(blog à finir et à corriger)
Trop fort, mes chers cinq lecteurs, mosanto "massacre" les abeilles et je n'ai plus de cerises, ni de prunes, vu que j'ai compté pas plus de dix abeilles cette année dans mon potager grâce aux agriculteurs empoisonneurs qui inondent leurs champs d'herbicides, de pesticides, de fongicides et j'en passe et trouve la solution pour la disparition des abeilles.
Donc, en fait, mosanto passe en perte et profit cette disparition et "invente" des solutions alternatives.
Cette société en commettant des crimes contre l'humanité, empoisonnement massive des populations, entre autre, des crimes contre l'environnement, écocides, sans compter, en participant à la déstabilisation d'état, Ukraine et autres, sur l'échelle des crimes contre "le monde" se situe largement au même niveau de ceux commis par l'ex-URSS et le nazisme, rappelons-nous de l'agent orange, par exemple.
Naturellement, cet état des lieux, dont l'origine est aux States comme par hasard, ne peux et n'a pu se faire que grâce à la corruption massive des appareils d'état, dont nous élisons les mêmes élus depuis ad eternam.
Alors, la faute à qui, à mosanto ou à nous les peuples qui ne savons pas ou n'avons pas su préserver nos démocraties.
Aux Etats-Unis, se prépare l'élection présidentielle, il y a un candidat socialiste à l'américaine qui se présente à la gauche du parti démocrate, n'est-ce pas là pour le peuple américain de dire enfin "NON !"
(source : Les Moutons Enragés)
Et, oui, mes chers lecteurs, mosanto, américain, les banques qui organisent les crises pour piller les états (subprimes et autres puisque cela continue), américaines, les paradis fiscaux (Delaware), anglo-saxons aussi, le soutien aux mouvements islamistes, un jour pour l'état islamiste, un jour pour el quaïda (Afghanistan, Syrie), tout en combattant el quaïda au Yemen qui entre-parenthèse ne commettent pas d'attentats aux States, à part les complots bidons du FBI, alors, mes chers lecteurs, cela doit questionner en premier lieu le peuple américain.
Putain de Dieu, réveille-toi, tes oligarques sont en train de foutre la planète en l'air !
(source : Idem)
Mais, il y a une chose qui me chagrine et dont je voudrais vous dire un mot, mes chers lecteurs, c'est l'avenir du concombre de mer, holothurie pour les connaisseurs.
(source : Wikipedia)
Car, dans l'accord de libre échange Chine-Australie, il parle de sa pêche et les chinois en sont très friands.
Eh, bien, moi, lorsque j'habitais à la tribu de pêcheurs d'Oundjo en Nouvelle Calédonie, on en a tellement pêché qu'elle a presque disparu du lagon d'Oundjo la bêche de mer et cela m'a fait beaucoup de peine, même, si j'y ai participé pour, je l'avoue..........de l'argent.
Ma peine est grande, mais, son sort est triste, pardon, mon Dieu !
(source : le Saker francophone)
Et, dans la rubrique, "Le nucléaire est une énergie propre !"
(source : Sott.net)
Ah, au fait, la Russie a réagi !
(source : Les Echos.fr)
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/16/05/2014/lesechos.fr/0203502675700_la-russie-se-deleste-d-un-cinquieme-de-ses-emprunts-du-tresor-americains.htm#K2tMXlJlVkXIo5Gh.99
vvvvv
Trop fort, mes chers cinq lecteurs, mosanto "massacre" les abeilles et je n'ai plus de cerises, ni de prunes, vu que j'ai compté pas plus de dix abeilles cette année dans mon potager grâce aux agriculteurs empoisonneurs qui inondent leurs champs d'herbicides, de pesticides, de fongicides et j'en passe et trouve la solution pour la disparition des abeilles.
Donc, en fait, mosanto passe en perte et profit cette disparition et "invente" des solutions alternatives.
Cette société en commettant des crimes contre l'humanité, empoisonnement massive des populations, entre autre, des crimes contre l'environnement, écocides, sans compter, en participant à la déstabilisation d'état, Ukraine et autres, sur l'échelle des crimes contre "le monde" se situe largement au même niveau de ceux commis par l'ex-URSS et le nazisme, rappelons-nous de l'agent orange, par exemple.
Naturellement, cet état des lieux, dont l'origine est aux States comme par hasard, ne peux et n'a pu se faire que grâce à la corruption massive des appareils d'état, dont nous élisons les mêmes élus depuis ad eternam.
Alors, la faute à qui, à mosanto ou à nous les peuples qui ne savons pas ou n'avons pas su préserver nos démocraties.
Aux Etats-Unis, se prépare l'élection présidentielle, il y a un candidat socialiste à l'américaine qui se présente à la gauche du parti démocrate, n'est-ce pas là pour le peuple américain de dire enfin "NON !"
(source : Les Moutons Enragés)
Un expert de Monsanto déclare que des fourmis génétiquement modifiées pourront remplacer les abeilles..
Et, oui, mes chers lecteurs, mosanto, américain, les banques qui organisent les crises pour piller les états (subprimes et autres puisque cela continue), américaines, les paradis fiscaux (Delaware), anglo-saxons aussi, le soutien aux mouvements islamistes, un jour pour l'état islamiste, un jour pour el quaïda (Afghanistan, Syrie), tout en combattant el quaïda au Yemen qui entre-parenthèse ne commettent pas d'attentats aux States, à part les complots bidons du FBI, alors, mes chers lecteurs, cela doit questionner en premier lieu le peuple américain.
Putain de Dieu, réveille-toi, tes oligarques sont en train de foutre la planète en l'air !
(source : Idem)
L’ex-président du SPD : «L’impérialisme américain n’a qu’à aller se faire f**tre»
Mais, il y a une chose qui me chagrine et dont je voudrais vous dire un mot, mes chers lecteurs, c'est l'avenir du concombre de mer, holothurie pour les connaisseurs.
(source : Wikipedia)
Les Holothuries (Holothuroidea) sont une classe d'animaux marin de l'embranchement deséchinodermes au corps mou et oblong, et possédant un cercle de tentacules autour de la bouche. Elles sont aussi appelées Concombres de mer ouBêches de mer (voire biche de mer par déformation en Nouvelle-Calédonie) mais égalementvier marin sur la côte marseillaise (de l'occitan viech marin, sexe marin). Son ancien nom en portugais, « bicho-do-mar » (à présent « pepino-do-mar », traduction littérale de l'anglais « sea cucumber »), « bête de la mer », serait à l'origine du nom de la langue parlée au Vanuatu : le bichelamar.
Ces animaux, majoritairement benthiques vivent, suivant les espèces, de la surface aux abysses. Les holothuries mesurent généralement de 10 à30 centimètres de long ; mais certaines espèces comme le cordon mauresque peuvent dépasser3 mètres.
Holothuroidea
Car, dans l'accord de libre échange Chine-Australie, il parle de sa pêche et les chinois en sont très friands.
Eh, bien, moi, lorsque j'habitais à la tribu de pêcheurs d'Oundjo en Nouvelle Calédonie, on en a tellement pêché qu'elle a presque disparu du lagon d'Oundjo la bêche de mer et cela m'a fait beaucoup de peine, même, si j'y ai participé pour, je l'avoue..........de l'argent.
Ma peine est grande, mais, son sort est triste, pardon, mon Dieu !
(source : le Saker francophone)
Pendant que les blocs régionaux européen, nord-américain et moyen oriental se délitent, le bloc Asie-Pacifique continue à se structurer.
Par Charles Happel – Le 17 juin 2015 – Source: Xinhuanet
Les gouvernements australien et chinois viennent de signer cet accord de libre échange attendu depuis si longtemps au cours d’une cérémonie à Canberra, mercredi (17 juin 2015), libérant ainsi le commerce entre les deux pays.
Cet accord historique, signé par les ministres du commerce australien Andrew Robb et chinois Gao Hucheng, a entériné des négociations qui ont duré 10 ans et une Déclaration d’intention signée en novembre dernier par les dirigeants des deux pays, le premier ministre australien Tony Abbott et le président chinois Xi Jinping.
Au cours de la cérémonie de signature, Abbott a déclaré que cet Accord de libre échange (ALE) montrait la confiance mutuelle entre les deux pays. Il a ajouté que cet accord était plus qu’un accord avec la superpuissance mondiale en devenir, c’était la «preuve de la confiance australienne envers la Chine».
«Aujourd’hui marque une étape historique dans l’établissement de partenariats stratégiques intégrés, a dit Abbott. J’espère que vous vous rappellerez tous de ce jour. Un jour, nous pourrons dire à nos enfants et petits enfants que, oui, nous étions présents le jour où cet accord extraordinaire a été signé entre les deux pays.»
Une déclaration faite par le gouvernement chinois affirme que la signature de cet ALE est un développement significatif car, de tous les accords de libre échange signés par la Chine, celui-ci atteignait «le plus haut niveau de libéralisation du commerce et de l’investissement».
La déclaration précise que l’Australie est, actuellement, la deuxième destination, après Hong Kong, pour les investissements chinois à l’étranger.«Nous nous attendons à ce que cet ALE facilite encore le flux des capitaux, des ressources et des gens et bénéficie aux industries et aux consommateurs des deux pays», stipule-t-elle.
Quand l’accord sera totalement en place, les taxes douanières seront annulées pour 95% des exportations australiennes, les conditions assouplies pour les entreprises chinoises investissant en Australie et davantage de visas seront accordés aux chinois en congés annuels.
Les Australiens, eux, profiteront de biens de consommation et d’électronique moins chers et leurs d’achats sont censés améliorer l’économie du pays.
De leur coté, les consommateurs chinois devraient avoir un accès facilité à des produits comme la viande de bœuf australienne, les produits laitiers, les vins, le whisky fin et des produits de niche comme le concombre de mer, l’opale et même le cuir de cerf. Les tarifs douaniers réduits devraient rendre ces produits plus abordables.
Robb a annoncé que cet accord ouvrira aussi le vaste marché chinois aux investissements australiens, à ses activités de services et ses matières premières.
«Le monde a changé et nous devons sortir de cet état d’esprit qui veut que les exportations sont bonnes et les importations mauvaises. Des produits bon marché sont aussi bons pour les ménages et les consommateurs, ils augmentent le pouvoir d’achat ce qui veut dire un plus haut niveau de vie», a dit Robb.
C’est le troisième accord de libre échange signé par Robb, après celui avec le Japon et la Corée du Sud.
«Cela implique littéralement des milliards de dollars, des milliers de postes et ce sera un grand facteur de prospérité pour les années qui viennent», a-t-il dit à la radio ABC.
La Chine est déjà le premier partenaire commercial de l’Australie, avec un flux commercial total dépassant les $135 milliards l’année dernière.
Peter Drysdale, le chef du bureau de l’East Asian Economic Research, a dit àXinhua, au cours d’une entrevue, que cet ALE marquait «une étape importante dans la relation entre la Chine et l’Australie».
«Elle apporte de nombreuses opportunités de changement, selon Drysdale. Après la période de boom des prix des matières premières, on assiste à une normalisation des relations commerciales entre les deux pays, dans laquelle l’Australie va devenir un fournisseur encore plus important et bon marché pour la Chine. […] Mais d’autres aspects de la relation vont devenir plus importants, comme le commerce des services qui va s’ouvrir. […] Cet accord avec l’Australie peut fournir une base solide de travail commun, au niveau régional, au-delà des aspects purement commerciaux, au travers de la Banque asiatique d’investissement et d’infrastructure, par exemple, et plus globalement lorsque la Chine recevra le G20 l’année prochaine.»
Traduit par Wayan, relu par Diane et Hervé pour le Saker francophone
Et, dans la rubrique, "Le nucléaire est une énergie propre !"
(source : Sott.net)
Une étude coordonnée par le Centre International de recherche sur le cancer (CIRC) et publiée le 21 juin sur le site Internet de la revue scientifique The Lancet Haematology, montre que l'exposition prolongée à de faibles doses de radioactivité accroît le risque de décès par leucémie chez les travailleurs du nucléaire.
Pour parvenir à ces conclusions, les chercheurs du CIRC se sont appuyés sur l'exposition aux faibles doses de radioactivité de plus de 300.000 travailleurs du nucléaire aux Etats-Unis, en France et au Royaume-Uni sur une période s'étendant sur 62 ans (de 1943 à 2005). Ce temps d'observation supérieur aux études précédentes et couvrant un nombre de décès plus important augmente la précision de l'estimation du risque lié aux faibles doses de radioactivité, a précisé au Journal de l'énergie le co-auteur de l'étude, la chercheuse Ausrele Kesminiene.
« Cette étude offre l'évaluation la plus précise à ce jour du risque de développer une leucémie liée à une exposition prolongée à de faibles doses de rayonnements reçues par les travailleurs du nucléaire tout au long de leur carrière", explique le Dr Ausrele Kesminiene dans un communiqué du CIRC daté du 22 juin. L'étude met en évidence « de solides indications » entre faibles doses de radioactivité et risque de décès par leucémie et s'appuie sur « les meilleures données disponibles aujourd'hui » selon le centre de recherche. Ces travaux se basent sur l'estimation des doses de radioactivité externe reçues par la moelle osseuse, a précisé la chercheuse.
D'autre part, l'étude montre que le risque de leucémie augmente linéairement avec la dose de rayonnement ionisant. Ce constat valide la thèse selon laquelle il n'y a pas de dose radioactive sans risque, même si « le risque diminue avec la dose », nous a expliqué Ausrele Kesminiene. La chercheuse estime que les travailleurs de l'industrie nucléaire sont aujourd'hui suffisamment protégés si les normes de radioprotection sont correctement appliquées. Est-ce le cas en France des 30.000 travailleurs sous-traitants d'EDF qui supportent 80 % de la radioactivité reçue lors de la maintenance des centrales nucléaires ?
Le CIRC est une agence de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) qui a identifié plus de 100 agents cancérogènes certains pour l'homme et 350 agents cancérogènes probables, dont les gaz d'échappement des moteurs diesel en 2012. L'organisation internationale qui fêtait ses cinquante ans cette année et dont le siège se situe à Lyon (Rhône), est considérée comme la référence mondiale dans le domaine de la recherche épidémiologique sur les agents cancérogènes."
Pour parvenir à ces conclusions, les chercheurs du CIRC se sont appuyés sur l'exposition aux faibles doses de radioactivité de plus de 300.000 travailleurs du nucléaire aux Etats-Unis, en France et au Royaume-Uni sur une période s'étendant sur 62 ans (de 1943 à 2005). Ce temps d'observation supérieur aux études précédentes et couvrant un nombre de décès plus important augmente la précision de l'estimation du risque lié aux faibles doses de radioactivité, a précisé au Journal de l'énergie le co-auteur de l'étude, la chercheuse Ausrele Kesminiene.
« Cette étude offre l'évaluation la plus précise à ce jour du risque de développer une leucémie liée à une exposition prolongée à de faibles doses de rayonnements reçues par les travailleurs du nucléaire tout au long de leur carrière", explique le Dr Ausrele Kesminiene dans un communiqué du CIRC daté du 22 juin. L'étude met en évidence « de solides indications » entre faibles doses de radioactivité et risque de décès par leucémie et s'appuie sur « les meilleures données disponibles aujourd'hui » selon le centre de recherche. Ces travaux se basent sur l'estimation des doses de radioactivité externe reçues par la moelle osseuse, a précisé la chercheuse.
D'autre part, l'étude montre que le risque de leucémie augmente linéairement avec la dose de rayonnement ionisant. Ce constat valide la thèse selon laquelle il n'y a pas de dose radioactive sans risque, même si « le risque diminue avec la dose », nous a expliqué Ausrele Kesminiene. La chercheuse estime que les travailleurs de l'industrie nucléaire sont aujourd'hui suffisamment protégés si les normes de radioprotection sont correctement appliquées. Est-ce le cas en France des 30.000 travailleurs sous-traitants d'EDF qui supportent 80 % de la radioactivité reçue lors de la maintenance des centrales nucléaires ?
Le CIRC est une agence de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) qui a identifié plus de 100 agents cancérogènes certains pour l'homme et 350 agents cancérogènes probables, dont les gaz d'échappement des moteurs diesel en 2012. L'organisation internationale qui fêtait ses cinquante ans cette année et dont le siège se situe à Lyon (Rhône), est considérée comme la référence mondiale dans le domaine de la recherche épidémiologique sur les agents cancérogènes."
Ah, au fait, la Russie a réagi !
(source : Les Echos.fr)
La Russie se déleste d’un cinquième de ses emprunts du Trésor américains
En mars, la Russie a cédé un cinquième de son stock d’emprunts du Trésor américains, alors qu’augmentaient les menaces de sanctions contre Moscou, sur fond de crise ukrainienne.
Les stocks d’emprunts d’Etat américains détenus à l’étranger font l’objet de mouvements inhabituels depuis plusieurs mois. Les derniers chiffres du Trésormontrent que la Russie a réduit son exposition à la dette américaine de 126,2 milliards de dollars à 100,4 milliards en mars. Moscou s’est donc délesté d’un cinquième de ses réserves en seulement un mois.
Moscou a ainsi été le plus gros vendeur de titres américains sur cette période, qui correspond à l’intensification des menaces de sanctions financières contre le pays, dans le contexte de la crise ukrainienne. En l’espace de six mois, la baisse est encore plus impressionnante : la Russie s’est délestée de presque 50 milliards de dollars d’emprunts américains.
Fin février, de mystérieux mouvements avaient déjà attiré l’attention des spécialistes. , soit l’équivalent de 70 % de son PIB. Certains soupçonnaient la Russie d’avoir transféré une partie de ses réserves vers Euroclear, l’un des principaux dépositaires de titres, basé à Bruxelles. Par ce biais, Moscou aurait protégé ses actifs d’un éventuel gel. Mais rien n’a permis de le prouver. D’autres y voyaient plutôt la main de Pékin.
La Belgique, qui est un centre financier important au niveau mondial, a en tout cas confirmé sa place de troisième plus gros détenteur de dette américaine en mars : son exposition est passée de 341 milliards à 381 milliards de dollars. En décembre, le pays était quatrième et en novembre, sixième.
Les deux principaux créanciers des Etats-Unis restent la Chine (1272 milliards de dollars) et le Japon (1200 milliards). La France est loin derrière, avec seulement 57 milliards de dollars de réserves placées en emprunts du Trésor américains.
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/16/05/2014/lesechos.fr/0203502675700_la-russie-se-deleste-d-un-cinquieme-de-ses-emprunts-du-tresor-americains.htm#K2tMXlJlVkXIo5Gh.99
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