mercredi 1 octobre 2014

(blog à finir et à corriger)

Commençons, mes chers cinq lecteurs, par cet exemple individuel d'innovation.

(source : Daily geek show)

Cette imprimante 3D révolutionnaire matérialise des objets dans du sable grâce à l’énergie solaire

Depuis son invention, l’impression 3D ne cesse de repousser les limites de la technologie et fait désormais partie intégrante de notre quotidien. Cela dit, celle que Markus a mise au point se différencie de ses semblables : elle fonctionne à l’énergie solaire et permet de créer des objets à partir du sable. Bluffant !
Si certains impriment des objets 3D en chocolat, Markus Kayser, lui, préfère le sable. En effet, cet artiste allemand originaire d’Hambourg a mis au point un concept d’imprimante 3D écologique alimentée par l’énergie solaire : SolarSinter. De la même façon qu’on se sert d’une loupe pour réfléchir les rayons du soleil et générer une source de chaleur, l’énorme lentille de Fresnel dont est équipée l’imprimante solaire deMarkus génère assez d’énergie pour donner vie à des structures faites de sable.
De plus, contrairement aux imprimantes 3D traditionnelles qui utilisent la technologie laser pour créer des objets 3D à partir de variété de plastiques en poudre, de résines ou de métaux, la SolarSinter ne fonctionne qu’à l’aide d’éléments naturels. Ainsi, les rayons du soleil remplacent le laser, de même que le sable prend la place des résines. Ainsi, dans la vidéo ci-dessus, on peut voir Markus mettre à l’épreuve son « jouet » high-tech dans le désert du Sahara, dont il utilise le sable pour imprimer divers objets en 3D.
differents-elements-composition-imprimante-3D
Après deux semaines de tests dans la partie égyptienne du Sahara, la machine et les résultats obtenus ont permis à Markus de conclure que sa SolarSinter incarnait un grand pas en avant vers une nouvelle façon de produire des outils performants. En effet, il devrait donc bientôt être possible de confectionner des outils performants grâce à deux éléments naturels : le soleil et le sable. Wait & see, comme on dit !
station-travail-sahara
solar-sinter-desert-sahara
imprimante-solaire-markus
markus-imprimante-desert
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sable-fusion-modelage-objet
structure-imprimee-3D
objet-solide-sable-3d
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Cette imprimante 3D est vraiment révolutionnaire ! Au bureau, tout le monde salue l’initiative de Markus qui est de concevoir une imprimante 3D éco-responsable. De plus, on trouve ça fou de pouvoir imprimer toutes sortes d’objets avec un peu de sable et de lumière solaire ! Est-ce que vous pensez qu’un jour nous parviendrons à produire des objets d’une façon 100 % écologique ?"
























































































































































































































































































































































Cet article confirmant que la FED, organisation privée des banques américaines doit être éradiquée et que l'état américain doit récupérer son droit d'émission de la monnaie.

(source : Wikistrike)


Il y a près d’un an, nous avons signalé l’affaire du « lanceur d’alerte de Goldman Sachs » à la Federal Reserve Bankde New York, Carmen Segarra, qui prétendait avoir été injustement congédiée après avoir signalé de « si nombreux conflits d’intérêts et manquements à la déontologie envers les clients [impliquant Goldman] qu’elle croyait justifié un abaissement de la note donnée par les organismes de régulations à Goldman ». Elle avait été ignorée en raison de l’intime proximité, largement documentée dans ces pages, entre Goldman et Stephen Friedman, qui fut une jadis président de la Fed de New York et ancien directeur de Goldman, aussi bien que Bill Dudley, actuel président de la Fed de New York et ancien employé de Goldman. Nous avons alors écrit ce qui suit :
« Comme chacun le sait, Bill Dudley et Stephen Friedman sont tous deux des anciens employés de Goldman, et, ainsi que nous l’avons indiqué, Bill Dudley et Jan Hatzius, économiste en chef de Goldman, se réunissent toujours régulièrement pour discuter des « événements » à Pound and Pense (NdT : un restaurant huppé de New York).
Ainsi, bien que ses allégations soient encore non établies, et que sa requête pour licenciement abusif ait été finalement rejetée, cela donne l’espoir d’ouverture d’une enquête sur la relation étroite entre Goldman et la Fed de New York. Hélas, puisque le pouvoir judiciaire est également sous le contrôle des deux entités mentionnées ci-dessus, nous en doutons fortement. ».
Il avait de l’espoir, mais comme nous l’avons dit, nous doutions que cela nous menât très loin. Cela a effectivement été le cas : en avril, la Fed de New York a obtenu le rejet de la plainte :
« Le juge de district de Manhattan Ronnie Abrams a jugé que l’impossibilité pour l’ancienne contrôleuse Carmen Segarra, de lier son licenciement de la Fed aux divulgations qu’elle a faite a été fatal à son procès de lanceur d’alerte. Abrams a également déclaré que Segarra ne pouvait pas modifier la demande initiale de son procès.
Le Congrès doit protéger les employés des agences bancaires… qui affirment de manière établie qu’ils ont subi des représailles pour avoir fourni des informations concernant une possible violation des « lois ou règlements », écrit le juge. « Mais la plaignante n’est pas dans ce cas.
Les révélations de Segarra sur les conflits d’intérêt de Goldman montrent que la banque n’a simplement violé qu’une « lettre d’avertissement» n’ayant pas force de loi, et ne lui donne donc pas droit à la protection envers les lanceurs d’alerte, selon la loi fédérale, a conclu Abrams. »
Le fait que le juge de l’affaire était en conflit d’intérêt, à cause d’une relation de proximité avec Goldman, laquelle était représentée par son mari, également avocat, était clairement « non pertinente » :
« Dans son jugement de mercredi, Abrams a également rejeté une tentative faite par Stengle pour obtenir davantage de précisions de la part de la juge à propos de la relation de son mari avec Goldman Sachs. Abrams a dit, le 3 avril qu’elle venait juste d’apprendre que son mari, Greg Andres, associé chez Davis Polk & Wardwell, représentait Goldman à titre consultatif.
Stengle a dit à l’époque qu’elle ne rechercherait pas la récusation d’Abrams, a dit la juge, et, le lendemain, les plaidoiries orales des accusés tendant à voir classer l’affaire ont continué comme prévu.
Mais, le 11 avril, Stengle fit une demande écrite en vue d’obtenir une « révélation plus complète » au sujet de la relation entre Goldman et Andres ainsi qu’au sujet de la relation de travail d’Abrams elle-même avec un des avocats de la défense.
Abrams a dit que c’était trop tard, étant donné que d’ici là Segarra aurait eu l’occasion de « voir la colère de la cour» et peut-être anticiper qu’elle perdrait, à moins qu’Abrams ne se récusât. «Le timing des demandes de la plaignante suggère qu’elle se livre précisément au genre de « choix du juge » contre lequel le 2eme circuit a mis en garde, a écrit Abrams, en se référant à la cour d’appel fédérale de New York. « Cette tentative de s’engager dans de telles tactiques judiciaires est une atteinte aux fondements même de notre système judiciaire. » »
On ne sait s’il faut en rire ou pleurer, car cette déclaration ne fait que confirmer ce que nous disions il y a un an, à savoir que « le pouvoir judiciaire est également sous le contrôle des deux entités mentionnées ci-dessus, c’est à dire la Fed de New York et Goldman ».
De toute façon, le cas Segarra a disparu de la scène publique, et a été rapidement oublié par des médias, tout aussi corrompus; il a donc été aussi oublié par le public.
Tout au moins jusqu’à ce matin, quand Jake Bernstein de ProPublica a révélé quelque chose de tout à fait étonnant : « Segarra possède 46 heures d’enregistrements secrets pour renforcer son dossier sur ce qui se passait chez Goldman et ses patrons ».
« En partenariat avec This American Life, Bernstein étudie ces bandes, qui dépeignent une Fed de New York qui est parfois réticente à s’engager contre Goldman, et qui lutte pour assoir son autorité. Par exemple, dans une réunion enregistrée la semaine qui précédait le licenciement de Segarra, son patron lui a demandé au moins sept fois de changer la conclusion disant que Goldman ne respectait pas les règles de gestion de conflits d’intérêts, en joutant : «Pourquoi avez-vous besoin de dire cela ? »
L’histoire complète ProPublica peut être trouvée ici.
Et pour ceux dont le temps est compté, et qui voudraient juste lire les billets de Cliff (la fin devrait être connue de tous, à présent), voici un article de Michael Lewis dans Bloomberg, qui résume cette farce sous contrôle des banquiers, auxquels l’ensemble du système des États-Unis s’est soumis :
« Les enregistrements secrets de Goldman Sachs »
La plupart des gens seraient probablement d’accord sur le fait que les gens payés par le gouvernement des États-Unis ont des difficultés à réglementer Wall Street. Ils seraient aussi probablement d’accord sur deux raisons qui expliquent ces difficultés grandissantes :
  • un système financier de plus en plus complexe, auquel les régulateurs doivent être formés par… les financiers, ceux-là mêmes qui ont créé cette complexité.
  • La pratique de plus en plus fréquente chez les régulateurs de quitter leur emplois au gouvernement pour un emploi bien mieux rémunéré dans les banques mêmes qu’ils étaient censés réglementer. Les régulateurs de Wall Street sont des gens qui sont payés par Wall Street pour accepter les explications de Wall Street elle-même, et qui n’ont pas toujours les compétences suffisantes pour contrer ces explications.
Notre système de réglementation financière est visiblement dysfonctionnel. Mais parce que le sujet est pénible et que les détails en sont compliqués, alors le public n’y prête pas beaucoup d’attention.
Cela peut très bien changer aujourd’hui, car, ce vendredi 26 septembre, le programme de radio This American Life va diffuser une histoire à couper le souffle sur la régulation de Wall Street, et le public n’aura aucune difficulté à la comprendre.
Le journaliste, Jake Bernstein, a obtenu 47 heures ½ d’enregistrements audio, faits en secret par un employé de la Réserve fédérale, sur des conversations au sein de la Fed et entre la Fed et Goldman Sachs. La vidéo Ray Rice pour le secteur financier est arrivée. (NdT : Vidéo ayant prouvé la culpabilité d’un footballeur vedette américain)
Tout d’abord, sur le fond de l’affaire (dont vous pouvez aussi bien prendre connaissance en écoutant l’émission d’aujourd’hui). Après la crise financière de 2008, la Fed de New York, le principal régulateur bancaire américain, a commandé elle-même une étude. Cette étude, que la Fed avait également l’intention de garder pour elle, a essayé de comprendre pourquoi ladite Fed n’avait pas repéré le comportement insensé et destructeur à l’intérieur des grandes banques, ni cherché à l’arrêter avant qu’il ne soit hors de contrôle. Le « premier jet de discussions » de l’étude interne de la Fed, dirigée par un professeur de la Columbia Business School et ancien banquier du nom de David Beim, a été envoyé à la Fed le 18 août 2009.
C’est un document extraordinaire. Il n’y a pas assez de place ici pour lui rendre justice, mais l’essentiel en est :la Fed n’a pas réussi à réglementer les banques, car elle n’a pas encouragé ses employés à poser les bonnes questions, à exprimer leurs opinions ou à signaler les problèmes.
Tout au contraire, la Fed encourage ses employés à garder la tête basse, à obéir à leurs managers et à apaiser les banques. Cela veut dire que les régulateurs bancaires n’ont pas réussi à faire correctement leur travail non pas parce qu’ils n’avaient pas les outils pour le faire mais parce qu’ils ont été dissuadés de les utiliser.
Le rapport cite des employés de la Fed disant des choses comme, « jusqu’à ce que je sache ce que mon patron en pense, je ne peux rien vous dire », et « personne ne se sent individuellement responsable des erreurs de la crise financière, parce qu’elles sont l’objet d’un consensus ». Beim fut lui-même surpris de constater que ce qu’il pensait être une enquête sur un échec financier était en fait l’histoire d’un échec culturel.
Tout responsable de la Fed qui a lu le rapport Beim, et qui voudrait corriger son institution, ou simplement se protéger, serait instantanément porté à embaucher des gens volontaires, indépendants d’esprit, prêts à dire ce qu’ils pensent, et à les lâcher sur notre secteur financier. La Fed ne semble pas avoir fait cela, du moins pas intentionnellement. Mais, fin 2011, alors que ces gestionnaires de la Fed embauchaient des contrôleurs pour assurer la surveillance des banques qui leur avait été confiée par la loi Dodd-Frank, ils recrutèrent une femme de forte volonté, à l’esprit indépendant, nommée Carmen Segarra.
Je n’ai jamais rencontré Segarra, mais elle apparait dans l’émission comme un sympathique mélange de bonne humeur et de principes. This American Life a également interrogé des personnes qui avaient travaillé avec elle avant son arrivée à la Fed, et qui la décrivent comme intelligente, même si elle est parfois brusque, sans toutefois jamais se montrer non professionnelle. Elle est visiblement brillante et curieuse, parle quatre langues, est diplômée de Harvard, Cornell et Columbia. Elle est également apparemment bien informée : avant de venir travailler à la Fed, elle a travaillé directement, et avec succès, pour les services juridiques et de conformité de grandes banques. Elle n’a travaillé pour la Fed après la crise financière, dit-elle, que parce qu’elle pensait avoir la capacité d’aider la Fed à corriger le système.
Début 2012, Segarra a été affectée à la réglementation de Goldman Sachs, et a donc été installée à l’intérieur de leurs locaux (toutes les personnes qui régulent les banques pour la Fed sont physiquement placées dans les locaux des banques.)
Le travail semble dès le départ avoir été différent de ce qu’elle avait imaginé : dans les réunions, les employés de la Fed sont déférents envers ceux de Goldman. Si l’un des employés de Goldman dit quelque chose de révélateur, voire d’alarmant, au cours d’une réunion, les employés de la Fed semblent l’ignorer ou le minimiser. Par exemple, dans une réunion, un employé de Goldman a estimé que « une fois que les clients sont assez riches, certaines lois de la consommation ne s’appliquent plus à eux ». Après cette réunion, Segarra se tourna vers un régulateur-type de la Fed et lui exposa comment elle avait été surprise par cette déclaration, ce à quoi le régulateur a répondu : « Faites comme si vous ne l’aviez pas entendu ».
Ce sont des situations qui se sont révélé fréquentes (les organismes de réglementation de la Fed niant ce qui a été dit au cours de réunions, les responsables de la Fed lui demandant de modifier les minutes de réunions), au point que Segarra a jugé utile d’enregistrer ce qui était effectivement dit. Elle s’est alors rendue dans un magasin Spy pour y acheter un minuscule enregistreur, puis a commencé à enregistrer ses réunions avec Goldman Sachs, jusqu’au moment où elle a été congédiée.
Comment Segarra s’est fait renvoyer de la Fed est intéressant. En 2012, Goldman a été réprimandée par un juge du Delaware pour son comportement lors d’une acquisition d’entreprise. Goldman avait conseillé une compagnie d’énergie, El Paso Corp, alors en train d’être rachetée par une autre société du secteur de l’énergie, Kinder Morgan, dans laquelle Goldman avait des parts d’une valeur de 4 milliards de dollars, et un banquier de Goldman avait fait un gros investissement personnel. L’incident a forcé la Fed à demander à Goldman de revoir sa politique de conflit d’intérêt. Il s’est alors avéré que Goldman n’avait aucun règlement concernant les conflits d’intérêt. Mais quand Segarra a insisté pour l’indiquer dans son rapport, ses patrons ont essayé de la faire changer d’avis. Sous la pression, elle a finalement accepté de changer son rapport, mais elle n’a pas pu résister à l’envie de dire à son patron qu’elle ne changerait pas d’avis. Peu de temps après cette rencontre, elle a été renvoyée.
Je ne voudrais pas vous gâcher les révélations de This American Life. Il est bien plus instructif d’écouter les enregistrements à la radio, car les intonations de voix donnent beaucoup de sens à cette histoire, en particulier, sur l’incroyable manque de cran des gens de la Fed chargés de réglementer Goldman Sachs. Mais, une fois que vous l’aurez écouté – comme lorsque vous avez été confrontés à la vérité de ce qui s’est réellement passé avec cette fiancée d‘un arrière de la NFL dans l’ascenseur (NdT : encore une référence à l’affaire Ray Rice), vous pourrez considérer que :
  1. vous saviez plus ou moins que les organismes de réglementation étaient, d’une certaine manière, contrôlés par les banques ; à présent vous en êtes sûr ;
  2. la seule raison pour laquelle vous le savez, c’est qu’une femme, Carmen Segarra, a eu le courage de lutter contre le système ; elle a payé cher ce courage de nous informer de l’évidence : elle a perdu son emploi, sa carrière est brisée, et elle devra sans aucun doute supporter toute sa vie des poursuites et des calomnies.
Alors qu’allez-vous faire à ce sujet ? En ce moment, la Fed se dit probablement que, comme la crise financière, cela aussi sera balayé sous le tapis.
Il ne devrait pourtant pas en être ainsi.
Tyler Durden / Zero Hedge
Traduit par Wayan pour vineyardsaker.fr
COMPLÉMENTS À L’ARTICLE DE ZERO HEDGE (dépêches Reuters et AFP)
L’affaire se poursuit et remonte jusqu’aux instances législatives
« Un membre influent du Sénat américain souhaite mener des auditions sur les questions « perturbantes » soulevées par des enregistrements secrets de conversations entre des contrôleurs de la Réserve fédérale et des responsables de Goldman Sachs, une banque que la Fed était chargée de surveiller. »
Cette affaire sera-t-elle étouffée comme celle de la NSA ? À suivre…
Et pour continuer avec ce lavage de linge sale dans la famille des financiers véreux :
« Six ans après le sauvetage des fleurons de Wall Street frappés par la crise, s’ouvre lundi le procès intenté au gouvernement américain par l’ancien patron de l’assureur AIG, qui risque de rouvrir un épisode sombre de la crise financière.
Ce procès, qui se déroulera à Washington, s’annonce comme celui des mesures exceptionnelles prises par l’Etat fédéral pour éviter un effondrement du système financier.
Intenté par Maurice « Hank » Greenberg, 89 ans, l’ancien patron historique d’AIG, il verra défiler à la barre ceux qui étaient aux premières loges ce fameux week-end du 16 septembre 2008, au cours duquel le gouvernement américain a laissé tomber Lehman Brothers et poussé Merrill Lynch dans les bras de Bank of America.
L’ancien président de la Banque centrale américaine (Fed), Ben Bernanke, et l’ancien secrétaire au Trésor, Timothy Geithner, à l’époque président de la Fed de New York, bras financier de la Banque centrale, sont cités comme témoins. »


vv

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