jeudi 7 mai 2015

(blog à finir et à corriger)

Mauvaise nouvelle pour les américains, le gaz de schiste détruit des millions d'hectares de votre territoire. L'époque du far west est terminé, il y a désormais plein d'endroit où vous ne pourrez plus parcourir les grandes plaines à cheval.

(source : Enerzine.com)

Le développement des gaz de schiste transforme le paysage américain


L'amélioration des technologies de forage associée à une forte demande de l'énergie a entraîné l'expansion à grande échelle de l'exploitation des hydrocarbures non conventionnels en Amérique du Nord (centre), avec 50.000 nouveaux puits forés par an.Des endroits tels que le Bakken, Eagle Ford et les schistes de Marcellus sont connus, mais l'activité de forage qui se développe à un rythme soutenu créée de nouvelles zones.

Mais quelles sont les conséquences écologiques de cette activité de forage accéléré ? Des chercheurs de l'Université du Montana se sont penchés sur cet épineux problème et ont effectué la première évaluation scientifique à grande échelle dans la façon dont le développement des hydrocarbures - gaz de schiste notamment - ont transformé les paysages à travers les États-Unis et le Canada.

Leurs travaux ont été publiés le 24 Avril dans la revue "Science" sous l'intitulé : "Ecosystem services lost to oil and gas in North America". L'article conclut que le développement du pétrole et du gaz engendre une perte significative des pâturages et des terres cultivables sur de vastes étendues de végétation en Amérique du Nord centrale.

"Il y a deux choses importantes ici : premièrement, nous examinons tout le centre de l'Amérique du Nord, de la côte sud du Texas, au nord de l'Alberta. Quand on regarde cette image à l'échelle continentale, nous observons des impacts et des dégradations qui sont invisibles lorsque nous nous concentrons uniquement au niveau local. Deuxièmement, nous voyons comment les politiques actuelles peuvent potentiellement compromettre l'avenir de l'intégrité de l'écosystème sur de vastes zones" a indiqué l'auteur principal de l'article, Brady Allred.

Entre 2000 et 2012, les scientifiques ont estimé que l'exploitation des hydrocarbures a dévasté de grandes quantités de végétation, culminant à un taux annuel de plus de la moitié du pâturage annuel sur les terres 'publiques' des États-Unis. L'élimination de la végétation sur ces terres agricoles équivaut à 120,2 millions de boisseaux de blé (ou 3,2 milliards de tonnes), soit environ 13% de tout le blé exporté par les États-Unis en 2013.

La fragmentation et la perte de l'habitat perturbent également les voies migratoires, modifient le comportement de la faune et aident de nouvelles espèces de plantes invasives à s'implanter. Dave Naugle - co-auteur- met en évidence la complexité de la question : "Nous connaissons les impacts du développement pétrolier et gazier depuis des années, mais nous avons maintenant des données scientifiques à une grande échelle (régionale) qui nous montre que nous devons agir dès à présent pour équilibrer l'utilisation concurrente des terres".

En outre, près de la moitié des puits forés sont dans des régions à stress hydrique relativement haut. La fracturation hydraulique utilise de 2 à 13 millions de litres d'eau par puits, intensifiant ainsi la concurrence avec l'agriculture, les écosystèmes aquatiques et les municipalités pour les ressources en eau.

"Nous avons besoin d'un cadre politique qui quantifie et réalise des arbitrages à grande échelle parce que la politique actuelle ne répond pas de manière adéquate, à la fois, à l'évaluation et à l'atténuation future", a ajouté Julia Haggerty de l'Université d'État du Montana, co-auteure de l'étude.

"Les technologies satellitaires peuvent désormais fournir des informations annuelles - hectare par hectare - à destination des gestionnaires sur la politique à mener quant à l'extraction des hydrocarbures vis à vis de l'affectation des sols", a affirmé Steve Courir, professeur d'écologie à l'UM Regents. "Nous devons avoir des politiques qui assurent la remise en état de ces zones en phase de post-production. Sinon, en 2050, des dizaines de millions d'hectares de terres seront dégradées d'une manière irréversible."

Les auteurs ont évalué les services perdus en utilisant des mesures satellitaires à haute résolution de la croissance de la végétation sur la base de méthodes développées par W. Kolby Smith. La production végétale terrestre est le fondement même du cycle du carbone de la biosphère et reste à la base d'une multitude de services écosystémiques essentiels.
[ Illustration article ]
  











































































Ah, là, là, ce gouvernement américain, il fabrique, finance, arme, entraîne des extrémistes islamistes dans les pays musulmans et en Ukraine, il entraîne, arme des néo-nazis déclarés et responsables d'exactions contre les populations civiles dans l'est du pays.
Pas très étonnant, me direz-vous, mes chers lecteurs, si, l'on se rappelle que le gouvernement américain a protégé à son époque des milliers de nazis qu'elle a ramené au States.

(source : Russia Insider)

Kiev Embarrasses US With Claim US Troops Will Train Azov Neo-Nazis

Ukraine interior minister who is a major sponsor of the Azov battalion has said US troops in Ukraine will train the neo-Nazi outfit
 U.S.-UKRAINE 23 hours ago | 1,939 27
American Embassy in Kiev insists Azov is not receiving training
This is an excerpt from an article that riginally appeared in The Moscow Times

As part of its effort to support Ukraine, the U.S. military is sending 290 troops from the 173rd Airborne Brigade based in Italy to train elements of the Ukrainian National Guard.
In taking this step, U.S. President Barack Obama has chosen the middle ground between doing nothing on the one hand or embroiling the U.S. more deeply in the conflict by sending billions of dollars of lethal weaponry to Ukraine.
Unfortunately however, thanks to a Facebook post by Ukrainian Interior Minister Arsen Avakov, the 173rd’s training effort has been overshadowed by another controversy.
In his post, Avakov stated that one of the organizations the U.S. would be training is the infamous Azov battalion — a claim firmly contradicted by a spokesperson for the American Embassy in Kiev.
The reason Interior Minister Avakov would want to see the Azov battalion trained by American forces is clear. Avakov has been a prime sponsor of the Azov battalion, and has had a longstanding relationship with Azov’s leadership dating back to his time as governor of the Kharkiv region.
The problem though is that while making this association may be in Avakov’s interest, it is certainly not in the broader interests of either Ukraine or the U.S..
When the American military is spending time and resources to train Ukrainian forces, it is unseemly of a leading Ukrainian politician to use this effort to try to embroil the U.S. in internal Ukrainian politics.

nnnnnn

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