivent jamais à se les faire payer.
En bref, un discours pas significatif, sans grande consistance, avec une assurance qui commence à dissimuler une grande incertitude. L'incertitude de l'acteur qui a peur que le rideau ne se baisse avant que les applaudissements n'éclatent, à force de trop les attendre.
Voilà, c'est tout, ça ne mérite pas plus de commentaires. Parce que le chômage qui baisse avec des chiffres de l'Insee qui n'est plus un organisme indépendant, ça me laisse songeur. Comme par hasard, Sarko avait besoin d'appuyer son discours sur une bonne nouvelle et l'Insee lui a servi sur un plateau.
A part ça, Bayrou devrait appliquer la stricte démocratie dans son parti. Parce que garder pour lui le pouvoir de nommer les 30 délégués du comité de je ne sais plus quoi, c'est s'arroger un pouvoir à la hauteur de celui de Sarko à l'UMP. C'est, à la limite, bonnet blanc et blanc bonnet entre lui et celui qu'il critique. Et, surtout, c'est décevoir ceux qui croient qu'il peut être "celui-là".
C'est vrai que les français méritent mieux. Alors, qu'il donne l'exemple.
A part ça ? A part ça ?
Ah, oui, Bush se fait de la pub gratuite sur le dos des palestiniens. Parce qu'entre nous, tant que les israéliens n'accepteront pas d'évacuer toutes les colonies de Cisjordanie, rêver de la paix, c'est simplement rêver.
Et, comme c'est pas pour demain, il ne faut pas se faire trop d'illusions.
Par contre, je confirme que l'antisémitisme est toujours un défaut français et il persiste notamment dans les populations françaises d'origine immigrées, qu'elles soient issues de la chrétienté ou musulmane.
Au moins, à ce niveau, ils partagent la même.
Mais, n'oublions pas que c'est la connerie qui est le sentiment le mieux partagé au monde. Un monde qui d'ailleurs ne se porte pas vraiment bien, même si la finance, elle, se porte tranquille.
Que se passe-t-il dans ce monde ?
La Martinique tremble ? Adressez-vous aux plaques terrestres !
La sécheresse aux Etats-Unis ? Adressez-vous au changement climatique !
C'est Noël et vous avez plus de fric ? Adressez-vous au père Noël !
Car, c'est toujours gentil d'entendre son enfant de six ans vous dire, "Ne t'inquiète pas maman pour les cadeaux. J'en ai pas besoin."
Et ça, le docteur Sarko, il pourra pas le soigner.
Alors, si vos enfants ont des jouets qu'ils n'utilisent pas, donnez les aux associations caritatives qui, après réparations, les distribueront aux mères qui vivent la précarité au jour le jour.
Car le bonheur que vous renvoie le sourire d'un enfant est le deuxième sentiment le mieux partagé au monde.
C'est vrai que Noël arrive et il m'est souvenir lorsque j'étais gamin de l'impatience qui me prenait en attendant minuit. Mais, même à l'époque, toutes les familles ne pouvaient accorder cette joie à leurs enfants.
Et là, le PS a raison, il faut augmenter la prime pour l'emploi pour que des cadeaux puissent être fait aux enfants.
Est-ce trop demander monsieur le Président ? Peut-être voulez-vous que je vous fasse une lettre dans ce sens. A mon avis, cela devrait être à l'initiative de toutes les familles précaires. Une lettre qui pourrait commencer comme cela, "Monsieur le Président, je vous fais une lettre.......".
Alors, mes bons amis, faites-le par Internet ou par écrit. Même la misère a besoin de court moment de bonheur. Ça sauve la vie.
Et, sur ces bonnes paroles, je vous laisse à mes rêves.
Bien le bonjour chez vous.
René.

jeudi 29 novembre 2007

Faites gaffe, la dingue arrive en Suisse. Vive le changement climatique.

Bonjour la France, bonjour les contribuables.

Aujourd'hui, à vrai dire, je ne sais que dire, que vous dire.
Là, en ce moment même, je regarde mon écran et je me demande de quoi vais-je pouvoir le noircir.
Pas des banlieues qui ne sont qu'un épiphénomène. Alors de quoi ?
D'Ingrid Bétancourt ?
Car, je me demandais qu'est-ce que j'aurais fait d'une otage devenue emblématique. D'abord, je l'aurais déplacé minimum tout les deux jours pour que les forces armées colombiennes ne puissent pas la repérer. Donc, ça représente des jours de marche dans la jungle.
Ensuite, j'aurais évité les endroits trop repérables. Donc, des camps sommaires sous la protection de la végétation afin d'éviter que des hélicos ne débarquent des commandos.
Évidemment, j'aurais fait en sorte que l'équipe de geôliers changent afin d'éviter l'épuisement qui peut signifier un manque de vigilance et également que des liens ne puissent se créer avec l'otage.
Et, à ce rythme là, c'est l'otage qui s'épuise dans un environnement où l'épuisement peut signifier la mort.
Le président vénézuelien peut s'agiter dans tous les sens, il n'a pas fourni encore de preuve que Ingrid Betancourt soit vivante.
De la part des Farc qui ont par groupe de guérilleros un portable satellitaire, c'est pas très crédible qu'ils n'aient pas fourni de preuve de sa survie.
Ce qui est paradoxale dans cette histoire, c'est que le tapage fait autour de sa captivité soit ce qui l'a condamnée au lieu de la faire libérer. Et, si il y a une responsabilité, elle incombe à notre grand stratège de président.
Mais, basta de telle considération, qu'elle soit morte ou vivante, la vie continue.
Elle continue à Gaza où règne l'ordre islamique. A leur place, j'investirais dans les prisons pour y coller un maximum de militants de l'OLP et de chrétiens qui refusent de se convertir. Et, je ne parle pas des athées qui doivent être morts depuis longtemps.
Le monde musulman tue les chrétiens ou les oblige à s'exiler et nous en Europe, on accueille les musulmans. Et, chez nous, ils exigent des droits qui n'existent même pas chez eux.
Alors quoi ?
Alors, essayons de bâtir un monde plus juste où la religion ne serait pas force de loi. Car ce monde malgré les intégrismes peut exister.
Mais, si nous n'essayons pas, alors là, les intégrismes s'affronteront. N'oublions pas qu'il n'y a pas que le monde musulman qui est traversé de tensions rigoristes, le monde chrétien l'est également. Et, celui qui a le plus massacré, c'est certainement le monde chrétien.
Pour s'en persuader, il n'y a qu'à lire les témoignages des érudits musulmans qui ont exprimés leur horreur des massacres barbares perpétrés par nos vaillants croisés en terre d'Islam. Ils tuaient tout le monde, les femmes, les vieillards, éventraient les enfants, tuaient autant les musulmans que les juifs et même les chrétiens dans l'élan.
Évidemment, pour eux, ils avaient tous la même tronche.
Faut dire quand même que la meilleurs chose qu'ils ont ramené de la terre d'Islam, à part l'habitude de se baigner, c'est le vin rouge de Damas.
Damas qui à l'époque s'étendait jusqu'au rivage du Liban.
Et, ce sont les français qui ont créé le Liban.
Après, ça, on peut comprendre que les Syriens gardent une vieille rancune contre la France, l'empêcheuse de danser en rond.
Tourniqueti, tourniqueton, faites un petit tour et puis s'en vont.
Ca, c'est la ritournelle des matières premières dont les prix s'envolent.
Alors, crions très fort à notre président, "Pouvoir d'achat, Pouvoir d'achat, envole-toi !"
Si, si, croyez-moi, c'est efficace. Comme le tapis volant, vous vous souvenez ?
Si, vous y croyez très fort, je vous assure, il s'envolera.
Mais, je vois bien que vous n'y croyez pas. Je vous assure vous avez dort, c'est comme le proverbe qui dit, "qui dort, dîne."
Là, aussi, je vous assure, vous n'aurez plus jamais faim.
Et, si vous connaissez une mère qui ne sait pas comment nourrir ses enfants, dite-lui, "le sommeil du juste, c'est celui qui ne déçoit jamais".
Et, sur ces bonnes paroles, je vous quitte.
Bien le bonjour chez vous.
René.

mercredi 28 novembre 2007

Survivre au Tsunami, c'est remercier dieu. Remercier dieu, c'est lui demander de vous aider à niquer votre voisin. (chapitre 4, livre Pokémon)

Salut aux petits gars du front du nord. Y'a le feu au lac !

Mon dieu, que dire ? En tout cas, ne comptez pas sur moi pour pleurer sur les banlieues. S'ils faisaient la même dans leur pays d'origine, ça ferait longtemps qu'ils seraient au cimetière ou au bagne.
Ce qu'ils font dans l'excès, c'est tout simplement repositionner Sarko en tant que favori pour les élections municipales.
Et peut-être figer les français dans un assentiment vers un tout répressif qui risque de réduire les libertés démocratiques.
A part ça, leur mal être, leur mal vivre, je le vis à ma manière, dans mon contexte alors ce n'est vraiment pas pour pleurer sur leur sort.
Dommage pour eux, tant pis pour nous.
Déjà que leur excès de l'année dernière a été porteur pour Sarko, alors s'ils continuent, Sarko, on en a pour au minimum deux mandats. Et, les journalistes ont torts de penser que Lepen risque de reprendre du poil de la bête, ses électeurs se satisfont très bien de l'actuel président.
Le pire est que les français approuveront dans leur majorité le basculement vers un tout répressif alors que le pouvoir d'achat pouvait remettre en question la prééminence du président.
Voilà, c'est raté et c'est pas la faute à pas de chance.
Sortir des armes et s'en servir contre les forces de l'ordre, c'est se placer ipso facto dans un registre terroriste. Et, dans le cadre du terrorisme, c'est l'armée qui est l'interlocuteur.
Les lois vont être modifiées n'en doutons pas. Un pas a été franchi et aucun politique ne pourra décemment s'opposer aux conséquences législatives que cela implique.
Nous appellerons ça, des dommages collatéraux.
Les cités ne doivent pas s'imaginer que la "Cité" ne va pas réagir. Les sondages seront là pour justifier sa réaction. Et, croyez-moi, elle va réagir. Car, elle se doit de réagir pour protéger l'ensemble des citoyens qui ne peut être menacé par une minorité.
Par exemple, prenons une injonction, "Il faut désarmer les cités !" Je vous laisse imaginer qu'elles en seront les implications. Car pour la majorité des français, c'est, "Français, oui, mais, français de droit et de devoir".
A part ça, mon pouvoir d'achat s'effondre et ça, ça m'importe.
Je suis comme la majorité des travailleurs, mon découvert bancaire est la condition sine qua non de ma survie.
Et, ça, c'est de moins en moins supportable, surtout quand la pression fiscale ne se dément pas. Par contre, cela me fait bizarre quand j'apprends que les émoluments des grands patrons a baissé en 2006 de 8%. Sérieux, cela me donne envie de pleurer. Pourtant, 2006 a été une année faste pour le 4/40. Ils vont nous faire croire que leur revenu a baissé.
Moi, ce qui baisse, c'est ma capacité à comprendre ce que ma position de "Je ferme ma gueule et je suis la loi", me rapporte.
Depuis, un certain temps, elle ne me rapporte qu'une seule chose, c'est, "Marche ou crève". Alors, je marche en regardant les produits dans les magasins que je ne pourrai pas me payer.
Les mecs de banlieues, c'est la même, sauf qu'ils n'ont plus de magasins chez eux à part ceux des Champs Elysées quand ils montent sur Paname.
Il est vrai que plutôt que s'emmerder dans la cité, faut mieux s'arracher à Paris.
Bon, mais tout ça, c'est de la poésie, me direz-vous. Mieux vaut parler de choses sérieuses comme par exemple du temps qu'il fait à Perlouze les bains. Ben, il fait chaud, merci pour eux.
Et, en Cisjordanie ? Bien aussi. Ils ont l'ombre du mur qu'ont construit les israéliens pour les protéger du soleil.
Et, aux Puce de Saint Ouen ? La même et en couleur. Les commerçants ont leur propriétaire de la famille royale anglaise qui augmente leur loyer.
A croire que la guerre de cent ans n'a servi à rien !
Et, tout ça pour dire quoi ?
Simplement cette chose, l'union fait la force et la diversité fait la couleur du monde.
Et, sur ces bonnes paroles, je vous souhaite bien le bonjour chez vous. Et, surtout, nourrissez le poisson rouge de madame pour que le chat regarde ce qu'il n'atteindra jamais. Comme les mecs de banlieues en somme.
Ciao.
René.

lundi 26 novembre 2007

La distance n'est qu'une abstraction de l'esprit. Elle n'a pas de réalité vraie. (chpt 3, livre du Pokémon)

Grand salut aux passagers de la pluie, demain, il fera beau.

Alors, il paraît que les économies réalisées avec la suppression des régimes spéciaux des travailleurs des transports publics ne donnera que peu d'économies. En tout cas, certainement pas assez pour redresser la barre du déficit des caisses.
La question qui se pose à un certain nombre d'interlocuteurs est, "A quoi donc cela va-t-il servir ?"
A mon humble avis, comme le gouvernement va être pris à la gorge par son déficit budgétaire, il va être obligé de vendre des bijoux de famille. Même si les bijoux de famille en question lui ont rapporté l'année dernière 8,5 milliards d'euros. Il va être dans l'urgence car sa caisse va en prendre un sale coup.
Et, dans les bijoux de famille, il y a la SNCF et la RATP.
Mais, pour que de potentiels repreneurs s'intéressent au pack, il fallait faire du nettoyage. Car, les investisseurs ne sont pas là pour faire du social et le carcan des régimes spéciaux en auraient découragé plus d'un.
Maintenant, on peut dire que le monde est merveilleux. On peut balancer ces deux services sur le marché, surtout si cette idée ne déplaît pas aux directions spécifiques.
Cependant, il reste une chose à mettre en place, le service minimum en cas de grève. Car, là aussi, aucun repreneur ne prendra de risques sans cette clause considérée comme sine qua non.
Et, malgré tout, le monde reste merveilleux. Bientôt, nous serons au même niveau que l'Angleterre, sans plus aucun service public.
A côté de ça, Sarko nous fait un baratin en affirmant qu'il est pour des syndicats qui puissent être des acteurs représentatifs du monde du travail.
Pour le moment, il a joué la division et il a gagné.
La GGT a proposé un cadre de discussion dans lequel elle va s'engluer. Volontairement ou pas, telle est une autre question.
Quant au pouvoir d'achat des français. Je vous dis, n'y pensez même pas parce que le gouvernement, à part de la poudre aux yeux, n'a pas la solution.
A moins, à moins de taxer les plus values du capital.
Oh, mince, voilà que je commence à parler comme Besancenot. Pourtant, il a raison. Même si l'état s'endette, il s'endette parce qu'il ne veut pas fiscaliser les produits des plus values financières.
Parce qu'il trouve plus facile de piquer à ceux qui en ont le moins et qui sont le moins à même de faire entendre leur voix.
D'ailleurs, ce n'est pas pour rien que tous les grands journaux d'opinion sont propriétés des grands capitaines d'industries. Si, ce n'est pas pour nous faire prendre des vessies pour des lanternes, il ne me reste plus qu'à me faire curé et vivre chichement de mes modestes revenus. C'est vrai que les curés, ils sont comme nous, en bas de l'échelle, ils sont modestes, alors qu'en haut de l'échelle, ils disposent d'un confort moins aléatoire.
Autrement, en Belgique, ils disposent d'une carte d'identité à puce. Ce système proposé par Bill Gates contient toutes les données informatiques vous concernant de votre naissance au jour d'aujourd'hui. Tout ressort, amendes, casier judiciaire, opinion politique, si t'as fait pipi dans ta culotte quand tu étais jeune, j'en passe et des meilleurs.
A partir de là, si tu travailles dans l'administration, tu dois passer trois niveaux :
1) confidentialité,
2) haute confidentialité,
3) très haute confidentialité (un truc comme ça)
De toute façon, ta carte à puce dévoile ta nudité et tes mauvaises pensées. Donc, tu ne peux mentir.
A quand une telle carte en France. Pour bientôt, je vous rassure car Bill Gates a l'intention de la promouvoir pour toute l'Europe.
Mais, à chaque jour suffit sa peine.
Et, sur ces bonnes paroles, dites-vous bien que vous allez bientôt frôler la misère et que la gauche ne va pas vous sauver, déjà qu'elle n'arrive pas à se sauver elle-même. Et, je ne voudrais pas dire, sur ce coup là, Hollande ressemble de plus en plus à un gros blaireau. Mais, il devrait savoir que sur un canot, le plus con, c'est celui qui rame tout seul.
A bientôt.
René.

jeudi 22 novembre 2007

La bastille n'est plus une forteresse. Il y a longtemps qu'elle a joué les rases moquettes.

Salut, il faut tordre le cou à cette idée lambda, le français n'est pas un pigeon !

Question, "Est-ce qu'il y a un pilote dans l'avion ?"
En effet, la question se pose avec un président qui rogne sur les revenus des français et qui fait de grandes déclarations pour dire qu'il va défendre le pouvoir d'achat de ces mêmes français.
Comprenne qui pourra.
Surtout, lorsque le déficit budgétaire annoncé est de 41 milliards.
Voilà, c'est tout, il n'y a rien d'autre à ajouter.
La machine économique est essoufflé, le pouvoir d'achat en prend un coup, d'ailleurs pas forcément du fait du gouvernement, mais plutôt de la conjoncture international. On ne peut pas dire que la hausse du prix du blé, du baril de pétrole ou du lait soit de sa responsabilité.
Par contre, cela se rajoute à la diminution de fait du pouvoir d'achat des français. Sans compter, les petits riens que le gouvernement nous demande de payer en plus et qui bout à bout finissent par faire une somme. Notamment, quand on ne gagne pas un max comme la majorité des français plus proche de 1000 euros que de 4000 euros.
Et, pan sur la tête à Hollande qui un jour a vilipendé cette catégorie de salariés. On se demande bien pourquoi d'ailleurs. Mais, de lui, plus rien ne nous étonne. On attend juste qu'il finisse de liquider le parti socialiste.
Mais, non, j'déconne !
Heureusement que chez les socialistes, il y a le maire de Paris qui va nous repeindre le paysage urbain. Et, je retiens cette phrase entendue sur BFM, "Les hommes, c'est comme les pommes, plus on les entasse, plus elles pourrissent". (Mirabeau)
Alors, il a raison m'sieur no'te maire, il faut reconsidérer le tissu urbain pour le rendre plus humain.
Ah, au fait, s'il vous le saviez pas, en France, sur 36750 communes, il y en a 23000 de moins de 700 habitants. Il serait peut-être temps de revoir la composition du Sénat qui privilégie le monde rural.
Sauf, qu'il y a une petite chose que le maire de Paris pourrait faire et qui ne fera pas dépenser de l'argent aux contribuables, c'est interdire la publicité dans les boîtes à lettre. Ce qui contribuerait à sauver les forêts qui absorberaient plus de CO2 dans l'objectif de sauver la planète.
Alors, acte !
Et, ça, c'est en attendant que le baril de pétrole passe à 100 $ et fasse augmenter le prix du rouge à lèvre.
En tout cas, ce qui me fait marrer, c'est que le fisc anglais a perdu les données fiscales de 25 millions de contribuables. Il paraît que le disque contenant ces données a été égaré dans le service fiscal.
Mort de rire !
Comment l'Angleterre va-t-elle payer ses fonctionnaires ? Ça, c'est une vraie question. Peut-être en empruntant et en augmentant par la même le service de la dette ?
Si, ils ne savent pas comment faire, ils devraient demander au gouvernement français, le spécialiste en la matière pour l'Europe.
Mais, trêve de mauvais esprit. Aujourd'hui, il fait beau sur la France et ne vous en faîtes pas, l'avion est en pilotage automatique.
Par contre, il faut soutenir les habitants de Bostens qui se battent contre le passage d'une autoroute sur le site des étangs des neufs fontaines. Le lieu est un mico-climat où s'épanouit la diversité. Un milieu qui ne supportera pas le moindre apport de boue et de polluant et où s'épanouit l'écrevisse à pattes blanche, l'une des espèces les plus protégées en France.
Soutenez les et arrêtons de détruire ce qu'il reste de notre environnement.
Bien le bonjour chez vous.
René.

mardi 20 novembre 2007

Le dernier des Mohicans a dit, "S'il en reste un, je serais celui-là !" Bien, lui en a pris parce qu'il a fini par crever seul tout.

Salut aux anciens du marché des Enfants Rouges. Ce fut une belle époque.

Sérieux, des fois, je me prends à songer.
Les socialos lorsqu'ils étaient aux affaires ont laissé la poste et les écoles disparaîtrent des villages. Aujourd'hui, le gouvernement de Sarko fait disparaître les tribunaux et les gendarmeries des bourg.
Eh, oui, les gendarmeries puisque la ministre de l'intérieur compte relancer après les élections municipales son plan d'assainissement de nos campagnes en supprimant 12.000 postes de gendarmerie.
Plus de postes, plus d'écoles, plus de gendarmeries, plus de tribunaux.
Mais, comment l'état va-t-il contrôler nos turbulentes campagnes ?
Y'avait tout là dedans !
L'école pour contrôler l'esprit, la poste pour contrôler les communications, la gendarmerie pour contrôler les déviants et les tribunaux pour les punir.
Bref, le roi est nu et la république est en danger.
A moins, à moins que cela ne veuille dire que nous sommes enfin devenus des citoyens conscients de nos devoirs et de nos droits. Et, que nous n'avons plus besoin de ces symboles de la répression et du contrôle mental mis en place par des gouvernements fragiles afin d'affirmer la république.
Ce qui signifierait également que nous avons atteint le stade suprême de l'anarchie, être soi en respect de l'autre.
Eh, voilà, à quoi, nous conduit le sarkozisme, à l'état ultime de l'être.
Bon, mis à part ça, je trouve que Sarko a parfaitement compris comment marche l'économie. En effet, il nous annonce, "Je m'augmente pour consommer plus." Na et pan dans vos roubignolles !
Donc, il n'y a plus seulement le, "Travailler plus pour gagner plus". Il y désormais le, "Gagner plus pour consommer plus".
Et, il donne l'exemple en s'augmentant de 172%.
Madre de dios, se sont dit alors les syndicats, après un tel exemple, il ne peut que nous accorder la même.
Parce que voyons, j'ai rencontré un jeune cheminot qui m'a expliqué avoir été embauché avec le Bac 1200 euros/mois. Là dessus, il était logé dans une chambre d'un foyer SNCF à 500 euros/mois.
Aujourd'hui, il est devenu agent de maîtrise après avoir suivi une formation Bac+2 et a un salaire de 1800 euros/mois. Il habite à Gentilly, dans un logement à 700 euros/mois avec 120 de charges. Il a 70 euros d'électricité et 20 euros de gaz/mois.
Là dessus, il a acheté une voiture qu'il paie, 150 euros/mois sur trois ans.
Il s'accorde un budget de 200 euros/mois.
Donc au bout, il dépense 1260 euros/mois.
Ses vacances d'une semaine parce qu'il ne peut dépenser plus, il les passe dans le cadre d'une association de vacances, CPA. Le coût est de 500 euros/semaine.
Il ne se considère pas comme un privilégié et me déclare, "Je fais grève contre un gouvernement qui attaque ceux qui sont pointés du doigt par ceux qui sont les plus privilégiés.
Je perd 80 euros par jour. Je suis prêt à dépasser le mercredi. Je suis prêt à aller au delà pour une issue honnête. En huit ans, nous avons perdu 10.000 euros de pouvoir d'achat".
Ah, oui, me dis-je, je pensais que Sarko avait dit, "Gagner plus pour consommer plus". J'ai dû mal comprendre, il y a quelque chose qui a dû m'échapper. Une incompréhension ou un manque d'intelligence de ma part. Peut-être devrais-je retourner à l'école.
Mais, laquelle, celle d'hier ou celle d'aujourd'hui avec des profs à qui on demande de travailler pour deux en leur enlevant les moyens adéquats pour le faire ?
Bref, je suis carrément dans le syndrome du sans. Sans école, sans tribunaux, sans gendarmerie, sans poste et sans avenir. Carrément dans la peau d'un immigré. Pourtant, je suis français, ça, je peux vous le jurer. Et, cela depuis les tribus franques. Plus français que moi, tu meurs !
Alors, cela voudrait dire que chez moi, je ne suis plus chez moi !
D'ailleurs, il se raconte de par chez moi, que le vase de Soisson brisé par Clovis, c'est du pipo. En fait, ce qu'il s'est passé, c'est qu'un chef n'a pas été d'accord sur le partage du butin qui se faisait d'une manière strictement égalitaire entre les tribus. Pour le punir, Clovis a condamné sa tribu à vivre du fruit de son labeur. Et, c'est dans le Val de Marne que les membres de cette tribu se sont installés en tant qu'agriculteurs. Peu après, il a d'ailleurs fait un coup d'état en se proclamant roi.
Vraiment, les livres d'histoire ne racontent que des fariboles.
Et dire que c'est à travers l'enseignement que le pouvoir peut manipuler les consciences. Mais, quand on supprime l'école et qu'on accorde moins de moyens à l'Université, comment l'état va-t-il faire ?
Parce qu'en général, lorsque des états appliquent ce genre de processus, ils s'inscrivent dans le tout répressif. Mais, s'il n'y a plus de tribunaux et plus de gendarmerie,comment va-t-il faire ?
Oh, là, là, la quadrature du cercle !
Tout ça, c'est un truc à vous donner mal à la tête.
Alors, faîtes comme moi, soignez vous. Un petit Prozac de derrière les fagots n'a jamais fait de mal, même à un cheval et surtout à la sécurité sociale.
A bientôt.
René.

lundi 19 novembre 2007

Le jeu d'échec est le révélateur psychanalitique de la détresse relationnelle. (dixit René)

Salut aux indiens Mapuche du Chili, le gouvernement socialiste comme Pinochet continue à les traiter comme de la merde.

Eh, oui, à notre époque, il ne fait toujours pas bon d'appartenir aux peuples premiers comme dit Chirac.
Les indiens Mapuche sont traités comme des "sans castes", c'est à dire qu'ils ont juste le droit de la fermer et de souffrir en silence.
Pourtant, ils manifestent. Ils réclament que leurs droits soient respectés et qu'on arrête de leur voler leur terre.
Pour cela, ils sont jetés en prison. On peut être socialiste comme la présidente et considérer que le droit n'est pour tout le monde et notamment en ce qui concerne les minorités ethniques.
Et, je ne vous parle pas du sort des Mapuche d'Argentine, c'est la même en pire.
Eh, oui, le monde n'est pas si merveilleux que ça. Aussi, je vous invite à regarder sur le net, le sort qu'il leur est fait. En souhaitant que vous souteniez en signant leur pétition leurs prisonniers politiques.
Bon, à part ça, ils semblent que les scientifiques considèrent que les effets du changement climatique vont se faire sentir plus rapidement et d'une manière beaucoup plus grave également.
En fait, pour que les américains comprennent qu'il est temps de se bouger les fesses, il faudrait qu'ils subissent les pires tempêtes de neige de ce siècle. Ensuite, pour que les arabes le comprennent également, il faudrait qu'il tombe de la grêle à la Mecque. Parce qu'à part ça, je ne vois pas comment ils vont se réveiller tellement ils sont occupés à se faire des coups en vache du genre massacre.
Bon, mais, ne souhaitons à nos voisins ce que l'on aimerait pas qu'il nous arrive.
En attendant, dans notre douce France, la grève des transports continue. Et, je dis "Bravo", ne lâchez pas le morceau. Surtout, lorsqu'une manif anti-grève rassemble le haut du panier du Front National et de l'UMP.
A cette occasion, on a pu entendre le terme de fasciste accolé au monde des travailleurs.
Perso, ce que cette manifestation m'inspire, c'est "La connerie est ce qui est le mieux partager en ce monde".
Moi, à leur place, à tous ces messieurs, dames de Auteuil, Neuilly, Passy, j'aurais hurlé, "Mais, pourquoi, tous ces salauds de pauvres font chier !"
Sauf, que le sens du ridicule n'est donné qu'aux gens qui réfléchissent et pas forcément à ceux qui promènent toutou au parc.
De toute façon, il est normal qu'un gouvernement qui tape sur les petits soit soutenu par ceux qui justement n'en ont rien à foutre des petits.
Et, j'espère bien que tous ceux qui s'opposent à la politique du gouvernement manifesteront d'une façon unitaire. Et, j'espère bien qu'ils arriveront à se décider pour une grève générale car autrement, ils se feront grignoter avec l'aval de leurs syndicats.
Moi, ce qui me paraîtrait normal, c'est que l'on considère que la retraite à quarante ans est une opportunité. Une opportunité d'abord pour les travailleurs d'avoir la possibilité de faire autre chose et l'opportunité de les diriger vers des activités de loisirs et d'activités qui amènent à la création d'emploi pour les chômeurs. Après tout, au bout de quarante ou trente cinq ans, ils mériteraient de connaître autre chose.
Parce que si le travail est la condition sine qua non de la vie, alors, il ne reste plus de temps pour la vie. Ne serait-il pas normal qu'au bout d'un certains nombre d'annuité, 40 pour l'ensemble et 35 pour les emplois pénibles, on puisse faire autre chose du temps qu'il nous reste à vivre.
Et, que ce temps, encadré par des activités nouvelles ou des loisirs nous permette de profiter du laps de temps qu'il nous reste.
Si, nos gouvernants n'ont pas d'idées, à part réduire le pouvoir d'achat, ils n'ont qu'à proposer à l'industrie touristiques de faire des propositions. Des propositions à la hauteur des revenus de nos retraités. Je suis sûr qu'elle répondra à l'appel et cela pourrait être un appel d'air pour des embauches. Embauches qui pourraient participer au financement des caisses de retraites.
Naturellement, ceci n'est qu'une idée, réalisable ou pas. Mais, simplement pour dire qu'il n'y a pas qu'une seule manière de considérer le problème et que c'est le moment d'avoir des idées.
La solidarité entre les peuples et entre les métiers peut créer une dynamique. Il reste encore des champs à explorer !
Alors, lorsque le gouvernement fait appel à l'innovation sociale pourquoi ne cherche-t-il pas d'autre voie pour performer les systèmes de retraite au lieu de les casser ?
Aux Etats-Unis, ils sont en train de penser à mettre en place un système de retraite général. Nous, nous allons le mettre en pièce avec les retraites complémentaires.
Mais, qui, au vu des salaires pourra assumer une dépense supplémentaire ?
Bon, mais, tout ça est une vue de l'esprit. Le gouvernement fait comme les entreprises, lorsqu'il y a problème, on réduit la masse salariale.
Il est où le service publique ?
Et, il pense que les travailleurs doivent fermer leurs gueules ?
Et, il pense qu'en disant, c'est la seule solution, on doit le croire ?
Et, à cette question, "Monsieur le Président, est-ce qu'au moins, on a le droit de vivre ?" que répondra-t-il ?
Il ne répondra rien parce qu'il a toujours raison.
Alors, unissez-vous, étudiants-travailleurs et votez la grève générale.
Quant-à vous, mes bons amis, pour ne pas arriver en retard, dormez sur votre lieu de travail.
Bien à vous.
René.

vendredi 16 novembre 2007

Quand, on retourne la tortue sur le dos avant de la tuer, elle pleure. Et, le précaire est-il différent ?

Salut à la France d'en bas, bientôt, vous allez rayer le parquet avec vos dents.

Des fois, je me demande ce qu'est la politique étrangère de la France lorsqu'elle pratique l'entrisme à tout crin.
Au Liban, pour ne parler que de ce pays, Kouchner s'imagine que son entregent va régler le problème. Alors,là, je me demande pourquoi, ils se sont massacrés entre communautés depuis tant d'années s'il suffisait qu'un mec plus intelligent que les autres intervienne.
Que Kouchner prenne langue avec le président de la Syrie en s'imaginant le neutraliser sur la question libanaise, déjà ça, ça me pose question.
Est-ce que la France donne des dirhams à la Syrie ? Niet, pas un pet de lapin.
Est-ce que la France fournit des armes à la Syrie ? Nada, par un bande de mitrailleuse.
Est-ce que la France envoie des barils de pétrole gratos à la Syrie ? Que dalle, même pas un bidon d'essence.
L'Iran, oui et sur la totale.
Bon, Sarko hurle avec les loups contre l'Iran et il s'imagine que là où l'Iran est un interlocuteur incontournable, elle va lui faire des cadeaux. Je dirais que c'est de la naïveté, sauf qu'en diplomatie, la naïveté se paie avec le sang des autres.
L'Iran a tout intérêt à ouvrir des contre-feux là où elle le peut. Et, c'est ce qu'elle fait au Liban. Sans compter qu'au Liban, si vraiment, l'Iran veut faire souffrir la France, il y a nos petits soldats de la force d'intervention.
Vu que le Hezbollah est réarmé, ça pourrait devenir saignant.
Au Liban, il n'y a jamais eu vraiment de silence des armes quel qu'en soient les protagonistes. Peut-être faudrait-il réfléchir avant d'agir et réfléchir, ce n'est pas se contenter de prendre langue avec tous les acteurs. Parce que ce qu'ils disent un jour ne reflète pas forcément ce qu'ils feront demain.
Tant que le général Michel Aoun se rangera du côté du Hezbollah, ce qui est une alliance contre nature, la situation ne risque pas de bouger.
Bref, Kouchner nage dans la semoule au Liban et risque par son entregent d'accentuer le conflit.
Par contre, lorsque la France accueille sur son sol deux dictateurs dont l'un est plus que sulfureux. Là, on peux se poser des questions.
Kadhafi, à mon avis, n'est pas le genre de personne que l'on peut recevoir dans sa maison. Et, même l'appât du gain ne le justifie pas.
Quant-à Hugo Chavez qui de leader populiste se pose désormais en dictateur dans la droite lignée des dictatures d'Amérique Latine, je ne vois pas vraiment l'intérêt.
Sous prétexte qu'il s'inscrit en soutien dans un dossier que Sarko défend, la France va lui permettre de fanfaronner ! Ah, oui, c'est vrai, il doit apporter une preuve que Ingrid Betancourt est vivante alors qu'il suffirait aux Farc de la prendre en vidéo sur un téléphone portable et balancer ça sur le net.
Décidément, la France se positionne comme les Etats-Unis en soutien de toutes les dictatures mondiales.
Et, la morale dans l'histoire ?
Bof, d'après une éthique sarkozienne, elle est là, non pas pour soutenir l'intérêt général, mais pour soutenir son intérêt particulier. Alors, les peuples après tout, rien à cirer.
Demandez à Poutine, il pratique la même.
Mais, à ce petit jeu, la diplomatie française va sombrer dans un ridicule sans fond où nous allons nous faire beaucoup d'adversaires sinon d'ennemis.
A croire que nous sommes gouvernés par des amateurs qui changent de direction au gré des tempêtes solaires.
Parce qu'entre-nous, ramener toutes les retraites au régime général, donc les rogner, c'est faire basculer de futurs retraités dans la précarité. Si, la France n'avait pas creusé son déficit, il y aurait peut-être du fric pour que le déficit des systèmes de retraite puissent être financer sur le PIB.
De plus, si Sarko n'avait pas fait de cadeaux fiscaux, peut-être, il y aurait de la marge.
Mais, non, il faut mieux taper sur les petits. Eux, au moins, ils ferment leur gueule.
Sauf, que c'est plutôt ça la justice de nos jours et c'est pour ça que je dis aux grévistes de tenir bon, même si ils doivent le faire contre l'avis de leurs syndicats. Et, d'abord, une question, "pourquoi le syndicat Sud n'est-il pas reçu par le ministre du travail".
On joue la division, les grands syndicats contre les plus rétifs.
Pourquoi, Thibault de la GGT prend-il langue avec le gouvernement ?
Parce qu'il a peur des étudiants ?
Mais, si vous voulez gagner, mes braves, il n'y a qu'une solution, en arriver à la grève générale. Autrement, vous passerez sous les fourches caudines et vos adhérents perdront une grande part de leur futur revenu.
Alors, arrêtez de la jouer à la diplomate. Le temps est à l'action.
Le gouvernement a une solution comme le dit Besancenot, prendre le fric là où il se trouve, dans la poche des riches.
Mais, nous marchons sur la tête avec un gouvernement qui ne sait pas vraiment là où il nous entraîne et qui a pour seule politique de rogner sur les services publiques et les avantages sociaux.
Bravo, ça, c'est de la politique, y'a qu'à voir en Angleterre où le régime général accorde 550 euros de retraite. A part pour ceux naturellement qui ont pu payer une complémentaire.
Et, c'est ce à quoi nous allons arriver en France. Parce que ne croyez pas que le gouvernement après avoir éliminé les régimes spéciaux ne va pas rogner le régime général.
Si vous croyez ça, mes bons amis, c'est que vous gardez un coeur d'enfant et que vous croyez toujours au père Noël.
Et là, je vous aime. Même dans la précarité extrème où vous allez bientôt vous trouver, je vous aimerais toujours.
Mais, bon, faut mieux ça que sucrer les fraises surtout quand on pense qu'il y a 25.000 retraités qui meurent chaque année en Angleterre à cause du froid. Ben, évidemment, le fuel coûte la peau des fesses et c'est pas avec 550 euros qu'ils peuvent assumer.
Mais, heureusement pour eux, bientôt, grâce au réchauffement climatique, ils n'auront plus besoin de se chauffer. Sauf, que 25.000 à compter en moins, ça fait des économies pour la caisse de retraite anglaise.
Du coup, elle sera peut-être obligée de baisser le taux des pensions.
Ah, le monde est un long fleuve tranquille.
Mais, je vous envie parce que je m'en vais en direct partager votre sort.
Et, sur ce, bien le bonjour chez vous.
René.

jeudi 15 novembre 2007

Les plus beaux mots d'amour, ceux que je garde pour moi, pour te les dire un jour. L'ais-je dit ou l'ais-je pensé ?

Salut à tous ceux qui digèrent sans roter et sans péter. Vous êtes la norme.

Eh, bien, oui, nous allons commencer très fort. D'abord par cette axiome incommensurable, "Le code génétique n'est qu'une formule de programmation et le jour où s'y rajoute Plus de Reproduction, l'espèce humaine disparaît".
Ça, c'est une nouvelle qui nous met du baume au coeur et qui nous rend de bel humeur.
Vous n'êtes pas d'accord ?
Je sais, je sais, vous êtes comme Saint Thomas, il vous faut toucher pour croire. Hélas, mes pauvres amis, cette fois-ci, vous constaterez en disparaissant.
Parce que je vous le dis, pourquoi un élément ne pourrait pas se rajouter sur notre code ? Nos scientifiques manipulent à tous va, d'où les OGM. Alors, pourquoi la nature dont nous sommes les enfants ne pourraient pas à nouveau introduire dans notre code, une alerte du type "Fin de contrat ?"
Est-ce qu'un docteur Folamour ne pourrait pas nous concocter un plan de ce genre ?
Ah, ah, ça vous titille cette idée que lorsque l'espèce humaine aura disparu, le monde continuera de tourner.
Nous, les hommes, nous sommes plutôt du genre "après nous le déluge". Du genre qui considère que nous sommes la quintessence de la création et que si nous venions à disparaître, la création elle même serait amenée à disparaître.
Eh, bien, non, mes bons amis. Cela ne sera pas.
Bon, vous me direz que je commence très fort. Et, que vous en avez marre des discours alors que vous êtes dans la galère pour venir au boulot à cause de la grève des transports.
Ne croyez pas que je ne vous comprenne pas. Je subis la même.
Et, pourtant, je dis aux travailleurs, défendez-vous, car personne ne le fera à votre place. Et, à la limite, si vous sentez que les syndicats vous lâchent, défendez-vous sans eux et s'il le faut contre eux.
Par contre, une question que je me pose, "Que fait Poutine de l'argent du pétrole russe ?"
Est-ce qu'il a augmenté les misérables retraites de ses milliers de pauvres retraités ? Niet !
Alors, qu'en fait-il ?
Peut-être prépare-t-il la prochaine course aux armements, voie dans laquelle l'encourage le président Bush et peut-être derrière lui le lobby militaro-industriel américains ?
Est-ce qu'il dépollue les sites nucléaires russes ?
Est-ce qu'il dépollue les sites Seveso dans son pays ? Niet, niet, niet !
Est-ce qu'il a procédé à des augmentations conséquentes des salaires des travailleurs russes ?
Bref, que fait-il de cet argent ?
C'est comme en Chine, que font-ils du pactole de la croissance ?
300 millions de personnes vivent avec moins d'un dollars par jour. Il y a 100 millions de millionnaires et les autres, les 600 millions d'autres, quelle est leur fourchette de revenu ?
Vraiment, le monde est merveilleux et j'en veux pour preuve les perruches qui repeuplent le paysage en Nouvelle Calédonie.
A une époque, elles avaient disparu, du fait qu'un trafic éhonté. Aujourd'hui, elles sont une espèce protégée et on peut à nouveau les revoir voleter dans les bambouseraies.
C'est-y pas merveilleux ?
Vous voyez, rien ne sert de désespérer, il suffit d'y croire et surtout de mettre la main à la pâte pour que le monde n'empire pas.
Car même si il est trop tard, il n'est pas encore trop tard pour bloquer la machine qui nous condamne. Celle que nous avons construite avec tant de passions.
Cette machine qui s'appelle sous marins nucléaires et qui pourrissent dans la mer blanche sans que Poutine ne fasse rien pour prévenir la catastrophe. Peut-être, est-il trop occupé à faire du cheval ?
En tout cas, personnellement, je me sens préoccupé parce que les courants peuvent entraîner les eaux radioactives vers le nord de la Norvége et polluer les saumons dans l'élan.
Ces mêmes saumons que nous retrouvons dans nos assiettes. Peut-être que des analyses préventives ne seraient pas mal venues.
Et, pendant ce temps, les dauphins et les tortues continuent de bouffer des sacs en plastique et de crever par milliers.
Les tortues, les dauphins, les Inuits, même combat.
Et, les français, me direz-vous, quel est leur combat.
Simple, je vous réponds, c'est de garder la tête dans la cuvette des chiottes le moins possible.
Et, sur ce, je vous souhaite bien le bonjour chez vous. Et, n'oubliez pas de calotter votre femme. Si, vous ne savez pas pourquoi, vous le faites, dites-vous que elle, elle le sait.
Alors, je suis d'accord avec vous, c'est carrément nul. Mais, on ne peut pas être intelligent tout le temps autrement, c'est prise de tête.
Allez, ciao.
René.

mercredi 14 novembre 2007

Un bon conseil, effeuillez la marguerite en disant, "Mon patron m'aime, un peu, beaucoup, pas du tout, à la folie". Et, constatez le résultat.

Camarades du front Nord, les fascistes viennent de détruire de l'espoir. Mais, sont-ils les seuls à être du côté des massacreurs ?

Mais, oui, mais oui, il faut le dire, même ceux qui s'arrogent l'apanage d'être du côté du peuple ont massacrés à tire la rigot.
Que ce soit les anarchistes russes pendant la guerre civile, l'armée bolchevique de Troïsky ou l'armée de libération de Mao.
Bref, au nom de la liberté, tout le monde massacre.
Alors, la question se pose, la liberté appartient-elle à une quelconque pensée ?
Moi, je dirais, oui.
Elle appartient en tout cas à celui qui ne met pas sa propre liberté au dessus de celle des autres. Parce qu'il compose et aide les autres à composer pour que la liberté de tous n'aliène pas celle d'un seul.
Vous êtes bien philosophe, me direz-vous par ces jours sombres qui s'annoncent.
Eh, bien, à y bien réfléchir, il faut mieux poser un grain d'espérance que hurler contre le loup.
A une époque où le monde s'enfonce dans la fange de ce qu'il a érigé en montagnes pour prendre la place de Dieu. Il est temps, je pense de poser les jalons d'une autre espérance.
Car, qu'est-ce ?
Où en sommes-nous ? Nous nous battons pour des intérêts partisans quelque soit le camp où nous positionnons. Pendant ce temps, la planète part en frite.
A l'heure où nous préoccupons de nous, il faudrait aborder le vaste débat de la mondialisation et du changement climatique en comprenant que tout doit changer. Que tout doit changer, non en entraînant les populations vers le bas, mais les entraîner vers le haut.
Ce n'est pas vrai qu'il n'y a pas les ressources nécessaires pour prendre en compte la population mondiale. Il y a largement assez, mais ces ressources sont captées par une minorité de la population. Et, c'est cette minorité qui en s'isolant volontairement de la majorité qui nous met tous en danger.
Ils nous reproduisent une époque que l'on croyait à jamais oubliée. Celle où une classe de seigneurs régentait la planète autour de sa seule vision du monde.
Qu'a-t-on à faire de produire plus alors qu'il faudrait produire mieux en en distribuant plus équitablement les profits. On nous bassine d'égalité, mais l'égalité, ce n'est pas tirer l'ensemble vers le bas, mais, plus de tirer l'ensemble vers le haut.
Nous nous en étions arrêter à une société de loisirs et nous réveillons dans une société de pénurie. Est-ce là l'égalité tant vantée ?
Nos intellectuels et nos dirigeants ne pensent qu'à nous intégrer de force, à coups de messages médiatiques dans cette société de pénurie. Alors, que nous savons tous une chose, c'est que le fric, il est là.
Ne saurons nous pas nous défendre ?
Si nos dirigeants sont incapables de le faire, qu'ils soient politiques, religieux ou syndicaux ou même associatifs, n'est-ce pas à nous à nous prendre en charge ?
Ils nous divisent pour mieux nous amener à merci. Eux, tous, qui parlent pour nous ou qui parlent contre nous. Et, nous continuons à les suivre comme des moutons qui sentent l'odeur de la luzerne quand la luzerne est dans des mangeoires réinstallés dans des abattoirs.
Si, nous ne sommes pas capables de nous défendre, alors nous méritons le sort qui nous est concocté. Si, ils considèrent que nous ne sommes plus qu'un poids à leur opulence et que nous nous taisons, alors, oui, nous méritons notre sort.
Si, personne ne dit parmi nos intellectuels qu'il faut repenser d'urgence notre société, dans son fonctionnement, dans ses objectifs et dans son but ultime qui est, "pour qui elle est faite", alors, oui, la cour des miracles redeviendra notre loi.
Voilà, à quoi, je vous demande de réfléchir aujourd'hui. Car, voilà ce qui me désespère et m'oblige à prendre la plume. Car, j'accuse, j'accuse la société du spectacle de produire un monde où le silence étouffe la souffrance.
Alors, réfléchissez bien car si vous n'êtes plus capables de vous battre pour vous mêmes, battez-vous au moins pour vos enfants.
Malgré tout, bien le bonjour chez vous.
René.

mardi 13 novembre 2007

Un jour, on dira, "Le paradis était à notre porte et on l'a bousillé."

Salut à tous ceux qui pensent que l'espèce humaine a un avenir. Ca ne coûte rien d'y croire !

Bon, il faut le dire et le redire, tous les produits chimiques que l'on ingurgite nous empoissonnent, mais, il n'y a pas que ça.
Pour vous en convaincre, je vous cite le témoignage de Sheila Watt-Cloutier, Présidente de la Conférence Circumpolaire Inuit :"A la fin des années 1980, des recherches préliminaires menées dans le nord du Québec et dans le sud de l'île de Baffin ont suggéré que le sang et le tissu adipeux de nombre d'Inuit du nord du Canada contenaient une quantité très élevée de plychlorobyényles (PCB) et de DDT. Le programme canadien de lutte contre les contaminants dans le nord (NCP) - auquel participent activement les Inuits, les Déné et les premières nations du Yukon - a permis de réunir un nombre considérable de données au cours des années 1990 et montré que le problème résultait du déplacement sur de longues distances de polluants organiques persistants (POP) rejetés dans le milieu naturel par des pays tropicaux et tempérés. Lorsqu'ils parviennent dans l'arctique, les POP se dégradent très lentement et s'accumulent dans les organismes vivants, en particulier dans le réseau alimentaire marin. Nous les ingérons lorsque nous mangeons le produit de notre chasse. Le rapport d'évaluation des contaminants dans l'arctique canadien, publié en 1997 dans le cadre du NCP, montre que la présence de certains POP est entre 10 et 20 fois plus élevée chez les Inuit que parmi les populations de la plupart des régions tempérées, ce qui suscite de graves préoccupations de santé publique.(............)
Imaginez un instant, s'il vous plaît ce que nous ressentons aujourd'hui: un choc, un sentiment de panique, de désarroi à mesure que nous découvrons que la nourriture que nous consommons depuis des générations et qui nous permet de conserver notre intégrité physique et mentale, est devenu un poison.
Vous vous rendez au supermarché pour acheter à manger. Nous, nous allons chasser, pêcher, poser des pièges. Notre supermarché, c'est l'environnement.
Lorsque nous allaitons nos bébés, nous leur faisons ingérer un cocktail chimique nocif, prélude à des troubles neurologiques, des cancers, des insuffisances rénales et des dysfonctionnements de l'appareil reproducteur.
Le fait que les mères inuit - qui vivent bien loin des zones où les POP sont fabriqués et utilisés - doivent y réfléchir à deux fois avant d'allaiter leurs enfants au sein devrait à coup sûr conduire le monde à tirer la sonnette d'alarme."

Et, voilà, de toute façon, nous sommes foutus. Bravo, l'industrie chimique.
Que dire de plus, Rien.
René.

dimanche 11 novembre 2007

"La seule fleur qui pousse dans mon jardin, c'est l'amour que je te porte". Sérieux, vous croyez que les meufs, elles y croient encore ?

Salut au front du nord, j'espère qu'il tient encore le choc sous les bombardements des stukas nazis. Tenez le choc, n'oubliez pas, "No passaran !"

Eh, oui, vous direz, ça fait un peu vieux, mais pas plus que les arguments de Bernard Henri Lévy qui entraîne ses contradicteurs sur la route de la Shoah pour mieux les faire taire.
L'histoire de l'humanité n'est pas que l'histoire de la Shoah autrement, ça se saurait.
De toute façon, c'est simple, nous interpeller sans cesse sur la Shoah, c'est finir de nous bassiner et nous faire souhaiter de l'oublier. Bon, voilà, fini pour BHL.
Par contre, j'ai vu un reportage sur les réfugiés du Darfour en Israël.
Je me suis demandé, "Tiens, ils ont déjà un problème avec les Palestiniens et ils accueillent des musulmans ?"
Il semblerait que les réfugiés du Soudan et pas particulièrement du Darfour, donc pas forcément politiques ont trouvé que Israël était plus proche avec l'avantage d'être directement accessible du continent africains. Naturellement, les israéliens comme les Français n'ont aucunement l'intention d'accueillir toute la misère du monde. Aussi, par solidarité et à cause du génocide, ils ont décidés d'accepter 500 personnes du Darfour. Pas plus, les autres seront expulsés vers l'Egypte.
Alors, je me suis posé la question, "Et, si l'Egypte n'en veut pas ?"
Comme pour nous en France, lorsque les pays du Maghreb ne reconnaissent pas leurs ressortissants ayant jeté leur passeport.
Et, que pour titiller le gouvernement israëlien, les égyptiens en plus laissent passer les immigrés clandestins.
L'Etat d'Israël construira-il un nouveau mur sur sa frontière avec l'Egypte ? Et, pourquoi pas, un autre sur sa frontière avec le Liban.
Il deviendrait de fait, un état prison puisque entouré de murs. Il mériterait alors d'être inscrit sur le livre des reccords du Guiness'book comme le seul état ayant cloitré ses citoyens entre des murs.
Pourquoi pas après tout ?
A part ça, Fillon a avoué en loucedé que Sarko lui demandait de la fermer. Ou il n'a pas de fierté ou il a une âme de domestique. Après tout, ça le regarde.
Mais, premier ministre, c'est tout de même pas président. Je comprenne que l'Elysée vaille bien une messe, par contre Matignon, même dans les dorures ?
Peut-être à vous, mes lecteurs de me le dire. Passer pour une cruche, peut-être que ça ne gâche en rien un avenir en devenir, politiquement s'entend.
En tout cas, ce que je peux vous annoncer d'avance dans le cas d'Ingrid Betancourt, la franco-colombienne, otage des Farc, si, elle est et seulement si, vivante, Sarko ira la chercher au Vénézuela pour la ramener en France. Et, ça, même si elle souhaite rester en Colombie.
Moi, si j'étais un comique, je proposerais une situation bidon au service communication de l'Elysée avec une victime et un héros à la clé, genre qui a sauvé toute une famille. Je vous le colle dans une clinique privée et je suis sûr que Sarko viendrait le voir avec sa ribambelle de photographes.
Et, je suis sûr que vous en êtes sûrs comme moi.
Allez, allez, je vous connais, vous êtes des bidons comme moi, un rien vous amuse.
Bon, à part tout ça, je vais vous quitter parce qu'après tout, on est dimanche.
Alors, bon dimanche et n'oubliez pas, s'il faut sucrer les fraises, mieux vaut attendre le plus longtemps possible. Ah, oui, les fraises, les fruits qui contiennent le plus les toxiques agricoles.
Ah, mon avis, vous devriez profiter un maximum d'une bonne bourre parce que les fraises, elles vous couperont la trique dans pas longtemps.
Bien le bonjour chez vous.
René.

jeudi 8 novembre 2007

Tu seras mon enfant, l'arme fatale qui détruira dans une dernière rafale.(message aux couples divorcés)

Il n'y a pas que le diable qui danse. Dansons la carmagnole, vive le son, vive le son. Dansons la carmagnole, vive le son du canon !

Allons, allons, dites le moi que je ne suis pas un galérien de la vie. Parce qu'elle est comme une bonne soupe. Il faut la boire chaude accompagnée d'un bon verre de pinard.
Tiens, en parlant de pinard, les chinois se lancent dans la vigne. Ils vont produire du vin. Etienne, Etienne, tiens le bien !
Même ça, ils veulent nous chiper.
Sauf qu'ils ne se rendent pas compte du danger, car danger, il y a. Le risque est grand que les moins bouddhistes ne fassent comme nos curés et ne se mettent à biberonner le gros rouge et à lutiner les petits garçons.
Moi, à leur place, je m'abstiendrai.
Bon, vous me direz que cette fois ci, ce ne sera pas comme la dernière fois où les diables étrangers leur avaient imposé la culture du pavot. Aujourd'hui, c'est eux qui choisissent leur nouvelle drogue, le bon pinard de nos campagnes.
Imaginez le marché, un milliard de poivrots.
Espérons qu'ils ne se mettront pas à la baguette de pain. Parce que là, le blé va carrément disparaître du marché. Déjà, qu'il a augmenté suite à de mauvaises productions et à une demande qui dépasse l'offre. Si, cela arrivait, y'aurait plus qu'à faire de la farine de lentille.
Fadaises, me dites-vous ?
Pas du tout, y'a qu'à regarder Carrefour qui s'est installé au Mexique et dont les baguettes de pain font concurrence aux galettes de maïs. Le constat est simple, autour de l'hyper-marché, les petits vendeurs disparaissent.
Après ça, on dira que la colonisation rampante du changement des habitudes alimentaires n'est pas en marche.
Après ça, on dira que les nouvelles technologie de communication font souffler un vent de liberté sur le monde. A mon avis, il fait surtout souffler un vent qui gonfle les insatisfactions. Car, tout ce que je peux voir sur Internet si je suis citoyen d'un pays émergent, c'est que ma vie n'est qu'une suite de désirs insatisfaits et qu'elle risque de le rester.
A moins, à moins que je ne dirige mes pas vers ces El Dorado où tout est abondance.
Pour mieux exprimer ma pensée, je dirais que la plus belle île du monde est une prison, si on ne peux la quitter. Autant, avant le monde extérieur représentait un danger, autant maintenant avec la télé, ce monde extérieur est devenue terre d'avenir vers laquelle se dirigent toutes mes aspirations.
Eh, oui, les petits gars, c'est pas que je désire prendre ce que possède mon voisin, non, c'est que j'aspire à avoir au moins autant que lui.
Un truc simple quoi.
Et, de toute façon, j'ai plus envie de réfléchir. Et, en plus vous m'embêtez mes chers trois lecteurs iniques. A force de me solliciter, vous avez fini de me fatiguer pour aujourd'hui. Voilà, je ne sais même plus de quoi je voulais vous parler aujourd'hui.
Alors, bonjour chez vous et n'oubliez pas les bananes d'Amérique Latine absorbent autant de produit phytosanitaires que les bananes de Martinique, mais personne ne vous le dit.
Sur ce, Ciao.
René.

mercredi 7 novembre 2007

Sarkozy n'est pas docteur, mais, il veut nous soigner quand même.Comprenne qui pourra

Salut à tous les milliardaires, déjà que vous dirigez le monde en sous main, qu'attendez vous pour prendre officiellement le pouvoir à l'ONU ?

En effet, il me semble évident qu'au vu des états qui se défont de leur souveraineté, un jour nous arrivions à une gouvernance mondiale des grandes multinationales.
Déjà, que sous le couvert de l'OMC, elles ont dérégulés les économies nationales en imposant un libre accès des marchandises sur les marchés nationaux, il leur reste plus qu'à revêtir les apparences du pouvoir. Et, le mieux pour ça, c'est s'imposer dans les instances internationales ou mondiales en laissant des pantins à la tête des états nations.
A moins que cela ne soit déjà fait ?
Mais, non, c'est mon esprit mécréant qui amène une telle pensée dans mon esprit pervers. Évidemment que cela n'est pas vrai. Autrement, ça se saurait, n'est-il pas vrai ?
En attendant, nous pauvres consommateurs nous souffrons.
Le baril de pétrole attend d'atteindre les 100$. Ce qui nous amènera à réduire nos vacances, vu le coût de l'essence. Ce qui amènera également une baisse du pouvoir d'achat de ceux qui se rendent en voiture au boulot. Sans compter, les difficultés qui se font jour pour ceux qui se chauffent au fuel.
De plus, le coût de la consommation d'eau devenant prohibitif, nous allons revenir à l'époque où les français ne se baignaient que deux fois la semaine.
Et, la poule au pot, la poule au pot, mes bons amis, cette victoire éclatante d'Henri IV qui préconisai comme objectif pour les françois de l'époque la possibilité de manger une poule au pot au moins une fois par semaine, eh, bien, nous y allons tout droit.
Surtout que lorsque notre mirifique président fait une adjonction à l'économie de maintenir le pouvoir d'achat, c'est à peine si il ne nous prend pas pour des billes.
Que sous prétexte de sauver avec des réformettes la protection sociale en nous soulageant d'une part de notre revenu, il clame qu'il ira chercher la croissance là où elle se cache. Ça, ça me fait particulièrement pleurer des armes amères.
Et, d'ailleurs, où se cache-t-elle cette fameuse croissance ?
En tout cas plus dans les culottes de nos grand-mères parce que le passage à l'euro les a lessivées.
Alors où ?
Dans une réévaluation du dollars et de la monnaie chinoise ?
Vraiment, c'est qu'il ne croit pas au Père Noël, mais qu'il se prend pour le père Noël.
Comment peut-il s'imaginer que sa venue est attendue comme celle du messie aux States et en Chine et que sa parole fera loi ?
Il a pété une durite !
Qu'il fasse un discours au Congrès américain ou devant l'assemblée chinoise en se posant en donneur de leçon, ça devient de la mythomanie.
Alors, la question se pose, "Est-ce que notre président ne serait pas sujet à une perversion mentale, de celle qui font péter plus haut que son cul ?"
Bref, y'a qu'à regarder la manière dont il a condamné les abrutis de français qui sont en tôle au Tchad, y'a de quoi se poser des questions.
Alors, l'autre question qui se pose est, "Sommes-nous entre de bonnes mains ?"
Sérieux, y'a de quoi se poser des questions.
Mais, si l'on se dit comme les témoins de Jéhovah qu'Armaguédon approche, alors, y'a plus de problèmes. De toute façon, on est foutu car peu sera le nombre d'élus.
Par contre, moi, je me suis inscrit d'avance par Internet, toujours sur le site "Ferma ta gueule.com". En vérité, je vous le dis, j'ai dû payer un max. Car même là-haut, ils sont corrompus. Mais, comme il est dit, "les plus pauvres seront les premiers", du coup la corruption est moins élevée.
Par contre, si Bill Gates veut m'acheter ma place, je lui cède bien volontiers car à choisir, je préférerais faire bombance sur terre que ceinture au paradis.
Et, après ça, vous direz que je ne suis pas épicurien.
Sérieux, des fois, je me demande pourquoi vous me lisez. Et, encore si vous trouvez mon blog qui disparaît du net, qui réapparaît, mais pas sous la bonne désignation. Y'a pas à dire, me lire, c'est carrément le parcours du combattant.
Ah, au fait, je remercie la seule personne qui m'est fait un commentaire du Québec avec ses simples mots "Bon blog".
Si après ça, je ne suis pas pour le Québec libre, c'est que j'ai une enclume à la place du coeur. Alors, disons le et répétons le, "Vive le Québec libre !"
Des fois, je me sens des accents gaullien. Alors, rajoutons en encore et crions, "Vive le général De Gaulle !"
Ouf, c'est dit et ça fait chaud aux tripes.
Bon, à part ça ?
Nada, à part qu'il faut brûler les idoles et respirer le moins possible, vu que l'air est pollué.
Ce sera donc sur ces bonnes paroles qu'aujourd'hui, je m'en va vous quitter nobles jouvenceaux et jouvencelles.
Portez vous bien et n'achetez plus de string car la ficelle qui vous rentre dans le cul va finir par vous provoquer un cancer de l'anus.
Bien le bonjour chez vous.
René.

mardi 6 novembre 2007

Je prends mon avion, je vais au Congo. Je prends mon avion, je vais au charbon. (devise sarkosienne)

Salut les artistes, si vous êtes comme moi, un jour vous êtes le clown qui rie, un jour, vous êtes le clown qui pleure.

Eh, oui, toujours bon pied, bon oeil sur le pont du navire.
Que dire aujourd'hui, je dois dire que je manque d'inspiration. A part que le roi d'Arabie Saoudite, le chef des wahabites va faire une visite de courtoisie au pape, représentant des catholiques.
Donc, une réunion au sommet entre une doctrine qui met le feu au monde musulman et une doctrine qui en est à demander pardon pour tous les massacres commis au nom du Christ.
Bien, rien de nouveau sous le ciel de ce vaste monde.
Peut-être, Hugo Chavez, futur président à vie du Vénézuela qui serait en passe d'obtenir une preuve que Ingrid Bétancourt est toujours vivante. Là dessus, je reste dubitatif, mais, à voir.
Par contre, il faut le dire, la Chine fait chier le monde. Elle devrait savoir qu'être boulimique ne conduit qu'à l'obésité. Alors, se prendrait-elle pour la grenouille qui veut devenir plus grosse que le boeuf comme nous l'a chanté La Fontaine ?
Si, sérieusement, nous voulons l'obliger à respecter des normes de pollution, il faudrait imposer des contrôles plus sévères aux frontières pour les produits d'origine chinoise. Du genre, l'usine qui fabrique doit respecter des normes environnementales.
Parce que si on continue comme ça, à faire n'importe quoi, ça ne servira à rien de faire un effort en occident alors qu'en Chine ou en Asie, ils continuent à polluer à tout va.
Ou alors, il faut le dire, "Il est déjà trop tard !"
Et, les petites mesurettes que nous nous imposons en occident, c'est comme pisser contre le vent. Si, il y a des arbres à planter pour compenser le droit à polluer, alors aidons les chinois à mettre en place une barrière verte pour lutter contre la désertification chez eux.
Et plutôt que construire des cimetières plantant des forêts cimetières. Nous pourrions en effet choisir des terrains où nos chers défunts seraient enterrés à même la terre avec un arbre planter au dessus de leur corps. Ce qui permettrait plutôt que de vénérer un bloc de ciment, à entretenir un arbre ou des arbres selon la taille de la famille. En nous promenant à l'intérieur, nous rendrions hommage en même temps à la nature et à nos morts.
Il est vrai que le changement climatique appelle un changement total de nos comportements, de nos habitudes de vie et de nos modes de penser. Il ne s'agit pas seulement de nouvels habitus économiques, il faut aller plus loin si nous voulons réussir. Par exemple, intégrer dans la loi, le crime écologique qui doit être pénalement aussi grave que le crime en col blanc.
Au moins en rêve.
Si, effectivement, les pôles arctiques fondent, pareils pour les glacier, ce n'est pas d'un mètre que la mer va monter, mais de beaucoup plus.
Et, dites moi, où les fleuves prendront-ils leur source, si les glaciers n'existent plus ?
Comme, je l'ai dis précédemment, le Thibet avec le réchauffement deviendra peut-être un pays de cocagne où les chinois par dizaine de millions pourront venir baguenauder en toute quiétude.
Le Dalaï Lama a parié sur la durée et la non violence, le changement climatique est en train de le prendre à revers.
N'oublions pas que les perturbations climatiques nous obligeront aussi à revoir nos normes de construction. Si, en France, des tornades s'installent, il faudra changer les toitures en tuiles qui auront tendance à s'envoler à cause de vents trop violents.
Et, tout ça, et tout ça, tous ces petits détails qui vont transformer nos vies quotidiennes, nos industriels devraient y penser pour s'ouvrir de nouveaux marchés.
Alors, si vous êtes en phase avec moi, écrivez-moi pour me dire quels changements risque de provoquer le changement climatique dans nos petites vies quotidiennes.
Nous établirons une liste exhaustive à proposer à notre gouvernement et à nos industriels.
J'attends vos réponses.
Réfléchissez bien et bonjour chez vous.
Aujourd'hui, on fait court car mes petits doigts sont fatigués de trop d'élagages et de bucheronage. Par contre, si vous avez des chantier élagages à me proposer, faites le moi savoir, j'ai besoin de fric en ce moment.
Et en attendant, Ciao.
René.

lundi 5 novembre 2007

Attila a fait mieux que le cheval de Troie. Il a été élevé à la cour de Rome. Après avoir tout compris d'eux, il leur a fait pleurer leur race.

Salut mes petits poulets bien tondus. Vous allez attraper froid ? Demandez à Sarko, c'est sûr, il vous fera pleuvoir des duvets, histoire d'avoir chaud la nuit à la belle étoile.

Il est des jours comme ça où le soleil qui brille vous réconcilie avec l'humanité. Avec un soleil comme ça, finalement, elle ne peut être intrinsèquement mauvaise.
Mais, voilà, après, vous vous dites que ce n'est pas l'humanité qui fait que la lumière est, c'est le soleil, point tout seul.
C'est comme l'histoire de Lucie, la fameuse gonzesse qu'un français à trouver à l'état de sac d'os dans les montagnes d'Ethiopie. Le plus vieux squelette du monde parait-il.
A partir de là, une école de pensée se confirme pour signifier que l'humanité a sa terre d'origine en Afrique. Afrique qui à l'époque ne connaissait pas le même climat.
Donc, comme nous venons d'Afrique, nous sommes tous d'origine noir. Bon, les chinois sont pas d'accord, eux, ils viennent de chez eux et ils avaient déjà la même couleur de peau.
Par contre qui nous dit qu'à l'époque, les êtres vivants dans ces contrées avaient la peau noir. A mon avis, à l'époque de Lucie, plus qu'une peau, c'était plutôt un espèce de cuir qu'elle se trimbalait. Après, tout, elle était encore pratiquement hominée, à peine différenciée des grands singes.
Donc, noir ou pas noir ?
Comme, nous n'avons pas la réponse, nous allons laisser la question en suspend et nous intéresser au permafrost.
Donc, premièrement, une fois que le permafrost, ce sol gelé en permanence des régions arctiques aura décongelé, il dégagera une quantité de méthane tellement importante que la pollution humaine à côté sera une douce rigolade.
Deuxièmement, imaginez les richesses que peut contenir ce sol gelé qui est capable de conserver des mammouths en l'état, poils compris et pupille de l'oeil, sans compter les caries dentaires.
Alors, si ce sol a gardé depuis des centaines de milliers d'années les traces non seulement des êtres de chairs, mais également des bactéries de l'époque, imaginez, imaginez mes bons amis, ce qu'il sera capable de livrer à notre connaissance avide de savoir ?
D'abord, des bactéries endormies depuis des milliers d'années. Qui sait peut-être quelque chose de plus virulent que la grande peste noire ?
Ensuite, si des hommes sont conservés intact, peut-être, y-a-t-il quelqu'un d'aussi vieux ou de plus vieux que la mère Lucie. Ce qui prouverait que nous ne venons pas tous d'Afrique et qu'à l'origine de l'origine, nous n'étions pas tous noirs, même Luis Amstrong. Car comme disait Claude Nougaro, "Je voudrais être un noir !"
Et, oui, mon pote, même ça, c'est raté.
Sauf, car il y a un sauf, pas un sauf qui peut, mais qui pourrait l'être mes bons amis, le sol va devenir spongieux pendant au bas mot un ou deux millier d'années et que tout ce qu'il contient va évidemment pourrir à la vitesse grand V.
Donc, ça aussi, on l'aura raté, prouver que les blancs ne sont pas nés noir à l'origine.
Alors, que dire, oui, mon dieu que dire mes amis très chers lecteurs au nombre de trois ?
Simple, il faut se dire qu'il faut mieux être noir d'origine que sans origine du tout ce qui nous plongerais dans le néant. Et, directement dans la question de l'origine du monde, ce qui deviendrait trop compliquer pour notre petite compréhension humaine.
Et, voilà, à tout ce que je pense aujourd'hui.
J'espère ne pas vous avoir amener la déprime, surtout si l'un parmi vous, mes trois chers lecteurs est raciste. Ce qui serait une catastrophe puisqu'il n'en resterait que deux et que le deuxième peut-être découragé, à son tour s'en irait et me laisserait seul puisque je ne vous l'avais pas avoué, je fais parti des trois. En tout cas, si il en reste un seul, je serais celui-là !
Tout seul, seul tout, mais toujours de face.
Et, sur ces bonnes paroles, je vous laisse réfléchir et penser.
A bientôt et à demain sans doute et toujours en petite foulée.
Je vous aime ! M'aimez vous ?
Naturlïch, je parle des meufs, pas des chiffons qui se prennent pour des mecs. En tout cas, elles me mettent chiffon-chiffon et d'autant je les aime !
A la revoyure.
René.

dimanche 4 novembre 2007

Colombine, sous ta jupe se tient un espoir qui me rend fébrile. Me laisseras-tu cueillir ta fleur un jour. Ecris-moi, pour toi, je serais toujours là.

Salut à mes camarades du soviet des cuistots de "Chez Maxime". Bientôt, on transformera ce rade puant le fric en cantine ouvrière.

Mais, non, mais, non, rassurez-vous. Nul ne songe à transformer ce lieu où se côtoient les figures de mode en cantine ouvrière. Je sais, un court instant, vous avez eu peur que les comités de quartier hurlant leur haine à l'encontre de l'indifférence de la gente friquée de droite ou de gauche d'ailleurs, ne viennent vous savonner la tête.
En fait, ce que vous méritez, c'est que le peuple reprenne le chant "Les aristocrates à la lanterne !" en ces termes, "Les salauds de people, les salauds de spéculateurs, c'est à la lanterne qu'il faut les pendre !"
N'est-ce pas mieux ainsi. Allez, avouez le.
On ne va quand même pas crever sans rien dire pendant que ces figures de mode se gobergent. Tiens, cela me rappelle, Alié Sélassié, empereur d'Ethiope.
Lors d'une fête, disons et alors que la famine sévissait sévère dans ce pays de montagne, mon empereur, s'en va fleur bleu avec sa cour faire un pique nique. Jusqu'à là, rien de bien excitant, dans ce pays de misère et d'injustice (à l'époque s'entend). Sauf, que la foule idolâtre bientôt au courant accoure et entoure le campement que les serviteurs ont eu la précaution d'entourer de buissons épineux.
Ces misérables existences ont faim. Et, qu'osent-ils ?
Ces pestiférés, ces relents de misère élèvent des prières jusqu'à l'empereur pour qu'ils envoient ses serviteurs leur jeter les os avec un peu de viande autour.
L'empereur, touché par les états faméliques accède à leur souhait et leur fait envoyer les os.
Que c'est beau, la bonté.
Chez, nous en France, ils ne sont pas encore à nous envoyer les os pour l'instant. Même, si nous serions prêt à les accepter, ventre affamé, dit-on, est seul maître à bord.
Pourtant, c'est vrai, en France, qu'ils sont des milliers à avoir faim.
Sauf que dans les endroits à la mode (comme à Versaille à une époque) les cris des enfants affamés ne parviennent plus jusqu'aux figures de mode.
Et, c'est pour ça qu'ils doivent payer le prix de leur indifférence. Car, bientôt, nous ne devront plus rien attendre de personne.
Survivre est un combat qui nous prendra tout notre temps et qui annihile toute morale et tout respect de soi et des autres.
Et pendant ce temps, nos intellectuels papotent dans les journaux et surtout dans les émissions de télé. Ils nous parlent avec des mots qui ne s'adressent même pas à nous. Ils parlent entre-eux........de nous ! Mort de rire !
Les télés nous parlent dez islamistes, d'Al Quaïda, mais qu'est-ce qu'on en a à foutre, sérieux ?
Au moins, eux, ils font chez eux ce que nous sommes incapables de faire chez nous, combattre et nous débarrasser de ces salauds qui nous représentent ou qui nous exploitent et qui ne pensent qu'à s'intégrer dans la bulle des élites.
C'est vrai, y'en a marre !
Finalement, tous ces syndicats, tous ces partis, notamment de gauche, ce sont eux qui nous empêchent de prendre nos destinées en main. Ils nous disent, "Patience, il faut s'organiser et surtout pas s'inscrire dans une ligne aventuriste !" Et, pendant ce temps, qu'est-ce qu'on fait, on continue de crever ?
Tous ces intellos de merde, tous ces syndicas complices, tous ces partis politiques de gauche soumis au grand capital, ce sont eux qui parlent pour nous ! Ce sont eux qui nous représentent et qui nous défendent ! Pipo !
C'est bien pour ça qu'on est dans la merde !
Y'en a pas un qui est de parole. Y'en a pas un qui un jour n'a pas profité de la caisse.
Il faut le dire, tous complices, tous parjures !
Si, l'on veut vraiment se défendre, alors d'eux aussi, un jour, il faudra se débarrasser !
Pan ! Pan ! Rataplanplan ! Ça, c'est le bruit du canon.
Et ainsi commence la guerre, Pan ! Pan ! Rataplanplan !
Voilà, mes chers amis, c'est tout. Je suis en colère, pas plus, pas moins et il fallait que je l'exprime.
Pensez plutôt à tous ces gens qui gardent leur colère pour eux et qui n'ont aucune occasion d'en faire quoi que ce soit. Moi, j'ai vous.
Vous êtes mon lavabo ou plutôt mon évier ou même ma cuvette de chiotte. Je tire la chasse et mes soucis s'en vont à vaux l'eau, c'est le cas de le dire.
Mais, excusez-moi, la comparaison est peu délicate et pourrait prêter à confusion. Lorsque je dis cuvette des chiottes, il faut tout comprendre dans la symbolique de l'évacuation évidemment et non dans l'acte lui même. Oh, quelle horreur, cela serait venant de ma part. Moi, un être si délicat.
Alors, vous m'excuserez et pour me faire pardonner, je tenterais d'être là demain.
Et, bien le bonjour chez vous.
rené.