Grèce, mes chers cinq lecteurs, si, il est honnête, Tsipras doit démissionner et convoquer de nouvelles élections législatives. A ce niveau là d'abandon de souveraineté et de mise en coupe du peuple grec, transformé en esclave de la finance internationale, c'est une trahison !
Avec les garanties sur les biens de l'état grec, maintenant, les européens peuvent se débarasser de leurs dettes en les refourguant aux banques privées qui s'arrangeront pour augmenter les intérêts et se payer un état en toute impunité.
Car, maintenant rien n'empêche les états à refourguer leurs dettes aux banques vu, les garanties et annoncer à leurs citoyens, "vous voyez nous avions raison, nous avons récupérer votre "argent".
Si, le peuple grec ne veut pas agoniser sous le joug de maîtres étrangers, il doit organiser de nouvelles élections pour désigner un autre premier ministre qui cette fois-ci aura un mandat clair :"Sortir de l'euro et donc de l'europe qu'ils ont bâti au seul profit de la finance !"
Le bal des vampires peut continuer : Bruxelles a sauvé momentanément tous les spéculateurs de la ploutocratie mondiale.
La fanfare des marchés financiers a salué d’un bond de plus de 2% en quelques minutes l’accord largement prévisible sur la dette grecque, Tsipras n’ayant pas la carrure d’un chef d’État. Celui que Mélenchon qualifiait d’espoir pour la Grèce vient de faire aux grecs ce que Sarkozy avait fait aux français en 2005.
Pourrait-on lui en vouloir quand c’est le lieu commun dans le monde occidental de ne proposer aux urnes qu’un fossoyeur de liberté et de la dignité de son peuple ?
Quel chef d’État actuellement n’est pas à la solde de la finance internationale. Poser cette simple question, revient à reconnaître les chefs de « l’axe du mal ».
Le drame grec a été commenté et analysé à sens unique par des journalistes aux ordres de ceux qui les paient, ressassant à temps et à contretemps que les grecs ne sont que des feignants, des profiteurs, quand ils ne sont pas des fraudeurs.
Les confessions de l’ex-assassin financier, John Perkins se retrouvent dans la mise à sac de la Grèce :
Pour l’essentiel, mon boulot consistait à identifier les pays détenant des ressources qui intéressent nos multinationales, et qui pouvaient être des choses comme du pétrole, ou des marchés prometteurs, des systèmes de transport. Il y a tant de choses différentes. Une fois que nous avions identifié ces pays, nous organisions des prêts énormes pour eux, mais l’argent n’arriverait jamais réellement à ces pays; au contraire, il irait à nos propres multinationales pour réaliser des projets d’infrastructures dans ces pays, des choses comme des centrales électriques et des autoroutes qui bénéficiaient à un petit nombre de gens riches ainsi qu’à nos propres entreprises. Mais pas à la majorité des gens qui ne pouvaient se permettre d’acheter ces choses, et pourtant ce sont eux qui ployaient sous le fardeau d’une dette énorme, très semblable à celle de la Grèce actuellement, une dette phénoménale.
Et une fois [qu’ils étaient] liés par cette dette, nous revenions, sous la forme du FMI – et dans le cas de la Grèce aujourd’hui, c’est le FMI et l’Union européenne – et posions des exigences énormes au pays : augmenter les impôts, réduire les dépenses, vendre les services publics aux entreprises privées, des choses comme les compagnies d’électricité et les systèmes de distribution de l’eau, les transports, les privatiser, et devenir au fond un esclave pour nous, pour les sociétés, pour le FMI, dans votre cas pour l’Union européenne. Fondamentalement, des organisations comme la Banque mondiale, le FMI, l’UE sont les outils des grandes sociétés multinationales, ce que j’appelle la corporatocratie.
Tous ceux qui ont une once de pouvoir dans le monde savent très bien quand ce mécanisme est en train de se produire quelque part sur la planète.
John Perkin l’a très bien décrit dans son ouvrage en prenant exemple sur l’Argentine ainsi que plusieurs pays d’Amérique latine qui ont été victimes du même processus. Ceci explique certainement les changements politiques survenus en Amérique du Sud depuis une vingtaine d’années. Quand les peuples n’ont plus rien à perdre, il semble que leur conscience politique s’élargisse de façon inversement proportionnelle à la taille du garde-manger.
La seule différence qu’il y a entre un pays en crise ou un autre se retrouvant sous les fourches caudines de l’austérité, ne dépend que de la souplesse d’échine de ceux qui détiennent un mandat du peuple.
Quand la mise à sac d’un pays se fait sans attentat, c’est que l’affaire est menée par une équipe aussi brillante que celle du Fouquet’s. Durant les années Sarkozy, outre l’or de la France,
toute son infrastructure a été bradée dans un silence assourdissant pendant que la dette explosait de plus de 600 milliards d’euros.
La mondialisation pilotée depuis plus de trente ans sous toutes ses formes : de la délocalisation à la loi Bolkestein ne sont que la mise en place d’un asservissement des peuples à la sauce « Communiste » dirigée par une nomenklatura « élue au suffrage universelle ».
Le mystère Varoufakis
Après l’écrasante victoire du « non » au référendum grec, la démission de Varoufakis paraissait étonnante. Celle-ci a été interprétée comme une incompatibilité de travailler entre l’ancien ministre des Finances et la Troïka. Aujourd’hui, après l’incroyable soumission d’Alexis Tsipras, on se demande si Varoufakis ne connaissait pas déjà le dénouement et refusait d’y être associé ?
« Ma conviction est que le ministre des finances allemand veut que la Grèce soit évincée de la monnaie unique pour susciter une crainte de tous les diables chez les français et leur faire accepter son modèle d’une zone euro disciplinaire. »
De toutes les manières, que le « oui » ou le « non » l’emporte, les Grecs ne disposent d’aucune crédibilité pour réintroduire le drachme. Ils devront donc retourner à la table des négociations. La seule différence sera l’équipe qui ira présenter un plan qui ne changera rien. Les Grecs doivent accepter toutes les conditions au détriment de leur peuple, les prétentions de la finance internationale qui ne leur remettra jamais leur dette. Ce serait remettre en question celle de tous les peuples. Aujourd’hui la Grèce, demain l’Espagne, l’Italie ou la France ? Quel peuple se révoltera ? Contre l’asservissement bancaire, aucun !
L’étrange passivité de Vladimir Poutine depuis deux mois présageait que la cause était entendue. S’il nous a semblé, au début de l’année, que l’alliance Gréco-Russe contre la ploutocratie mondiale était possible, il nous est vite apparu que le temps n’était pas encore venu. Les 80 milliards de prêt socialisés à venir et offerts par la Troïka ne feront que retarder et amplifier la prochaine crise. Il va falloir maintenant
se retourner vers les taux obligataires des dettes souveraines. Le torchon commence à brûler.
David Bonapartian et Denissto
Et, qu'à gagner Tsipras pour son peuple......encore plus de misère !
« Soit la tutelle, soit le Grexit »: l’ultimatum de Merkel à Tsipras
Mise à jour: Informations ajoutées!
Des menaces, encore des menaces, toujours des menaces, quand à avoir un peu d’honnêteté, là, il n’y a plus grand monde! Mais il ne faut pas être un fin expert pour bien comprendre qu’il ne peut y avoir un Grexit, ils ne laisseront jamais faire pour trois raisons principales:
- Ils ne vont pas risquer de perdre un pays qui est aussi riche en ressources pour l’heure inexploitées, que cela soit pétrolièrescomme aurifères. Ce pays, c’est une occasion en or (sans mauvais jeu de mot) de faire main-basse sur un énorme jackpot pour les Etats-Unis.
- Le Grexit est la preuve que si un pays peu difficilement quitter la zone euro, il peut s’en faire expulser, et d’autres pays pourraient être tentés de suivre l’exemple et vouloir se faire expulser eux aussi de la zone euro.
- Un Grexit serait l’occasion rêvée pour les BRICS de récupérer l’esclave européenne que fut la Grèce, impensable! Nous avons pu voir la réaction des pays avec Chypre, imaginez si c’est le cas de la Grèce…
Bref, cela ne risque pas de s’arranger puisque la menace du Grexit a peu de chance de se concrétiser…
Les chefs d’Etat et de gouvernement des dix-neuf pays membres de la zone euro ont pris le relais de leurs ministres des Finances, pour une réunion que l’on annonce, comme toujours, décisive. Ils devront prendre position sur les très dures mesures prônées par l’Eurogroupe.
A 18 heures, Donald Tusk, président du Conseil demandait la suspension de la séance plénière au profit d’une consultation quadripartite entre Alexis Tsipras, Angela Merkel, François Hollande et lui. Entre ces quatre paires d’yeux se jouera l’avenir de la Grèce dans la zone euro. Le Premier ministre grec, élu sur un programme anti-austérité, confirmé en ce mandat par le référendum du 5 juillet dernier, a fait voter à son parlement une série de dispositions très proches de ce que lui demandaient les créanciers de la Grèce. Ce n’est manifestement pas suffisant pour la majorité des dirigeants européens.
Selon nos confrères britanniques du Guardian, l’Allemande Angela Merkel aurait mis Alexis Tsipras face à une brutale alternative. Soit la Grèce se plie aux
lourdes mesures avancées par l’Eurogroupe, en les mettant en oeuvre dans les prochains jours, c’est l’hypothèse de la tutelle, soit elle sort, temporairement ou pas, de la zone euro, et voit ses systèmes bancaire, économique et social s’effondrer. C’est l’hypothèse du Grexit.
Un officiel européen proche des discussions aurait comparé cet ultimatum à un procédé de torture, celui du « waterboarding », par lequel on plonge la tête de la victime sous l’eau jusqu’à ce qu’elle avoue, dit encore le Guardian.
Les discussions plénières ont repris autour de 20 heures. On ignore si Alexis Tsipras a pu sortir la tête de l’eau.
Les argentiers de l’Eurogroupe l’ont confirmé cet après-midi à l’issue de leur double séance de négociations: le texte qu’ils soumettent aux dirigeants européens ne penche pas, et c’est un euphémisme, pour l’acceptation des propositions pourtant très conciliantes du gouvernement grec. « Un long chemin a été parcouru mais quelques questions importantes restent ouvertes« , a indiqué leur président, le Néerlandais Jeroen Dijsselbloem.
L’Eurogroupe plus dur que le FMI, la BCE et la Commission…
L’Eurogroupe prône la création d’un fonds de 50 milliards d’euros, alimenté par des actifs publics grecs, qui serait administré par les instances européennes. Ce fonds, en fait une mise sous tutelle européenne d’actifs grecs, est censé restaurer la confiance des créanciers en la bonne volonté grecque. Il réclame aussi de la Grèce un excédent primaire (c’est-à-dire un budget en boni, intérêts de la dette exceptés) de 3,5% du PIB en 2018. Une demande que les experts, y compris du FMI, de la BCE et de la Commission européenne estimaient samedi, lorsqu’ils ont présenté la situation grecque au même Eurogroupe, avaient estimée irréaliste…
Surtout que la Grèce est très loin d’être le pays le plus endetté de la planète. Je vous laisse deviner lequel bat tous les records? Les Etats-Unis, et cela officiellement, alors imaginez de manière officieuse le véritable niveau d’endettement….
La Grèce n’est pas le pays le plus endetté au monde, loin de là. Il fait même figure de petit débiteur. Le podium est occupé par les Etats-Unis, l’Allemagne et la Grande-Bretagne. La France est au pied du podium.
Il est 17h. Chaque Américain est endetté à hauteur de 47,749 dollars, chaque Britannique de 43,014, chaque Français de 38,621. Et chaque Grec de 22,901 dollars.
Pour la dette publique, les Etats-Unis continuent d’occuper la première place avec plus de 15.210.772.950.820 dollars.Quinze mille 210 milliards 772 millions 950 mille 820 dollars. Soit 7 fois la dette de la France.
La Grèce arrive loin derrière avec 261,987,431,694 dollars. 261 milliards de dollars.
Haaaaaa, Mister Pierre Jovanovic a mis en ligne
sa dernière revue de presse, avec son lot d’informations que j’aurais peut-être loupé autrement (sait-on jamais), et quelles infos, nottament au sujet de Tsipras qui a trahi sa population, quelle déception…
€UROCRIS€: LES 12 DERNIERES SOUMISSIONS EXIGEES DES GRECS PAR BRUXELLES ET L’ALLEMAGNE
– Licenciement immédiat de tous les fonctionnaires grecs politisés !!!
– Accepter le retour de la Troïka à Athènes (obligation de leur jeter des fleurs par les Grecques)
– Augmenter toutes les TVAs
– Elargir le périmètre de l’impôt à encore plus de monde
– Privatiser totalement l’EDF grec
– Se débarasser des prêts non rentables
– Redéfinir la totalité du système grec de retraites et pré-retraites (les mettre nus)
– Mise en place de nouvelles procédures d’expulsion dans le Code Civil
– Garantir l’indépendance politique d’Elstat (l’INSEE grec)
– Acceptation immédiate de la totalité des réductions budgétaires demandées par la Troïka
– Redresser la situation financières des banques
– Garantir l’indépendance de l’agence de privatisation d’Etat qui va tout… privatiser (LooL)
Et également ceci, preuve de plus que cette europe (qui ne mérite même pas de majuscule) est une arnaque de première, et les populations laissent faire!!!
Le plus fou: Bruxelles veut transférer dans une société basée au… Luxembourg (sic) les parts qui restent à privatiser de toutes les entreprises publiques grecques. Rien que ça: « German plan demands €50bn of state assets is transferred to external fund » Lire
ici The Independant pour le croire… »The German proposal could see Greek state assets managed and privatised by an independent trust ». Alors que les ministres des Finances de ces mêmes pays parlent de chasse aux fraudeurs fiscaux!!! Comme par hasard, là, il s’agit d’en payer le moins possible en mettant dans un paradis fiscal les avoirs du peuple grec. Cela vous montre juste que les gens à Bruxelles sont devenus complétements fous, et qu’ils ne se rendent même plus compte à quel point ils prennent leurs peuples pour des c***.
Et, l'opinion d'une ancienne de la banque mondiale sur ceux qui nous gouvernent et le pourquoi qui sous entend que le peuple grec ferait bien de se barrer de l'europe visa visa !
(source : Ceux qui nous gouvernent via Monsieur Mondialisation)
Comment l'élite mondiale dirige le monde
Karen Hudes est diplômée de la Yale Law School et elle a travaillé dans le département juridique de la Banque mondiale depuis plus de 20 ans. En fait, quand elle a été congédiée pour avoir dénoncé la corruption à l'intérieur de la Banque mondiale , elle occupait le poste de Conseillère Senior. Elle était dans une position unique pour voir exactement comment l' élite mondiale dirige le monde , et les informations qu'elle révèle maintenant au public sont absolument stupéfiantes .
EXCLUSIF, interview de Karen Hudes, ex-employée de la Banque mondiale
http://www.youtube.com/watch?v=5a3KFVLB8AM&feature=youtu.beSelon Hudes ,
l'élite utilise un noyau très serré des institutions financières et des méga -sociétés pour dominer la planète. Le but est le contrôle. Ils veulent nous asservir tous à la dette , ils veulent asservir tous nos gouvernements à la dette, et ils veulent tous nos politiciens accros aux énormes contributions financières qu'ils canalisent dans leurs campagnes . Puisque l'élite détient aussi toutes les grandes sociétés de médias, les grands médias ne nous informent jamais de ce secret : il ya quelque chose de fondamentalement mauvais dans la manière dont notre système fonctionne.
Rappelez-vous, ce n'est pas une " théorie du complot " qui dit ces choses. C'est une avocate -instruite à Yale- qui a travaillé à l'intérieur de la Banque mondiale depuis plus de deux décennies. Le résumé qui suit de son curriculum provient directement de son site ...
Karen Hudes a étudié le droit à Yale Law School et l'économie à l'Université d'Amsterdam . Elle a travaillé dans l' Export Import Bank américaine des États-Unis de 1980-1985 et dans le département juridique de la Banque mondiale de 1986 à 2007 . Elle a créé le Comité d' Organisation Non Gouvernementale de la Section du droit international de l' American Bar Association et le Comité sur le multilatéralisme et la responsabilité des organisations internationales de la branche américaine de l' International Law Association .
Aujourd'hui, Hudes s'évertue à dénoncer le système financier corrompu que l'élite mondiale utilise pour contrôler les richesses du monde. Lors d'une interview avec le New American , elle a discuté de la façon dont nous laissons ce groupe d' élites de dominer totalement les ressources de la planète sans réagir ...
Une ancienne de la Banque mondiale , l'avocate ex -Conseillère Senior Karen Hudes , affirme que le système financier mondial est dominé par un petit groupe de personnes corrompues , avides de pouvoir , centrées autour de la Réserve fédérale américaine privée . Le réseau a aussi pris le contrôle des médias pour couvrir ses crimes, at-elle expliqué . Dans une interview avec The New American , Hudes dit que quand elle a essayé de dénoncer les multiples problèmes à la Banque mondiale , elle a été congédiée pour ses efforts. Maintenant, avec un réseau de collègues dénonciateurs, Hudes est déterminée à dénoncer et mettre fin à la corruption. Et elle est convaincue de la réussite.
Citant une étude suisse explosive de 2011, publiée dans le Journal PLoS ONE sur le " réseau de contrôle de la société mondiale", Hudes a souligné qu'un petit groupe d'entités - principalement des institutions financières et en particulier les banques centrales - exerce une énorme influence sur l'économie internationale dans les coulisses . " Ce qui se passe réellement , c'est que les ressources de la planète sont dominées par ce groupe", at-elle expliqué , ajoutant que les " accapareurs de pouvoir corrompu" ont réussi à dominer aussi les médias. «Ils sont autorisés à le faire. "
Auparavant , j'ai écrit au sujet de l'étude suisse que Hudes mentionne . Elle a été réalisée par une équipe de chercheurs de l'Institut fédéral suisse de technologie à Zurich , en Suisse. Ils ont étudié les relations entre les 37 millions d' entreprises et investisseurs du monde entier , et ce qu'ils ont découvert , c'est qu'il ya une « super- entité» de seulement 147 méga- corporations étroitement liées qui contrôlent 40 pour cent de l' ensemble de l'économie mondiale ...
Lorsque l'équipe a démêlé plus avant le réseau des détenteurs, elle a trouvé la plupart des éléments lui permettant de remonter jusqu'à une « super- entité» de 147 entreprises encore plus étroitement liées - tous leurs biens étant détenus par d'autres membres de la super-entité- qui contrôle 40 pour cent de l'ensemble du réseau », explique Glattfelder . La plupart étaient des institutions financières. Le top 20 inclue Barclays Bank , JPMorgan Chase & Co et le groupe Goldman Sachs .
Mais l'élite mondiale ne se contente pas de contrôler ces méga-entreprises. Selon Hudes, elle domine également les organisations non élues, qui n'ont pas de compte à rendre, et qui contrôlent les finances de presque tous les pays de la planète. La Banque mondiale , le FMI et les banques centrales comme la Réserve fédérale contrôlent littéralement la création et la circulation de l'argent dans le monde entier .
Au sommet de ce système se trouve la Banque des règlements internationaux. C'est la banque centrale des banques centrales , et affichée ci-dessous une vidéo où vous pouvez regarder Hudes disant à Greg Hunter de
USAWatchdog.com ce qui suit ...
«Nous n'avons pas à attendre de qui que ce soit qu'il vire la Fed ou la Banque des règlements internationaux. . . Certains Etats ont déjà commencé à reconnaître argent et l'or , les métaux précieux , en tant que monnaie "
Liens rompus...
a plupart des gens n'ont jamais entendu parler de la Banque des règlements internationaux, mais c'est une organisation extrêmement importante. Dans un
précédent article , j'ai décrit comment cette « banque centrale du monde » est littéralement à l'abri des lois de tous les gouvernements nationaux ...
Une organisation internationale extrêmement puissante, dont la plupart des gens n'ont jamais entendu parler, contrôle secrètement la masse monétaire du monde entier. Elle est appelée la Banque des règlements internationaux , et c'est la banque centrale des banques centrales . Elle est située à Bâle, en Suisse, mais elle a aussi des succursales à Hong Kong et à Mexico. Il s'agit essentiellement d' une banque centrale non élue , qui n'a pas de compte à rendre au monde, qui bénéficie de l'immunité complète de la fiscalité et de la législation nationale. Même Wikipedia admet qu '«elle n'a de compte à rendre à aucun gouvernement national. " La Banque des règlements internationaux a été utilisé pour blanchir de l'argent pour les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale, mais ces jours-ci le but principal de la BRI est de guider et de diriger le centre planifiée du système financier mondial .
Aujourd'hui, 58 banques centrales mondiales appartiennent à la BRI , et elle a beaucoup plus de pouvoir sur la façon dont l'économie américaine ( ou toute autre économie , d'ailleurs) se portera au cours de la prochaine année que n'importe quel politicien. Tous les deux mois , les banquiers centraux du monde entier se réunissent à Bâle pour une «Réunion sur l'économie mondiale " . Au cours de ces réunions , des décisions sont prises qui affectent chaque homme, femme et enfant sur la planète, et pourtant, aucun d'entre nous n'a son mot à dire dans ce qui se passe . La Banque des Règlements Internationaux est une organisation qui a été fondée par l'élite mondiale, elle fonctionne pour le bénéfice de l'élite mondiale , et elle est destinée à être l'une des pierres angulaires du système économique mondial naissant .
Ce système n'est pas venu à l'existence par accident. En fait, l'élite mondiale a mis au point ce système depuis très longtemps . Dans un précédent article intitulé «
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/who-controls-the-money-an-unelected-unaccountable-central-bank-of-the-world-secretly-does», j'ai inclus une citation de Georgetown University , professeur d'histoire Carroll Quigley tirée d'un livre qu'il a écrit déjà en 1966, dans lequel il discutait des grands projets que l'élite avait pour la Banque des règlements internationaux ...
Les puissances du capitalisme financier avaient un autre but de grande envergure , rien de moins que de créer un système mondial de contrôle financier dans des mains privées capables de dominer le système politique de chaque pays et l'économie du monde dans son ensemble.
Ce système devait être contrôlé de manière féodale par les banques centrales du monde agissant de concert, par des accords secrets obtenus dans des réunions privées fréquentes et des conférences. Le sommet du système devait être la Banque des règlements internationaux à Bâle , en Suisse, une banque privée possédée et contrôlée par les banques centrales du monde qui étaient elles-mêmes des sociétés privées .
Et c'est exactement ce que nous avons aujourd'hui.
Nous avons un système de «néo - féodalisme » dans lequel chacun d'entre nous et nos gouvernements nationaux sont asservis à la dette. Ce système est régi par les banques centrales et la Banque des règlements internationaux, et il transfère systématiquement les richesses du monde de nos mains entre les mains de l'élite mondiale .Mais la plupart des gens n'ont aucune idée de ce que tout cela se passe parce que l'élite mondiale contrôle aussi ce que nous voyons, entendons et pensons. Aujourd'hui, il ya seulement six sociétés de médias géants qui contrôlent plus de 90 pour cent des nouvelles et des divertissements que vous regardez sur votre téléviseur aux États-Unis .
C'est le système insidieux que Karen Hudes cherche à dénoncer . Pour plus d'info , vous pouvez écouter Joyce Riley du Power Hour : son interview pendant
une heure entière ici:
http://archives2013.gcnlive.com/Archives2013/sep13/PowerHour/0926132.mp3
Michael Snyder
The D.C. Clothesline
mar., 01 oct. 2013
Traduit par Le blog de Lucien PONS
vvv
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