dimanche 7 juin 2015

(blog à finir et à corriger)

Dites-vous bien une chose, mes chers cinq lecteurs, les banquiers ne vont plus en prison et les propriétaires des laboratoires pharmaceutiques non plus !

(source : Metanews)

Royaume-Uni : Des milliers de jeunes filles victimes de la vaccination scolaire « contre le cancer du col de l’utérus »

  08 Juin 2015
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Royaume-Uni : Des milliers de jeunes filles victimes de la vaccination scolaire « contre le cancer du col de l’utérus »

« J’ai eu de terribles douleurs thoraciques et abdominales, des difficultés respiratoires – une fois même je ne pouvais plus bouger quoi que ce soit d’un côté de mon corps. »

 

Paul Gallagher 31 mai 2015

Quand on a demandé à Caron Ryalls de signer un formulaire de consentement pour que sa fille, Emily, de 13 ans soit vaccinée contre le cancer du col de l’utérus, elle a pensé que c’était le meilleur moyen de protéger la santé de sa fille pour le futur.

Pourtant, dès qu’Emily a commencé à souffrir des effets secondaires du vaccin, les quatre années qui ont suivi ont représenté un véritable cauchemar pour la famille. A peine deux semaines après la première injection du vaccin HPV, l’adolescente a commencé à souffrir d’étourdissements et de nausées.

« Les symptômes ont continué de s’aggraver après la deuxième et troisième injections. J’ai dû plusieurs fois me rendre dans le centre A&E à cause de mes terribles douleurs thoraciques et abdominales, ainsi qu’à cause de mes difficultés respiratoires. » Emily qui a maintenant 17 ans se rappelle : « Une fois, je ne pouvais même plus bouger quoi que ce soit d’un côté de mon corps. Je ne comprenais absolument pas ce qui se passait. »

Emily est l’une de ces milliers de jeunes-filles qui ont souffert de maladies débilitantes après des vaccinations de routine. Elle doit encore récupérer et n’a aucune idée du jour où sa santé redeviendra normale.

«  Avant la vaccination, Emily avait une santé impeccable ; elle n’avait jamais eu de problèmes », explique Madame Ryalls, 49, de Ossett dans le West Yorshire.» Comme elle avait été jugée en excellente santé, elle avait représenté l’école aux tournois de hockey, netball et athlétisme. Elle était aussi une excellente danseuse. A l’école, elle était une travailleuse acharnée. Elle se classait toujours dans les premières. Son avenir s’annonçait très brillant. »

Madame Ryalls a signalé le cas d’Emily à l’Agence des produits de santé (MHRA). En 10 ans, jusqu’au mois d’avril de cette année, cette Agence a reçu environ 22.000 rapports spontanés de présomptions d’effets indésirables de 13 catégories de vaccins de routine comprenant le vaccin contre la grippe, le vaccin ROR, le vaccin antitétanique, contre la diphtérie et la polio. Cette information a pu être obtenue grâce à la loi sur la liberté d’information qui a été publiée ce mois-ci.

REACTIONS AUX MEDICAMENTS (Tableau ci-dessous)

Nombre total de rapports concernant des effets secondaires suspectés d’être associés aux vaccinations de routine, au cours de la période du 1/1/05 au 22/04/15

Dans la seule catégorie du vaccin HPV, le nombre des effets secondaires indésirables s’élève à 8.228. Parmi ces 8.228 cas, 2.587 ont été classifiés « graves » - selon plusieurs critères, y compris la nécessité d’hospitalisation ou le risque de décès.

Le MHRA a précisé que ces chiffres ne reflètent pas le nombre véritable d’effets secondaires en raison d’un « niveau inconnu et variable de sous-déclaration ». L’Agence estime qu’elle reçoit environ 10% de tous les rapports, ce qui suggère que le nombre réel des jeunes-filles souffrant d’effets secondaires pourrait atteindre des dizaines de milliers. L’Agence tient aussi à préciser que « plusieurs millions » de vaccins ont été administrés au cours de ce laps de temps sans que des problèmes aient été signalés.
Royaume-Uni: des milliers de jeunes filles victimes de la vaccination scolaire "contre le cancer du col de l'utérus"
« Chaque visite chez un médecin ne s’est jamais faite dans d’excellentes conditions » dit Madame Ryalls. «  Chaque évocation du vaccin HPV, nous valait l’hostilité et le ridicule. On nous a finalement orientées vers un pédiatre local. Celui-ci a fait comprendre à notre fille qu’elle devait un peu se bouger pour revenir à la normale – L’une de ses remarques concernant le total épuisement d’Emily fut celle-ci : «… Mais, nous nous sentons tous fatigués le matin, Emily ! »

Deux ans après être tombée malade, Emily a été envoyée chez le Dr Pradip Thakker du Centre Médical Queens à Nottingham. Ce médecin utilisait une table spéciale pour pouvoir diagnostiquer le syndrome de tachycardie orthostatique posturale. Dans ces cas, le déplacement de la position couchée à la position debout provoque un rythme cardiaque anormalement élevé.

A cette époque Emily n’était pas capable de suivre plus de trois ou quatre heures de cours par semaine. Madame Ryalls qui avait, à partir de rien, créé une maison d’édition, fut contrainte de fermer pour pouvoir s’occuper à plein temps d’Emily.

La Recherche sur le Cancer de Grande Bretagne souligne que le cancer du col de l’utérus est le deuxième cancer le plus fréquent chez les femmes de moins de 35 ans. Au Royaume-Uni, 3.000 femmes par an reçoivent le diagnostic de cancer du col de l’utérus, et on estime que 400 vies pourraient être sauvées chaque année à la suite de la vaccination des filles avant qu’elles ne soient infectées par le papilloma virus humain.

Le NHS dit que le vaccin qui a été introduit dans le cadre du programme de vaccination de routine en 2008, protège contre les deux types de HPV qui causent 70% des cas de cancer du col de l’utérus. Le dépistage est cependant encore nécessaire pour pouvoir repérer des anomalies cervicales provoquées par d’autres types de HPV qui pourraient mener au cancer.

Depuis septembre 2014, les jeunes-filles n’ont reçu que deux injections. La seconde s’effectue de six à 24 mois après la première. Le NHS dit que le programme s’est montré « très efficace ». D’autres pays cependant prennent des mesures suite à l’augmentation du nombre de rapports de filles souffrant d’effets secondaires. Un documentaire danois qui a été présenté à la télévision en début d’année a mis en évidence le grand nombre de filles  qui semblent avoir été affectées après avoir reçu leur vaccin contre le HPV. Certaines d’entre elles, comme les filles que les Ryalls ont rencontrées au Royaume-Uni sont maintenant en fauteuil roulant.

L’année dernière, le Japon a retiré sa recommandation du vaccin contre le HPV à la suite des effets secondaires qui avaient été rapportés.

Dans un article publié la semaine dernière dans la revue « Springer Journal Clinical Rheumatology », le Dr Manuel Martinez-Lavin qui traite depuis plus de 30 ans des personnes souffrant de douleurs chroniques, a déclaré que ces maladies sont plus fréquentes après la vaccination contre le HPV ». Il écrit : «  La vaccination a été l’une des mesures de santé publique les plus efficaces dans l’histoire de la médecine. Il n’empêche que des réactions indésirables apparemment inexplicites ont été décrites après l’injection des nouveaux vaccins contre le papilloma virus humain (HPV).Il semble que les effets indésirables soient plus fréquents après cette vaccination qu’après d’autres types de vaccins. »

Le Dr Martinez-Levin a déclaré qu’il croyait que  le syndrome de tachycardie orthostatique posturale, ainsi que la fibromyalgie figuraient parmi les maladies qui pouvaient se développer après la vaccination contre le HPV. Il pensait aussi que les cliniciens devaient être conscients de l’association possible entre la vaccination contre le HPV et le développement de ces symptômes douloureux difficiles à diagnostiquer.

Madame Ryalls et environ 80 familles qui se trouvent dans des situations similaires au Royaume-Uni sont en train de prendre des mesures. Elles ont formé l’association des filles dont la santé a été endommagée par le vaccin contre le HPV (AHVID) pour pouvoir rassembler les filles ainsi que leurs familles.

Madame Ryalls a déclaré : « Nous voulons que nos voix portent plus. Nous déployons beaucoup d’efforts pour créer des centres régionaux d’évaluation et de traitement, comme c’est le cas au Danemark et au Japon. Nous voulons que les effets indésirables puissent être plus facilement rapportés. Nous voulons une meilleure information, une plus grande transparence pour permettre aux parents de prendre des décisions véritablement éclairées au sujet de la vaccination contre le HPV. »

Madame Ryalls a aussi déclaré que l’AHVID souhaitait que les recherches s’intensifient et que s’améliore le traitement des filles qui n’est aujourd’hui pas suffisamment au point, car trop peu de médecins sont capables de repérer le syndrome de tachycardie orthostatique posturale, ainsi que d’autres maladies auto-immunes.

« Je ne suis pas anti-vaccins » déclare Madame Ryalls, mais il reste des tas de questions en suspens. Je ne dirai jamais à personne de faire ce vaccin. Il s’agit là d’une affaire personnelle. Je voudrais surtout suggérer à chacun de faire ses propres recherches et de ne pas se contenter des brochures qui sont distribuées dans les écoles. » 

Emily a tout fait pour pouvoir retourner à ses études. Elle étudie l’anglais et la photographie. Elle espère pouvoir poursuivre l’étude de la photographie à l’université.

Le MHRA a déclaré qu’il n’y avait guère de raisons de se soucier du nombre d’effets secondaires faisant suite au vaccin contre le HPV et que les bénéfices de la vaccination l’emportaient sur les risques connus.

L’Agence précise encore : «  la grande majorité  des rapports d’effets secondaires soupçonnés du HPV ont trait aux risques de la vaccination qui sont bien décrits dans la notice du vaccin. Le taux de déclaration des effets indésirables présumés n’ont pas nécessairement fait la preuve qu’ils étaient causés par le vaccin. Ces effets secondaires peuvent être influencés par de nombreux facteurs et devraient varier en fonction des vaccins. Le plus grand nombre de rapports concernant le vaccin contre le HPV ne signifie pas nécessairement qu’il est moins sûr que les autres vaccins.

« Les rapports concernant le syndrome de tachycardie orthostatique posturale sont maintenant étudiés par les régulateurs de l’UE. La maladie peut aussi se produire naturellement chez des adolescentes et, à l’heure actuelle, il n’y a pas suffisamment de preuves pour indiquer que le vaccin est en cause. Tout cela devra encore être étudié. »

Source: The Independent

En attendant à cause de l'eau pompée en trop grande quantité, une raison majeure de la sécheresse actuelle, la Californie s'enfonce dans le sol.




Source de cette nouvelle :

Traduction de cet article :
Par Nathan Halverson / Juin 4, 2015
La Californie est en train de couler - et vite.

Alors que le naufrage induit par la sécheresse de l'État est bien

connu, de nouveaux détails soulignent à quel point il est devenu

grave et combien le gouvernement a fait peu pour le surveiller.

L'été dernier, les scientifiques ont enregistré le pire naufrage en

moins de 50 ans. Cet été, tous les records sont battus à travers

l'état , des milliers de milles de la terre dans la vallée centrale et

ailleurs s’enfoncent.

Mais l'ampleur du problème et combien cela va coûter aux

contribuables de corriger le tir  font partie du mystère de la

sécheresse qui a lieu dans l'État. Aucune agence suit le  naufrage

de l’état , peu d'argent public a été mis vers l'étude et la Californie

permet encore aux entreprises agricoles de garder des éléments

 essentiels de leur secret des opérations.

La cause est connue: les gens tirent des quantités non durables de

l'eau sur les aquifères souterrains, principalement pour la

production alimentaire. Avec l'eau aspirée pour irriguer les cultures,

une pratique qui a accéléré au cours de la sécheresse, des

dizaines de milliers de milles carrés se dégonflent comme un

matelas pneumatique qui fuit, pouce par pouce.

L'eau souterraine fournit aujourd'hui environ 60 pour cent de l'eau

de l'État, avec la grande majorité qui va pour l’agriculture. Des
dizaines de milliers de pompes à eaux souterraines fonctionnent
jour et nuit, suçant jusqu'à environ 5 pour cent de l'électricité totale

de l'État, selon une analyse de l'Reveal pompage accru résultant

de la sécheresse historique . Cela représente une augmentation

de 40 pour cent par rapport aux années normales - ou assez
d'électricité pour alimenter tous les foyers de San Francisco pour

trois ans.

Le naufrage est en train de détruire des ponts, les craquements
apparaissent dans des canaux d'irrigation et sur les autoroutes à

travers l'état, selon le US Geological Survey.

Deux ponts dans le comté de Fresno - une région qui produit

environ 15 pour cent des amandes du monde - ont sombré

tellement qu'ils sont presque sous l'eau et vont coûter des millions

à reconstruire. À proximité, une école primaire descend lentement
dans un gouffre milles de long , ce qui rendra sensible à de futures

inondations.

Les entreprises privées sont sur le crochet, aussi. Un système de

canal est confrontée à plus de $ 60,000,000 dans la réparation

parce que l'un de ses barrages est en train de sombrer. Et les

puits d'eau publics et privés sont en cours d’être pliés et défigurés

comme des pailles froissés comme la terre effondre autour d'eux -

coûtant $ 500,000 ou plus à remplacer.

Le naufrage a un nom technique: l'affaissement. Cela se produit

lorsque les aquifères sont vidés de leur eau et que de la terre

effondre où l'eau a été retirée.

La dernière enquête exhaustive du naufrage était dans les années

1970, et un système de surveillance financé par l'État est tombé

dans l’oubli la décennie suivante. Même les scientifiques du

gouvernement sont dans l'obscurité.

"Nous ne savons pas à quel point c’est grave parce que nous ne

sommes pas à la recherche partout dans le monde», a déclaré

Michelle Sneed, un hydrologue avec la Commission

géologique. "C’est frustrant, je vais vous le dire. Il y a beaucoup de

travail que je veux faire. "

Certains endroits dans l'état sombrent plus d'un pied par

an. La dernière fois que c’était aussi pire , cela a coûté à l'État plus

d'un milliard de dollars pour réparer.


La Californie est en train de s'enfoncer - et de plus en plus vite
Joseph Poland de l'US Geological Survey a utilisé un poteau

électrique pour documenter où un agriculteur aurait été debout en

1925, 1955 et où la Poland aurait ensuite été debout en 1977 après

que les terres dans la vallée de San Joaquin avait coulé de près de

30 pieds. crédit:. US Geological Survey


Comment un hydrologue légendaire résolu le mystère

Dans les années 1920, les agriculteurs ont commencé à

transformer des terres désertiques en champs de cultures

verdoyantes par pompage des eaux souterraines à la surface. 

À l'époque, ces agriculteurs n’avaient pas seulement la tête et les

épaules moins hauts que  leurs homologues modernes - ils étaient

en fait autant que trois étages au-dessus d’eux. Mais alors, la terre

a commencé à couler.

Dans les années 1930, les scientifiques ont d'abord remarqué que

le pays sombrait. À l'époque, la cause était un mystère. Un

hydrologue légendaire, Joseph Poland, a été affecté à résoudre le

puzzle à partir des années 1940.

Il a réalisé que sous la terre de naufrage, les eaux souterraines a

été pompées rapidement pour irriguer les cultures. Il s’est créé des

dolines massives qui s’étendaient des milles dans toutes les
directions. Dans la communauté agricole de Mendota, la terre a

coulé de environ 30 pieds entre 1925 et 1977.

Le gouffre est si vaste qu'il est pratiquement impossible pour les

résidents de voir qu'ils sont debout dans un de ces trous. Poland a

utilisé un poteau pour construire un monument temporaire pour

leur montrer à quel point le pays avait sombré.

Le naufrage, qui a culminé à la fin des années 1960, a fait des

ravages sur l'infrastructure en pleine expansion de l'État,
endommageant les routes, les ponts et les canaux
d'irrigation. Une estimation par la Fondation California Water a mis

l'étiquette de prix de 1,3 milliards de dollars pour quelques-unes

des réparations pendant ce temps.

Le naufrage n'a pas ralenti jusqu'à ce que dans les années 1970

après que la Californie avait complété son système de canal massif

– le projet de travaux publics le plus cher de l'histoire de l'Etat. Il a

rendu l'eau de régions humides de l'État aux agriculteurs dans la

vallée centrale et ailleurs, soulageant ainsi leur dépendance sur
les eaux souterraines. Le problème a été résolu - au moins

pendant un certain temps.


«Quand nous avons regardé en arrière, whoa – cela avait
 empiré»

En 2012, Sneed, le chargé d’une étude géologique scientifique, a

reçu un rapport surprenant. Le terrain s’enfonçait le long de la
rivière San Joaquin à un taux pire que lors de la sécheresse de

1987 à 1992. Il a été presque à des taux historiques de sombrer

enregistrée par la Poland à la fin des années 1960. Elle ne pouvait

pas le croire.

"Est-ce encore vrai?" Demanda t-elle. «Nous avions pas vu les

taux d'affaissement comme ça depuis un long moment."

Elle et d'autres ont commencé à assembler le peu de données
publiques qui était disponible. Ils se sont financés pour analyser les

données satellitaires pour des parties de la vallée de San

Joaquin. Ils ont découvert que dans l'une des zones les plus

observées, autour de la ville d'El Nido (espagnol pour "Le Nid"), la

terre était en train de couler à un taux de environ 1 pied par an en

2012.

"C’est incroyable", a déclaré Sneed, expulsant une bouffée d'air,
comme si elle ne pouvait toujours pas y croire. «Nous avons
examiné l'écart pour une longue période. Et quand nous avons
regardé en arrière, whoa – c’était vraiment mauvais ".

Le sol de subsidence El Nido coulait si vite que le satellite ne

pouvait pas suivre le rythme.

Personne n'a suivi l’événement depuis. Mais Sneed et d'autres 

contactés par Reveal disent  qu'ils s’attendent à ce qu’il s’enfonce
maintenant de 2 pieds par an. Ce serait un record de tous les
temps.

Chris White, directeur général de l'Irrigation District de Californie
centrale, a déclaré que l'année dernière, un agriculteur près de El 

Nido lui a envoyé une photo d'un tuyau de gaz qui avait sorti de
plus de 18 pouces du sol en moins d'un an.

Blanc dit que les californiens pourraient maintenant avoir 

l'occasion d'assister de visu à la dévastation annoncée par Poland 


dans sa chronique des années 1960.

"Il y a ce potentiel", a-t-il dit.

Sneed est pratiquement en train de mendier pour élargir sa
recherche. Un méli-mélo d'environ 350 moniteurs de basse altitude
- beaucoup restent des années 1960 - sont tout ce qui reste et
d'autres chercheurs sont là à suivre des dizaines de milliers de
milles qui sont en perdition. Cela comprend les vignobles dans les
comtés de Sonoma et Napa, les zones autour de Paso Robles et
Santa Barbara, et les régions agricoles qui entourent Los Angeles,
qui ont tous montré des signes de naufrage, selon un 


Pour sensibiliser les gens au problème, Sneed a répliqué avec les

photos de 1977  de  Poland. Sa photo capture les premiers stades

de l'aggravation du problème de la subsidence d'aujourd'hui, dit-

elle. Mais elle et d'autres s’attendent à ce que ce soit bien pire.

La Californie est en train de s'enfoncer - et de plus en plus vite
La scientifique du US Geological Survey Michelle Sneed


montre où un agriculteur aurait été debout en 1988, avant une


sécheresse de six ans déclenché qui fait sombrer  San Joaquin


Valley, en Californie. Il montre également comment le naufrage

s’est accéléré en 2008.Crédit: US Geological Survey


Les ponts s’enfoncent et les canaux craquent

De nombreuses entreprises et organismes d'État ne semblent pas

 être au courant du problème.

Sneed et son patron de l'US Geological Survey, Claudia Faunt, ont

essayé atteindre les divers organismes gouvernementaux et des
entreprises privées pour les avertir et se renseigner sur l'étendue
des dommages causés à l'infrastructure.

"Nous avons essayé d'appeler les chemins de fer pour leur

 demander à ce sujet", a déclaré Faunt. "Mais ils ne savent rien à

 propos de l'affaissement. Ils nous ont dit qu'ils viennent réparer les

 chemins de fer et catégorisent cela comme étant une réparation".

Des milliers de milles de routes serpentant dans l'état aussi sont

 endommagés, dit-elle.

"Ils réparent les routes, mais ils ne savent même pas que c’est la
subsidence qui est la cause de tous les problèmes", a déclaré
Faunt. "Ils sont obligés d’en réparer beaucoup à cause de
l'épuisement des eaux souterraines."

Un porte-parole du Département d'Etat des Transports a indiqué

l'agence ne détecte pas les coûts liés à la subsidence et n’était 

pas au courant de toutes les réparations de ponts actuels qui en

découlent.

La Californie est en train de s'enfoncer - et de plus en plus vite
Le mur d'un canal (à gauche) fissuré. 
Le sommet d'un puits (à droite) est poussé vers le haut et hors de
la terre au fur et à mesure que le sol autour de lui s’enfonce

Crédit:. US Geological Survey
La Californie est en train de s'enfoncer - et de plus en plus vite
Faunt a mentionné le cas du pont Russell Avenue qui traverse le
Canal de l'extérieur dans la vallée centrale. Il a coulé au cours de
deux sécheresses précédentes - un à la fin des années 1970, puis
de nouveau entre 1987 et 1992. Maintenant, avec le naufrage en
cours, le vieux pont de 60 ans est presque totalement
submergé par l'eau du canal.

Sur la route à environ un mile, Russell Avenue croise un autre

canal d'irrigation, le canal de Delta-Mendota. Ce pont est en train de

sombrer,  et maintenant est partiellement immergé dans l'eau. Les

plans visant à le remplacer sont un coût estimé à 2,5 millions $, selon

une estimation de la Californie Irrigation District Central.
Le pont fait partie d'une liste des réparations publics et privés

nécessaires déjà près du bol à cause de naufrage de subsidence El

Nido 80 millions de dollars, a dit White.
L'année dernière, l'État a adopté sa première loi tentant de

réglementer les eaux souterraines, mais pour les agriculteurs ce ne

sera pas suffisant pour atteindre les objectifs jusqu'en 2040 au plus

tôt. Et l'information pour ce qui est du pompage  sera maintenu privé .

"Un prophète de malheur dirait que nous allons manquer d'eau», a

déclaré Matt Hurley, directeur général du District Angiola eau, près de

Bakersfield. "Mais je ne crois pas que nous nous dirigeons vers

cela. Nous avons reçu un bon encouragement avec la loi sur le

développement durable ".
Mais Devin Galloway, un scientifique de la Commission géologique,

voit la dévastation d'une proportion historique de retourner contre la

Californie. Il dit que même si les fermiers cessent de pompage des

eaux souterraines immédiatement, les dommages déjà fait sur les

aquifères sont maintenant orchestrés pour enregistrer des bas

niveaux encore ,  le naufrage va continuer pendant des années, voire

des décennies.
"Cela pourrait être un très long processus. Même si les niveaux d'eau

se rétablissent, les choses pourraient continuer à se calmer ", at-il

dit. "Ceci est une conséquence de la surexploitation des eaux

souterraines."
Et,  pendant ce temps, les abeilles continuent à mourir !

(source : Health and Wellness)

37 Million Bees Dropped Dead After Farms In Ontario, Canada Sprayed Neonictinoids On Their GMO Crops


Bees’ importance to the planet cannot be overstated. The tiny, bumbling bee is responsible for pollinating one-sixth of flowering plants in the world, and also about 400 different types of agricultural plants. In fact, it is estimated that just last year, the honey-producing pollinators helped provide over $19 billion worth of agricultural crops with their pollination services. Globally, they are responsible for helping to create a $300 billion revenue. 
Just based on those facts alone, it’s pretty clear that bees are important and need to be preserved: not just because they help keep the food chain flowering and producing food, but because they are a hard-working, selfless species that are incremental to the sustainability and the future of this earth. 
But as has been shown multiple times in recent years - and in Ontario, Canada - certain agricultural methods which arefar from sustainable are causing bee populations to decrease.

According to beekeeper Dave Schuit, who produces honey in Elmwood, Canada, he and his farm lost about 37 million bees (about 600 hives) once GMO corn started to get planted in the nearby area. “Once the corn started to get planted our bees died by the millions,” Schuit said.* 
He and other beekeepers are blaming neonicotinoids, or “neonics” for the death of many of their bees. Although Europe has eliminated the use of neonicotinoid class of pesticides from its market, the USDA still hasn’t banned the chemical presently produced by Bayer CropScience Inc.
The reason pesticides containing neonicotinoids are banned in other countries is because they contaminate pollen and nectar, which in effect damages and kills insects like the bees. Two of Bayer CropScience’s most popular pesticides containing neonics include Imidacloprid and Clothianidin. These drugs continue to be marketed, even though theyhave been linked with many large-scale bee ‘die-offs’ in both European and U.S. countries. 
According to Nathan Carey, another local farmer near Ontario, Canada, he noticed the past spring that there weren’t enough bees, and he believes this is due to a strong correlation between the death of bees and the insecticide use. 
However, as Snopes* was quick to point out, the GMO crops themselves remain 'unproven' to be the cause of colony collapse. What is more likely, according to the site, is that "the neonicotinoid pesticides are coating corn seeds, and with the use of new air seeders, are blowing pesticide dust into the air when planted." Either way, it is due to unsustainable farming methods that bees are dying in rapid numbers.

Worldwide, bees are in decline; but when a little common sense is applied, it doesn’t seem like too much of a mystery. When scientists tested samples of bees, wax, and pollen, the found presence of 121 pesticides. Such finding lends credence to the theory that pesticides are contributing to CCD. “We believe that some subtle interactions between nutrition, pesticide exposure, and other stressors are converging to kill colonies,” said Jeffery Pettis, of the ARS’s bee research laboratory. 
Another study found that neonicotinoid pesticides kill bees by damaging their immune system which makes them unable to fight disease. After a large loss of bees, Imadacloprid has been banned for the use of sunflowers and corn in Canda, but will it be enough to help revive bee populations? 
Slowly, countries around the world are waking up to the danger of neonicotinoids. France has now rejected Bayer’s application for Clothianidin, and Italy has banned certain neonicotinoids as well. The European Union has also banned a list of pesticides, while the United States has yet to follow suit, however." 

vvvv

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