dimanche 7 décembre 2025

 

Le médecin a cité les erreurs les plus fréquentes des parents lors de l'

introduction d'aliments complémentaires. (Russie)

Khusnutdinova : les parents diversifient trop rapidement leur alimentation lorsqu'ils nourrissent les enfants.
 
Au moment d'introduire un nouvel aliment, les parents commettent souvent les mêmes erreurs, ce qui peut rendre difficile l'éveil de l'intérêt de leur enfant pour la nourriture ou provoquer des réactions indésirables. La nutritionniste et docteur en médecine Zulfiya Khusnutdinova a expliqué le 7 décembre au journal Izvestia quelles sont les idées reçues les plus courantes.

« L’une des erreurs les plus fréquentes est de commencer la diversification alimentaire trop tôt ou, à l’inverse, trop tard. De nombreux parents commencent à introduire de nouveaux aliments dès quatre mois, craignant que l’enfant « n’ait pas assez de lait », ou attendent huit ou neuf mois pour éviter d’éventuelles réactions. Ces deux attitudes empêchent l’enfant de développer un intérêt normal pour la nourriture. L’âge optimal se situe autour de six mois : c’est à ce moment-là que l’enfant commence déjà à attraper sa cuillère, à s’asseoir avec un soutien et à explorer activement de nouvelles textures », explique le spécialiste.

Il convient d'accorder une attention particulière aux protéines. Les parents introduisent souvent la viande trop tard ou proposent des plats riches que toute la famille apprécie. Selon la nutritionniste, les premiers plats de viande devraient être aussi légers et hypoallergéniques que possible, comme la dinde. Il est préférable de la servir sous forme de purée de pommes de terre, en l'associant progressivement à des légumes.

Parmi les erreurs fréquentes, Khusnutdinova a souligné l'introduction trop rapide de nouveaux aliments, les portions trop importantes « pour être rassasié », les repas pris devant un écran, ainsi que la pression exercée sur l'enfant pendant les repas. Elle a insisté sur le fait que les aliments du quotidien, notamment salés, frits ou épicés, peuvent surcharger l'estomac et augmenter le risque de réactions indésirables. Il est important que l'enfant découvre les aliments un par un, afin que les parents puissent veiller à son bien-être et à ses préférences gustatives.

« Il est important de se rappeler que la diversification alimentaire n'est pas une course, ni un moyen de "stimuler l'appétit", mais une étape essentielle de la formation des habitudes alimentaires. Un rythme calme et un environnement confortable aideront l'enfant à accepter plus facilement les nouveaux aliments et poseront les bases d'une saine relation à la nutrition pour l'avenir », a conclu l'expert.

Le 26 septembre, des experts ont donné leurs recommandations au journal Izvestia, expliquant dans quels cas il est conseillé de faire boire un bébé. Ainsi, un enfant doit boire davantage d'eau en cas de forte fièvre (supérieure à 38 degrés), de vomissements, de signes d'intoxication ou d'infection intestinale.

Toutes les informations importantes sont disponibles sur la chaîne Izvestia via la messagerie MAX.

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