dimanche 20 octobre 2019

(hillary clinton aurait déclenchée une guerre avec les russes en s'imaginant pouvoir les mettre à genoux. note de rené)


Le délire de Hillary Clinton et de ses alliés refait surface…

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L’ancienne Secrétaire d’État US Hillary Rodham Clinton, l’une des femmes les plus corrompues du système politique américain (selon la CIA), est sortie de sa tanière pour débiter des propos incohérents et critiques sur Tulsi Gabbard, les chauvinistes mâles, les sites et les bots « Pro-russes » et le reste du monde qu’elle accuse de l’avoir privée de la présidence des États-Unis.
Pour la folle de Hillary Clinton, tout comme pour les illuminés du New York Times ou des enragés de CNN, le simple fait de remettre en cause la sacro-sainte narration propagandiste mensongère politiquement correcte vous rend passible d’être un agent de Moscou.
Quel délire et quelle perversion !
La guerre déclenchée contre la Syrie avait un objectif bien précis : aboutir à un changement de régime en Syrie en utilisant l’outil « Al-Qaida » puis, quand ce dernier outil de changement s’est révélé inopérant, l’organisation de l’État Islamique ou Daech, une entité créée en Irak par les services spéciaux US et britanniques et financée par les pays du Golfe.
L’État français avait foncé tête baissée dans cette aventure impossible pour de multiples considérations liées à sa dépendance financière des pays du Golfe, l’excès de zèle à défendre les intérêts stratégiques israéliens et ce qu’il perçoit comme une vengeance remontant au temps du mandat français sur le Levant. De ce point de vue, le gouvernement français fait partie intégrante de ce que l’on appelle le « Deep State » ou l’État Profond belliciste avec lequel Donald Trump est à couteaux tirés depuis des mois. Cet aventurisme irréfléchi à abouti à une débâcle plus grave que celle subie par Napoléon à Saint-Jean d’Acre en 1799. C’est peut-être en référence à cet épisode que Trump à ironisé sur les Kurdes de Syrie en disant que n’importe qui peut aider les Kurdes même Napoléon Bonaparte mais pas les États-Unis qui n’ont en plus rien à f…. de cette histoire…
Plus de guerre, plus de profits. Cette perspective enrage les bellicistes car cela signifie qu’ils seront amenés soit à modifier leur systèmes économique basé sur les guerres soit à disparaître en tant que classe dirigeante. Ce qui explique la rage dont il font preuve à travers leur gigantesque système de propagande pour neutraliser les adversaires d’un tel mode de production de richesses ou de valeur ajoutée.

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