(C'est quoi cette histoire, netanyahu a besoin d'un cessez le feu parce ses troupes pinaillent et ne sont pas capables d'enfoncer les défenses du hezbollah, il faut qu'elles reprennent leur souffle et que l'armée change sa stratégie, par contre à Gaza où le but est le massacre pure et dure, netanyahu ne veut pas de cessez le feu. A Gaza les soldats ne sont pas fatigués de tuer des enfants à l'aide de drones, ça doit bien les faire rire de les tuer ou les handicaper à vie. Si il doit y avoir un état dans la région, cet état doit être palestinien autrement les crimes des juifs israéliens ne feront que monter en puissance dans la région sans jamais s'arrêter et personne ne sera pas épargné surtout les pays riches en gaz et en pétrole. Les bombes atomiques israéliennes, il paraît qu'il y en a aussi pour la France et l'Allemagne, alors, faites-les péter au moins tout le monde sera mort. note de rené)
Chantage au cessez-le-feu au Liban : “Acceptez, ou ce sera l’escalade”, disent les USA & Israël
L’article indique que la résistance libanaise prévoit d’“étudier en détail” la proposition, et qu’elle informera Berri de sa position à ce sujet.
Cependant, les médias libanais décrivent la proposition comme une forme de “chantage” sur le Liban.
“Le projet est en fait le fruit d’un accord unilatéral américano-israélien concernant les arrangements de sécurité demandés par Israël, que les Américains ont transmis au Liban sous forme de proposition”, a rapporté le journal libanais Al-Akhbar.
La formulation de cette proposition “fait de l’offre un chantage, et se présente comme le choix entre d’un accord, ou la prolongation de la guerre à un rythme plus soutenu et plus intense dans les mois à venir”.
Washington et Tel-Aviv veulent ainsi véhiculer l’idée que “la balle est dans le camp du Liban”, ajoute le rapport.
Al-Akhbar affirme que la proposition inclut des ajouts à la résolution 1701 de l’ONU pour “surveiller” et “assurer” la mise en œuvre de l’accord. Beyrouth a déjà rejeté les amendements à la résolution proposés par les États-Unis et Israël, comme cela a été rapporté au cours des dernières semaines.
En outre, la mise en œuvre implique la formation d’un comité international dirigé par les États-Unis, le Royaume-Uni, la France et potentiellement un État arabe, comme le mentionne le rapport.
Le quotidien ajoute qu’Israël exige des garanties internationales que le Hezbollah ne se réarmera pas, ainsi que des garanties de démantèlement de toutes les infrastructures du groupe de résistance, qu’elles soient souterraines ou en surface. Il exige également que les forces de l’armée libanaise et la FINUL soient déployées et surveillent toutes les voies terrestres, aériennes et maritimes menant au Liban.
Israël se retirerait des territoires où il opère dans le cadre de l’invasion terrestre, mais se réserverait le droit d’attaquer à nouveau le Liban si la FINUL et l’armée libanaise ne respectent pas les exigences et ne s’en tiennent pas à leur rôle.
Tel-Aviv a reçu
“des garanties américaines qu’il conservera le droit d’agir si la résolution n’est pas mise en œuvre par le comité conjoint”.
Mais aucune garantie n’a été offerte au Liban qu’Israël respectera sa part de la résolution 1701, que Tel-Aviv a violée plus de 35 000 fois depuis la fin de la guerre de 2006.
Le site d’information hébreu Ynet a affirmé qu’un second document existant garantirait la liberté d’action d’Israël en cas d’échec de la mise en œuvre de la version actualisée de la résolution 1701.
Ces informations sont publiées alors qu’Israël intensifie ses opérations terrestres et aériennes au Liban.
Le Hezbollah a également multiplié ses attaques à la roquette, au missile et au drone contre les colonies et les sites militaires israéliens, notamment dans les régions de Haïfa et de Tel-Aviv. Il continue également de décimer les troupes d’invasion israéliennes dans le sud du Liban.
Lien vers l’article original en anglais :
Traduction : Spirit of Free Speech
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