(blog à finir et à corriger)
Ah, mes chers cinq lecteurs, ces américains, si seulement, ils récupéraient leur démocratie et mettaient leurs banques au pas, ils resteraient toujours parmi les meilleurs !
(source : Les Moutons Enragés)
Et, je vous le disais hier, mes chers lecteurs, lorsqu'on bouleverse l'équilibre des biotopes, les nuisibles se multiplient et remontent à la surface, c'est l'une des conséquences du changement climatique.
Donc, en fait, l'urgence est en plus urgente qu'il n'est dit !
(source : Les Brindherbes engagés)
Et, pendant ce temps, ils cherchent, ils cherchent comment se débarasser des herbicides chimiques.
(source : Tout Vert)
Alors, pourquoi attendre messieurs des gouvernements au lieu de pondre des lois concoctées par l'agro-alimentaire et reprise par vos élus pour nous imposer des légumes dont les graines sont d'origine industrielle et interdire la vente de produits issus de graines traditionnelles ?
Ah, mes chers cinq lecteurs, ces américains, si seulement, ils récupéraient leur démocratie et mettaient leurs banques au pas, ils resteraient toujours parmi les meilleurs !
(source : Les Moutons Enragés)
Un moyen naturel pour soigner Alzheimer? Vraiment?
Et, je vous le disais hier, mes chers lecteurs, lorsqu'on bouleverse l'équilibre des biotopes, les nuisibles se multiplient et remontent à la surface, c'est l'une des conséquences du changement climatique.
Donc, en fait, l'urgence est en plus urgente qu'il n'est dit !
(source : Les Brindherbes engagés)
On n’avait jamais vu ça : des millions de hannetons dévorent la forêt
De mémoire de forestier, le phénomène est sans précédent : des millions d’insectes sortent de terre pour grignoter des forêts
De mémoire de forestier, l’ampleur du phénomène est sans précédent : après quatre ans sous terre, des centaines de millions de hannetons se sont envolés pour grignoter les feuilles des arbres de forêts alsaciennes. Leur présence massive suscite de sérieuses inquiétudes.
« »Les Oiseaux » de Hitchcock, version hannetons»
C’est un «gros bourdonnement continu», «comme un bruit d’hélicoptère» ou plutôt «de gros avions au loin», décrivent ceux qui, au crépuscule, se sont approchés des forêts vosgiennes du nord de la région il y a quelques semaines.
Mâles en tête, des hordes de hannetons forestiers de 2 cm de long sont sortis de terre, avant de s’envoler par vagues successives, en zigzaguant vers la cime des arbres. Avec une nette préférence pour les chênes, mais sans dédaigner les hêtres et autres feuillus.
«C’était « Les Oiseaux » de Hitchcock, mais version hannetons», plaisante Françoise Bourjat, la maire de Sparsbach. Ce village est situé au cœur de la zone infestée, au sein d’un ensemble de forêts domaniales et communales au nord d’Ingwiller (Bas-Rhin), représentant selon l’ONF une surface de près de 15.000 hectares.
10% de chênes presque complètement défeuillés
L’envol des coléoptères s’est répété tous les soirs pendant deux semaines, fin avril. Ils ont ensuite poursuivi leur grand festin de feuilles jusqu’au début du mois de juin, avant de tous mourir.
«Au total, je pense qu’un chêne sur deux a eu ses feuilles au moins en partie mangées, et peut-être 10% ont été presque complètement défeuillés», observe Joseph Meyer, cheville ouvrière de l’ONF dans la zone touchée.
Il y a eu selon lui de 40.000 à 200.000 hannetons par hectare. Étant donnée l’étendue de la zone infestée, les hannetons ont donc été plusieurs centaines de millions au total.
«On a arrêté de compter», plaisante Frédéric Guerin, porte-parole de l’ONF pour la région, «c’est d’une ampleur exceptionnelle aussi bien du point de vue de l’étendue géographique, que de l’intensité du phénomène».
Des dégâts souterrains qui inquiètent
D’autres forêts françaises au sol sableux, comme celle de Fontainebleau, peuvent aussi connaître de fortes présences de hannetons, mais «il n’y a aucune trace de phénomènes similaires», dit-il, ni aucune explication des raisons de cette prolifération.
Ce n’est pas l’envol spectaculaire des hannetons et le grignotage des feuilles qui inquiète: de nouvelles feuilles sont déjà apparues sur la plupart des arbres. C’est surtout le grignotage de leurs racines par les larves de l’insecte, pendant les quatre ans passés sous terre avant son envol.
Ces dégâts souterrains, difficiles à évaluer et qui affectent tous les types d’arbres, vont se poursuivre pendant le nouveau cycle qui vient de s’engager. Car les hannetons, une fois repus, se sont aussi consciencieusement reproduits ces dernières semaines.
Leur nombre va-t-il continuer à augmenter ou a-t-on atteint un pic? «On est incapable de l’évaluer pour l’instant, c’est la grande interrogation», dit Nageleisen.
Et, pendant ce temps, ils cherchent, ils cherchent comment se débarasser des herbicides chimiques.
(source : Tout Vert)
Agriculture : un désherbant naturel à base d’huile de colza
Commercialiser un désherbant naturelqui ne soit pas dangereux pour la santé et l’environnement. Voilà le défi que l’entreprise bordelaise Jade International s’était lancée il y a quelques années et qui pourrait bienrévolutionner le milieu de l’agriculture.
Beloukha, ce désherbant naturel ainsi nommé, est le premier produit de biocontrôle sur base végétale sur le marché agricole.
Les législations françaises et européennes tendent vers un durcissement des règles d’utilisation pour les produits phytosanitaires agricoles. L’utilisation des produits issus de lasynthèse chimique va être interdit ou fortement limité dans les années à venir. La mise au point de ce désherbant naturel sur base végétale par la société Jade International, arrive donc à point nommé !
Jade International explique que le Belouhka est fabriqué à partir de l’extraction mécanique d’unesubstance active contenu dans l’huile de colza. Selon l’entreprise, « Beloukha (…) concilieproductivité, sécurité et respect de l’environnement ».
En effet, ce désherbant maîtrise les adventices (comprendre les mauvaises herbes) en 2 à 3 heures seulement grâce au défanage et à la dessiccation. C’est-à-dire que la partie de la plante en contact avec le Beloukha se dessèche. Il ne « tue » donc pas la plante en profondeur, elle repousse 2 ou 3 semaines après l’application.
Le Beloukha étant d’origine naturelle, il se décompose très rapidement, il est biodégradable en 2 jours seulement. Et enfin, gros avantage il n’est pas toxique ! Et ce ni pour le consommateur, ni pour l’environnement.
A CONSULTER : Eau, vinaigre, sel : fabriquer son désherbant naturel !
Le Directeur Général de Jade International, Alain Chemin, confie que le Beloukha est encore pour le moment un produit cher, mais il souhaite le démocratiser pour que le plus grand nombre d’agriculteurs puissent l’utiliser. Il pense notamment se déployer sur les marchés du maraichage et de l’arboriculture."
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