dimanche 31 mai 2020
Novavax débute les essais du vaccin Covid-19 sur des volontaires australiens après avoir obtenu 388 millions de dollars de financement de Bill Gates
Novavax débute les essais du vaccin Covid-19 sur des volontaires australiens après avoir obtenu 388 millions de dollars de financement de Bill Gates
(Rapide le vaccin ! Il faut faire vite avant que la propagande de la peur s'émousse dans les populations. note de rené)
(Rapide le vaccin ! Il faut faire vite avant que la propagande de la peur s'émousse dans les populations. note de rené)
(Le pôle magnétique terrestre ne cesse de s'affaiblir, pas bon tout ça. Quel est la relation avec l'ingénierie climatique ? Quelle est la relation avec la station américaine Haarp qui travaille sur l'influence de la ionosphère ? A partir de quand, ce changement a eu lieu, après, leur mise en oeuvre ? La surface de la planète est le résultat d'équilibres sophistiqués, en mettre en péril un est les mettre en péril tous. La terre a mis des millions d'années à les mettre en place et nous, nous venons tout chambouler en quelques années en s'imaginant qu'il n'y aura pas de conséquence. Il faut être con comme un scientifique pour croire cela. note de rené)
Le champ magnétique terrestre trouve son origine dans le lent refroidissement de l'intérieur du noyau externe de notre planète où se trouve un océan de fer liquide surchauffé et tourbillonnant qui crée des mouvements de convection, entre 2 900 km et 5 150 kilomètres sous nos pieds. D'autres facteurs interviennent comme les roches magnétisées dans la croûte terrestre et l'écoulement des océans notamment via les marées, que ce soit en surface ou dans les profondeurs.
Les mouvements de convection dans le noyau externe engendrent un effet dynamo appelé géodynamo, qui convertit une fraction de l'énergie libérée par le refroidissement en énergie électromagnétique.
Ce champ magnétique forme la magnétosphère située entre 800 à 1 000 km d'altitude. Il agit comme un bouclier qui protège la vie sur Terre des excès du vent solaire.
Mesuré pour la première fois en 1831 par l'explorateur James Clark Ross dans l'Arctique canadien, le champ magnétique est instable à l'échelle des temps géologiques. En effet, une de ses caractéristiques les plus étonnantes, révélée par les études paléomagnétiques, est l'inversion aléatoire des pôles magnétiques. Autrement dit, le nord et le sud magnétiques, qui sont situés respectivement près du nord et sud géographiques, s'inversent à un rythme chaotique avec une moyenne d'environ quatre évènements par million d'années, soit une fois tous les 250 000 ans.
La dernière inversion du champ magnétique s'est produite il y a environ 780 000 ans. Si ces inversions n'ont, à priori, pas été accompagnées de crises biologiques majeures, un nouveau basculement du champ magnétique serait un véritable défi voire une catastrophe pour notre civilisation dépendante de la technologie. En effet, les systèmes électronique, informatique et de navigation seraient complètement perturbés / désorientés et donc l'ensemble de l'économie mondiale et des transports. Voici quelques conséquences :
En 2001, une expédition polaire internationale avait découvert qu'il était entré dans l'océan Arctiques et avait parcouru environ 300 km en seulement 7 ans !
Or, ce phénomène s'est encore aggravé début 2018. Celui-ci s'éloigne rapidement et de manière plus chaotique du Canada vers la Sibérie, sans que les géologues ne puissent déterminer vraiment pourquoi ce changement est si soudain et si spectaculaire.
Une étude dirigée par Phil Livermore de l'Université de Leeds (Angleterre) publiée dans la revue Nature Geoscience début mai 2020 avance une nouvelle hypothèse. Le déplacement du pôle nord magnétique pourrait s'expliquer par une "épreuve de force" entre deux zones du champ magnétique terrestre, l'une située sous le Canada et l’autre sous la Sibérie. « Nous avons découvert que la position du pôle Nord magnétique est contrôlée par deux parcelles de champ magnétique. Elles agissent comme un effet de tir à la corde contrôlant l'emplacement du pôle », a précisé Phil Livermore à la BBC.
Ainsi, selon les chercheurs, la zone magnétique sibérienne serait devenue brusquement plus puissante que la zone canadienne, attirant le pôle nord qui s'éoligne de sa position historique au Canada.
Depuis sa découverte en 1958, cette zone s'est développée et s'est déplacée vers l'ouest à un rythme d'environ 20 kilomètres par an.
Ainsi, le modèle, mis à jour en 2015, doit être plus fréquemment tant le déplacement s'accélère. « L'erreur augmente constamment », explique Arnaud Chulliat, géomagnétiste à l'Université de Colorado Boulder et à l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique.
En 2016, par exemple, une partie du champ magnétique s'est accélérée sous le nord de l'Amérique du Sud et dans l'est de l'océan Pacifique. Ces variations géographiques du champ magnétique sont enregistrées chaque jour par le satellite Swarm de l'Agence Spatiale Européenne (ESA).
En 2018, la marge d'erreur du modèle est devenue trop importante : le modèle magnétique mondial a été mis à jour fin 2019, en retard à cause du shutdown aux USA qui avait entraîné la fermeture du gouvernement fédéral américain notamment chargé de cette tâche.
Selon une étude de l'Institut national des sciences de l'univers, l'intensité du champ magnétique terrestre actuel diminue en moyenne de 5% par siècle. Or, cette diminution s'est accélérée brusquement depuis 1840 au point qu'à ce rythme le dipôle magnétique devrait s'annuler dans environ 1 500 ans !
Le pôle nord magnétique se déplace de plus en plus vite, vers une inversion du champ magnétique terrestre ?
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Depuis une trentaine d'années, le pôle nord magnétique se déplace de plus en plus vite, quittant le Canada vers la Sibérie. Ce changement brusque pourrait annoncer l'inversion des pôles magnétiques alors que le champ magnétique terrestre ne cesse de s'affaiblir. Dans tous les cas, les scientifiques doivent revoir de plus en plus souvent le modèle magnétique de la Terre qui sert de base aux systèmes de navigation modernes.Chaque semaine, vous bénéficiez de 3 lectures gratuites.
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Le champ magnétique terrestre trouve son origine dans le lent refroidissement de l'intérieur du noyau externe de notre planète où se trouve un océan de fer liquide surchauffé et tourbillonnant qui crée des mouvements de convection, entre 2 900 km et 5 150 kilomètres sous nos pieds. D'autres facteurs interviennent comme les roches magnétisées dans la croûte terrestre et l'écoulement des océans notamment via les marées, que ce soit en surface ou dans les profondeurs.
Les mouvements de convection dans le noyau externe engendrent un effet dynamo appelé géodynamo, qui convertit une fraction de l'énergie libérée par le refroidissement en énergie électromagnétique.
Ce champ magnétique forme la magnétosphère située entre 800 à 1 000 km d'altitude. Il agit comme un bouclier qui protège la vie sur Terre des excès du vent solaire.
Mesuré pour la première fois en 1831 par l'explorateur James Clark Ross dans l'Arctique canadien, le champ magnétique est instable à l'échelle des temps géologiques. En effet, une de ses caractéristiques les plus étonnantes, révélée par les études paléomagnétiques, est l'inversion aléatoire des pôles magnétiques. Autrement dit, le nord et le sud magnétiques, qui sont situés respectivement près du nord et sud géographiques, s'inversent à un rythme chaotique avec une moyenne d'environ quatre évènements par million d'années, soit une fois tous les 250 000 ans.
Les conséquences d'une inversion du champ magnétique
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Le pôle nord magnétique se déplace de plus en plus vite
Au milieu des années 1990, le pôle nord magnétique s'est déplacé de plus en plus rapidement, passant d'environ 15 kilomètres à environ 55 kilomètres par an.En 2001, une expédition polaire internationale avait découvert qu'il était entré dans l'océan Arctiques et avait parcouru environ 300 km en seulement 7 ans !
Or, ce phénomène s'est encore aggravé début 2018. Celui-ci s'éloigne rapidement et de manière plus chaotique du Canada vers la Sibérie, sans que les géologues ne puissent déterminer vraiment pourquoi ce changement est si soudain et si spectaculaire.
A lire sur ce sujet :
Des hypothèses sont avancées : les impulsions géomagnétiques, comme celle de 2016, qui pourraient être attribuées aux ondes « hydromagnétiques » provenant des profondeurs du cœur de notre planète et la présence d'un jet de fer liquide à grande vitesse sous le Canada.Une étude dirigée par Phil Livermore de l'Université de Leeds (Angleterre) publiée dans la revue Nature Geoscience début mai 2020 avance une nouvelle hypothèse. Le déplacement du pôle nord magnétique pourrait s'expliquer par une "épreuve de force" entre deux zones du champ magnétique terrestre, l'une située sous le Canada et l’autre sous la Sibérie. « Nous avons découvert que la position du pôle Nord magnétique est contrôlée par deux parcelles de champ magnétique. Elles agissent comme un effet de tir à la corde contrôlant l'emplacement du pôle », a précisé Phil Livermore à la BBC.
Ainsi, selon les chercheurs, la zone magnétique sibérienne serait devenue brusquement plus puissante que la zone canadienne, attirant le pôle nord qui s'éoligne de sa position historique au Canada.
Et le pôle sud magnétique ?
Le pôle sud magnétique se déplace également, mais plus lentement que le pôle nord. Il a quitté le continent antarctique dans les années 1970 et se déplace vers le nord-est.L'anomalie de l'Atlantique Sud
Depuis 200 ans, au niveau planétaire, le champ magnétique de la Terre a perdu 9 % de son intensité et continue de s'affaiblir, notamment dans une large région de l'Atlantique sud entre l'Afrique et l'Amérique du Sud, connue sous le nom d'anomalie de l'Atlantique Sud. Celle-ci, est notamment surveillée par la mission satellitaire Swarm de l'Agence spatiale européenne (ESA). « Un nouveau minimum oriental de l'anomalie de l'Atlantique sud est apparu au cours de la dernière décennie et n’a cessé de se développer ces dernières années », a précisé Jürgen Matzka, du GFZ-Potsdam.
Le déplacement des pôles magnétiques est retracé sur notre cartographie interactive dédiée à la position des pôles magnétiques.
Le modèle magnétique de la Terre remis en question
Régulièrement, les spécialistes en géomagnétisme ou géomagnétistes élaborent et révisent le modèle magnétique de la Terre qui sert de base à toute navigation moderne : des systèmes de contrôle des navires en mer, des avions, aux GPS des smartphones.Ainsi, le modèle, mis à jour en 2015, doit être plus fréquemment tant le déplacement s'accélère. « L'erreur augmente constamment », explique Arnaud Chulliat, géomagnétiste à l'Université de Colorado Boulder et à l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique.
En 2016, par exemple, une partie du champ magnétique s'est accélérée sous le nord de l'Amérique du Sud et dans l'est de l'océan Pacifique. Ces variations géographiques du champ magnétique sont enregistrées chaque jour par le satellite Swarm de l'Agence Spatiale Européenne (ESA).
En 2018, la marge d'erreur du modèle est devenue trop importante : le modèle magnétique mondial a été mis à jour fin 2019, en retard à cause du shutdown aux USA qui avait entraîné la fermeture du gouvernement fédéral américain notamment chargé de cette tâche.
Vers une nouvelle inversion des pôles ?
Alors que la précédente inversion des pôles date déjà de 780 000 ans, nous pourrions bien être les spectateurs d'une nouvelle inversion en cours.Selon une étude de l'Institut national des sciences de l'univers, l'intensité du champ magnétique terrestre actuel diminue en moyenne de 5% par siècle. Or, cette diminution s'est accélérée brusquement depuis 1840 au point qu'à ce rythme le dipôle magnétique devrait s'annuler dans environ 1 500 ans !
(Le fait que soros ait financé les manifestations contre trump au début de son mandat et son financement des révolutions de couleur rend cette information parfaitement plausible. note de rené)
MINNEAPOLIS: GEORGE SOROS À PAYÉ « BLACK LIVE MATTER’S » POUR FAIRE DÉGÉNÉRER LA MANIFESTATION QUI ÉTAIT JUSQUE-LÀ PACIFISTE
Jeppy Néron source : L'informateur
CANDACE OWENS accuse l’ONG financée par Soros d’avoir alimenté les émeutes de Minneapolis.
La militante républicaine Candace Owens a entamé une querelle avec l’ONG Open Society Foundations, financée par George Soros, après les avoir accusées d’avoir alimenté les émeutes à Minneapolis.
La militante pro-Trump a accusé le groupe de » distribuer de l’argent aux Noirs américains pour qu’ils se soulèvent » et a reproché à l’organisation de répandre la haine et de diviser l’Amérique.
« Ne versez pas d’argent aux Noirs américains pour qu’ils se révoltent » a déclaré Owns dans un tweet cinglant, ajoutant : « Vous avez eu ce que vous vouliez au Minnesota. Votre organisation est une honte et Soros lui-même est une saleté absolue à mes yeux ».
Rapports de RT : Owens a spéculé que les incendies et les pillages à Minneapolis étaient le fait d’activistes liés au milliardaire, après avoir noté que le chef de la police, Medaria Arradondo, a affirmé que l’activité criminelle était menée par des personnes non originaires de la ville.
« A mon avis : comme il l’a fait avec Antifa, le démocrate George Soros a fait payer ces voyous. Il finance le chaos via sa fondation Open Society », a tweeté le commentateur conservateur.
L’accusation a clairement froissé les plumes de l’ONG, qui a riposté en insistant sur le fait qu’elle ne tolère pas la violence et « ne paie pas les gens pour protester ». Ils ont également affirmé qu’Owens essayait de « détourner » l’attention d’une affaire de « brutalité policière ».
Peu impressionné, Owens a accusé le groupe de » distribuer de l’argent aux Noirs américains pour qu’ils se révoltent » et a réprimandé l’organisation pour avoir répandu la haine et divisé l’Amérique.
« Vous avez eu ce que vous vouliez au Minnesota. Votre organisation est une honte et Soros lui-même est une saleté absolue à mes yeux », a lu une de ses réponses cinglantes.
La fondation Open Society de Soros a en effet fourni de l’argent à des militants liés au mouvement Black Lives Matter – bien que l’organisation ait longtemps soutenu qu’elle « ne finançait pas les manifestations, en soi ».
Des manifestations ont éclaté à Minneapolis après une arrestation policière brutale qui aurait entraîné la mort d’un homme noir non armé, George Floyd. Bien que les premières manifestations aient été en grande partie pacifiques, Minneapolis a connu deux nuits d’émeutes. Lors d’une conférence de presse jeudi, le chef de la police de la ville a déclaré que « beaucoup des personnes impliquées dans la conduite criminelle d’hier soir n’étaient pas des Minneapolitains connus d’elles » et n’étaient « pas reconnues comme étant de la ville ».
Un quartier général de la police a été incendié jeudi soir, après que les forces de l’ordre aient abandonné leur poste. La Garde nationale du Minnesota a été déployée dans la zone, soi-disant pour aider les pompiers de la ville à combattre les incendies provoqués par les émeutiers. Le président américain Donald Trump a averti qu’il pourrait envoyer des militaires si l’ordre n’est pas rétabli.
Source:
Candace Owens Slams Soros-Funded NGO Accusing Group Of Fuelling Minneapolis Riots
Pentagon Military-Biological Facilities Do Not Belong in Kazakhstan
On May 26th, a regular meeting of the CSTO Collective Security Treaty Organisation Council of Foreign Ministers was chaired by Russian Foreign Minister Sergey Lavrov. A wide range of questions, including the problem of the existence of American military and biological laboratories in the countries of the CSTO, was mentioned at it. The dialogue, naturally, was also about the objects of the Pentagon placed in Almaty and Otar.
“The United States carries out military and biological activity worldwide, including around our borders,” noted Sergey Lavrov at this CSTO Ministers of Foreign Affairs meeting. According to him, Russia is concerned about the problem of biological safety in the former Soviet republics and, in particular, in ally countries — Kazakhstan, Armenia, and Tajikistan, where the Americans have deployed a whole network of laboratories.
It is noteworthy that on May 2nd, the Ministry of Foreign Affairs of Kazakhstan issued a special statement in response to the briefings of representatives of the Russian and Chinese Foreign Ministries, which stated that the country does not produce biological weapons, and all research programs are funded from the national budget. Allegedly, the Americans have have an indirect relationship to the central reference laboratory in Almaty, providing the Kazakh side with only the latest equipment and a huge building.
As a reminder: this facility consists of a 4-storey building of 6,300 sq.m where laboratories of the 2nd and 3rd levels of biosafety are based. $240 million was spent on its construction, and the complex life support system of the facility is supported by 15 highly qualified engineers. The American “International Science and Technology Center” company, which for its services in 2018-2020 received $2.5 million from the Pentagon, participates in the maintenance of work in this laboratory.
I.e., as we see, the facts indicate the opposite and disprove the statements of the Kazakhstan Foreign Ministry that the central reference laboratory in Almaty is under the complete control, management, and financing of the ministries of science and education and agriculture. Journalists from the “EADaily” website published documents that testify to the direct participation of American experts in the work of central reference laboratories and other facilities, and also about the financing of a lot of research. Thus, according to American data, more than 25 projects have been implemented in Kazakhstan within the framework of joint biological research since 2005. The Defense Threat Reduction Agency (DTRA) has allocated more than $20 million for this work.
Moreover, $38 million under a contract with the DTRA was received by another American contractor, CH2M HILL, which from 2017 to the present day has been involved in operational activities, joint research, and supervision of the work of the central reference laboratory. This company is still directly engaged in the management of the laboratory in Almaty and other facilities on the territory of Kazakhstan. In addition, a subcontractor of CH2M HILL – the Integrated Quality Laboratory Services company – was engaged in the certification of the laboratory in Almaty for the third level of safety (BSL-3).
One more American company, AECOM, has a contract with the military agency DTRA for the further development of a network of biolaboratories in Kazakhstan for the sum of $57 million. I.e., there is a plan for the creation of new facilities and the strengthening of existing ones. Therefore, the Americans not only do not plan to curtail their activity, but also intend to cover the territory of Kazakhstan with laboratories and biological material collection points. And indeed, Kazakhstani institutions, such as the Research Institute for Biological Safety Problems, working in the framework of joint projects, are actively helping them in this.
Kazakhstani experts and public figures also have a negative attitude towards the presence of US military biological facilities in the country, which were created without checking and taking into account public opinion, and even in an earthquake-prone zone and in the most densely populated regions of the country. So, for example, the leading expert of the Center for Analysis of Integration Processes of the Countries of Central Asia Ulugbek Babagulov considers that in CSTO countries the activities of these potential enemy objects should be completely curtailed.
“In general, the existence of a network of US military and biological facilities in Kazakhstan creates not only tension in the region, but also is a geopolitical problem, since it is actually an enemy mine laid under the construction of the CSTO, the EEU, and the SCO. How can we think about having allied relations with the same Russia, which is suffering from international sanctions, when American military specialists and biologists freely operate on the territory of our country? Therefore, Lavrov’s concern is quite grounded, as these facilities indeed threaten Russia. Add to this the fact that Kazakhstan is now inside the Customs Union, where the movement of goods and labour resources is maximally facilitated, and along with them, modified strains of various diseases can freely move to other countries of the EEU from the same Almaty or Otar. If we declare ourselves a military ally of other members of the CSTO, then we must immediately close the laboratories and organisations of a potential enemy,” claims U. Babagulov.
This is also echoed by the cochairman of the Socialist movement of Kazakhstan Ainur Kurmanov, who also from the very beginning supported the elimination of the central reference laboratory in Almaty. According to him, now the factor of China is added, which opposes the strengthening of the the US’ position in Kazakhstan and Central Asia and considers American military biological facilities to be an immediate threat.
“This topic is actually much broader, since we have been held hostage by a multi-year multi-vector foreign policy and the transfer of our fields to multinational corporations, both Western and Chinese. And now Kazakhstan becomes a real testing ground in the standoff between the United States and China, where their economic and political interests collide. This is the greatest danger to our people, which may become a victim of this fight. The central reference laboratory is only part of the problem, but the most painful thing – the existence of US military and quasi-military facilities – already works against Kazakhstan. Ak Orda should finally understand that a ‘biological bomb’ cannot be a guarantor of ‘independence’ and a deterrent, but, on the contrary, it is the cause of conflicts of interest throughout Central Asia escalating,” believes the politician.
In his opinion, it is necessary to abandon the previous course and also eliminate the central reference laboratory in Almaty and other US facilities of similar purpose in Kazakhstan. Strengthening the CSTO is the only way out of this situation. Otherwise, the country really risks falling into the meat grinder that is the global standoff and becoming a bargaining chip in the geopolitical game of the collective West.
Ekho Kazakhstana
Pourquoi le chiffre des nouveaux cas de coronavirus est-il aussi élevé en France le 29 mai ?
Marcus Dupont-Besnard29 mai 2020 - Sciences source : Numerama
Ce n'est pas un pic de contaminations, mais bien une réactualisation des données réparties du 13 au 28 mai.
Si vous suivez avec attention les chiffres de l’épidémie en France, directement dans Google ou via Covid-Tracker par exemple, vous avez peut-être été surpris de constater ce vendredi 29 mai une évolution soudaine dans la courbe pour le 28 mai : un bond dans le chiffre de l’infection, passant de 191 nouveaux cas la veille à 3 325 nouveaux cas.
Étant donné qu’aucune deuxième vague n’a lieu en ce moment, ce chiffre peut étonner. Mais il ne montre pas de pic lié au déconfinement. Il est le résultat d’une évolution dans la comptabilisation de la maladie. En effet, contactée par Numerama, la Direction générale de la Santé nous a indiqué qu’il s’agit du résultat de la « nouvelle surveillance » qu’est l’intégration du système de données SI-DEP. Cette nouvelle base de données centralisée permet « depuis le 13 mai, une estimation du nombre de cas confirmés en France grâce à la transmission des données de la part de tous les laboratoires de ville et des laboratoires hospitaliers ».
Les 3 325 cas ajoutés ce 29 mai à la date du 28 mai sont donc des cas détectés dans ces laboratoires entre le 13 mai et le 28 mai, comme nous le précise la DGS. Cela fait en moyenne 200 cas par jour sur cette période. Il n’y a donc toujours aucun nouveau pic à l’heure actuelle, contrairement à ce que ce chiffre obscur de prime abord peut faire croire. Il s’agit simplement une réactualisation de données manquantes, toutes ajoutées le même jour. Qui aurait peut-être dû être lissée afin de mieux correspondre aux faits.
UN MANQUE DE TRANSPARENCE ?
Ce bond dans les chiffres, qui ne retranscrit pas un bond des infections mais une subtilité de comptabilisation, est un bon exemple que des chiffres ont toujours besoin d’une contextualisation : leur source, leur signification, leur proportion par rapport à ce qui est connu ou non.
D’ailleurs, pour le data scientist Guillaume Rozier qui est à l’origine de Covid-Tracker, la crise actuelle pose un véritable problème de transparence des données. Lorsque nous l’avons contacté, avant que la DGS ne nous donne l’information, il nous a indiqué qu’il ne pouvait pas analyser d’où venaient cet étonnant chiffre de 3 325 cas : « impossible de savoir », en l’absence de communication régulière sur l’intégralité des données.
« Hier, le gouvernement a présenté 2 nouveaux indicateurs (servant à générer la carte de synthèse vert/rouge) ainsi que l’évolution du R effectif. Absolument aucune donnée n’est publique concernant ces deux cartes et ce graphique. Donc on n’a absolument aucun moyen de vérifier, recalculer les indicateurs, etc. », a-t-il ensuite ajouté pour illustrer ce manque de transparence.
Le Royaume-Uni pourrait fermer ses portes à Huawei dès 2023
Selon la presse anglaise, le Premier ministre Boris Johnson souhaite que les opérateurs télécoms ne puissent plus utiliser les équipements 5G du géant chinois d'ici trois ans. Le gouvernement britannique espère ainsi se rapprocher des Etats-Unis à quelques semaines du G7.
Par Raphaël Balenieri source : Les Echos
Publié le 24 mai 2020 à 14h50Mis à jour le 24 mai 2020 à 16h31
Demi-tour pour Huawei au Royaume-Uni. Selon la presse anglaise, le Premier ministre Boris Johnson travaille désormais sur un plan prévoyant une désinstallation progressive des équipements 5G de Huawei d'ici 2023. A cette échéance, les antennes du champion chinois des télécoms, numéro un mondial du secteur, ne pourront plus faire tourner les réseaux britanniques, selon cette feuille de route obtenue par le « Daily Telegraph » et confirmée ensuite par plusieurs responsables du pays.
En janvier, pourtant, Boris Johnson avait autorisé Huawei à participer au chantier de la 5G, tout en plaçant des garde-fous. A savoir, pas de Huawei sur les coeurs de réseaux (la partie la plus sensible), part de marché limitée à 35 % et zéro présence sur les sites critiques, comme les centrales nucléaires. Mais la droite anglaise pro-Brexit n'a jamais digéré ce feu vert. En mars, des députés conservateurs étaient alors repartis au front, en déposant un amendement, que le gouvernement a évité de justesse, visant à exclure totalement la multinationale de Shenzhen.
Accord commercial en jeu
Ce revirement intervient dans ce contexte politique ultra-chargé outre-Manche et alors que Boris Johnson doit se rendre le mois prochain aux Etats-Unis pour le G7, son premier déplacement à l'étranger depuis le début de la crise du coronavirus. Un accord commercial est en jeu.
Or les Etats-Unis, qui accusent Huawei d'espionnage depuis des années et l'ont déjà bloqué du marché américain de la 5G, avaient été ulcérés par le feu vert de Londres au groupe chinois. En travaillant sur une interdiction complète de Huawei, le Royaume-Uni fait donc un pas vers les Etats-Unis.
Mais ce revirement s'explique aussi par la dégradation des relations entre Londres et Pékin. Estimant que la Chine n'a pas été transparente sur le nombre réel de cas de coronavirus, certains députés conservateurs poussent Boris Johnson à adopter une position plus ferme.
Une loi pour empêcher les rachats d'entreprises britanniques par les sociétés chinoises est ainsi à l'étude. Boris Johnson a prévu d'avancer sur le sujet « dans les prochaines semaines ». Dans ce contexte, la décision de Pékin, vendredi, d'imposer une loi sur la sécurité à Hong Kong (gouvernée par le Royaume-Uni pendant plus de 150 ans) n'a rien arrangé.
Procédure longue et coûteuse
En prévoyant un délai de trois ans, le gouvernement britannique donne certes un peu de temps aux opérateurs. 31 villes du pays ont désormais la 5G, selon Viavi Solutions. EE, Vodafone et Three utilisent déjà du matériel 5G de Huawei sur leurs réseaux. Si le plan était adopté, les opérateurs devraient alors remplacer les antennes Huawei par des équipements d'Ericsson ou de Nokia.
La procédure pourrait être longue et coûteuse. Selon British Telecom, limiter la part de marché de Huawei à 35% nécessiterait déjà 500 millions de livres d'investissements. Huawei, de son côté, perdrait un marché-clé en Europe, sa deuxième plus grande zone d'activité après la Chine. « Ces articles s'appuyant sur des sources anonymes ne font aucun sens », a dénoncé Victor Zhang, vice-président du groupe, cité par le « Financial Times ».
Ce revirement britannique aura-t-il un impact sur la France ? SFR et Bouygues Telecom sont toujours suspendus à la décision du gouvernement qui doit trancher, au cas par cas, la possibilité de recourir à des équipements de Huawei.
Raphaël Balenieri
India Sees Fuel Demand Reaching Pre-Virus Levels In June
By Tsvetana Paraskova - May 25, 2020, 3:30 PM CDT source : Oil Price
India’s fuel demand, which had crashed by 60 percent during the early days of its two-month lockdown, is set to reach pre-coronavirus levels in June, Indian Oil Minister Dharmendra Pradhan told Times of India over the weekend.
In May, demand for fuel in the world’s third-largest oil importer is back at 65 percent compared to May 2020, “and will reach pre-Corona level in June,” Pradhan told TOI.
After the easing of the lockdown in India, two-wheelers and small cars will remain an affordable option for maintaining social distancing, thus boosting demand for gasoline, according to the minister. Higher vehicle traffic, farm-sector activities, and the resumption of train service and flights will raise demand for diesel and jet fuel, Pradhan told TOI.
Last week, Indian oil industry executives told Bloomberg that crude oil demand in India would take longer to recover than many hope for as the country braces for the worst recession in its history after a two-month lockdown.
In April, gasoline and diesel demand in India was said to have crashed by around 60 percentyear on year.
But this month, India’s fuel demand has picked up pace from the April lows, and Indian Oil Corporation (IOC), the country’s biggest refiner and fuel retailer, is gradually boosting operations across its refineries and aims to raise utilization to 80 percent by the end of May, compared to 45 percent in early April.
Indian Oil’s refineries operated at around 60 percent of their design capacities in early May, while plans were to boost those utilization rates to about 80 percent of capacity by the end of this month, the company said in a statement on May 11.
The litmus test for demand recovery after a lockdown—China—is showing signs of rebound, according to IHS Markit. In April, China’s oil demand reached 89 percent of the demand from April last year, while oil demand is expected to reach 92 percent of the prior-year level in May, the consultancy said.
By Tsvetana Paraskova for Oilprice.com
(Il existe des batteries sans lithium, on attend quoi pour les utiliser ? note de rené)
L’éolien, le solaire et les batteries menacés par une pénurie de matières premières
Pour pouvoir multiplier les éoliennes, les panneaux solaires et les voitures électriques à batteries, il faut avoir accès à des quantités grandissantes de matières premières et de métaux aussi divers que le cuivre, le lithium, le manganèse, le nickel, le cobalt, les terres rares… L’Agence internationale de l’énergie met en garde contre de sérieux risques de pénuries et de tensions géopolitiques.
Cuivre, lithium, manganèse, nickel, cobalt, molybdène, chrome, zinc, rhodium, silicium, platine, terres rares… Les énergies dites «propres», à savoir les éoliennes, les panneaux photovoltaïques et les batteries des véhicules électriques, sont totalement dépendantes de nombreuses matières premières et plus particulièrement de métaux rares. Sans un approvisionnement continu, important et fiable, il n’est pas question de voir se multiplier dans les prochaines années les productions d’électricité par des renouvelables et les véhicules électriques sur les routes. Toutes les stratégies de transition énergétique faisant appel au solaire, à l’éolien et au transport électrique par batteries sont aujourd’hui menacées. Quant aux alternatives moins consommatrices de matières premières et plus locales, comme l’hydrogène ou la géothermie, par exemple, elles ne figurent même pas en France dans les plans à long terme des pouvoirs publics.
5 fois plus de matières premières pour une voiture électrique
Pour donner un ordre d’idées de cette dépendance aux matières premières, la construction d’une voiture électrique à batteries en nécessite 5 fois plus qu’un véhicule à moteur thermique. De la même façon, construire un ensemble d’éoliennes demande huit fois plus de matières premières qu’une centrale au gaz offrant la même puissance théorique de production d’électricité. Et encore, les éoliennes sont par définition intermittentes.
La fabrication des batteries lithium-ion des véhicules électriques et des mêmes batteries utilisées pour stocker l’électricité dans certains réseaux est devenue aujourd’hui l’activité industrielle qui consomme le plus de lithium et de cobalt dans le monde, respectivement 35% et 25% de la production. De la même façon, la consommation dans le monde de cuivre et de nickel n’a cessé d’augmenter au cours des dernières années.
Déjà, avant la pandémie de coronavirus, les tensions ne cessaient de grandir sur les marchés de ses matières premières stratégiques. Elles se sont aggravées depuis. D’abord, du fait du confinement généralisé qui a désorganisé dans de nombreux pays la production et le transport des matières premières. Elle s’est traduite aussi par une chute brutale des investissements de capacité, pourtant indispensables pour faire face à une demande en constante augmentation. Il faut ajouter à cela des tensions politiques grandissantes entre la Chine, principal fabricant dans le monde de panneaux photovoltaïques, de batteries lithium-ion, d’éoliennes et principal producteur et raffineur de terres rares, et les pays occidentaux.
La sécurité d’approvisionnement, un problème majeur pour l’Agence internationale de l’énergie
Une étude récente de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) souligne les risques que fait peser sur la transition le goulet d’étranglement que représente l’approvisionnement de matières premières stratégiques. Et pour illustrer l’importance de cette question, l’AIE en a fait aujourd’hui un problème aussi essentiel que la sécurité d’approvisionnement en pétrole, gaz et électricité.
Pour donner juste quelques exemples, le lithium, le cobalt et le nickel sont indispensables et essentiels à la fabrication des batteries lithium-ion. Le cuivre est absolument nécessaire pour développer les réseaux électriques et y intégrer les productions solaires et éoliennes. Des terres rares comme le néodyme sont utilisées pour fabriquer des aimants puissants sans lesquels les moteurs électriques des éoliennes et des véhicules ne fonctionnent pas. Même l’optimisation de technologies liées aux énergies fossiles nécessite ses matières premières. Les centrales à charbon les moins polluantes utilisent du nickel pour augmenter la température de combustion et rejeter moins de CO2.
Comme l’écrit l’AIE, «l’idée de géopolitique énergétique est typiquement associée au pétrole et au gaz. Par contraste, le solaire, l’éolien et les autres technologies propres sont souvent considérées comme immunisées contre de tels risques. Mais il y a des risques géopolitiques associés à la production de nombreuses matières premières essentielles à la transition énergétique.»
L’omniprésence chinoise
En fait, la production de nombre de ses matières premières et métaux est plus concentrée géographiquement que celle du pétrole et du gaz. Pour le lithium, le cobalt et les terres rares, les trois premiers pays producteurs contrôlent plus des trois quarts de leurs marchés respectifs. Dans certains cas, un seul pays assure la moitié de la production mondiale.
La concentration est tout aussi grande dans les opérations de raffinement. La Chine assure 50 à 70% du raffinement du lithium et du cobalt. Elle contrôle également 85 à 90% du processus industriel de traitement des terres rares et de leur raffinage et transformation en métaux et en aimants.
Les conditions même d’extraction de ses matières premières posent des problèmes humains et environnementaux. Ainsi, 20% de la production de cobalt de la République Démocratique du Congo (RDC) dépend de mineurs «artisanaux» qui extraient le métal dans des conditions proches de l’esclavage. Le raffinage des terres rares est un processus qui nécessite de nombreux produits chimiques très polluants et qui produit de grandes quantités de déchets tout aussi polluants.
La récession économique mondiale née de la pandémie de coronavirus ne devrait pas ralentir longtemps la demande de ses matières premières. Surtout si les plans de relance économique un peu partout dans le monde mettent l’accent sur la transition énergétique par les renouvelables et les véhicules électriques à batteries. Or, de nombreuses mines fonctionnent déjà à la limite de leurs capacités et des pénuries pourraient rapidement se produire prévient l’AIE. Non seulement cela aura un impact sur la capacité à fabriquer des éoliennes, des panneaux solaires et des batteries pour voitures électriques, mais cela créera un problème très sérieux d’indépendance nationale, notamment pour l’Europe. Il n’y a pas que les masques…
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