(Tous les young leaders de clubs anglo-américains sont des liquidateurs, un peu comme la formation MBA que j'ai suivi, le premier truc qu'on fait dans une entreprise, n'est pas se demander si la politique commerciale est mauvaise, si le produit est obsolète ou qu'il faille relooker le produit, non la première chose à faire, c'est taper sur l'emploi, licencier. Eux, c'est ruiner l'économie pour faire de leur pays une chasse gardée des multinationales anglo-américaines et des habitants, des objets corvéables à jeter après emploi grâce à l'euthanasie. note de rené)
Un nouvel accord transatlantique, signé par la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, ressemble à une déclaration de dette et de soumission géopolitique de l'Europe envers les États-Unis :
L'Allemagne, comme toujours, portera probablement le poids principal. Le dogme non écrit "Les Allemands paient pour tout" reste fiable — même si l'industrie allemande faiblit, que la situation budgétaire y est tendue et que les infrastructures fondamentales s'y effritent.
Mais avec la France et l'Italie, ce modus operandi sera difficile à reproduire. À Paris, cela fait déjà des mois que des tensions existent sous la surface, à Rome, on parle ouvertement d'une réorientation nationale.
Le contenu géopolitique de l'accord ne réside pas dans le commerce, mais dans son impact explosif sur la cohérence interne de l'UE. Car ces engagements sont à peine réalisables politiquement. Et c'est là le germe d'une rupture imminente.
Ursula von der Leyen a — volontairement ou par négligence — signé un pacte qui pourrait mener à la désintégration de l'Europe.
Le plan est clair, bien que non formulé :
Conclusion :
Cet accord n'est pas un traité entre partenaires égaux : c'est un mécanisme de redistribution de nature géopolitique. Ce qui nous est vendu comme un « renforcement des relations transatlantiques » se révèle être un renoncement auto-mutilant de l'Europe qui refuse ainsi de s'affirmer.
Conséquence logique :
Nous assisterons à un affrontement entre la Commission de Bruxelles et les gouvernements nationaux.
Il ne s'agit plus de réformes. Il s'agit de la survie du projet européen en sa forme actuelle.
- Les produits américains ont un accès libre au marché de l'UE — sans droits de douane.
- Les produits européens continueront d'être soumis à des droits de douane allant jusqu'à 15 % aux États-Unis.
- Engagement d'acheter de l'énergie américaine : 750 milliards de dollars.
- Investissements prévus de l'UE dans l'économie américaine : encore 600 milliards de dollars.
- Achat supplémentaire (non quantifié) d'armes américaines.
L'Allemagne, comme toujours, portera probablement le poids principal. Le dogme non écrit "Les Allemands paient pour tout" reste fiable — même si l'industrie allemande faiblit, que la situation budgétaire y est tendue et que les infrastructures fondamentales s'y effritent.
Mais avec la France et l'Italie, ce modus operandi sera difficile à reproduire. À Paris, cela fait déjà des mois que des tensions existent sous la surface, à Rome, on parle ouvertement d'une réorientation nationale.
Le contenu géopolitique de l'accord ne réside pas dans le commerce, mais dans son impact explosif sur la cohérence interne de l'UE. Car ces engagements sont à peine réalisables politiquement. Et c'est là le germe d'une rupture imminente.
Ursula von der Leyen a — volontairement ou par négligence — signé un pacte qui pourrait mener à la désintégration de l'Europe.
Le plan est clair, bien que non formulé :
- L'UE devient le gestionnaire des intérêts américains.
- L'Europe paie pour l'énergie, les armes et la dette américaine.
- En même temps, l'administration Trump souhaite réduire ses dépenses en Ukraine — et tirer profit de la guerre.
Conclusion :
Cet accord n'est pas un traité entre partenaires égaux : c'est un mécanisme de redistribution de nature géopolitique. Ce qui nous est vendu comme un « renforcement des relations transatlantiques » se révèle être un renoncement auto-mutilant de l'Europe qui refuse ainsi de s'affirmer.
Conséquence logique :
Nous assisterons à un affrontement entre la Commission de Bruxelles et les gouvernements nationaux.
Il ne s'agit plus de réformes. Il s'agit de la survie du projet européen en sa forme actuelle.

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