vendredi 19 juin 2015

(blog à finir et à corriger)

Soyons courageux, mes chers cinq lecteurs, les sanctions européennes contre la Russie nous font perdre des emplois, le traité transatlantique nous en fera perdre encore plus, les délocalisations continuent leur course avec perte d'emploi également à la clé, les rachats d'entreprises et leur découpage pour vente avec profit par des hedges funds aussi, l'austérité en comprimant les services publics de même et l'austérité en réduisant le pouvoir d'achat complète le tout.
Alors, lorsque le président français actuel claironne que son mandat est dédié à la baisse du chômage, il me fait doucement rigoler parce que la seule manière où il peut agir, c'est truquer les statistiques et radier un maximum de chômeurs inscrit à l'agence pour l'emploi.
Quant-à parler de la croissance que tout le monde nous chante, on s'en tamponne le coquillard, car, la mondialisation, c'est la fin annoncée de la croissance (économie réelle) en faveur de la financiarisation de l'économie.
Donc, c'est mort et basta qu'ils arrêtent de nous raconter des conneries !

(source : Tribune de Genève)

Le coût de la guerre à la Russie

De Pierre-Alexandre Sallier rubrique Economie
Les effets des sanctions prises contre Moscou par l’Europe – auxquelles s’est ralliée la Suisse en mars – font déjà sentir leurs effets. Concrets. Economiques. Encore minimisés.

Réunissant sept journaux quotidiens européens – parmi lesquels 24heures et la Tribune deGenève – le collectif LENA (pour Leading European Newspaper Alliance) s’est livré à cet exercice comptable. Que coûte cette guérilla économique dirigée de Bruxelles – etde Washington – à un tissu industriel européen – et suisse – quin’avait vraiment pas besoin de lafermeture d’un marché de150 millions d’habitants? Beaucoup plus que neleconcèdent depuis le départ lesautorités européennes.

Selon les prévisions de l’institut conjoncturel autrichien WIFO, mandaté par notre alliance de journaux européens, en bout de chaîne l’effet collatéral de cette glaciation pourrait dépasser à long terme les 2 millions d’emplois perdusen Europe.

Cette première enquête transeuropéenne montre égalementque, en Suisse, jusqu’à 45000emplois passeraient à latrappe – dans les entreprises tournées vers l’exportation et dans celles du secteur du tourisme – si cettenouvelle guerre commerciale s’installait dans la durée. Une menace réelle: l’exemple iranien – et irakien auparavant – a montré à quel point ilétait difficile pour nos démocraties de dénouer l’écheveau de sanctions internationales qu’elles ont mis enplace.

Savoir compter pour pouvoir décider. Afin de se donner les moyens de poursuivre une vision politique – quels qu’en soient les objectifs. L’oublide cet impératif est déjà l’unedes leçons d’une autre crise quientre dans sa vingt-cinquième heure: celle affrontée par la Grèce. Cepourrait être également celle delacrise russo-européenne. (TDG)


(Créé: 19.06.2015, 07h37)

D'ailleurs aux States, même donald trump reconnaît que le rêve américain n'est plus sans avouer qu'il s'est transformé en cauchemar.

Le milliardaire Donald Trump se lance à son tour dans la course à la Maison Blanche

( Source: le Quotidien du Peuple en ligne )

18.06.2015 08h28

Après Jeb Bush, c'est Donald Trump, le magnat de l'immobilier et de la télé-réalité qui a lancé sa campagne présidentielle mardi, mettant fin à plus de deux décennies de flirt persistant avec l'idée de concourir pour le Bureau ovale du Président des Etats-Unis et s'appuyant sur sa fortune colossale comme argument témoignant de sa réussite, ce qui lui permet de dire qu'il est de ce fait indépendant de tout financement et n'a aucun intérêt financier pouvant justifier sa décision de se jeter dans la bataille.
« Alors voilà, Mesdames et Messieurs, je suis officiellement candidat à la présidence des États-Unis, et nous allons à nouveau faire de notre pays une grande nation », a déclaré Trump à la foule dans un discours de 45 minutes, long et sinueux, qui a insisté sur ses thèmes préférés comme la soi-disant manipulation de la monnaie par la Chine et la création d'emplois, tout en lâchant ses coups sur le président actuel et ses concurrents du côté républicain.
« Malheureusement, le rêve américain est mort », a déclaré Donald Trump à la fin de son discours. « Mais si je suis élu président, je le ferai revivre plus grand, meilleur et plus fort que jamais ». Il a également montré mardi qu'il n'hésitera pas à utiliser le luxe insolent et l'opulence qui font son style de vie au jour le jour. Pour lui, l'étalage de sa richesse et de son succès dans les affaires sont une pièce maîtresse de sa plateforme présidentielle, disant, sans ménagement pour ses éventuels compétiteurs, « Je suis vraiment riche » et ajoutant que son attitude confiante est ce dont les Etats-Unis ont besoin après avoir vu des « perdants » diriger le pays.
Le milliardaire a dit qu'il allait financer lui-même sa campagne présidentielle, ce qui lui permettra non seulement de se débarrasser de certaines influences extérieures, mais aussi de libérer plus de temps pour faire campagne, un argument qui peut séduire quand on sait que les candidats peuvent souvent passer environ la moitié de leur temps à chercher des fonds pour maintenir à flot le financement de leur campagne. Et il semble particulièrement motivé : il avait ainsi déclaré plus tôt cette année dans l'Iowa que « La dernière chose dont nous avons besoin est un autre Bush »…


vvv

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