mardi 5 novembre 2024

 GOOGLE A LICENCIE DES INGENIEURS QUI SE SONT OPPOSES AU GENOCIDE ISRAELIEN

du 4 au 8 novembre 2024 :
  ISTANBUL
L'un de mes contacts m'a expliqué que plusieurs programmeurs d'origine turque employés par Google avaient dénoncé la collaboration de la multinationale avec les proches de Netanyahu ? En effet, qui aurait imaginé dans le pays de la vraie "démocratie", c'est à dire aux Etats-Unis, que Google n'hésiterait pas une seconde à jeter à la rue de précieux collaborateurs simplement parce qu'ils ont eu l'audace de s'opposer au contrat "Projet Nimbus" et qui, en plus, ont eu l'audace de manifester publiquement leur soutien aux Palestiniens ?

C'est pourtant ce qui est arrivé à 50 programmeurs - ingénieurs chevronnés- qui ont contesté le Projet Nimbus, signé entre Google, Amazon et le gouvernement Israëlien auteur d'un chèque de 1,2 milliard de dollars par lequel Google et Amazon gèrent les services "Cloud" ultra-sécurisés pour divers ministères Israëliens, y compris des services du ministère de la Défense (dont le Mossad) et, bien entendu, de Tsahal. Et ces ingénieurs ont vu comment Israël se sert de cette technologie, raison pour laquelle ils se sont révoltés, surtout depuis que le génocide global a commencé...



De plus, d'autres programmeurs ont vu que leur technologie a servi à Israël pour gérer l'occupation de Gaza, la gestion des militaires, la logistique, la montée des effectifs, etc., etc. Du coup, le mouvement "No Tech for Apartheid" a pris de l'ampleur, mettant la direction générale de Google comme d'Amazon en porte à faux. On sait par exemple que l'artillerie a été géré par l'IA afin de détruire le plus grand nombre de bâtiments de Gaza...

En clair, les deux multinationales n'ont pas du tout apprécié que l'affaire Nimbus soit sortie dans la presse et que leurs noms soient désormais associés à une collaboration étroite avec l'armée Israëlienne et le Mossad, vu toutes les images des massacres qui arrivent chaque jour sur plus de 3 milliards de téléphones



Néanmoins le plus grave est que les salariés juifs pro-sionistes - dont certains venus et embauchés de la cyber-unité 8200 du Mossad (!!!) - ont pris en photo les salariés anti-Israël et les ont envoyées à la DRH afin de les dénoncer ce qui a créé une crise, et surtout beaucoup de haine, au sein même des divers départements. Partout ou Israël s'immisce, la haine se répand. Même chez Google. 

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