via les moutons enragés
(Drôle tout le monde pose la question de l'avenir de la Palestine, personne ne se pose la question de l'avenir d'Israël parce que manifestement avec Israël, il n'y aura jamais de paix au moyen orient, à moins que tous les musulmans de la région soient morts. note de rené)
Face à la faillite morale de l’Occident, quel avenir pour la Palestine?
(Vous y croyez-vous à cette comédia dell'arte que nous font nos incroyablement intelligents dirigeants européens avec un macron qui souffle le chaud, "on va vous niquer" et ses collègues qui soufflent le froid, "on nique personne, il est urgent de réfléchir". Je vais vous dire, qu'ils envoient les soldats en Ukraine, ils vont se faire tuer, ils vont tuer des russes et poutine va décider un embargo total sur le commerce avec l'UE, pas avec les USA, avec l'UE. Dites-moi, combien va-t-il falloir de mois avant que tous ces pays ne s'écroulent, 1mois, deux mois, en tout cas, pas plus. Ce qui est con, c'est qu'on est dirigé par des crétins et des corrompus soumis volontairement à un agenda de gens très très riches et mal intentionnés à notre égard. A part ça, macron a réussi son opération de communication, on parle de lui, donc il existe. note de rené)
(Chanter que ce que fait elon musk est pour notre bien, ça me fait doucement rigoler, par contre voir tous ces milliardaires américains s'agiter autour de l'IA me rend sérieusement nerveux. Parce que je sais que ce n'est pas pour notre bien notamment avec bezos, cet esclavagiste de mentalité, devenu milliardaire selon le bon vouloir de vanguard qui a obligé, je dis bien obligé, les états à ne pas imposer Amazon et a obligé les actionnaires de ne pas réclamer de dividendes. Autrement, comment croyez-vous qu'Amazon aurait pu exister, sérieux. Mais, passons donc, cet intérêt des milliardaires américains pour l'IA, c'est nous donner une pelle pour creuser notre propre tombe. D'ailleurs, je me demande si l'IA pourrait empêcher un conflit nucléaire ou le provoquer, n'oublions pas également que la Nasa américaine, toujours eux, a donné la clé à l'IA de franchir la porte du champ quantique. C'est vrai, la Nasa a dit, on a arrêté à temps, vu qu'ils ont été effrayés, terrorisés serait le mot juste parce qu'il croyait avoir déclenché. Donc, lls ont appuyé sur le bouton Stop. Mais croient-ils sérieusement que dans un champ quantique où le présent, le passé, le futur n'existe pas, l'IA n'y soit plus présente, ils nous prennent pour des cons. note de rené)
(Ils sont bizarres ces canadiens, on dirait qu'ils ne sont plus humains. note de rené)
Bernard Kouchner: « Oui je suis favorable à des troupes au sol. C’est pas facile à dire, ça va coûter des sacrifices ! » (France)
Un ancien général israélien affirme que les médias gardent le silence sur le chaos au sein de l'armée israélienne à Gaza (The New Arab)
Un ancien général israélien affirme que les médias gardent le silence sur le chaos de l'armée israélienne à Gaza
Article originel : Former Israeli general says media keeping quiet on Israeli army chaos in Gaza
The New Arab, 24.02.24
Un ancien général de l'armée israélienne a révélé que les soldats israéliens souffrent à Gaza d'un manque d'équipement, de soutien logistique et même de nourriture.
Un commandant de l'armée israélienne à la retraite a révélé qu'un "chaos total" régnait parmi les soldats israéliens dans la bande de Gaza en raison d'un manque d'équipement et de logistique, alors que le premier ministre israélien était menacé par sa coalition d'extrême droite.
L'ancien général de division Itzhak Brik a déclaré qu'il avait informé le Premier ministre Benjamin Netanyahu, le 7 octobre, que l'armée n'était pas immédiatement prête à partir en guerre.
"Son équipe ne voulait pas qu'il entende la vérité et l'a éloigné de moi. Je lui ai dit que l'armée n'était pas prête à partir immédiatement en guerre, parce que certains soldats ne se sont pas entraînés pendant cinq ans et qu'il y a un manque d'équipement", a déclaré M. Brik au journal hébreu Maariv, dans des commentaires publiés samedi.
L'armée israélienne bombarde la bande de Gaza depuis le 7 octobre, après l'attaque surprise du Hamas, qui a fait environ 1 200 morts dans le sud d'Israël. Le groupe palestinien a également pris plus de 250 otages.
Le Hamas a déclaré qu'il s'agissait d'un acte de légitime défense après des décennies de siège de Gaza par Israël et d'occupation des territoires palestiniens.
L'impitoyable offensive aérienne et terrestre menée par Israël à Gaza depuis lors a fait près de 30 000 morts, pour la plupart des civils, et a détruit une grande partie de l'enclave.
"Depuis le 7 octobre, je reçois de nombreuses demandes de renseignements de la part de soldats", a déclaré M. Brik à Maariv, ajoutant que l'"énorme chaos" qui règne dans les rangs de l'armée israélienne à Gaza n'était pas évoqué.
"L'équipement, la logistique, la nourriture et tout ce qui est nécessaire pour nous faire avancer ne fonctionne pas, parce que l'armée a tout sous-traité à des entreprises privées", a déclaré l'ancien général.
"Il n'y a personne pour réparer immédiatement les chars. Des dizaines de chars sont bloqués [dans la bande de Gaza] en attendant d'être retirés", poursuit-il.
Selon lui, les médias israéliens gardent le silence sur cette question, très probablement pour préserver le moral des troupes, alors que les critiques à l'encontre du gouvernement de M. Netanyahou s'intensifient.
Israël affirme que plus de 130 personnes sont toujours détenues à Gaza par le Hamas, dont certaines sont mortes. Nombre d'entre eux ont été tués lors de frappes aériennes israéliennes.
M. Brik a ajouté qu'il avait rencontré M. Netanyahu à six reprises depuis le début de la guerre.
"Il a des gens très radicaux dans la coalition [gouvernementale] qui le menacent de démanteler le gouvernement s'il ne fait pas ce qu'ils veulent", dit-il à Maariv, "et le gouvernement est plus important pour lui que le pays - c'est notre principal problème".
Il ajoute que ce que Netanyahou lui a dit en privé est différent de ce qu'il a dit en public en ce qui concerne l'entrée en guerre, alléguant que le ministre de la sécurité nationale Itamar Ben-Gvir exerce une influence significative sur le premier ministre.
"Lors de la dernière conversation, même si je l'ai convaincu de ce que je vais vous dire maintenant, lorsqu'il est sorti, il a parlé un langage différent. Ben-Gvir l'a constamment menacé de dissoudre son gouvernement s'il ne faisait pas ceci ou cela, et sa crainte de voir le gouvernement dissous est plus grande que le problème de sécurité auquel il doit faire face".
Traduction SLT
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