(blog à finir et à corriger)
Hélas, mes chers cinq lecteurs, habitant à la campagne au milieu d'agriculteurs empoisonneurs qui inondent leurs champs de pesticides, je laisse les fleurs sauvages dans mon gazon pour les abeilles.
Sauf que, sauf que.........il n'y a plus d'abeilles comme, il n'y a plus d'hirondelles d'ailleurs.
Et, j'ai vu depuis le début du printemps quatre papillons.
(source : Les Moutons Enragés)
Quant-à nous, c'est pas mieux, pareil, on s'intoxique avec la mal bouffe. Ce qu'ils font aux abeilles, ils nous la font à nous !
(source : Bioalaune.com)
1 cancer sur 3 est lié à une mauvaise alimentation
Par Mathieu Doutreligne publié le -
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En tout cas, la santé des américains ne risquent pas de s'améliorer avec leur exploitation du gaz de schiste.
(source : Sciences et Avenir)
Et, comment l'état vous pique votre éparge !
(source : Trends.be)
Et, un conseil au sujet des oeufs.
(source : Sain et Naturel)
vvvv
Hélas, mes chers cinq lecteurs, habitant à la campagne au milieu d'agriculteurs empoisonneurs qui inondent leurs champs de pesticides, je laisse les fleurs sauvages dans mon gazon pour les abeilles.
Sauf que, sauf que.........il n'y a plus d'abeilles comme, il n'y a plus d'hirondelles d'ailleurs.
Et, j'ai vu depuis le début du printemps quatre papillons.
(source : Les Moutons Enragés)
Et si l’abeille disparaissait du globe?
Quant-à nous, c'est pas mieux, pareil, on s'intoxique avec la mal bouffe. Ce qu'ils font aux abeilles, ils nous la font à nous !
(source : Bioalaune.com)
1 cancer sur 3 est lié à une mauvaise alimentation
Par Mathieu Doutreligne publié le -
- 8808 lectures
Il est bon d’être positif, ne serait-ce que pour montrer l’exemple. De nos jours, les sciences et les consciences évoluent. Nous savons que certaines habitudes de vie diminuent les risques de développer un cancer, quand d’autres favorisent son apparition, car il est faux de croire que le développement d’un cancer est une fatalité.
Les causes de développement d’un cancer
Même si le débat reste ouvert, les scientifiques s’accordent à dire que les dégénérescences cellulaires se développent pour des raisons comportementales, génétiques ou psychologiques.
La plupart des cancers se manifestent à cause d'altérations génétiques dans les cellules. Ces altérations se produisent surtout par hasard et s'accumulent tout au cours d'une vie. Ce sont les mutations sporadiques. Cependant, pour les médecins pratiquant la médecine psychosomatique, le cancer n'apparaît jamais tout à fait par hasard. Il existe des risques et des facteurs déclencheurs. Ce que l’on sait, c’est qu’une cellule mute (son ADN se transforme) lorsqu’elle est exposée trop longtemps ou trop souvent à un élément cancérigène. Les facteurs de risque sont internes ou externes au corps humain.
Les mauvaises mutations génétiques du cancer peuvent être causées par un élément extérieur qui endommage l'ADN, comme le tabac, certains produits chimiques, les pesticides, l’alcool, etc. Il existe aussi les mutations héréditaires. Ces dernières peuvent être transmises au moment de la conception et seront présentes dans chacune des cellules du corps de l'enfant sans forcément provoquer un cancer.
35% des cancers sont liés à une mauvaise alimentation
Des études scientifiques concluent que seuls 5 à 10 % des cas de cancer sont uniquement attribués à des facteurs génétiques contre 25 à 30 % au tabagisme, 30 à 35 % aux régimes alimentaires (dont l'alcool), 15 à 20 % aux infections, et 10 à 25 % aux autres facteurs (rayons ionisants, stress, activité physique, pollution de l'environnement).
Ces chiffres restent à relativiser. Certaines études mettent par exemple en relief des prédispositions génétiques du cancer qui favoriseraient l'apparition de la maladie qu'en cas de facteur externe. Seulement 5 à 10 % des cancers sont directement causés par des mutations génétiques héréditaires. Ces mêmes mutations peuvent indirectement déclencher un cancer si le patient s’alimente mal ou est en contact avec d’autres éléments déclencheurs.
Source : National Library of Medecine
En tout cas, la santé des américains ne risquent pas de s'améliorer avec leur exploitation du gaz de schiste.
(source : Sciences et Avenir)
Des additifs de fracturation hydraulique dans l’eau du robinet
Pour la première fois, l’analyse de l’eau du robinet de maisons voisines du champ de gaz de shiste "Marcellus" en Pennsylvanie démontre sans ambiguïté une pollution des nappes phréatiques par cette technique d’extraction.
Les chercheurs ont mis en évidence un composé chimique, 2-BE, et un complexe mélange de polluants organiques indéterminés mais régulièrement retrouvés dans les eaux résiduelles d’extraction des gaz de schistes du champ Marcellus (Pennsylvanie). © MLADEN ANTONOV / AFP
MOUSSE. En 2012, les chercheurs de l’Earth and Environmental Institute de l’Université d’Etat de Pennsylvanie ont reçu des échantillons d’eau du robinet provenant de trois maisons voisines du champ de gaz de schiste "Marcellus" en Pennsylvanie, réputé pour être le plus important au monde. Les occupants étaient préoccupés par le fait que leur eau faisait de la mousse en sortant du robinet. Les analyses de routine effectuées par les services de santé ne permettaient pas de déterminer la composition des produits qui faisaient mousser l’eau car ceux-ci étaient en dessous des seuils de détection de l'administration.
Les propriétaires ont depuis vendu leurs maisons aux exploitants du gisement. Mais les échantillons, eux, sont restés au laboratoire où les chercheurs leur ont fait passer un examen approfondi combinant chromatographie gazeuse et spectrométrie de masse. Leurs résultats viennent d’être publiés dans les PNAS. Ils constituent la première preuve officielle que la contamination des nappes phréatiques par la fracturation hydraulique est bien possible malgré la distance séparant les nappes phréatiques des couches de schistes plus profondes.
Eau et gaz pollués s'infiltrent à travers le sol
DETECTION. En recherchant un large éventail de contaminants possibles à de faibles concentrations plutôt que de traquer un seul produit spécifique, les chercheurs ont mis en évidence un composé chimique, 2-BE, et un complexe mélange de polluants organiques indéterminés mais régulièrement retrouvés dans les eaux résiduelles d’extraction des gaz de schistes du champ Marcellus. « Cette découverte est importante parce que nous démontrons que les produits chimiques voyagent à travers plus de deux kilomètres de couches géologiques vers les puits d’eau potable, a déclaré Susan Brantley, professeur de géoscience et directeur du Earth and Environmental Institute. Les molécules chimiques que nous avons identifié venaient soit des fluides de fracturation soit des additifs utilisés pour les forages et ils se sont déplacés avec le gaz naturel à travers des interstices naturels dans la roche ».
Pour la première fois, toutes les données analysées sont publiées pour que chacun puisse se faire son idée. Une telle contamination de l’eau potable par des puits de gaz de schiste n’avait encore jamais été prouvée avec une cette précision, évacuant doutes et polémiques. Selon Susan Brantley, la technique que son laboratoire a utilisée pourrait être un outil efficace pour vérifier que les accusations de pollution de l’exploitation des gaz de schistes sont bien réelles. Elle demande donc que de telles études soient généralisées et portées à la connaissance du grand public afin de faire émerger un cadre réglementaire sur l’exploitation de cette ressource. De nombreuses photos aériennes du champ "Marcellus" sont disponibles ici."
(source : Trends.be)
Des épargnants risquent de perdre plus de 343 millions d'euros
Quelque 343.215.925,80 euros provenant de comptes dormants avaient été transférés par les différentes banques du pays vers la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) selon un décompte effectué fin avril. C'est le triple du montant qui y figurait l'année passée (115,5 millions d'euros), indiquent les données du SPF Finances.
Les comptes dormants sont des comptes sur lesquels plus aucune opération n'a été enregistrée depuis au moins cinq ans. En 2008, le gouvernement a décidé de demander aux banques de dresser un inventaire de ces comptes et le transmettre à la CDC. Elles avaient jusque 2014 pour se mettre en ordre.
Pour les comptes disposant de moins de 20 euros, le transfert vers la CDC est irrémédiable. L'épargnant ne peut plus récupérer son argent une fois celui-ci versé à la caisse. Quelque 4,4 millions d'euros sont ainsi assurés de finir dans les caisses de l'Etat.
Pour les montants supérieurs à 20 euros, éventuellement sur plusieurs comptes auprès de la même institution, la banque est obligée d'aller à la recherche du titulaire. Cela se passe en deux phases. Via une simple lettre d'abord et par une lettre recommandée ensuite. Une fois que l'argent se trouve à la CDC, l'épargnant dispose de 30 ans pour réclamer celui-ci. Ce délai passé, il revient définitivement au Trésor. Ce montant atteignait 338,8 millions d'euros fin avril. Un an plus tôt, il était de 111,5 millions d'euros.
Fin 2014, seule une fraction de cet argent avait été réclamé de retour par les épargnants: 6,2 millions d'euros au total répartis dans 7.211 dossiers. Une augmentation est néanmoins observable ces dernières années. En 2011, cette somme était de 14.238 euros dans seulement 21 dossiers.
Les épargnants avec de l'argent dormant risquent de le voir disparaître à terme dans les caisses de l'Etat."
Et, un conseil au sujet des oeufs.
(source : Sain et Naturel)
A connaitre : faites-vous cette erreur avec vos oeufs ?
Erreur avec vos oeufs
En Europe, il est interdit aux commerçants de mettre les œufs au frigo.
Selon la législation (EC) N°589/2008 du 23 juin 2008 sur les œufs :
« Les œufs devraient être stockés et transportés à température ambiante, et ne devraient en général pas être réfrigérés avant d’être vendus au consommateur final. [1] »
Le rayon « œufs » dans votre magasin est donc toujours sur des rayonnages normaux, jamais dans des frigos avec le fromage et les produits frais.
Aux Etats-Unis, c’est le contraire : il est interdit de vendre des œufs qui ne sont pas réfrigérés !
Et vous : mettez-vous vos œufs au frigo ??
La salmonellose, maladie grave transmise par les œufs
Pour comprendre l’erreur à ne pas commettre et savoir si ce sont les Américains ou les Européens qui ont raison, quelques notions de base sont nécessaires sur la maladie transmise par les œufs, la salmonellose.
La salmonellose est une grave maladie provoquée par une bactérie appelée salmonelle.
Elle commence par de la diarrhée, de la fièvre, puis de terribles crampes abdominales.
Le calvaire dure environ une semaine. Mais certaines personnes ne guériront pas toutes seules. Une hospitalisation est indispensable. Car les bactéries, après avoir proliféré dans l’intestin, rejoignent la circulation sanguine, provoquant une infection généralisée et la mort du patient.
Et le risque est très grand !
Faites-vous cette erreur avec vos oeufs ? Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) :
« La salmonellose est l’une des maladies d’origine alimentaire les plus courantes et les plus répandues. On estime à plusieurs dizaines de millions le nombre de cas recensés chez l’homme chaque année dans le monde, et la maladie entraîne plus de cent mille décès par an. [2] »
L’être humain contracte en général la salmonellose en consommant des produits contaminés d’origine animale, en particulier des œufs.
Il faut que l’œuf soit contaminé par un grand nombre de bactéries, ce qui est plus fréquent chez les vieux œufs, pondus depuis plusieurs jours ou plusieurs semaines.
D’autre part, plus il fait chaud, plus les bactéries se reproduisent vite. Les recherches scientifiques ont confirmé qu’un œuf infecté par la salmonelle et qui est stocké à température ambiante pendant plus de 3 semaines contiendra beaucoup plus de bactéries que s’il avait été gardé au frigo [3].
Alors, score 1 – 0 pour les Américains qui gardent leurs œufs au frigo ?
La nature est bien faite
Pas si vite.
Car la nature est bien faite. Normalement, votre œuf ne devrait pas contenir de bactéries.
En effet, juste avant de le pondre, la poule enrobe l’œuf d’un liquide protecteur qui empêche les bactéries de passer.
Ce liquide sèche et forme une couche appelée cuticule. La cuticule protège l’œuf de la pénétration des bactéries à travers la coquille. Même si l’œuf roule ensuite sur des excréments contaminés par la salmonelle, ce qui est le mode de contamination le plus fréquent, la salmonelle restera donc à l’extérieur.
Pourquoi il ne faut pas laver les œufs
Mais cette efficace tactique de protection tombe à l’eau, c’est le cas de le dire, si vous lavez vos œufs au lieu de les garder tel quels après les avoir ramassés.
Le lavage des œufs supprime toute ou presque toute la cuticule de l’œuf, le privant ainsi d’une barrière naturelle contre les microbes.
Or, aux Etats-Unis, les œufs distribués dans le commerce sont toujours lavés [4]. Ils ont donc perdu leur cuticule. C’est pourquoi ils sont très vulnérables à la contamination et doivent être gardés réfrigérés.
En Europe, le lavage est interdit pour cette raison.
Selon la législation (EC) N°589/2008 du 23 Juin 2008 sur les œufs, citée plus haut :
« En général, les œufs ne devraient pas être lavés ou nettoyés parce que de telles pratiques peuvent abîmer la coquille, qui est une barrière efficace contre l’entrée des bactéries, avec une ligne de propriétés antibactériennes.(…) De plus, les œufs de classe A ne devraient pas être lavés à cause des dégâts potentiels aux barrières physiques, comme la cuticule, qui peuvent se produire pendant ou après le lavage. [5] »
Certes, me direz-vous, cela explique pourquoi il ne faut pas laver les œufs.
Mais pourquoi ne pas éviter de les laver et les garder au frigo, puisque cela ralentit la prolifération bactérienne ?
N’aurait-on pas ainsi le meilleur des deux mondes ?
Excellente question, à laquelle je vais répondre maintenant.
Pourquoi il ne faut pas réfrigérer les œufs
Le problème est que, lorsque vous sortez un œuf d’un frigo, il se couvre de condensation.
Selon la réglementation européenne ci-dessus, cette humidité :
« facilite la croissance des bactéries sur la coquille et probablement leur pénétration dans l’œuf. Par conséquent, les œufs devraient être stockés et transportés à température ambiante, et ne devraient en général pas être réfrigérés avant d’être vendus au consommateur final. »
Même si les œufs ne sont pas lavés, la condensation pose problème. Les Européens en ont déduit, logiquement à mon avis, qu’il vaut mieux ne pas laver les œufs, et ne pas les réfrigérer.
Les Etats-Unis ont fait le choix inverse : ils préfèrent nettoyer au mieux les œufs au départ, quitte à abîmer la cuticule, et les conserver ensuite toujours au frais.
Cela pose à mon avis un problème.
Comme nous, les Américains vont au supermarché, mettent les œufs dans leur caddie puis dans le coffre de leur voiture. Mais comme leurs œufs sont réfrigérés en magasin, ils se couvrent de condensation et sont humides au moment d’être remis au frigo. Privés de la cuticule à cause du lavage, ils sont alors plus susceptible d’être contaminés par des bactéries.
De plus, selon Mark Williams, expert en production d’œufs :
« En Europe, le fait qu’il ne soit pas possible de laver les œufs avant de les vendre encourage la bonne tenue des fermes. L’éleveur de poule comprend que c’est dans son intérêt de produire des œufs aussi propres que possible, sans lavage, parce que personne ne voudra lui acheter ses œufs s’ils sont sales. [6] »
Cela signifie-t-il que les œufs américains, parce qu’ils sont lavés, ont plus de risques d’être produits dans des entrepôts pleins d’excréments de poule, et à haut risque de contamination à la salmonelle ?
L’histoire ne le dit pas.
À votre santé !
Jean-Marc Dupuis
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