(blog à finir et à corriger)
Hélas, mes chers cinq lecteurs, ils vont finir par vitrifier tout le nord de la France, Paris et la Bretagne, avec leur super réacteur nucléaire EPR qui accumule défauts de construction et de mise e oeuvre. Et, pourtant, il persiste, vu qu'Areva tomberait en faillite si ils arrêtaient tout simplement le projet. De fait, ils préfèrent sacrifier la population et eux avec puisque les radiations s'insinueraient dans les couloirs ministériels et du palais présidentiel.
Mais, je parle, je parle, moi, perso, lorsqu'il y a eu Tchernobyl, j'étais en Nouvelle Calédonie dans l'océan Pacifique et lorsqu'il a y eu Fukushima, j'étais retourner à Paris en France.
Donc, lorsqu'il mettront en marche l'EPR de Flamanville, je me tire à nouveau, soit à Tahiti, soit en Nouvelle Calédonie, même à la nage, si, il le faut.
(source : GoodPlanet.info)
On nous parle de la montée des eaux et des déjà migrants climatiques, on nous parle réchauffement et migration des plantes vers l'un ou l'autre des pôles, déforestation, de pollution, de changements de paradigme, de méthane qui s'accentuera avec la déglaciation et de vastes zones de marécages, enfin, bref, vous pouvez faire la liste vous mêmes, elle est impressionnante.
Sauf que, sauf que, on oublie que dans tous les biotopes, il y a le bon, que nous avons eu, et le mauvais jusqu'à présent était endigué (containment) par les facteurs favorables au développement de tout ce qui pouvait établir un équilibre entre les espèces.
Les nuisibles étaient donc contenus !
Désormais, le changement qui se joue par effet domino même sur le microscopique entraîne une évolution, un accroissement drastique des facteurs négatifs hostiles à l'équilibre des espèces, désormais libres de se développer sans les fortifications naturelles qui les contenaient.
Cela va de la molécule aux microbes et toutes espèces invasives et nuisibles à l'équilibre naturel jusqu'à là existant, donc, nuisible à la perpétuation de l'espèce humaine.
Voilà, mes chers lecteurs, ma pensée mal exprimée, mais, sans doute, vous en devinez le sens. Un scientifique évidemment, vous retournerez tout cela en deux cinq pour vous fournir une explication pédagogique compréhensible.
Sans compter que je n'ai pas trop envie de me casser la tête pour lui donner une tournure mieux formulée.
Mais, reconnaissez-le, c'est trop logique !
(source : Sott.net)
vvv
Hélas, mes chers cinq lecteurs, ils vont finir par vitrifier tout le nord de la France, Paris et la Bretagne, avec leur super réacteur nucléaire EPR qui accumule défauts de construction et de mise e oeuvre. Et, pourtant, il persiste, vu qu'Areva tomberait en faillite si ils arrêtaient tout simplement le projet. De fait, ils préfèrent sacrifier la population et eux avec puisque les radiations s'insinueraient dans les couloirs ministériels et du palais présidentiel.
Mais, je parle, je parle, moi, perso, lorsqu'il y a eu Tchernobyl, j'étais en Nouvelle Calédonie dans l'océan Pacifique et lorsqu'il a y eu Fukushima, j'étais retourner à Paris en France.
Donc, lorsqu'il mettront en marche l'EPR de Flamanville, je me tire à nouveau, soit à Tahiti, soit en Nouvelle Calédonie, même à la nage, si, il le faut.
(source : GoodPlanet.info)
L’ancien directeur général de la deuxième banque islandaise jusqu’à l’effondrement du secteur financier du pays en 2008 a été condamné à de la prison ferme. Et bien d’autres dossiers attendent.
« Pourquoi l’Islande arrive à envoyer les patrons de banque en prison, et pas les autres pays ? Il y a une explication locale ? », se demande-t-on sur Twitter.
Ce mercredi matin, l’ancien responsable de Landsbanki, la seconde banque du pays avant le krach bancaire en 2008 (qui a entrainé l’effondrement complet du pays) a été condamné à 12 mois de prison, dont trois ferme, par un tribunal de Reykjavik.
Sigurjon Arnason, 48 ans, était accusé de manipulation du cours des actions de la banque. Pour soutenir ceux-ci, Landsbanki prêtait de l’argent à des investisseurs, à condition qu’ils achètent en retour des actions… Deux autres anciens cadres-dirigeants de la banque ont été condamnés par le même tribunal à neuf mois dont trois ferme, pour avoir participé à la combine.
La réponse à la question posée sur Twitter est à rechercher dans la volonté de faire de la crise financière un sujet politique : dès l’explosion du système, les Islandais ont pris la question à bras le corps, réfléchi à leur « contrat social », bref, politisé le sujet.
- Ils ont manifesté dans les rues de Reykjavik et obtenu la chute du gouvernement de droite qui dirigeait alors ce petit pays ;
- Ils ont organisé des référendums qui ont conduit à refuser le remboursement, par les contribuables, des épargnants étrangers lésés ;
- Ils ont engagé un processus de révision de la constitution (qui n’a pas abouti) ;
- Ils ont enfin décidé de nommer un procureur spécial (Olafur Thor Hauksson, alors commissaire de police d’Akranes, un petit port de 6.500 habitants) pour traquer les éventuels délits commis par les responsables : les “néo-vikings” indélicats, ces financiers peu scrupuleux qui étaient encore des stars en 2007, mais aussi les responsables politiques du désastre.
Les « banksters » ? Beaucoup vont bien, merci
Cela dit, il ne faut pas trop exagérer les résultats de cette traque judiciaire : la justice n’a pas poursuivi les « responsables de la crise », mais les responsables de délits avérés.
NDLR : Ce qui ne risque pas d’arriver en France puisque l’on se refuse même à lancer de simples commissions d’enquêtes publiques …
Un seul homme politique, bouc émissaire facile, a été jugé : Geir Haarde, l’ancien Premier ministre à l’époque du Krach. Il risquait deux ans de prison ; finalement, il a été jugé coupable d’une broutille, sans qu’aucune sanction ne soit prononcée : le tribunal lui a reproché de ne pas avoir organisé de réunions gouvernementales après la chute de la banque Lehman Brothers en septembre.
Son mentor et prédécesseur de 1991 à 2005, David Oddsson, qui était au moment de la crise gouverneur de la Banque centrale (une fonction dans laquelle il s’était lui même nommé) est passé entre les gouttes. Il est vrai qu’il dirige depuis un des plus influents quotidiens islandais, « Morgunbladid » (le journal du matin). « Un peu comme si on avait nommé Richard Nixon à la tête du ‘Washington Post’ pendant le Watergate », s’était alors moqué « le Monde diplomatique »…
Quand aux « banksters », ils vont dans l’ensemble très bien. Mais quelques un d’entre eux, et pas des moindres, ont été condamnés pour des malversations précises. La justicea trouvé de quoi condamner les dirigeants des trois banques en faillite :
- Larus Welding, ancien patron de la banque Glitnir ;
- Hreidar Mar Sigurdsson et Sigurdur Einarsson, ex-dirigeants de la banque Kaupthing ;
- Et maintenant Sigurjon Arnason, patron de Landsbanki ainsi que deux autres cadres.
En attendant, une bonne partie des brigands milliardaires reconstruisent leur petit business et se la coulent douce. Les quelque 20 à 30 financiers –un club exclusivement masculin — qui ont poussé l’Islande vers le gouffre vivent bien pour la plupart. Certains sont restés en Islande, beaucoup se sont dispersés dans le monde, dans les villes où l’argent tourne. Ils vivent dans de sompteux appartements à Londres, au Luxembourg, à Lausane, à Toronto, ou à Saint Petersbourg…
On a pu croiser, dans les mois qui ont suivi le krach, dans certains bars, leurs photos dans les urinoirs : à défaut de pouvoir les juger, les Islandais leur pissaient dessus…"
Bon, maintenant, mes chers lecteurs, je voudrais vous parler d'un sujet largement ou carrément passé sous silence par les chantres du changement climatique.On nous parle de la montée des eaux et des déjà migrants climatiques, on nous parle réchauffement et migration des plantes vers l'un ou l'autre des pôles, déforestation, de pollution, de changements de paradigme, de méthane qui s'accentuera avec la déglaciation et de vastes zones de marécages, enfin, bref, vous pouvez faire la liste vous mêmes, elle est impressionnante.
Sauf que, sauf que, on oublie que dans tous les biotopes, il y a le bon, que nous avons eu, et le mauvais jusqu'à présent était endigué (containment) par les facteurs favorables au développement de tout ce qui pouvait établir un équilibre entre les espèces.
Les nuisibles étaient donc contenus !
Désormais, le changement qui se joue par effet domino même sur le microscopique entraîne une évolution, un accroissement drastique des facteurs négatifs hostiles à l'équilibre des espèces, désormais libres de se développer sans les fortifications naturelles qui les contenaient.
Cela va de la molécule aux microbes et toutes espèces invasives et nuisibles à l'équilibre naturel jusqu'à là existant, donc, nuisible à la perpétuation de l'espèce humaine.
Voilà, mes chers lecteurs, ma pensée mal exprimée, mais, sans doute, vous en devinez le sens. Un scientifique évidemment, vous retournerez tout cela en deux cinq pour vous fournir une explication pédagogique compréhensible.
Sans compter que je n'ai pas trop envie de me casser la tête pour lui donner une tournure mieux formulée.
Mais, reconnaissez-le, c'est trop logique !
(source : Sott.net)
Ce qui pourrait être la plus importante efflorescence d'algues toxiques de l'océan Pacifique sur la côte ouest de l'Amérique du Nord flotte au large des côtes de la Californie et s'étend jusqu'au nord de la Colombie-Britannique, selon des scientifiques américains.
Pêches et Océans Canada surveille également cette éclosion inhabituelle qui a déjà entraîné la fermeture de la pêche des mollusques bivalves sur la majorité de la côte britanno-colombienne. Le niveau de toxicité dans la plupart des secteurs n'est toutefois pas à un niveau qui pourrait entraîner des problèmes de santé, selon le scientifique Ian Perry de Pêches et Océans.
La prolifération du phytoplancton est apparue en mai. Au cours des périodes de prolifération, « [...] les coquillages filtreurs comme les myes et les moules accumulent les toxines des dinoflagellés dont ils se nourrissent », explique Pêches et Océans Canada sur son site Internet. Ces toxines peuvent entraîner une intoxication par la phycotoxine paralysante chez ceux qui consomment des mollusques bivalves. Cette intoxication peut-être mortelle, selon les chercheurs de l'Université de la Californie de Santa Cruz.
Une efflorescence inhabituelle
« Il semblerait que cela soit une des efflorescences les plus toxiques et recouvrant la superficie la plus importante que nous ayons eues au cours de la dernière décennie », a expliqué le professeur des sciences océanographiques de l'Université de la Californie, Raphael Kudela. Les chercheurs s'inquiètent également du niveau de phycotoxine amnestique présent dans les mollusques et autres animaux marins, dont les couteaux du Pacifique, les crabes, le merlu du Pacifique, et la sardine du Pacifique. Contrairement à la phycotoxine paralysante commune sur les côtes de la Colombie-Britannique au cours des mois d'été, la phycotoxine amnestique s'accumule également chez les poissons et contamine les humains et les animaux qui les consomment.
La phycotoxine amnestique est responsable de plusieurs décès et a rendu malade plus d'une centaine de personnes, selon le département des poissons et des animaux sauvages de l'État de Washington. Les poissons et les mollusques ne souffrent pas des effets néfastes de cette toxine qui entraîne des problèmes neurologiques chez l'humain. Au début du mois, les autorités de l'État de Washington ont fermé la pêche au crabe au large de ses côtes en raison de la présence de la phycotoxine paralysante. Cette semaine, une équipe de scientifiques a pris la mer en Oregon à bord d'un navire du National Oceanic and Atmospheric Administration américain afin d'étudier l'efflorescence.
Ils tenteront d'établir si sa taille importante est liée à la température de l'eau plus élevée qu'à la normale au large des états de la Californie et de Washington. Des échantillons d'eau seront récoltés sur toute la côte ouest américaine, de la frontière avec le Mexique à l'île de Vancouver, selon le Seattle Times."
Pêches et Océans Canada surveille également cette éclosion inhabituelle qui a déjà entraîné la fermeture de la pêche des mollusques bivalves sur la majorité de la côte britanno-colombienne. Le niveau de toxicité dans la plupart des secteurs n'est toutefois pas à un niveau qui pourrait entraîner des problèmes de santé, selon le scientifique Ian Perry de Pêches et Océans.
La prolifération du phytoplancton est apparue en mai. Au cours des périodes de prolifération, « [...] les coquillages filtreurs comme les myes et les moules accumulent les toxines des dinoflagellés dont ils se nourrissent », explique Pêches et Océans Canada sur son site Internet. Ces toxines peuvent entraîner une intoxication par la phycotoxine paralysante chez ceux qui consomment des mollusques bivalves. Cette intoxication peut-être mortelle, selon les chercheurs de l'Université de la Californie de Santa Cruz.
Une efflorescence inhabituelle
« Il semblerait que cela soit une des efflorescences les plus toxiques et recouvrant la superficie la plus importante que nous ayons eues au cours de la dernière décennie », a expliqué le professeur des sciences océanographiques de l'Université de la Californie, Raphael Kudela. Les chercheurs s'inquiètent également du niveau de phycotoxine amnestique présent dans les mollusques et autres animaux marins, dont les couteaux du Pacifique, les crabes, le merlu du Pacifique, et la sardine du Pacifique. Contrairement à la phycotoxine paralysante commune sur les côtes de la Colombie-Britannique au cours des mois d'été, la phycotoxine amnestique s'accumule également chez les poissons et contamine les humains et les animaux qui les consomment.
La phycotoxine amnestique est responsable de plusieurs décès et a rendu malade plus d'une centaine de personnes, selon le département des poissons et des animaux sauvages de l'État de Washington. Les poissons et les mollusques ne souffrent pas des effets néfastes de cette toxine qui entraîne des problèmes neurologiques chez l'humain. Au début du mois, les autorités de l'État de Washington ont fermé la pêche au crabe au large de ses côtes en raison de la présence de la phycotoxine paralysante. Cette semaine, une équipe de scientifiques a pris la mer en Oregon à bord d'un navire du National Oceanic and Atmospheric Administration américain afin d'étudier l'efflorescence.
Ils tenteront d'établir si sa taille importante est liée à la température de l'eau plus élevée qu'à la normale au large des états de la Californie et de Washington. Des échantillons d'eau seront récoltés sur toute la côte ouest américaine, de la frontière avec le Mexique à l'île de Vancouver, selon le Seattle Times."
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