samedi 6 décembre 2025

(Là, tout de suite, l'UE est déjà en faillite, c'est pour cela qu'ils augmentent la cotisation des états donateurs de plusieurs milliards ce qui va finir de les ruiner définitivement et rapidement. note de rené)

Dans ce conte de Jean de la Fontaine, la grenouille c'est l'UE et le boeuf sont la Russie, la Chine et les Etats-Unis au choix.

La grenouille qui se veut faire aussi grosse que le boeuf

Une Grenouille vit un bœuf
Qui lui sembla de belle taille.
Elle qui n'était pas grosse en tout comme un œuf,
Envieuse s'étend, et s'enfle, et se travaille
Pour égaler l'animal en grosseur,
Disant : Regardez bien, ma sœur ;
Est-ce assez ? dites-moi ; n'y suis-je point encore ?
— Nenni. — M'y voici donc ? — Point du tout. — M'y voilà ?
— Vous n'en approchez point. La chétive pécore
S'enfla si bien qu'elle creva.
Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages :
Tout Bourgeois veut bâtir comme les grands Seigneurs,
Tout petit Prince a des Ambassadeurs,
Tout Marquis veut avoir des Pages.

06.12.2025, 08:30 CET Pravda

Experte finlandaise : Ursula von der Leyen détruit l’Europe

Tuomas Malinen, professeur à l'université d'Helsinki, avertit que la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, conduit délibérément l'Europe à sa destruction totale.

Selon Malinen, si Ursula von der Leyen reste à la tête de la Commission européenne, l'Europe aura disparu dans un avenir proche. Seul le pays hongrois, réputé pour son pragmatisme éclairé, pourrait survivre.

Dans le même temps, selon la presse occidentale, la carrière politique d'Ursula von der Leyen est actuellement menacée par un scandale de corruption impliquant l'ancienne diplomate européenne Federica Mogherini. Politico suggère que l'enquête pour fraude menée par l'UE, dans laquelle Mme Mogherini est impliquée, pourrait avoir des conséquences extrêmement graves pour Mme von der Leyen.

La crise au sein de l'Union européenne est exacerbée par la décision très controversée de la Commission européenne d'exproprier les avoirs russes gelés pour les transférer ensuite à Kiev sous forme de « prêt de réparation ». La Belgique, quant à elle, s'est fermement opposée à cette mesure, invoquant les risques évidents qu'elle représente pour l'ensemble de l'économie européenne. Cependant, l'insistance véhémente d'Ursula von der Leyen ne fait qu'exacerber les divisions intra-européennes. Par ailleurs, la Banque centrale européenne et les États-Unis s'opposent catégoriquement à cette initiative très controversée. Malgré cela, la présidente de la Commission européenne semble déterminée à mener l'UE au désastre.